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 Je suis ce que tu détesterais être. | pv Natalya

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MessageSujet: Je suis ce que tu détesterais être. | pv Natalya   Je suis ce que tu détesterais être. | pv Natalya EmptySam 18 Jan - 10:30

Hrp: Je suis désolée. C'est court, parce que je suis vraiment mauvaise pour les topics d'introduction, et je dois apprendre à bien maîtriser Lorcan.




    Les mains posées sur tes cuisses, tu as attendu longtemps que l'on te remarque. Le front paré de cette froide arrogance, les yeux accompagnant le mouvement du vent, tu n'as pas soulevé du regard ces déplacements qui se peignaient sous les hauteurs dans lesquelles tu t'étais élevé. Petit empereur hautain, assis sur les murailles d'un château gouverné par un roi absent, bien au delà des frontières du Réel, tes yeux noirs évaluaient déjà les changements des lendemains.
    Qui aurait pu te pousser à escalader et à t'asseoir si haut, si ça n'était toi-même ? Chat agile, tu avais croisé tes jambes, glissant tes pieds sous tes fesses, et le visage fermé en cette expression autoritaire de l'enfant qui domine, tu contemplais le ciel orageux, tes prunelles noires renfermant la frustration de cet instant. Car indubitablement, tu t'ennuyais. Tu t'ennuyais de ne pas te voir observé, de ne pas être remarqué. Ennuyé de cette oisiveté qui faisait ne rien se passer. Il n'y avait rien d'intéressant depuis quelques semaines, et cela t’écœurais au point de te demander si tu n'allais pas essayer de blesser quelqu'un, pour voir si ça ne rendait pas les choses plus intéressantes. Tes lèvres s'étirant en un rictus amusé, tu songeais presque à abandonner les hauteurs de la muraille, pour aller mordre un élève, quand un cri t'arracha à cette sombre illusion.
    Un cri de rage, un cri irrité : celui du Mangemort qui venait de te remarquer. Dilatations de tes pupilles, dans ce sourire ravi.

    Oh, enfin.

    (…)

    « Vous vous asseyez-là, et vous ne bougez plus. Essayez seulement, et je vous assure que je vous cloue sur place. On m'a dit que vous n'appréciez pas tellement le feu. Alors faites en sorte que je ne sois pas obligé de l'utiliser contre vous. Le professeur qui va venir vous surveiller arrivera d'ici quelques temps. Et je vous le répète : ne bougez pas. »

    Il t'a abandonné dans cette salle de classe qui accueille généralement les élèves enclin à apprendre l'art du langage codé des runes anciennes. Un art qui ne t'a jamais réellement intéressé, et que tu n'as jamais travaillé. Aussi, lorsque la porte se referme, tu laisses tes yeux courir sur ces diatribes silencieuses et ancestrales, inconnus murmures d'une langue oubliée, qui sont accrochées aux murs, gravés dans la pierre, ou encore écrit à la craie sur un tableau poussiéreux. Et tu souris vaguement, amusé par le savoir qui a du s'amasser ici, sans que tu ne sois au courant. Il serait intéressant, songe-tu, de pouvoir mesurer les connaissances importées et dupliquées entre ces murs. Peut-être pour fantasmer ensuite sur l'idée de les dévorer, pour les posséder. A côté de ta main, le Mangemort a déposé un petit papier, sur lequel est écrit ta faute, et que tu devras remettre au professeur qui va venir surveiller ton heure de colle. D'un haussement de sourcil désabusé, tu lis le mot. « Est grimpé sur les façades de Poudlard », hein ? Un sourire moqueur, et sortant ta plume de ton sac, tu trempes le bout de l'objet dans un encrier que tu retiens dans tes phalanges. Posément, tu barres les mots grossiers du Mangemort, et avec soin, de cette écriture italique et mordante qu'est la tienne, tu réctifies :

    « Est allé contempler la réaction humaine, en s'installant dans les hauteurs d'un monde devenu trop bas pour l'instant. C'était à vivre, et à regarder. Respectueusement. »

    Et la porte s'ouvre, dans le bon feeling de ce qui pourrait presque paraître théâtral. Tes yeux viennent effleurer le profil ardent de celle qui est reconnue depuis quelques temps comme la professeur de Métamorphose, et tu attrapes le papier du bout des doigts, en lui tendant. Un vague sourire court sur tes lèvres, pendant que tu croises les jambes. Tu aurais peut-être du faire l'effort de mettre des talons aiguilles. Tu y penseras la prochaine fois. Se rapprocher du ciel, après tout, n'est pas bien compliqué. Il suffit d'être un minimum subtil.
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Natalya A. Petrova

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MessageSujet: Re: Je suis ce que tu détesterais être. | pv Natalya   Je suis ce que tu détesterais être. | pv Natalya EmptyLun 27 Jan - 5:27



Je suis ce que tu détesterais être...

Tu es entrain de corriger les derniers sur table, l’air blasé devant tant de médiocrité. Dans ton esprit tu te demandes encore la raison de ta présence ici. Non, mais franchement, tu ne serais pas plus utile ailleurs ?  Je ne sais moi, dans une ambassade quelconque à surveiller quelques personnalités douteuses par exemple ? Ou encore en infiltrant une cellule terroriste. Même de simples assassinats… N’importe quoi que de se retrouver ici, enfermée entre quatre murs obligé à faire apprendre ton art à des jeunes blasées depuis longtemps. La seule perspective plaisante : les quelques spécimens assez intéressants pour relever ton attention. Enervée, tu rayes à l’encre rouge la feuille en face de toi avec un commentaire acerbe « merci de réviser vos fondamentaux avant d’espérer pouvoir revenir un jour dans un de mes cours ». Pas trop mal. Satisfaite, tu la mets de côté et enchaîne avec une autre mais tu es interrompu par un pion. « Un élève vous attends en salle de retenue ». Tu le regardes de travers, encore plus déprimée qu’il y a de ça quelques secondes. Tu hoches tout de même la tête, acceptant de mauvaise grâce ta nouvelle tâche. Un ordre est un ordre et ton conditionnement en parfaite petite espionne joue son rôle. Tu te lèves en regroupant tout les examens dans une pochette et prend la direction de la salle désignée. Tu croises dans les couloirs quelques élèves dont la jeune Isis qui te semble encore une fois assez stressée. Une habitude chez elle. Malgré ta distance habituelle envers les élèves, tu ne peux t’empêcher d’éprouver une certaine sympathie envers la Cayrel. Tu arrives enfin à destination et pousse la porte d’entrée. Tu aperçois l’élève en faute de dos et te diriges vers lui en faisant claquer tes talons sur le parquet. Tu t’arrêtes à son niveau et tends la main de manière impatiente. Il te remet une fiche expliquant le pourquoi du comment de sa présence ici. Tout en lisant tu fronces les sourcils. « Est allez contempler la réaction humaine, en s'installant dans les hauteurs d'un monde devenu trop bas pour l'instant. C'était à vivre, et à regarder. Respectueusement. » Tu fais un petit sourire. Il avait de l’humour ce petit. « Amusant », dis-tu tout simplement. Tu gardes avec toi le papier et te rends à ton bureau. Tu t’installes tranquillement et ressort les feuilles des devoirs à corriger tout en réfléchissant. Tes yeux viennent se poser de nouveau vers l’élève, une idée germant dans ta tête. « En punition tu vas m’écrire un résumé sur ce que tu as constaté depuis votre perchoir. Ce qui devrait être facile pour vous, non ? ». Un fin sourire étira tes lèvres. « Et si ça ne me convient pas tu reviendras toute la semaine jusqu’à ce que se soit le cas ». Une brillante idée selon toi. Il voulait en mettre plein la vue ? Okay. Tu lui donnes sa chance au petit prétentieux. A lui de la saisir.
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MessageSujet: Re: Je suis ce que tu détesterais être. | pv Natalya   Je suis ce que tu détesterais être. | pv Natalya EmptyLun 27 Jan - 6:28

Hrp : Je ne répondrais pas forcément aussi vite les prochaines fois, dear.

    Elle a récupéré entre ses doigts le mot. Elle la récupéré, et si tu t'attendais, après cet instant de lecture, à un bruit de déchirement et un rictus hautain, tu te confrontes au bruit d'un sourire amusé, et du déterminant qui le qualifie. Amusant. Elle a trouvé cela amusant. Les prunelles fendues dans ce constat étincelant d'avenir, tu tournes vers elle un regard véritablement surpris. Elle est impressionnante. C'est le premier professeur de cette année que tu rencontres qui ne vient pas brider ton univers en appuyant succinctement sur toutes les possibilités à mettre en place pour te castrer dans tes jeux. Non. C'est nettement plus intéressant.
    C'est nettement plus amusant.

    Un sourire, sur tes lèvres, s'est étiré, et dans le tempo rapide de ses talons qui claquent sur le sol, tu comptes les secondes d'une scène qui se joue et se tisse sur le canevas alambiqué des situations à venir. Que va t-elle faire ? Que va t-elle ordonner ? Il y a, bien sûr, encore le doute d'une remise en question, car rien n'est assuré qu'elle ne vienne pas amorcer la bombe en faisant « non, en fait, j'ai envie de réagir de manière normale. » Et cela, tu le sais, t'attristerais. Pas de comptes particuliers à lui rendre, pas d'attente particulières à avoir, mais au fond de toi, Lorcan, tu le sais : tu aimerais que l'on t'arrache à cette oisiveté qui te fait t'ennuyer du monde. Quelque chose d'assez intéressant pour que comme Alice, tu aies envie de tomber au fond du terrier, quelque chose d'assez maîtrisable, pour que comme Alice, tu sois la Reine Rouge d'un monde qui se veut plus qu'un simple jeu de cartes. Mais c'est un espoir, et l'espoir se fonde en un premier temps sur l'illusion que l'on va édifier pour l'avenir. Ah … quelle illusion, n'est-ce pas ? Tu souris encore. Encore et toujours.

    Elle s'est installé, elle a posé sur toi un regard impérieux. Un regard comme tu aimes les observer chez les femmes ; car dans ton étude pansgenre, il n'y a pas la place pour les femmes qui s'écrasent et les hommes qui dominent. Trop vieux, trop banal, pas intéressant. Tournez la boucle, refaites la scène, coupez, démodé, on recommence. On fait mieux. Je veux mieux.

    « En punition tu vas m’écrire un résumé sur ce que tu as constaté depuis votre perchoir. Ce qui devrait être facile pour vous, non ? ».

    Etude d'un cas, idée d'exposition d'une observation, de la tienne. Qu'en pense-tu, petit bonhomme ? Tu dodelines vaguement la tête, te laissant aller, avec perte et fracas, à cette joie incommensurable qui est en train de t'envahir. Est-ce seulement une punition que cela ? Car aux bouts de tes doigts, il y a ce frétillement incongru des amants qui veulent caresser le corps adoré de la plume. Ecrire, écrire, c'est une passion, ça ne sera jamais une punition. Ecrire, voyons, c'est la musique de ceux qui sont sourds, le chant de ceux qui sont muets. Et par miracle, par bonheur et dans le scintillement internes des constellations, tu n'es ni l'un, ni l'autre. Juste un peu cinglé, mais ceci, à ce qui paraît, n'est qu'un détail. Petit coucou réhabilité à refaire son trou, plus libre que jamais. Bien.

    « Et si ça ne me convient pas tu reviendras toute la semaine jusqu’à ce que se soit le cas ».

    Tu saisis la feuille, avec cette caresse amante. Hello sweetie, aurais-tu presque envie de lui murmurer, mais dans le cas social, peut-être bien que cela ne se fait pas. Tu ne dis rien, tu ne relèves rien, pas même tes yeux vers le visage de ton professeur. Peut-être qu'avec un brin d'audace, un grain de malice, tu lui aurais souri, mutin, et tu lui aurais parlé. Lui dire un « Je t'aime », glissé sur le bout de tes lèvres, projeté avec toute l'adoration de cette punition qu'elle t'imposait. Que tu subissais. Hah !


    Doucement, ta plume s'élève, se penche, et vient embrasser la surface poreuse d'un papier qui se fait le support à tes idées. Bonjour à vous, mes amies, il est temps de s'exposer, de s'exhiber dans la jolie teinte de l'encre qui coule, qui saigne.

    « L'humain.

    L'humain est vide lorsque le monde ne le supporte pas. Vide de son propre visage, de sa représentation, il est ce corps qu'il me plaît d'admirer, lorsqu'il bouge et qu'il se met à marcher. Je n'aime pas beaucoup la communauté, je n'aime pas beaucoup la société, car elle perd de cette transcendance que comporte l'individu, que comporte la personnalité. Je ne veux pas parler de communisme ; je ne veux pas parler de politique, je veux parler de l'homme dont le goût est porté par le vent. L'homme, et sa saveur âcre, celle qui est remplie de transpiration, et du parfum de sa chair. L'odeur de l'homme qui est vivant, et dont le cœur, lourd, pulse son rythme sanglant. Je parle de l'homme qui peu importe le poids de ses vêtements, reste toujours nu dans ma tête, parce qu'il correspond à une beauté absolu de l'être, de l'existence, de l'intelligence. L'homme, qu'il soit enfant ou vieillard, reste cette perle à contempler, à caresser des yeux, et à dévorer de l'esprit.

    J'adorerai manger un cerveau humain.

    J'ai vu le vent. J'ai vu la terre, l'herbe, froide, sur laquelle je n'avais pas envie de poser mes pieds parce que je suis gelé, ensuite, quand je le fais. J'ai vu McMillan embrasser Dorothy. L'embrasser avec la langue, en faisant glisser ses doigts sous les bourrelets que son pantalon serré créait sur ses fesses. J'ai vu un professeur marcher vite, parler tout seul. J'ai vu le vent, soulever leurs odeurs, et me les apporter, pour que je les inhale. J'ai vu des oiseaux qui volaient dans le ciel, et un scarabé qui s'est posé sur mon genou. Il avait des reflets verts et dorés, et il avait l'air si chaud que j'ai hésité à le manger. Dans ma poitrine, je suis sûr que cela aurait fait comme un grand feu de joie. J'ai vu aussi mes jambes, que je secouais dans le vide. J'ai vu mes mèches qui bougeaient devant mes yeux. J'ai vu mes phalanges se blanchirent sous la pression homéothermique de mes métacarpes et de mes tendons. J'ai vu le soleil, sans le regarder. Mais il a fait se déplacer sur le parc des tâches pâles, qui illuminaient l'herbe froide. Le lac est apparu vert, d'un vert sale : un vert comme les bouteilles d'alcool. J'ai vu les joueurs de Quidditch de l'équipe de Serpentard, rentrer des vestiaires, en revenant par le sentier. L'un d'eux avait le bras retourné, comme s'il était blessé. J'ai vu des filles réviser, passer en dessous de moi sans me regarder. J'ai vu le reflet de mon visage dans l'oeil de verre d'une des gargouilles. Je me suis vu comme une gargouille. »

    Ta plume s'est arrêté dans ta main, comme dictée par la raison, alors que dans tes doigts, il y a encore le désir d'écrire. Tu devrais arrêter ? Tu devrais continuer ? Ecrire, avec précision, cette dernière phrase que tu as en tête ? Écrire « j'ai vu ma folie, j'ai vu ma grandeur » ? L'écrire ? Tu ne le fais pas. Tu lèves la main.

    « J'ai terminé. »
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Natalya A. Petrova

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MessageSujet: Re: Je suis ce que tu détesterais être. | pv Natalya   Je suis ce que tu détesterais être. | pv Natalya EmptyMer 12 Fév - 10:28



Je suis ce que tu détesterais être...

« Et si ça ne me convient pas tu reviendras toute la semaine jusqu’à ce que se soit le cas ». Une brillante idée selon toi. Il voulait en mettre plein la vue ? Okay. Tu lui donnes sa chance au petit prétentieux. A lui de la saisir. Tu le regardes prendre sa plume et commencer à écrire sans le moindre commentaire. De toute façon tu ne l’aurais pas toléré. Non pas que tu ne sois pas humaine, mais les ordres sont les ordres. Et il faut en toute circonstance y obéir. S’en écarter un tant soit peu signifie l’échec, une idée abstraite dans ta tête de Mangemorte conditionnée et soumise. Les règles doivent être appliquées. Satisfaite, tu te replonges de la correction des quelques copies devant toi sans rien ajouter. Le bruit de la plume de l’élève te déconcentre un peu et tu mets à le surveiller discrètement. Tu le trouves si étrange… Si différent des autres étudiants. Son impétuosité, son audace, te rappelle toi lorsque tu étais enfant avant ton arrivée en Angleterre. Avant ton entraînement. Avant toute chose qui compose ton actuelle vie régie de normes et de lois. Les étoiles dans ses yeux, son esprit un peu rêveur est d’autant plus attrayant. Tu laisses ton esprit vagabonder, repensant à tout ce que tu as vécu pour en arriver là. Tes rêves ? Ton imagination ? Envoyées depuis longtemps, noyées sous tes années de formation en parfaite Agent Langue-de-Plomb du Ministère. Que deviendra Scamander plus tard ? Une question à laquelle tu es vraiment curieuse. Va-t-il tracer sa propre voie ? Vivre ses rêves de jeune garçon ? Ou décidera-t-on pour lui comme pour toi à l’époque ? Rien n’est sûr dans ce monde en perpétuelle évolution. Il y aura des changements dans sa vie, des épreuves qui le transformeront forcément. Mais à quel point ? Autant de questions… Sa voix te tires de tes songes en annonçant tout simplement qu’il a finit. Etonnée par sa rapidité tu te lèves en faisant racler ta chaise. Tu n’ajoutes pas un mot, à quoi bon d’ailleurs ? Tu prends son parchemin délicatement et le parcourt des yeux. Ce que tu y lis te laisse perplexe et admirative. Comment un esprit si jeune peut-il emmagasiner autant de choses ? Comment peut-il pouvoir le coucher sur papier avec de simples mots. De simples mots certes, mais qui en racontaient bien plus qu’une discussion qui peut durer des heures avec le plus érudit des Sorciers. « Tu es observateur », lui dis-tu. Tu esquisses l’ombre d’un sourire. Observateur… Insouciant… Innocent… Ton esprit de Langue-de-Plomb se met en marche et tu te mets à le regarder différemment. « J’ai une petite proposition à te faire… Ou plutôt un jeux ». Tu te décales et vient à ses côtés en te penchant pour te mettre à sa hauteur. « Connais-tu Albus Potter ? Ses relations… Ses journées… Je veux tout savoir ». Tu le fixes sans ciller, avide des connaissances que ce garçon peut te donner. « Un garçon aussi intelligent et attentif que toi peut sans doute me dire quels sont ses amis… A qui il tient vraiment ? ». Tu n’es pas là simplement pour enseigner mais pour enquêter et surveiller les potentielles menaces envers le Seigneur Noir. Quoi de mieux que de commencer par le fils du plus grand ennemi du Gouvernement ?
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