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 MI, numéro un.

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Dissendium

what's meant to be will always find a way
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MessageSujet: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyJeu 8 Mar - 7:37

SUJET MINI INTRIGUE

participants
◙ Cassiopée E. Cayrel
◙ Ambroise L. de Sade
◙ Ariel V. Edelwiess
◙ Eros L. Sturridge

Situation initiale :

Citation :
Ariel et Cassiopée décident d'aller réveiller un des professeurs pour prévenir de la présence du loup garou. Cassiopée choisit bien sûr d'aller voir Ambroise ... Elles frappent à la porte, Ambroise ouvre. Au même moment, Eros passe dans le couloir.

L'ordre est ainsi déterminé : Cassiopée, Ariel, Ambroise, Eros. Si ce dernier ne vous plait pas, vous êtes libre de modifier. De même, si la situation initiale vous déplait, vous pouvez l'arranger à votre guise. Ce sujet est un sujet d'intrigue, mais avant tout votre RP donc vous en faites ce que vous voulez !

Les RPs devront faire entre 500 et 800 mots, afin de permettre de répondre avec rapidité. Si l'un des joueurs ne répond pas après 4 jours, le joueur suivant dans l'ordre peut prendre son tour.

N'oubliez pas qu'un PNJ peut intervenir à tout moment pour chambouler votre RP ...
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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyVen 9 Mar - 12:01

Loup y'es-tu ?

MI, numéro un. Taylor-Momsen-fhm02-100x100 MI, numéro un. Josh-beech-9879-100x100 MI, numéro un. Icon-phoebe-2da73d4 MI, numéro un. Ash_stymest_045


« Cassiopée, ça sert à rien de courir. » La blonde, pour être précise, trottinait. Même en danger de mort, courir, quelle idée. Il ne fallait pas NON PLUS lui en demander trop. Pourquoi donc Cassiopée Elektra Cayrel se dépêchait en tirant sa meilleure amie derrière elle à 21h un mercredi soir ? Bonne question.

    La blonde avait quitté l’appartement de son officieux petit ami, le professeur de Sade, quelque dizaine de minutes plus tôt. Elle prenait son temps, le cœur encore à moitié dans l’appartement du français. Alors qu’elle déambulait dans les couloirs éclairés par la lumière de la pleine lune, elle avait entendu un bruit. Un bruit horrible. Un bruit qu’elle n’avait jamais désiré entendre de sa vie. Celui d’un loup-garou, un long hurlement qui résonna longtemps. Son sang se glaça, et elle sortit tout doucement du couloir pour regarder dans la cour si elle voyait quelque chose. Elle y reste approximativement cinq millièmes de seconde et se barra en courant –trottinant, donc- jusqu’à la salle commune. Lorsqu’elle entra dans celle-ci, elle ne vit personne. Tout le monde dormait, sûrement. Se rassurant toute seule en se disant que si tout le monde dormait, c’est qu’elle avait rêvé le hurlement, elle ouvrit la porte de son dortoir en faisant le moins de bruit possible. C’est-à-dire en lançant son sac sur la tronche d’Ariel et en faisant résonner le plus possible ses talons. Plusieurs filles étaient déjà réveillées, assises sur leurs lits et ne dirent rien, les autres grognèrent en se retournant. Ariel, elle, attrapa la première chose qui lui passait sous la main et le lança sur la blonde qui l’évita gracieusement. L’objet tomba sur le lit derrière Cassiopée, et une Roxanne furibonde se leva de son lit et commença à engueuler la Cayrel, qui haussa un sourcil et ignora royalement la Weasley. Celle-ci renvoya l’objet sur Ariel, qui se leva à son tour. « BON C’EST FINI LA ? PUTAIN JE DORMAIS, MERDE » Le charme de la française coupée dans son sommeil étonnerait toujours sa meilleure amie. « T’avais qu’à pas te coucher si tôt. » Violet fixa un instant la blonde, se leva, sortit du dortoir en attrapant son oreiller et descendit les escaliers. Cassiopée ouvrit des yeux étonnés, ne prit pas la peine d’enlever ses talons, refit le chemin inverse en réveillant l’intégralité du dortoir et descendit les marches qui la menèrent à la salle commune. Ariel s’était endormi sur le canapé de cette même salle commune. Elektra ne put résister. Elle attrapa deux bouquins qui trainaient, les approcha de l’oreille de la blonde et les tapa l’un contre l’autre. La française sursauta, se ramassa par terre sous le rire de sa meilleure amie, se leva, attrapa un des deux bouquins, le leva très haut et le lâcha sur le pied de la blonde. Elle se recoucha ensuite comme si de rien n’était, pendant que Cassiopée insultait ciel et terre (enfin surtout Ariel) pour que la douleur cesse. Alors qu’elle prévoyait de se venger, quelque chose la coupa. Le long hurlement qu’elle avait déjà entendu, une nouvelle fois. Cette fois-ci, Elektra ne prit pas le temps de regarder si ça c’était vraiment passé. Elle entendit du bruit au-dessus d’elle, dans les dortoirs, des bruits de pas et elle sut que ce qu’elle craignait était un fait avéré : un loup-garou rodait autour de Poudlard… voire dans Poudlard. Ni une ni deux, la blonde attrapa sa meilleure amie définitivement réveillée, et sortit en courant de la salle commune. « Il faut trouver un prof ! » « Ou un pion ! » « Oui mais j’ai aussi trop peur, alors il me faut un petit ami ! » « Sinon y’a Eros qui doit traîner dans le coin ! » « Ta gueule Ariel, on va voir Ambroise ! »


« Cassiopée, ça sert à rien de courir. » Et revoilà nos deux jeunes demoiselles en détresse. Ariel se faisait tirer par la blondinette. « Je te dis ça parce que s’il nous rattrape, que veux-tu que nous fassions, hein ? Courir sera inutile. Il ne nous restera plus qu’à nous allonger et mourir. » Il y eut un petit silence où Cassiopée ne répondit rien. Puis un autre hurlement, un peu plus près. La verte et argent, peureuse, sursauta et se retourna pour fixer la française. « Je te hais. » La française faisait moins la fière, mais garda son sourire moqueur. Les deux filles arrivèrent enfin devant l’appartement d’Ambroise, et Cassiopée tambourina à la porte. Après un petit temps d’attente qui parut interminable aux deux filles, la porte s’ouvrit. Le professeur avait les cheveux tout ébouriffé, une clope à moitié consumé à la bouche et le regard un peu perdu. « Que… » « Mon amour sauve moi d’ici jevaismourirjetedisy’aunloup-garoupasloinetilvatousnoustuerjet’enpriesauvemoiiiiiiiiiiiii » ces quelques agréables mots dis, la Cayrel embrassa son hypothétique sauveur. Ariel leva les yeux au ciel et se retourna pour regarder aux alentours. Une voix trop bien connue des trois se fit entendre à ce moment précis. « Une élève embrassant un professeur… C’est pas comme si c’était permis, ça. »
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Ariel V. Edelwiess

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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyVen 9 Mar - 13:49

in a dream i was a werewolf.






Ariel traina des pieds jusqu'à ce qu'elle arrive enfin devant son lit ou elle se laissa littéralement tomber. Elle avait passé une après midi pour le moins fatigante en belle compagnie du Mangemort, Eros Sturridge. Elle enfila un bas de pyjama en coton gris ainsi qu'un débardeur et s'enfouit dans ses couvertures, la tête contre l'oreiller. Alors qu'elle sombrait, un long hurlement se fit entendre, résonnant dans toute la salle commune des verts et argents située sous le lac. Fatiguée comme elle l'était elle ne s'inquiétait pas plus que ça, elle adorait les loups. C'était même son patronus. Elle s'endormit finalement.

Son repos fut de courte durée car elle reçu un choc. Elle ouvrit précipitamment les yeux pour voir Cassiopée affolée la réveiller à coup de sac à main. Avec ses talons, la blonde avait déjà réveillée la moitié du dortoir des septièmes années. Mais Violet n'en avait strictement rien à faire elle envoya un quelconque projectile en direction de sa meilleure amie mais manqua royalement sa cible. Elle se redressa vivement. « BON C’EST FINI LA ? PUTAIN JE DORMAIS, MERDE » Il lui fallut une fraction de seconde pour se rappeler que la méchante Cayrel n'en avait pour ainsi dire, rien à faire. « T’avais qu’à pas te coucher si tôt. » La brune ne réfléchit pas plus longtemps, attrapa son oreiller et déambula dans les couloirs de la salle des Serpentards pour se réfugier sur le canapé en cuir noir non sans hurler : « CASSIOPÉE CAYREL VOUS ÊTES UNE EMMERDEUSE DE PREMIÈRE. ». Mais Cassiopée était tenace, très tenace. Un claquement retentit dans les oreilles de la pauvre Ariel qui sauta contre l'accoudoir du sofa. Elle se leva, en face de la sixième année et lâcha l'un des bouquin sur ses pieds perchés sur des talons. La blonde poussa un couinement plaintif tandis qu'Edelwiess se recouchait paisiblement. Les quelques secondes de répit, drôlement silencieuses furent horriblement brisée par un son effarant. Un hurlement qui donna à Ariel des frissons dans le dos. La position de la salle commune dans le château créait un effet de résonance qui ne rassurait pas les deux jeunes femmes.

Le hurlement ne pouvait être caractéristique qu'à une seule créature dans le monde des sorciers : un loup garou. La septième ouvrit subitement les yeux au même moment ou elle était tirée par Elektra. Elles se dirigèrent à pas précipités vers la sortie. « Il faut trouver un prof ! » « Ou un pion ! » « Oui mais j’ai aussi trop peur, alors il me faut un petit ami ! » « Sinon y’a Eros qui doit traîner dans le coin ! »[b] [b]« Ta gueule Ariel, on va voir Ambroise ! » Elle se tût, sachant pertinemment que sa meilleure amie n'avait probablement pas envie de croiser le Mangemort alors qu'elle était persuadée qu'un loup garou allait les traquer pour les tuer. La blonde pressait de plus en plus le pas en direction de l'appartement de son copain. « Cassiopée, ça sert à rien de courir. » Elle attrapa la main d'Ariel et la tirait derrière elle. « Je te dis ça parce que s’il nous rattrape, que veux-tu que nous fassions, hein ? Courir sera inutile. Il ne nous restera plus qu’à nous allonger et mourir. » Comme pour illustrer ses propos, un nouvel hurlement retentit, peut être était-ce son imagination, mais Ariel aurait juré que le bruit se rapprochait, ou du moins qu'il devenait de plus en plus fort. Cassiopée couina et sursauta en se retournant vers sa meilleure amie. « Je te hais. » La septième année avait peur, évidemment, mais elle ne pouvait pas s'empêche de sourire. « Moi aussi je t'aie Cayrel. » Elle étaient finalement arrivées devant la porte en bois que les deux jeunes filles connaissaient si bien. Son parrain finit par ouvrir la porte, la clope au bec comme d'habitude, l'air hagard et étonné de les voir toutes deux ici. « Que- » « Mon amour sauve moi d’ici jevaismourirjetedisy’aunloupgaroupasloinetilvatousnoustuerjet’enpriesauvemoiiiiiiiiiiiii » La blonde paniquée se jeta au coup du français, pressant ses lèvres contre les siennes. La septième année jeta un regard aux alentours -sait-on jamais- avant d'entendre une voix qui fit 'tilt' dans les oreilles des trois présents. « Une élève embrassant un professeur... C’est pas comme si c’était permis, ça. » Ariel tourna la tête pour tomber nez à nez avec Eros qui la défigurait. Elle baissa la tête et c'est à ce moment qu'elle se rendit compte qu'elle était pied nus, et en pyjama. « Ah- Euh- Salut. » Ambroise et Cassiopée tournèrent la tête. « Qu'est ce que tu fous là Sturridge ? » Le français prit le bras de sa filleule pour la tirer vers elle. Et à nouveau, le long hurlement retentit dans le château.

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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyDim 11 Mar - 22:40




Cassiopée & Ariel & Éros & Ambroise

« American werewolf in London »


« Il fait froid maintenant. Et cet après midi, le Breton au lieu de se rendre au stade entraîner les rouges dans le froid mordant avait préféré rester avec Cassiopée Cayrel sa nouvelle "petite amie" bien au chaud sous la couette. Et ce n'est qu'à 21h que celle-ci avait quitté son appartement. Ils avaient comaté tout les deux une bonne partie de l'après midi bien au chaud et Ambroise, désireux de se réveiller un peu avait décidé de se mettre derrière sa batterie. L'assemblant en quelques coups de baguette le marquis de Sade se mit alors à jouer, tapant frénétiquement un rythme endiablé. Il faisait un vacarme tel qu'il n'entendit pas les premiers cri du loup. Mais ça, il allait vite la savoir que quelque chose ne tournait pas rond en ce soir de pleine lune...
Enchaînant sur quelque chose de plus calme et d'un peu plus travaillé, tapant toujours sur fûts et cymbales, il entendit frapper à la porte.

Merde, qui c'était à cette heure là? Sûrement Cayrel? Elle avait peut-être oublié quelque chose en partant de chez lui, ou bien elle en voulait encore et souhaitait passer la nuit ici. Haussant un sourcil, s'habillant correctement enfilant un jean trop large et un débardeur informe laissant apparaître ses tatouages il ouvrit la porte clope au bec et cheveux encores en bataille de son après midi sportive avec sa blonde.

Effectivement, Cassiopée était là, mais il y avait aussi une tête brune à côté et de grands yeux verts. Ceux d'Ariel Violet Edelwiess, dont il était le parrain. Surpris de les voir toutes les deux et surtout sa filleul pieds nus et en pyjama. Bordel, qu'est-ce qu'elles voulaient?

« Que… »

Le professeur de vol n'eut pas le temps de finir sa phrase que Cassiopée se jetait sur lui en couinant des choses incompréhensibles.

«Monamoursauvemoid’icijevaismourirjetedisy’aunloupgaroupasloinet
ilvatousnoustuerjet’enpriesauvemoiiiiiiiiiiiii
»

A vrai dire elle avait parlé un peu trop vite pour lui. Il avait compris l'essentiel néanmoins. Cassiopée Cayrel d'ordinaire si droite avait peur et s'était jetée à son cou dans l'espoir qu'il la sauve d'un loup-garou qui allait tous les manger. Haussant un sourcil, il se fit embrasser par sa belle. Alors qu'il allait la réprimander gentiment en disant qu'on aurait pu les voir... De Sade entendit une voix grave et masculine qu'il ne connaissait que trop bien. Qu'il n'aurait pas voulu entendre ce soir là, et ne pas connaître tout court en fait. La voix de son ancien petit ami, Eros Léon Sturridge.

« Une élève embrassant un professeur... C’est pas comme si c’était permis, ça. »

Son ancien petit ami. Qui se tapait sa filleul. Il pouvait parler tiens! Des gens l'avaient vu draguer un élève de Serdaigle aussi. Un gamin qu'Ambroise ne connaisait pas mais qu'on apellait Scratch... Bizarre. Toujours est-il que quand la brune dit bonjour au mangemort Ambroise prit celle-ci par le bras et cassiopée par la taille pour les mettre derrière lui. Oui parfois il était lâche... Mais désormais, il se rebellait contre Eros qui autrefois l'effrayait. Et puis, il allait pas laisser la potentielle future mère de ses enfants et Ariel se faire dévorer.

« Qu'est ce que tu fous là Sturridge ? »

C'est alors qu'il entendit autre chose qu'il n'aurait pas voulu entendre. Un hurlement de loup brisant se silence de la nuit d'ordinaire si calme. Et ce hurlement était un peu trop près au gout du Français. Poussant les deux jeunes filles apeurées dans son appartement, il y traîna aussi le batteur. Certes il le détestait et ne pouvait plus se le voir même en peinture. Mais tout de même, dans un élan de bonté -ce qui était plutôt rare avec Ambroise- le Français avait décidé de le sauver aussi s'il le pouvait. Mais sa priorité restait les filles...

Jetant son mégot et réfléchissant à tout vitesse, il eut un petit sourire en coin.

« Je crois que j'ai eu une idée pour nous sauver. Les loup-garou ça sait pas voler. Nous, on sait. On va aller sur le toit avec les balais on y sera plus en sécurité qu'ici je pense. Mais faut vous couvrir les filles, j'vais vous filer des fringues vous allez crever de froid sinon. Et c'est pas mieux. »

De sade se retenait néanmoins de dire que se faire tuer par un loup-garou serait sans doute plus rapide et moins douloureux que de mourir de froid. Mais gardant sa thèse là dessus pour lui en se disant que finalement il pourrait peut-être écrire un bouquin là dessus un jour, il se dirigea vers son armoire et commença a jeter des fringues chaudes sur son canapé pour les filles. Pas très fashion certes... Mais elles n'avaient pas trop le choix.»
fiche par century sex.


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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyLun 12 Mar - 10:00

MI, numéro un. Tumblr_m05au8WaT31rpdeg0o1_500
“I'm a werewolf trapped in a human body.”


Eros flannait dans les couloirs, comme à son habitude, il était de garde pour la nuit, à son plus grand regret. Le château était désert, mis à part un bruit par ci, par là, rien de très très inquiétant. Au rez de chaussée il bifurqua pour prendre le petit escaliers vers les cachots ou la température se faisait fraiche malgré l'humidité des murs. Le Mangemort n'avait pas envie de croiser Cassiopée, Ambroise, ou ne serait-ce qu'Ariel. Il ferait sa ronde et s'éclipserait sur le toit afin d'y dormir quelque heures. Cependant, dès qu'il posa un pied sur le sol noir reluisant, un hurlement sonore vient lui écorcher les oreilles. Ça n'était pas une mauvaise blague de la part d'une élève, c'était un loup-garou, et un vrai. Eros avait déjà entendue ce genre de hurlement mais jamais d'aussi près, surtout dans l'enceinte d'une école remplie d'enfants. En tant que surveillant il n'avais aucune idée de ce qu'il devait faire en cas d'intrusion de type lycanthrope. Fuir comme un lâche et transplaner probablement. Il s'avança cependant dans les couloirs à la recherche d'un professeur qui pouvait rejoindre son appartement.

Encore un hurlement, plaintif, encore plus long que le premier. Eros s'arrêta en plein milieu du couloir. Il était persuadé qu'il ne risquait rien tapis dans les cachots mais si là haut Vanity avait décidé de faire sa téméraire et était sortie de sa salle commune ? Ou Mirka, étant préfète en chef elle devait être assidue en cas d'urgence. Il tergiversa quelques secondes et accéléra le pas pour trouver un professeur. Tournant à droite, à gauche pour enfin arriver dans les couloirs principaux ou se trouvaient les appartements, le jeune homme perçut un dialogue entre deux jeune filles : « Sinon y’a Eros qui doit traîner dans le coin ! » La voix d'Ariel, sans aucun doute. « Ta gueule Ariel, on va voir Ambroise ! » Et il reconnut cette voix aiguë et précipitée comme étant celle de la jolie blonde qui n'était autre que Cassiopée Cayrel. Elle passèrent en trombe devant lui et tambourinèrent à la porte de bois, en face de la branche du couloir, d'où est ce qu'elles venaient. L'Irlandais ne s'était même pas rendu compte qu'il avait aboutit devant chez Ambroise, et en attendant, les deux Serpentards ne semblaient pas faire office de sa présence, juste là, à 3 mètres d'elles dans l'ombre d'un chandelier. La porte s’ouvrit, de Sade apparut, l'air pas vraiment réveillé, les cheveux en bataille. « Que… » Une touffe blonde l'ensevelit avant qu'il ait pu prononcé quelconque autre mot. « Monamoursauvemoid’icijevaismourirjetedisy’aunloupgaroupasloinet
ilvatousnoustuerjet’enpriesauvemoiiiiiiiiiiiii! »
Cayrel lui écrasait ses lèvres rouges sur la bouche dans lui laisser le temps de répliquer. Eros s'avança près d'Ariel et au même moment où la brune tourna la tête vers lui il prit plaisir à déranger les deux pots de colle. « Une élève embrassant un professeur... C’est pas comme si c’était permis, ça. » À peine avait-il dit ça qu'Ambroise levait vivement là tête. Ariel le salua gentiment à laquelle il répondit par un clin d’œil. La française fût tirer par son parrain qui glissait son bras autour de la taille de sa copine au même moment. « Qu'est ce que tu fous là Sturridge ? » « Et bien je- » Encore plus résonnant que le dernier, un nouvel hurlement envahit les cachots. Le silence retomba pendant un moment. Ni le Mangemort, ni les filles, ni le professeur ne parlaient. Ce dernier finit par réagir au quart de tour, attrapant les deux jeunes filles pour les pousser dans son appartement et chopant au même moment le t-shirt de Sturridge pour l'y tirer lui aussi.

« Lâche moi de Sade! » Menace en l'air il se retrouva avec Cassiopée et Ariel dans le vestibule du logis d'Ambroise. « Je crois que j'ai eu une idée pour nous sauver. Les loup-garou ça sait pas voler. Nous, on sait. On va aller sur le toit avec les balais on y sera plus en sécurité qu'ici je pense. Mais faut vous couvrir les filles, j'vais vous filer des fringues vous allez crever de froid sinon. Et c'est pas mieux. » Un silence pesant suivit la proposition folle de l'Attrapeur. Cassiopée acquiesça évidemment, Ariel aussi, qui trouvait ça marrant de voler en pleine nuit et tous les trois me regardèrent. « Et puis quoi encore ? Je peux encore transplaner chez moi pour être en sécurité, et surtout, sans vous. » Cassiopée sourit, heureuse qu'il ne les suive pas, mais Ariel n'était pas d'accord. Elle s'approcha rapidement d'Eros et le supplia. « Aller, viens avec nous, je veux pas rester avec ces deux là. Ils vont pas se lâcher. » Malgré la relation qu'elle avait avec Ambroise et que ça rendait le tout vraiment compliqué, il trouvait la septième année craquante et ne pu résister à son charme. « Bon, d'accord. Mais s'ils me tapent sur les nerfs je t'embarque et go Pré-au-Lard. » Ambroise et Cassiopée protestèrent activement mais sans plus attendre, les deux français s'occupèrent de sortir des vieux balais miteux d'un placard. La sixième année lança un regard inquiet sur les vieux morceaux de bois qu'Eros, Ariel et Ambroise manipulaient. « Il est HORS DE QUESTION que je grimpe là dessus. »

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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyVen 16 Mar - 10:07

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Si cela avait été un jour ordinaire, Cassiopée aurait pris le temps de contempler son français préféré avant de se jeter à son coup, histoire de profiter au maximum de la vue. Cependant, quand la menace d’un loup-garou est très proche, vous ne prenez pas le temps de batifoler. La blonde embrassa donc Ambroise, qui ne bougea quasiment pas, probablement en train d’essayer de comprendre le but de sa visite et sa phrase précédente quand le gentil mignon petit Eros, faisant gaiement chemin, les coupa. « Qu'est-ce que tu fous là Sturridge ? » La réaction violente d’Ambroise était quasiment instinctive. La sixième année lança un regard mauvais à l’irlandais suivit d’un désespéré à sa meilleure amie qui bégayait comme une jeune fille en fleur, pieds nus et en pyjama. Eros tenta une explication, mais le cri du loup résonna pour la quatrième fois. Cassiopée sursauta, et Ambroise attrapa sa taille pour la tirer contre lui. Il attrapa Ariel de l’autre main et la poussa à l’intérieur. Pour une raison inconnue de la blonde, il fit de même avec son ex. « Je crois que j'ai eu une idée pour nous sauver. Les loups garous ça sait pas voler. Nous, on sait. On va aller sur le toit avec les balais on y sera plus en sécurité qu'ici je pense. Mais faut vous couvrir les filles, j'vais vous filer des fringues vous allez crever de froid sinon. Et c'est pas mieux. » Cassiopée eut un petit blanc. Le français les avait finalement tous fais rentrer dans l’appartement, Ariel et Eros à moitié de force. « Depuis quand je sais voler ? » Personne ne répondit à la sixième année qui se balançait d’un talon sur l’autre. Ambroise essayait de trouver des vêtements un tantinet chaud, et dès qu’il en trouvait Cassiopée les passait à Ariel, qui en avait plus besoin. Plus le fait que Cassiopée ne porterait les vêtements d’Ambroise qu’au réveil, il était inutile qu’elle fasse l’effort de mettre plusieurs couches. Finalement, ils se rendirent compte qu’ils perdaient du temps. Eros n’en n’avait rien à foutre, Ariel allait avoir trop chaud, et Ambroise n’aimait pas les vêtements chauds. Tous les regards se tournèrent vers l’irlandais, pour savoir s’il allait voler avec eux ou non. Ariel le suppliait littéralement du regard. « Et puis quoi encore ? Je peux encore transplaner chez moi pour être en sécurité, et surtout, sans vous. » « Personne ne te retient, allez, va-t’en petit papillon ! » Cassiopée sourit. « Et tu peux même te faire bouffer si tu veux. » Eros ne la regarda même pas tandis que la septième année essayait de rattraper le coup. « Aller, viens avec nous, je veux pas rester avec ces deux-là. Ils vont pas se lâcher. » L’irlandais soupira, en même temps que le français. Pas pour la même raison, cependant. La blonde allait finir par forcer Eros à sortir de l’appartement, mais avant qu’elle ne puisse passer à l’action il reprit. « Bon, d'accord. Mais s'ils me tapent sur les nerfs je t'embarque et go Pré-au-Lard. » « Mais ne te prive pas une bonne soirée tranquille. » « Je t’en prie, casse toi. » « Je te promets que tu déranges plus qu’autre chose là. »

Malgré toutes les bonnes intentions dont Ambroise et Cassiopée faisait preuve pour qu’Eros s’en aille, il resta. Décidé à les faire chier jusqu’au bout, au grand bonheur d’Ariel. La blonde s’avança vers sa meilleure amie. « Il faudra qu’on parle si on sort de là vivante. » Elle chuchota à l’oreille de la septième année qui haussa les épaules et commença à attraper un balai pour le lancer sur Eros qui l’attrapa au vol. Les trois gais lurons, heureux de pouvoir voler à cette heure-là malgré la situation, commencèrent à enfourcher leur balai. Ambroise indiqua d’un regard le sien à Cassiopée, histoire qu’elle s’accroche derrière. Pourtant, la blonde ne bougeait pas. « Il est HORS DE QUESTION que je grimpe là-dessus. » Il y eut un petit blanc, suivit de bruits aussi bizarres qu’inquiétants en provenance du couloir. Eros s’approcha de la blonde. « Tu vas monter sur ce truc, et rapidement. » Cassiopée s’approcha à son tour d’Eros. « Non. » Il y eut un autre petit blanc, et Ambroise reprit la parole. « Bon, ça suffit les gamineries, là. Cassie, il ne t’arrivera rien, MONTE. » La Cayrel avança de quelques minuscules pas vers le balai du français, observa le bout de bois, son petit ami qui commençait sérieusement à perdre patience, sa meilleure amie qui était déjà à moitié envolée avec Eros sur un pays lointain, et Eros, qui se foutait d’elle. « Je suis obligée ? » Il n’y avait plus de silence, c’était définitivement des bruits inquiétants très proches. Ça pouvait être n’importe quoi, cependant Cassiopée ne voulait pas aller voir ce que c’était. « ça se trouve on est en sécurité ici ? Non ? Enfin pas besoin de voler. Là-dessus. » Ariel lâcha son balai, et attrapa la blonde par les épaules. « Ambroise et Eros ici présents ont passés la moitié de leurs vies là-dessus. » Cassiopée haussa un sourcil. « Bah, regardes où ils en sont. » Les « Hé ! » des deux garçons furent simultanés, si bien que la sixième année ricana. « Tu sais très bien que je déteste voler. Je déteste ça. Genre… je déteste. Plus qu’Eros. » Celui-ci décida de couper court à la conversation. « Si dans une minute elle a pas posé son beau cul sur un balai je transplane avec Ariel. »[/color] Cassiopée bafouilla deux minutes, et sortit son dernier argument. « Très bien, je montre sur le balai dès que vous m’aurez expliqué votre fabuleux plan pour sortir d’ici, à l’intérieur des cachots, et voler jusqu’au toit sans passer devant le loup-garou qui ne doit plus du tout être très loin. Allez-y, j’écoute. »
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Ariel V. Edelwiess

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Ariel V. Edelwiess


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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyDim 18 Mar - 3:00

MI, numéro un. Remus_Lupin_turning_into_Werewolf
full moon sway.


Tout comme Cassiopée et Eros, Ariel avait elle aussi été précipitée dans l'appartement de son dévoué parrain qui flippait comme jamais. À vrai dire, à part le fait d'être pieds nu, couverte d'un pantalon de coton, et d'un débardeur semblable à un bout de tissu, la jeune fille n'avait pas vraiment peur d'un quelconque danger concernant le loup garou. Elle s'enfonça dans le salon un peu bordélique et se laissa tomber près de Plume sur le canapé. Ambroise se tourna vers les trois jeunes gens et leur expliqua sa brillante idée pour se mettre à l'abri. Dans les cachots, si le loup arrivait à passer les portes, ils étaient piégés comme des rats. « Je crois que j'ai eu une idée pour nous sauver. Les loups garous ça sait pas voler. Nous, on sait. On va aller sur le toit avec les balais on y sera plus en sécurité qu'ici je pense. Mais faut vous couvrir les filles, j'vais vous filer des fringues vous allez crever de froid sinon. Et c'est pas mieux. » Ariel leva les yeux vers le professeur de vol, appréciant plus ou moins l'idée de pouvoir monter sur un balai. Cassiopée balança son avis sur la chose, comme d'habitude, et comme d'habitude, tout le monde l'entendit, mais personne ne répondit. L'expédition devenait intéressante, enfin. On balança des fringues en abondance sur les deux Serpentards et Edelwiess opta pour une veste large et confortable qui appartenait à Ambroise, plus pour longtemps, elle comptait lui piquer. Cependant Eros leva les mains. « Et puis quoi encore ? Je peux encore transplaner chez moi pour être en sécurité, et surtout, sans vous. » La septième année fit la moue. Rester avec les deux personnes qu'elle aimait le plus dans cette école ça n'était pas un problème, mais les deux amoureux qui les hantaient SI. Hors de question qu'elle tienne la chandelle alors qu'elle risquait de mourir. Sa meilleure amie ouvrit la bouche. « Personne ne te retient, allez, va-t’en petit papillon ! » La blonde surenchérit en souriant. « Et tu peux même te faire bouffer si tu veux. » violet se leva et écrasa le pied d'Elektra pour qu'elle se taise enfin. « Aller, viens avec nous, je veux pas rester avec ces deux-là. Ils vont pas se lâcher. » L’irlandais tergiversa quelques secondes avant d'accepter, pour le plus grand damne de Cassiopée et Ambroise. « Bon, d'accord. Mais s'ils me tapent sur les nerfs je t'embarque et go Pré-au-Lard. » Ariel sourit, ça n'arriverait probablement pas, elle n'était pas sa poupée non plus, mais elle sourit quand même. « Mais ne te prive pas une bonne soirée tranquille. » Eros foudroya la sixième année du regard. « Je t’en prie, casse toi. » « Je te promets que tu déranges plus qu’autre chose là. » Les deux français s'interposèrent entre ceux qui semblaient près à se sauter à la gorge. « LA FERME VOUS DEUX. » Le professeur et sa filleule avaient parlé simultanément, et en français, de quoi imposer un gros silence. Malgré le manque de connaissance qu'avaient Leon et Cassiopée en matière de français, le ton des deux autres avait été assez claire pour deviner ce qu'ils avaient hurlé.

Cayrel s'approcha furtivement de sa meilleure amie et lui chuchote : « Il faudra qu’on parle si on sort de là vivante. » Ariel haussa les épaules comme si de rien n'était. « Bien sur, mais je vois pas de quoi tu voudrais parler. » Elle lui sourit innocemment et attrapa un balai. « Tes balais sont miteux Ambroise. » La brune en lança un à Eros et enfourcha le sien. Ils étaient tous prêts, sauf Cassiopée, qui les regardait avec un regard qui voulait en dire beaucoup. « Il est HORS DE QUESTION que je grimpe là-dessus. » Des bruits provenant du couloir comblèrent le blanc qu'avait laissé la réplique de la sixième année. « Cassie commence pas! » au même moment Eros s'approcha d'elle. « Tu vas monter sur ce truc, et rapidement. » « Non. » Ariel soupira et s'éleva à quelques centimètres du sol, tenant parfaitement en équilibre. « Bon, ça suffit les gamineries, là. Cassie, il ne t’arrivera rien, MONTE. » « Je suis obligée ? » Les trois joueurs de Quidditch parlèrent simultanement : « OUI! » Cassiopée continua à tenter de négocier tandis qu'Ariel sautait de son balai. « Ambroise et Eros ici présents ont passés la moitié de leurs vies là-dessus. » La blonde resta stoïque. « Bah, regardes où ils en sont. » Après des longues secondes de persuasion, elle craqua. « Très bien, je montre sur le balai dès que vous m’aurez expliqué votre fabuleux plan pour sortir d’ici, à l’intérieur des cachots, et voler jusqu’au toit sans passer devant le loup-garou qui ne doit plus du tout être très loin. Allez-y, j’écoute. »

violet commençait à vraiment en avoir marre de la réaction de Cassie et tapait du pied sur le sol. « C'est pas dur bon sang! On ouvre cette porte, on vol au travers des couloirs vite fait, on va jusqu'à la porte principale de l'école, on l'ouvre, et à ce moment là on se MAGNE DE VOLER JUSQU'EN HAUT PARCE QUE QUI SAIT SI LE LOUP NE GRIMPERA PAS SUR LES MURS POUR NOUS CHOPPER. » La Serpentard reprit sa respiration. « Ça te va ? » Cayrel ne dit plus rien, monta sur le balai d'Ambroise et s'accrocha très fortement à ses hanches. les deux batteurs ouvrirent la marche en ouvrant la porte doucement. Ariel passa sa tête pour vérifier si la personne ou la chose qui faisait ces bruits n'était pas dans les parages. On les entendait toujours, mais c'était un écho. Et l'origine devait être dans les couloirs de l'école. Loup garou ou non, Ariel était décidé à ne pas croupir dans les cachots, et sans plus attendre ils volèrent de plus en plus vite dans les couloirs pour atteindre la double porte en bois qui dominait le hall d'entrée de Poudlard. Eros, en tête, bifurqua vers la droite et s'arrêta brusquement devant Ariel qui faillit se le prendre de plein fouet. Cassiopée et Ambroise arrivèrent à leur suite. « Eros qu'est ce que tu- ? » « CHUT! » Le même son inquiétant, encore plus proche, et qui grandissait petit à petit. Juste là, au coin du mur. Un couinement s'échappa des lèvres de la sixième année tandis que Violet posa sa main sur sa poche à la recherche de sa baguette. Rien. Pas même de poche. Il fallut trois bonne secondes pour que la Serpentard se rappelle qu'elle était en pyjama. « Et je n'ai même pas de baguette! » Elle avait chuchoté en foudroyant Cayrel du regard qui se mordit la lèvre.

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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyMer 21 Mar - 0:24




Cassiopée & Ariel & Éros & Ambroise

« American werewolf in London »


« Dans cette histoire, Sturridge pouvait crever comme un chien de Sade s'en fichait. Mais il voulait sauver Cassiopée sa bien aimée, ainsi que sa nièce Ariel. Il jetait donc des fringues aux filles pour ne pas qu'elles meurent de froid, laissa Éros et Cassiopée se disputer tout en fourrant dans un sac sans fond des couvertures chaudes, un thermos de thé, des bouteilles d'eau et des paquets de gâteau pour survivre cette nuit. Il du se retenir pour ne pas prendre de quoi faire des crêpes sur le toit et pencha plutôt pour une bouteille de cidre, histoire de boire s'il était condamné à une mort imminente. également il ajouta au paquetage des jumelles qu'il avait depuis la coupe du monde de Quidditch de 98 pour voir de loin si la bête arrivait.

Alors qu'il s'afférait à préparer leur survie -et Ambroise avait bien l'impression d'être le seul à se bouger- Il en eut marre de la dispute de Cassiopée et d'Eros. Il les connaissait bien tout les deux: deux ans de relation avec Sturridge, et la Cayrel il commençait à bien la connaître mine de rien au bout de quelques mois. Alors, sans s'en rendre compte il hurla dans sa langue natale pile en même temps qu'Ariel:

« LA FERME VOUS DEUX. »

De sade prit alors des balais dans son placard. Pas des bolides comme le sien, mais quand même quelque chose qui se manie bien sans être trop rapide. Hors de question de mettre des deux batteurs sur un balai d'attrapeur, qui peut monter sans soucis à 150km/h. ça demande une certaine technique et ce n'est pas donné à tout le monde. Le marquis pour lui et Cassiopée qui allait monter derrière prit son balai. Un bolide dernier cri pouvant passer de 0 à 200 en une fraction de seconde.

« Tes balais sont miteux Ambroise.
Si t'es pas contente tu va voir ailleurs si j'y suit, je vais pas te passer un balais comme j'utilise d'habitude tu vas t'envoyer dans le décors parce que ça ira trop vite pour toi. Prend ce balais miteux comme tu dit, il ira très bien pour une batteuse. Et un batteur. »

Bien entendu, de Sade par habitude avait tout dit en Français à sa filleul laissant les deux autres perplexes. Le problème d'Ariel était réglé. Restait celui de sa cher et tendre qui ne voulait pas monter.

« Il est HORS DE QUESTION que je grimpe là-dessus. »

S'en était trop pour Ambroise. S'il commençait à s'énerver après elle il allait lui arracher la tête. Surtout que des bruits provenaient du couloir. Sans doute rien d'alarmant mais quand même dans ce genre de situations on peine à rester rationnel!

« Cassie commence pas!
Tu vas monter sur ce truc, et rapidement.
Non. »

Dialogue de sourd. La française s'éleva alors un peu et Ambroise au bord de la crise de nerfs dit le plus calmement possible:

« Bon, ça suffit les gamineries, là. Cassie, il ne t’arrivera rien, MONTE.
Je suis obligée ? »

Oui simultané de la part des trois affictionados de Quidditch ici présents.
Ariel en avait marre, Cassie restait bornée. Et même si la septième année avait de bon arguments, Cassiopée restait cassante en sous entendant que le Quidditch ne leur avait servit à rien et qu'ils étaient des ratés. Le Français l'aurait bien volontiers étripée, mais en la voyant céder il soupira et lui fit signe de monter derrière lui tandisqu'Ariel lui expliquait grossièrement comment ils allaient s'en sortir.

« Accroche toi bien. »

Ariel ouvrit la marche, et Ambroise suivit, fermant sa porte d'un coup de baguette avant de voler calmement vers la pore. Il préférait éviter d'aller trop vite directement, pour ne pas l'effrayer pour rien. Mais s'il fallait accélérer d'un coup, le loup garou n'aurait pas le temps de dire Quidditch qu'il seraient déjà loin. Arrivant donc en dernier, il entendit lui aussi des grattements derrière la porte. Comme font les chats pour rentrer quand ils sont enfermés dehors, sauf que là ce n'était certainement pas un chaton...

« Et je n'ai même pas de baguette! »

Mais quelle bande de bras casés! Grognant de rage, l’attrapeur fit signe aux deux autres de le suivre et bifurqua au premier étage, où il ouvrit une fenêtre d'un coup de baguette. Maintenant, ils étaient dehors, et assez hauts pour échapper à un loup garou. Néanmoins, de Sade fit un petit tour rapide et vit avec effroi que le temps qu'ils aillent au premier et sortent du château la grande porte avait été ouverte... Le loup était donc lâché dans la bergerie. Regardant ses compères, il bafouilla:

« Vous voyez, on a bien fait de sortir... »»
fiche par century sex.


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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyMar 3 Avr - 7:11

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“I'm a werewolf trapped in a human body.”


Eros s’était fait embarqué pratiquement de force dans cette histoire. Il n’avait aucune envie de passer sa nuit avec les deux autres et avait la ferme intention, d’une fois rendu sur le toits, de transplaner en compagnie de la belle Edelwiess. « Bon, d'accord. Mais s'ils me tapent sur les nerfs je t'embarque et go Pré-au-Lard. » Mais on ne flirt pas avec la meilleure amie de Cassiopée ouvertement, surtout quand on s'appelle Eros Sturridge. « Mais ne te prive pas une bonne soirée tranquille. » Eros lança un regard noir à la blonde, il commençait à vraiment ne plus supporter ce petit air supérieur quand elle parlait au gens. « Je t’en prie, casse toi. » « Je te promets que tu déranges plus qu’autre chose là. [/color]» Eros se redressa, près à.. à la frapper ? Non. Mais à la menacer sans aucun problème. « LA FERME VOUS DEUX. » Eros leva un sourcil en direction de son ex copain et la septième année. Il se retint de leur balancer un "On parle pas français bande de buses" qui serait mal vu.

Voilà quelques minutes qu'Eros avait totalement perdu la foi en la capacité intellectuelle de la sixième année. Ils étaient prêts à déguerpir mais fallait-il seulement que Mademoiselle Cayrel daigne à bien vouloir poser ses fesses sur un balai. On ne lui demnadait même pas de le conduire par elle même, seulement de monter derrière son petit copain, alias, ex champion du monde de Quidditch. Elle n'avait pas l'air de comprendre qu'ils faisaient énormément de bruit, et que si loup garou il y avait, ils étaient certains de se faire tous les quatres avoir dans l'appartement miteux du français. Léon eu un frisson en imaginant mourir chez Ambroise. Hors de question. Après de longue minutes de discussion, de nombreuses remarques désobligeante avec Cassiopée, d’un peu de flirt discret avec Ariel et d’innombrables soupirs, la blonde avait capitulée, mais avant elle voulait un plan. Ariel s'égosilla pour lui faire comprendre qu'ils avaient déjà un plan. Pour le bien de tout le monde et sa survie, elle était monté sur le balai, derrière Ambroise. Les bruits aux alentours étaient en fait un écho de ce qui se tramait dans le château. Eros pria bien fort pour que le loup garou soit resté sur l'herbe du parc. Il ouvrait la marche, zigzagant dans les couloirs afin de les mener au plus vite à la porte. Mais quel château immense! Il tourna une fois à droite et s'arrêta net lorsqu'il entendit des grattements. Des griffes sur un parquet. À même pas une centaine de mètre d'après lui, se trouvait quelque chose qui n'appartenait probablement pas à Poudlard. Derrière lui, Ariel freina d'urgence. « Eros qu'est ce que tu- ? » « CHUT! » Un silence de mort suivit son ordre et on pouvait clairement entendre le bruit qui se rapprochait. « Et je n'ai même pas de baguette! » Il tourna la tête vers Ariel et se décala d'un mètre. « Reste derrière moi. » Il n'essayait pas d'être héroïque ou quoi que ce soit, mais il ne savait pas ce qu'il lui prenait. Il s'apprêtait à voir une imposante créature surgit du renfoncement lorsqu'un bruit différent attira son attention.

Ambroise sifflait doucement pour attirer l'attention des deux batteurs et ils firent demi tour avant de redoubler de vitesse pour atteindre le premier étage où ils ouvrirent en grand une fenêtre pour s'y faufiler et déboucher en hauteur, dans le parc. Eros se concentra en direction du toit tandis que l'attrapeur lançait un coup d'oeil vers la porte, grande ouverte. Le loup allait s'en donner coeur joie cette nuit. « Vous voyez, on a bien fait de sortir… » ça c'était certain, mais une fois arrivé sur le toit. Eros explosa de rire. « Toute cette histoire pour rien, on aurait très bien pu transplaner tous les quatres chez moi. » Un blanc se fit et Ambroise s'esclaffa. Près de la rambarde, Ariel et Cassiopée n'étaient pas aussi joyeuses. Elles regardaient le parc avec une lueur d'effarement dans leur yeux. Eros s'approcha des deux filles, inquiet. « Qu'est ce qu'il vous arrive ? On est vivants non ? » Ariel planta son regard dans le sien. « Et les autres ? Tous les enfants qui dorment ? »

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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyDim 8 Avr - 2:00

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Ce n'est pas parce que vous êtes niché sur un balai que cela vous met en sécurité. Et le malheur arrive souvent par hasard...
Le loup, poursuivit par deux sorciers choisit de se sauver en sautant par une fenêtre ouverte. Celle là même par laquelle les quatre compères sont sortit. Dans son saut vertigineux, il bouscule Cassiopée et la fait tomber de son balai. La blonde atterrit au sol, près de la bête assoiffée de sang. Affaiblie par la chute de quelques mètres, Cassiopée ne peut pas réagir que déjà le loup est sur elle et plante ses crocs dans la chair de son abdomen.
Les trois autres, surpris sur le coup, ont eut le temps de se remettre de leur émotion pour pouvoir agir. Que font-ils ?

► rester stoïque, ne sachant pas quoi faire.
► lancer un sortilège (à préciser en MP).
► éloigner le corps de Cassiopée au moyen d'un sortilège.
____________

Merci de m'adresser votre choix personnel par MP. Il est interdit de vous concerter pour choisir ensemble une solution, vous choisissez chacun de votre côté sans vous informer de votre décision.
Votre RP est interrompu pendant ce temps là.

(Cassie, tu n'as aucun choix à faire, pauvre victime MI, numéro un. 14256 MI, numéro un. 644995)
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MessageSujet: Re: MI, numéro un.   MI, numéro un. EmptyDim 8 Avr - 5:54

Ariel ne bouge pas, regardant son amie se faire mordre, désemparée. Eros tente de lui jeter un sortilège de confusion mais l'effet est de courte durée. C'est finalement Ambroise qui sauve Cassiopée en l'attirant vers son balai grâce à un "Accio" joliment exécuté. Malheureusement sa princesse est inanimée et le restera un moment. De la fenêtre, les deux sorciers qui poursuivaient le loup garou l'assaillent de sorts. L'un deux atteint la créature à l'épaule et lui entaille jusqu'à l'os. La bête s'éloigne dans un hurlement rageur.

FIN DE L'INTRIGUE.
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