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 « Vieille amitié ne craint pas la rouille. » [pv Avalon Hamilton]

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Anthony D. Roberson

Anthony D. Roberson


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MessageSujet: « Vieille amitié ne craint pas la rouille. » [pv Avalon Hamilton]   « Vieille amitié ne craint pas la rouille. » [pv Avalon Hamilton] EmptySam 2 Nov - 11:16


Anthony s’observa un instant dans la glace,  passa de nouveau le peigne dans ses cheveux avant de les mouiller une nouvelle fois pour les faire tenir en place. Heureusement que ses cheveux n’étaient pas si indisciplinés que ça, il n’aurait pas apprécié devoir passer des heures tous les matins dans la salle de bain pour avoir l’air présentable. Parce que bien évidemment, il n’était pas question de sortir de la salle commune sans refléter exactement l’apparence que son beau-père souhaitait qu’il ait, et le fait que son beau-père ne puisse pas savoir quelle tête il avait tous les matins ne changeait strictement rien. En quelques mouvements, le Serpentard noua sa cravate, ajusta sa cape, sa robe, sa chemise et le reste de son uniforme et sortit de la pièce pour attraper un tas soigneusement préparé la veille et posé sur son bureau, ainsi que son sac de cours. Il s’agissait de ne pas faire trente six aller et retour entre la bibliothèque de Poudlard et la salle commune de Serpentard qui étaient loin, très loin, d’être voisins dans l’espace.

Les cours venaient à peine d’avoir repris, et déjà le Serpentard avait l’impression de crouler sous une masse de devoir assez incomparable avec les années précédentes et considérer le fait d’aller travailler une heure et demi avant le petit-déjeuner comme évident et inévitable. Après tout, s’il était à Poudlard c’était bien pour travailler, et s’il avait des devoirs à rendre, il fallait bien les écrire à un moment ou à un autre. En se frottant légèrement les yeux, Anthony parcourut les couloirs déserts et attendit quelques minutes devant les portes de la bibliothèque, le temps que la documentaliste ouvre la pièce. Sans surprise, il était le premier sur les lieux et rejoignit silencieusement une table un peu à part pour se poser tranquillement. Et travailler, aussi. Anthony avait l’intention de terminer son devoir de métamorphose commencé la veille avant que les cours commencent, et il était suffisamment studieux pour mener son objectif à bien. A condition de se concentrer.

Installé au milieu de cinq ou six livres tous ouverts sur les sortilèges de métamorphose inter-espèces, Anthony n’avait pas vu passer l’heure. Son parchemin désormais noirci, et protégé régulièrement par un sortilège pour éviter qu’une tâche d’encre ne réduise tous ses efforts à zéro, le Serpentard tapota la table avec sa baguette pour y faire apparaître une petite horloge. Le temps qu’elle s’évapore, Anthony nota qu’il venait de travailler une heure sans interruption et qu’on approchait désormais des six heures et demi. S’accordant un instant de pause, le Serpentard se leva pour se dégourdir les jambes et ranger les livres qui ne lui avaient servi à rien. Soudain, Anthony s’immobilisa. L’avantage de se lever tôt, de travailler le matin et de se pointer à des heures indécentes à la bibliothèque, c’était qu’en général, il ne s’attendait pas du tout à voir quelqu’un d’autre dans les étalages.
L’avantage, c’était qu’il n’avait pas à sociabiliser, à parler et à jouer un simulacre de sympathie envers les autres élèves du château. L’avantage, c’était qu’il n’avait pas à gérer des cas comme aujourd’hui, où quelqu’un furetait dans les étagères à sa place. « Tu peux décarrer de là s’il te plait ? » Sa voix douce et pas forcément agressive résonna dans la bibliothèque vide. Pas agressive ? La voix d’Anthony ? Elle devait être méprisante et moqueuse alors. Ni l’un ni l’autre ? Pourquoi donc cette attitude étrange de la part du Roberson ?
Parce que c’était Ava qui était devant lui.
« Qu’est ce tu fous là ? Tu bosses, toi ? »
Avalon devait être l’une des rares personnes à supporter Anthony tous les jours. Et depuis des années. Amie d’enfance, la seule d’ailleurs, elle était aussi différente de lui que pouvait être le blanc du noir. Seul point commun : leur fortune et leur sang, ou presque, qui était pur. Pour le reste, niveau caractère, c’étaient des opposés et c’était sûrement pour cela qu’ils ne s’étaient toujours pas entretués malgré la tension qu’on pouvait sentir entre eux lorsqu’ils s’y mettaient. Généralement, lorsqu’on les voyait ensemble, on ne pouvait pas se douter de leur amitié, pour la simple raison qu’ils passaient la plupart de leur temps à se crier dessus, à se faire des remarques acerbes et à se lancer des critiques. Mais Anthony savait bien que si un jour Ava’ avait besoin de lui, il allait répondre présent. Quoi qu’il en coûte, ou presque – il ne fallait pas trop pousser. L’amitié, c’était bien, mais il ne fallait pas que ça fasse oublier au Serpentard ce qui était le plus important au monde : lui.

« Tu aurais pu te coiffer, on a l’impression que des cheveux ont servi de balai. »

Bonjour toi aussi, Anthony. Car oui, ça avait l’idée d’un bonjour, ce qu’il venait de dire si gentiment à Avalon. Le Serpentard n’attendit pas de réponse de la part d’Avalon pour ranger ses livres de métamorphose en lui tournant le dos. De toute manière, qu’il soit de dos ou de face, ses oreilles allaient fonctionner non ?
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MessageSujet: Re: « Vieille amitié ne craint pas la rouille. » [pv Avalon Hamilton]   « Vieille amitié ne craint pas la rouille. » [pv Avalon Hamilton] EmptySam 2 Nov - 11:29

Avalon volait sur les nuages, elle pouvait les toucher et même s' asseoir dessus. Ils étaient moelleux et douillets et ressemblait beaucoup à de la barbe à papa. La jeune Rousse s' amusait à sauter dessus et elle rebondissait tellement haut qu'elle avait l' impression qu'elle allait aller dans l' espace. Elle sauta comme ça d' un nuage à l' autre jusqu' a ce qu'elle vit une grande prairie avec pleins de cookies glacés, de glace et au milieu, il y avait une fontaine ou de la bierraubeurre jaillissait. Un petit elfe beaucoup plus beau que les elfes de maisons s' approcha d' elle et lui dit en souriant.

-Jolie petite Avalon, mange donc toutes ses sucreries. Elles sont magiques, tu ne tomberas pas malade et tu ne grossira pas .

La petite gourmande était au anges, manger toutes ses bonnes douceurs s' en prendre un seul gramme, c' était génial tous simplement . Ca faisait maintenant plus d' une heure qu'elle était dans cette prairie et après toutes ses sucreries, elle avait un peu soif et elle but un peu de bierraubeurre à la fontaine mais en se retournant, elle cogna quelque chose de dur et tomba à la renverse .

- Vous savez pas faire attention !!

Elle sentit quelque chose de chaud l' aider à se relever et quand elle releva enfin la tète et elle vit un charmant garçon . " Tiens, je ne l' ai jamais vu à Poudlard " Il était blond comme les blés avec des yeux aussi bleus que l' océan et une carrure que même James envierait, il était tous simplement parfait, un véritable prince charmant comme à la télévision moldue . Puis soudain, le silence apparut et une femme aussi moche qu' une harpie avec des cheveux comme une serpillère approcha en ricanant et changea le garçon en babouin ensuite, elle se tourna vers Avalon. ..

- Fais la funambule ou je te transforme en ornithorynque .

C' était un véritable supplice mais Avalon s' accomplit puis la sorcière tout en ricanant dit

-Maintenant fais la même chose mais en faisant coin coin

Avalon refusa et la sorcière pointa sa baguette vers elle . Avalon commença à fuir. Le merveilleux pays aux sucreries se transforma en une foret de désolation. Elle vit les gens l'abandonner, ses parents qui la niaient et ne voulaient pas admettre qu'elle était leur fille. Avalon se sentait rejetée, elle s'agenouilla et commença à pleurer.


-Haaaa

Avalon se réveilla en sursaut. Il faisait encore sombre dans le refectoire des Serdaigle, il ne devait pas être plus de cinq heures du matin. Après ce cauchemar, elle ne pouvait plus se rendormir, à peine les paupières closes, ces images horribles recommenceraient à défiler dans son cerveau, non elle devait s'occuper l'esprit par autre chose. Avalon se leva et alla dans la salle de bain. Au moins, chose sure, elle ne se ferait pas dérangée pendant sa douche. Elle se prépara au mieux et descendit dans la salle commune ou elle vit sur la pendule qu'il était déja plus de cinq heure, plus qu'elle ne le pensait. Rester dans la salle commune toute seule à ne rien faire était une perspective particulièrement ennuyeuse. Non, il fallait que son esprit soit occupé à quelque chose de complétement divers et inutile. Elle pourrait peut etre aller dans la bibliothèque, se serait certainement désert et elle pourrait lire le livre d'astronomie que cette gryffondor lui a conseillé. Oui, excellente perspéctive. Avalon sortit de la salle commune et descendit les escaliers pour arriver à la bibliothèque. Elle bailla avant de rentrer, elle croisa les doigts pour ne pas s'endormir sur son livre ce qui ne serait pas la première fois.En effet, plusieurs fois, elle s'était rendue en cours en retard après s'être endormie à la bibliothèque, elle ne voulait donc plus que ça reccomence. Déja que plusieurs profs ne l'avait pas vraiment à la bonne, Avalon ne voulait pas que ceux qui l'appreciait commencent à la dénigrer. Avalon avait besoin d'être appréciée autant par les élèves que par les professeurs.C'était un peu grace aux encouragements de ses professeurs que la petite Avalon qu'elle était a pris petit à petit confiance en elle et grace à eux, c'est devenue une jeune femme forte et déterminée. Elle ne les remerciera jamais assez pour ça. Bien entendu, il n'y a pas que les professeurs qui l'ont aidé à devenir ce qu'elle est, loin de là. Certains élèves l'ont énormément épaulé comme ses trois meilleurs amis qui sont tout pour elle.

Avalon rentra dans la bibliothèque et se dirigea vers les livres sur l'astronomie. A force de flaner dans ce rayon, elle le connaissait par coeur. Tous les livres sur l'astronomie avaient déja été feuilleté par ses soins et chaque élève la connaissant savait à quel point, Avalon ne pouvait se passer de l'astronomie. Elle prit deux livres et se dirigea vers le rayon de métamorphose, un rayon qui l'interessait beaucoup aussi. Tout en regardant un livre sur la métamorphose humaine, elle entendit une voix douce derrière. Cette voix lui était plus que familière et elle ne put s'empecher de faire un très leger sourire avant de tourner la tête vers Anthony.

Anthony était surement une des personnes qui comptait le plus pour Avalon, c'était son meilleur ami. Ils se connaissaient depuis tellement longtemps qu'elle le considererait presque comme son frère, quelqu'un de sa propre famille. Deja amis avant Poudlard, ils étaient comme deux enfants esseulés qui trouvaient enfin une oreille pour écouter et une épaule pour se reposer. Leurs caractères déja assez fort étant petit se complétaient assez bien, ils étaient des totals opposés et malgré leurs disputes souvent épiques, ils revenaient toujours l'un vers l'autre. Quand ils sont arrivés à Poudlard, personne ne pouvaient juste envisager que ces deux personnes aussi différentes que le feu et la glace puissent s'apprecier et pourtant, ils durent bien s'habituer de les voir toujours ensemble en train de se chamailler. Oui, Anthony était vraiment tout pour elle, elle pourrait faire tout et n'importe quoi pour lui mais le lui dire? Jamais. Il s'en servirait pour la chamailler. Et puis au fond, ils savent très bien qu'ils s'adorent même sans le dire donc, pas besoin de mots.

- Je n'arrivais plus à dormir, j'ai fais un mauvais rêve alors au lieu de m'ennuyer dans la salle commune je suis venue lire un livre ici et toi?

Elle savait très bien que Tony était un lève-tôt, elle ne se réveillait pas tard non plus mais par rapport à lui, elle faisait une bonne grasse matinée. Elle attendit bien sur la petite pique matinale d'Anthony qui vint naturellement et qui porta sur ses cheveux, ils étaient pas vraiment en bataille mais il n'avait certainement rien trouvé d'autre, elle lui sourit d'un air sarcastique et lui envoya en le regardant avec dégout.

-Berk, t'as vu ta tête, c'est pourtant pas Haloween aujourd'hui. La prochaine fois, évite de sortir de ton trou, tu vas faire peur aux enfants.
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Anthony D. Roberson

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MessageSujet: Re: « Vieille amitié ne craint pas la rouille. » [pv Avalon Hamilton]   « Vieille amitié ne craint pas la rouille. » [pv Avalon Hamilton] EmptyMar 5 Nov - 0:30



Avalon. Cette fille était une énigme à elle toute seule, et pourtant, ce n’était rien comparé à l’amitié qui la liait à Anthony. Parce que oui, c’était son amie, et c’était extrêmement étrange comme histoire. Comment pouvait-elle être amie avec un être aussi égocentrique qu’Anthony, ou plutôt comment lui pouvait il considérer des gens comme ses amis alors que son seul intérêt au monde était le sien, lorsqu’on négligeait la vente de son âme pour le bien être de sa petite sœur. Comme il le pensait si souvent, il avait vendu son âme pour protéger sa sœur, mais tout le reste de son corps n’existait que pour le satisfaire, lui. Et c’était pour cela que le voir affirmer en pensée qu’Avalon Hamilton était son amie pouvait perturber quiconque était assez fou pour risquer la légilimencie sur un esprit comme celui du Serpentard. Tout en rangeant les livres qu’il était venu remettre à leur place, Anthony lâche d’une voix moqueuse une remarque sur la coiffure d’Avalon, tout en repensant à la réponse fournie par la Serdaigle à la question qu’il lui avait posé quant à la raison de sa venue ici. Phrase compliquée, pour dire qu’Anthony réfléchissait à ce que venait de lui dire son amie. - Je n'arrivais plus à dormir, j'ai fais un mauvais rêve alors au lieu de m'ennuyer dans la salle commune je suis venue lire un livre ici et toi? Mauvais rêve ? Avalon ? Voilà qu’elle lui répondait déjà, le coupant dans son début d’envie de lui demandait ce qu’il se passait. -Berk, t'as vu ta tête, c'est pourtant pas Halloween aujourd'hui. La prochaine fois, évite de sortir de ton trou, tu vas faire peur aux enfants. Anthony eut un petit sourire, en répondant tout naturellement :

« J’imagine bien que ma coiffure n’est pas à la mode chez les Harpies, mais je t’assure que pour le genre humain, c’est très séduisant. »

Il posa son dernier livre avant de se retourner pour faire face à la Serdaigle, mains appuyées derrière lui sur l’étagère. Anthony n’était pas du genre à parler pour ne rien dire, ni du genre à se faire remarquer en beuglant comme un hippogriffe vexé au milieu de la Bibliothèque, aussi prit-il le temps d’observer Avalon avant de reprendre, sur le ton traînant et désintéressé qu’il pouvait si bien prendre, mais qui ne cachait pas dans ses yeux une lueur interrogatrice.

« Mauvais rêve ? Tu as rêvé que tu te regardais dans un miroir, Hamilton ? » Il secoua la tête, comme pour montrer une petite déception, accompagnée de « Tutututututut » réprobateurs. « Je t’ai déjà dis qu’il ne faut pas te laisser aller à tes tendances sadomasochistes, Hamilton. » avant de se décoller de l’étagère, et d’approcher de la Serdaigle pour lever les yeux au ciel, demander à Salazar comme il pouvait laisser vivre un tel affront à la nature, et remettre bien en place le col de la Serdaigle. Maniaque, Anthony ? Si peu, si peu. Il n’était pas maniaque, il appréciait juste que tout soit bien en ordre, tout simplement. Une manie offerte par son beau-père qui lui avait à la dure à être toujours carré et présentable, et à faire en sorte que May le soit aussi – quand bien même personne n’avait le droit de la voir – sans quoi il risquait d’être puni à sa place. Ses doigts glissèrent le long de la joue d’Avalon pour remettre en place une mèche échappée et lui intimer l’ordre de rester derrière l’oreille de la Serdaigle. On pouvait s’étonner de la douceur du toucher d’Anthony, alors qu’il pouvait être si acide verbalement, mais c’était aussi l’une des marques qui pouvaient assurer à Avalon que oui, Anthony était son ami. Et que oui, elle était son amie à lui, son amie d’enfance, l’une des personnes qui avaient rendu les années à Poudlard plus supportables et intéressantes. « On va dire que tu es presque présentable. Presque parce que je n’ai rien pu faire pour ce qui était visage. » Anthony offrit à Avalon un sourire absolument pas désolé, et qui ne pouvait même pas être interprété comme tel. Il ne fallait quand même pas pousser.

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