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 Mais si la princesse existait vraiment mais que l'on ne cherchait pas bon endroit... [PV/ Roxanne H. Weasley / Alistair M. Fitzbern]

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Alistair M. Fitzbern

Ali BabaYou are the cause of the funeral of my heart...
Alistair M. Fitzbern


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MessageSujet: Mais si la princesse existait vraiment mais que l'on ne cherchait pas bon endroit... [PV/ Roxanne H. Weasley / Alistair M. Fitzbern]   Mais si la princesse existait vraiment mais que l'on ne cherchait pas bon endroit... [PV/ Roxanne H. Weasley / Alistair M. Fitzbern] EmptyDim 3 Juil - 23:00

    C'est un jeudi du mois de mars, le soleil se couchait laissant place à l'euphorie habituelle dans la Grande Salle. Ça riait, ça parlait, ça criait, bazar ambiant qui bourdonne dans les oreilles d'Alistair. Celui-ci qui ne supportait plus tout ce bruit après une journée de dur labeur, et de plus dégoûté de la substance flasque et verdâtre de la chose devant lui qui semblerait être un gâteau ou plutôt de la gelée... Max se leva donc de table et sorti humblement de la salle de sa démarche assurée. Il sortait sans jeter le moindre regard à quinconce se trouvant ici. Une fois sorti, et atterri dans la Hall il se dirigea vers un escalier menant aux cachots , la Salle Commune des Serpentards se trouve à côté. Il descend donc l'escalier de sa démarche (somptueuse...) et se plaça devant un mur, ou du moins ce à quoi ça ressemblait. Alistair prononça quelques choses en direction du mur, qui ne l'était pas tan, une porte s'ouvrit pour laisser place à une vaste salle, d'ambiance plutôt verte ce qui ramenait tout simplement à la couleur de la maison des Serpentards. Alistair entra tout en scrutant la salle silencieuse et sombre. Il y avait un feu qui s'éteignait presque dans l'immense et magnifique cheminée, elle était imposante et se trouvait contre un immense mur de pierre apparente. Quelques fauteuils étaient placés sur la surface de la pièce, la plupart étaient autour de la cheminée. Des tables et chaises trouvaient leurs places dans un coin sombre de l'immense pièce. Il se dirigea vers une autre porte, qui celle-ci tombait dans un sombre couloir qui mène aux chambres des garçons. Quelques bougies flottaient par-ci, par là dans les aires lâchant une faible lumière à tendance verdâtre. Il s'engouffra donc dans le couloir et avançait en ne prêtant pas attention aux portes qu'il dépassait, il alla donc jusqu'à une porte de chambre, la sienne et posa donc sa main sur la poignée qu'il tourna et ouvrit.La pièce baignait dans l'obscurité, Max sorti sa baguette et tout en la pointant devant lui il dit à haute et intelligible voix :"Lumos" et le bout de sa baguette s'alluma. Il entrait dans la pièce et referma la porte derrière lui, et se dirigea vers le lit le plus loin des quatre, qui était le sien et alluma la bougie qui lui servait de lampe de chevet et qui par ailleurs éclairer toute la pièce. Il s'extirpa de sa robe qu'il posa soigneusement sur son lit à baldaquin et retira sa cravate et tout le reste (sauf son caleçon...) pour s'habiller plus confortablement. Il enfila un tee-shirt vert foncé ainsi qu'un short noir. Il plia les vêtements qu'il avait posés sur son lit et les rangea avec délicatesse dans sa grosse valise au bout de son lit. Il sorti par la suite de sa chambre pour se diriger vers la pièce adjacente à sa chambre qui n'est rien d'autre que la salle de bain. Il se fit un brin de toilette en passant furtivement quelques coups de gants de toilette sur son visage et l'essuya avec la serviette ornée de petits bateaux, qui était à cet effet. Il se brossa les dents avec insistance et passa sa main dans ses cheveux histoire qu'ils ne soient pas trop en pétard, à ce qu'il paraît les filles adorent les gars aux cheveux en batailles... Puis, il revint dans sa chambre, un brouhaha commençait à se faire entendre dans la Salle Commune. Il prit le journal qui lui avait été apporté au repas par son hibou. Il retourna dans la salle principale pour s'asseoir confortablement dans un fauteuil devant le feu de cheminé qui cliquetait. La salle se remplissait petit-à-petit, mais les bavardages incessant ne purent décrocher Alistair de son article fort intéressant :

    "ASTRES NOCTURNES FAISANT DES RAVAGES CHEZ LES MOLDUS..."

    Alistair qui avait la tête plongé entre les pages du journal de la Gazette du Sorcier esquissait un petit sourire. Il lisait tranquillement quand, soudain, submerger par la réalité et la folie de cet article il sursauta à cause de la main qui venait de se poser sur son épaule. Il plia son journal et leva les yeux vers son interlocuteur et reconnu Aaron, un camarade de classe et ami. Max se leva et souriant tout en serrant la main d'Aaron, qu'il n'avait pas eu l'occasion aujourd'hui de l'aborder. "Hey, Aaron ! Quel plaisir, même si tu as faillit me faire une crise cardiaque... Comment vas-tu, mon pote ? ". Il le prit moitié dans ses bras et lui mit deux petites tapes sur le dos et le relâcha pour mieux le voir. Aaron répondit : "Je n'aurais manqué en aucun cas ce bonjour amical qui est le tien.", il sourit et continua : " La pêche et toi ?" Alistair posa son journal sur la table base qui se trouvait devant le fauteuil sur lequel il était auparavant assit et croisa les bras. "La forme !". Les deux jeunes hommes continuèrent leur conversation en abordant le sujet tabou des cours et l'injustice, quelques désaccords éternels qui entretient la conversation. Aaron, qui fatigué de sa journée lui dit : "Bonne nuit ! A demain.". Max lui fit un petit geste en guise de "Bonne nuit" et se rassit confortablement dans son fauteuil et avant de replonger dans sa lecture il regarda autour de lui et remarqua un groupe de filles fort appétissant ma foie... Il relâcha une seconde fois son journal, pour une bonne cause cette fois, et se dirigea vers les demoiselles où il s'incrusta. "Bonsoir, demoiselles ! Me tiendrez-vous compagnie ? J'ai une fâcheuse tendance à ne pas m'endormir tranquillement sans avoir pu m'entretenir avec de telles beautés !" Il fit son petit sourire charmeur qui laisse apercevoir ses dents blanches. Et il fit un petit clin d'oeil à l'une d'entre elles.
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MessageSujet: Re: Mais si la princesse existait vraiment mais que l'on ne cherchait pas bon endroit... [PV/ Roxanne H. Weasley / Alistair M. Fitzbern]   Mais si la princesse existait vraiment mais que l'on ne cherchait pas bon endroit... [PV/ Roxanne H. Weasley / Alistair M. Fitzbern] EmptyDim 10 Juil - 11:09

Roxanne venait tout juste de poser son sac sur le sol froid de son dortoir que déjà son lit semblait lui tendre les bras. La seule chose qu'elle voulait faire à présent était de tomber dessus et de dormir jusqu'au lendemain matin. En effet, la jeune fille était très fatiguée ces derniers temps, et cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu de vraie nuit de sommeil. Le réveil aux aurores ce n'était pas son truc, surtout qu'elle sortait souvent après le couvre-feu imposé. Le mélange ne l'aidait pas, et elle ressemblait à un zombie en cours. Pas top pour faire bonne impression devant les professeurs. Mais elle n'avait même pas encore diné et beaucoup de ses amis n'étaient pas encore arrivés dans la salle commune des verts et argent. Aussi décida-t-elle de lutter contre la folle envie de dormir qui lui prenait toute la tête. S'éloignant donc à contre-cœur de son lit moelleux et confortable, la jeune blonde se dirigea vers la salle de bains des demoiselles et s'empressa de se mettre en face du lavabo en marbre blanc. Elle ouvrit le robinet d'eau froide duquel s'écoula une trombe d'eau glacée et entreprit de s'en asperger le visage afin de se réveiller un peu. Quand cela fut terminé, elle s'essuya le visage avec une serviette qu'elle lança par terre par la suite. Les autres filles allaient passer après, elles n'avaient qu'à nettoyer. La jeune verte rentra donc dans sa chambre et dénoua légèrement sa cravate aux couleurs de sa maison avant de se demander ce qu'elle pouvait bien faire maintenant. Au bout de quelques minutes d'hésitation, elle attrapa un journal sur la table de nuit de l'une de ses camarades et descendit dans la salle commune, le morceau de papier sous le bras.
La salle commune des verts et argent était encore assez vide à cette heure ci de la journée. Beaucoup ne repassaient pas par là avant d'aller manger, d'autres étaient dans leurs dortoirs. La jeune fille lança un rapide regard tout autour de la salle commune et décida de s'installer sur un fauteuil en toile brune, particulièrement confortable. Elle se vautra dessus, croisa les jambes et ouvrit le journal qu'elle parcourut des yeux. Quelques articles étaient intéressants, mais la plupart n'avaient aucune importance. Quelques attaques sur des moldus, rien de plus au sujet de ce qu'il se passait dehors. Bref, la jeune fille n'avait rien apprit de très passionnant. Roxanne replia donc le journal qu'elle lança sur une table basse et regarda sa montre. Dans dix minutes elle pourrait se rendre dans la Grande Salle pour avaler un quelconque repas avant de retourner dans la salle commune et d'enfin dormir. A cette simple pensée, la jeune fille bailla longuement. Pour occuper son temps, la jeune fille se regarda les pointes de cheveux, écoutant les conversations des autres élèves. Elle aurait pu avancer ses devoirs mais l'envie n'y était pas. De toute façon elle trouverait sans doute quelqu'un pour recopier le devoir, et s'en tirer avec une bonne note quand même. C'était ce qu'elle faisait tout le temps, et pour le moment ça passait à chaque fois. Il faut dire que rares étaient ceux qui ne voulaient pas lui passer leurs devoirs. Ils savaient bien que si jamais ils refusaient, la vengeance de la blonde pourrait être terrible. Et personne ne voulait subir la vengeance de Roxanne Weasley. Bien sûr, au début certains avaient essayé de lui tenir tête. Mais ils s'étaient vite fait une raison. En effet, la jeune fille possédait un réseau d'amis assez important, tous des élèves plus âgés, appartenant souvent au clan des Obscurs. Et tous ses amis avaient des moyens de faire céder quelqu'un, de quelque manière que ça soit. Et elle était pas mal dans le genre aussi. Elle était acide, connaissait tout sur tout le monde - ou presque en tout cas - et pouvait vous ressortir vos pires secrets l'air de rien, afin de vous faire céder. Roxanne avait toujours eu ce qu'elle voulait, à chaque fois. Et elle n'était pas du genre à abandonner quand elle avait une idée en tête. Têtue, ça oui elle l'était.
Dix minutes plus tard, la jeune fille se leva de son siège et passa un rapide coup de main sur son uniforme pour le plisser. Elle passa ensuite sa main dans ses cheveux, et se dirigea vers la sortie de la salle commune, bientôt suivie par les autres serpents qui se trouvaient dans la salle commune. Les cachots étaient toujours aussi sombres, seulement éclairés par des torches qui brûlaient sur les murs. La jeune fille ne marchait pas rapidement, après tout elle n'était pas tellement pressée. Aussi se fit-elle dépassée par de nombreux autres verts, qui eux avaient l'air d'avoir très envie de manger. A cette simple idée la jeune femme grimaça. Elle ne mangeait pas énormément, elle n'avait jamais été très attirée par la nourriture. Elle se contentait de manger une pomme par ci, une tartine par là, et cela lui suffisait. S'empiffrer, ce n'était pas sa tasse de thé. « Roxanne, attends nous ! » La voix résonna dans les cachots sombres et humides, tandis que la jeune blonde levait les yeux au ciel. Ce n'est pas qu'elle n'aimait pas ses camarades de dortoir, mais elle n'avait jamais grand chose à leur raconter. En effet la jeune fille traînait plutôt avec des Serpentard d'années supérieures. Les filles qui partageaient son dortoir avaient toujours les même sujets de conversation : les garçons et le maquillage. Et parfois elles parlaient cours. Bref, tout ça n'intéressait pas vraiment notre jolie blonde, qui préférait donc ne pas trop leur parler. Et souvent elle leur envoyait des piques, parfois méchantes il est vrai. Et pourtant ces idiotes continuaient à venir vers elle. Peut-être parce qu'elles savaient qu'il valait mieux l'avoir dans son camp plutôt que dans le camp adverse. Alors elle s'acharnaient, ce qui déplaisait à la jeune femme par moment. Et pourtant cette fois ci elle décida de se montrer aimable avec elles. Au moins comme ça elle ne mangera pas seule. Aussi, la jeune fille se retourna et sourit de toutes ses dents. « Les filles ! Vous allez manger là ? » En face d'elle se trouvaient trois filles: deux brunes et une rousse. Elles affichaient toutes cet air supérieur des filles qui savent qu'elles sont plutôt jolies, qu'elles ont un sang pur et qu'elles ont une réputation plutôt bonne. Mais elles n'étaient qu'en cinquième année, et ça aussi elles le savaient. C'est pourquoi elle n'affichaient pas encore cet air ultime que seuls les « grands » de septième année peuvent se permettre d'arborer. « Oui ! Tu viens avec nous ou tu mange avec quelqu'un ce soir ? » La jeune fille hésita quelques secondes, pesant le pour et le contre. Finalement elle décida de respecter sa promesse et d'être gentille cette fois ci. « Non c'est bon, on y va ? » La jeune fille vit les deux filles qui n'avaient pas encore ouvert la bouche s'échanger un regard accompagné d'un sourire mesquin qui voulait tout dire. Mais elle décida de ne pas y prêter attention. De toute façon elle aurait de nombreuses occasions de leur rendre la pareille lorsque le temps viendra. Aussi la jeune fille tourna les talons, à présent entourées de trois autres camarades. Toutes quatre montèrent les marches qui menaient à la Grande Salle et s'y rendirent. La blonde n'ouvrit pas vraiment la bouche tout le long du trajet, préférant écouter la conversation – qui tournait cette fois ci autour d'un certain Serdaigle de septième année, Obscur bien sûr, avec qui la rouquine voulait sortir. Dans sa tête, la jeune fille savait bien que c'était peine perdue, mais les remarques des deux brunes la faisait sourire. « Mais bien sûr que t'as tes chances ! » « Tu crois ? » « Mais oui, je l'ai vu te regarder la dernière fois, tu sais quand on était dans le couloir pour le cours de métamorphose. » Bref vous voyez le genre, tout cela n'était pas vraiment intéressant, mais tellement divertissant aux yeux de la blonde.
Finalement les quatre jeunes filles arrivèrent à destination et allèrent s'installer à la table des serpents. Roxanne entreprit de piocher dans la corbeille de fruits tandis que les trois autres étaient encore en train de discuter à propos de ce jeune homme. « Et toi Roxanne qu'est ce que t'en penses dis ? » Croquant dans sa pomme, la jeune fille réfléchit. Que pouvait-elle bien dire ? Elle savait que c'était peine perdue, mais elle ne voulait pas finir son « repas » seule. Alors elle arbora son meilleur sourire après avoir avalé sa pomme et lança un « Je penses que tu as tes chances. » La rousse sembla suspicieuse puis finalement un sourire vint illuminer son visage et elle repartit de plus belle. La jeune blonde tourna la tête, faisant mine de vomir. Pitié faites que cette soirée finisse rapidement, pensa-t-elle. Le repas se passa donc dans cette ambiance, et bien que la jeune fille ai finit depuis longtemps de manger, les autres filles passaient un temps immense à avaler le contenu de leurs assiettes. Finalement, au bout de trois quart d'heure, elles décidèrent enfin de bouger et se levèrent. Cinq minutes plus tard elles étaient de retour dans la salle commune. Mais la torture n'était pas encore terminée pour Roxanne. Une des trois filles – celle à qui appartenait le journal qu'elle avait emprunté tout à l'heure d'ailleurs – l'obligea à rester avec elles. Peut être espérait-elle se faire voir en compagnie de la jeune fille, vu qu'elle ne semblait pas l'apprécier plus que ça. Les apparences, toujours les apparences. La jeune fille fut donc obligée de rester assise, dans les fauteuils de la salle commune, à écouter encore et encore les derniers ragots de ces gamines – ragots qu'elle connaissait déjà d'ailleurs, et qui dataient par la même occasion. C'était peine perdue pour les trois filles, Roxanne avait toujours une longueur d'avance sur les potins qui circulaient dans Poudlard. C'était son petit jeu préféré, et elle adorait en user pour faire du chantage avec. C'était d'ailleurs un domaine dans lequel elle excellait pour tout dire.
Puis, soudain, la jeune fille entendit une voix. Pas dans sa tête non, mais qui provenait d'un jeune homme qui se tenait juste derrière le fauteuil d'une des deux brunes. « Bonsoir, demoiselles ! Me tiendrez-vous compagnie ? J'ai une fâcheuse tendance à ne pas m'endormir tranquillement sans avoir pu m'entretenir avec de telles beautés ! » Accompagnant ses paroles d'un sourire éclatant, il fit aussi un léger clin d'œil à Roxanne qui lui répondit par un sourire dévoilant ses dents blanches parfaitement alignées. Si elle aimait bien quelque chose dans son visage c'était sa bouche, ainsi que ses dents, qui étaient presque parfaites. Enfin un peu d'animation se dit-elle. Elle connaissait le jeune homme de vue, elle savait en effet que c'était un élève de septième année, Obscur. Bref tout pour lui plaire. Voyant que ses camarades de dortoir étaient trop excitées de se faire aborder par un septième année, la jeune fille décida de prendre les choses en main. Passant une main dans ses cheveux, elle renforça son sourire avant de lancer « Mais bien sûr. Ça ne pose pas de problème hein ? » Elle lança un rapide coup d'œil aux aux trois autres filles avant de continuer. « Viens donc. » Et elle lui présenta un fauteuil qui se trouvait à sa droite, entre elle et la jeune rousse. Le jeune homme était plutôt mignon : grand, brun, très bien bâti. Or tout le monde savait que la jeune fille n'en n'était pas à sa première conquête. Elle aimait avoir des petits amis, même si certains ne passaient pas la nuit. Et comme je l'ai déjà dit, lorsque Roxanne veut quelque chose, elle l'obtient souvent, même si elle doit y passer du temps. Mais celui ci avait l'air d'être aussi intéressé, alors ils allaient sans doute s'entendre. Il ne manquait plus qu'à laisser les trois autres filles dans leur conversation à propos de je-ne-sais-quel-serdaigle, et le tour était presque joué. Peut être que la soirée n'était pas perdue après tout.
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Alistair M. Fitzbern

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MessageSujet: Re: Mais si la princesse existait vraiment mais que l'on ne cherchait pas bon endroit... [PV/ Roxanne H. Weasley / Alistair M. Fitzbern]   Mais si la princesse existait vraiment mais que l'on ne cherchait pas bon endroit... [PV/ Roxanne H. Weasley / Alistair M. Fitzbern] EmptyMar 12 Juil - 8:26

    La salle se vidait petit à petit, quelques groupes de personnes restaient pour parler, les autres allaient dans les dortoirs ou d'autres comme Alistair cherchait la compagnie, de fille plus précisément. Il avait prit le dessus en s'étant rendu vers un groupe de quatre charmantes demoiselles, dont l'une d'entre elles est par son plus grand bonheur en détresse, la plus mignonne par chance. Il avait eu un moment de compassion en allant aborder les jeunes filles. Son seul but était d'approcher la blondinette et de faire sa connaissance, pour pourquoi pas finir sa journée en beauté en l'aillant dans son lit, enfin il y compte bien... La blonde avait été la première à répliquer, les trois autres étaient bien trop folles pour dire quoi que ce soit, donc elle dit après s'être touchée les cheveux, ses cheveux d'un blond éclatant qui en dévaste les yeux de Max : « Mais bien sûr. Ça ne pose pas de problème hein ? ». Il avait sourit à ces paroles et c'était quelques peu rapproché de la blonde qui devenait de plus en plus intéressante... Un sourire de béatitude se lisait sur le visage du jeune homme qui avait bien du courage à les aborder quatre beautés certes, mais dont trois pipelettes qui polluaient l'air en parlant de ce fameux Serdaigle qui était selon elles « sexy » mais la quatrième est... spéciale.... La blondinette dont il ne savait pas le prénom, du moins pas encore continua en disant : « Viens donc. » tout en tapotant le fauteuil qui se trouvait à sa droite. Max s'empressa de s'y diriger d'une démarche des plus rapide et bien déterminée. Il se glissa ensuite sur le fauteuil et se tourna vers la blonde pour entamer une conversation, histoire de la cerner mieux et de la charmer et pourquoi pas lui faire visiter sa chambre...
    En oubliant qu'il y avait trois autres filles à côtés, faisant comme s'ils étaient tous seuls, seul dans la pièce, seul au monde... Avec un sourire éblouissant il commença avec un : « Bonsoir, moi c'est Alistair Fitzbern mais, Max c'est très bien aussi. », il décocha juste un petit sourire, il ne comptait pas lui serrer la main, mais en bon gentleman il le devrait ou bien lui faire la bise. Ne voulant pas se l'avouer il perdait quelques peu ses moyens, seul Billie pouvait le prendre au dépourvu, mais là, on pouvait dire qu'il avait flasher en quelques sortes pour la blondinette. Il a peut-être perdu ses moyens mais, son talent de charmeur est toujours présent. Avant même qu'elle aie pu dire quelques choses, il s'agenouilla par terre et prit délicatement la petite et douce main de la jolie blondinette qu'il approcha doucement de sa bouche et lui fit un baise main puis, il dit : « Enchanté de faire euh... votre connaissance ! ». Il se rassit sur son fauteuil tout en gardant la main de la jeune fille et en lui souriant de toutes ses dents. Il se leva après en avoir assez entendu sur le « plus » charmant garçon de Poudlard, il en avait ra le bol d'entendre trois jeunes filles innocentes vantant les mérites d'un pauvre Serdaigle qui était de toute évidence pas Alistair... Il jeta un regard complice à la blondinette et lui demanda : « C'est ça tout le temps ? Je te plains. » puis, il enchaîna avec un petit sourire horrifié. Voulant partir pour cesser ces conversations puériles qui bourdonnaient dans sa tête et voyant que ça barbait aussi blondie, il lui sourit et lui dit gentiment : « Ne voudrais-tu pas que l'on aille autre part pour parler, ici c'est bien trop bruyant ?! », dit-il en jetant un léger regard accusateur aux trois jeunes Serpentards excitées à la vue d'un simple garçon. Ne lui laissant pas le temps de dire quoi que ce soit, sentant que sa tête allait exploser il la tira de ce confortable fauteuil et dit : « Ma chambre est déserte ce soir, on y sera tranquilles, ça te vas ? ». Pleins de questions sans réponses, il ne lui laissait pas non plus le temps de répondre, pourquoi perdre son temps à parler, il voulait agir mais, pas ici, ce n'est pas assez intime...
    Il commença à partir, puis avant de s'éloigner de trop, il se retourna vers les trois filles et dit : « Tu n'as aucune chance, tu n'es rien... » puis les laissant sur ces derniers mots avec un sourire moqueur il emmena la jeune blonde vers la porte du dortoir pour les garçons et s'arrêta et lâcha lui lâcha la main « Je reviens, j'ai oublié mon journal sur la table. ». En la quittant pour aller se diriger vers la cheminée il s'empara du journal qui se trouvait encore sur la table basse en bois d'érable et retourna vers la jeune fille qui l'avait attendu sagement devant la porte qu'il ouvrit. Puis il laissa entrer la jeune fille avant lui avant de refermer la porte derrière eux, et ils arpentèrent le couloir jusqu'à la porte ornée de quatre noms de garçon dont celui de « Alistair ». Il se tourna vers blondie et dit : « Je n'ai pas entendu votre prénom, à moins que j'étais trop subjugué par votre beauté pour l'entendre... ». Puis, il se retourna vers la porte et l'ouvrit et jeta un sort pour allumer des bougies pour éclairer cette chambre lugubre et sombre. Il se retourna ensuite vers la jeune demoiselle et lui sourit en coin, à ce qu'il paraît les femmes adorent ça, il ne leur en priverait pas... « Honneur aux dames. ». Il la laissa entrer puis la suivit à l'intérieur et referma la porte derrière eux. « Installe-toi où tu veux... Et oui, si tu te posais la question, ça va vite mais, le coup de foudre ça ne se commande pas, il arrive un peu à l'improviste... Euh... je ferais mieux de me taire... » il fit un petit sourire gêné et se passa la main dans les cheveux. Puis, il posa son journal sur sa valise et avec un peu d'hésitation il alla s'asseoir sur son lit.





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MessageSujet: Re: Mais si la princesse existait vraiment mais que l'on ne cherchait pas bon endroit... [PV/ Roxanne H. Weasley / Alistair M. Fitzbern]   Mais si la princesse existait vraiment mais que l'on ne cherchait pas bon endroit... [PV/ Roxanne H. Weasley / Alistair M. Fitzbern] EmptyMar 12 Juil - 11:12

Roxanne observait le jeune homme, le dévorant presque du regard. Si jamais il était à la hauteur de ses espérances – ce qui, entre nous, semblait être le cas – alors elle n'allait pas tarder à laisser ses trois commères « préférées » seules à discuter de ce superbe Serdaigle dont elle était sûre qu'elles ne connaissaient même pas le prénom. C'est donc plein d'espoir qu'elle vit le brun venir s'assoir à ses côtés, d'une démarche précipitée et déterminée. En somme il avait l'air tout aussi enchanté qu'elle de faire sa connaissance, ce qui semblait être le début de quelque chose – peut être quelque chose d'éphémère, ce qui était souvent le cas avec la blonde, mais quelque chose. La blonde lança un rapide regard aux trois autres filles qui regardaient elles aussi le jeune homme, et qui semblaient fulminer qu'il ne s'intéresse pas un tant soit peu à elles. A cette vision, al jeune fille eut un sourire, qui n'était pas un sourire désolé. Non, plutôt le genre de sourire qui voulait dire « Mais vous vous attendiez donc ? » Et en effet, une fois assis, le jeune homme se tourna vers elle et ne regarda même pas les trois autres filles. Roxanne quand à elle, se tourna de quelques centimètres afin d'être pile dans la trajectoire du beau brun,, et ainsi tourner le dos aux trois filles qui l'ennuyaient depuis le début de la soirée déjà. Avant même qu'elle ai pût ouvrir la bouche pour entamer la conversation, le brun la devança. « Bonsoir, moi c'est Alistair Fitzbern mais, Max c'est très bien aussi. » Fitzbern. Ce nom disait quelque chose à la jeune fille mais impossible de savoir quoi. Tout ce qu'elle savait c'est qu'il était en septième année, chez les Obscurs. Et cela lui suffisait amplement, vu les critères qu'elle demandait pour les garçons – critères qu'elle revoyait parfois à la baisse, pour des raisons évidentes. Enfin, ce qu'elle voyait c'est que Max semblait avoir l'habitude de faire la cour, puisqu'il semblait à l'aise, ou tout du moins qu'il semblait savoir quoi faire pour plaire. Et Roxanne ne pouvait pas dire le contraire, pour le moment elle était très flattée de se voir l'objet d'une telle attention. La jeune verte et argent ouvrit la bouche pour rétorquer quelque chose mais elle n'eut même pas le temps d'émettre le moindre son que déjà le jeune homme avait attrapé sa main et s'était mis à genoux. La blonde haussa les sourcils et un léger sourire vint se dessiner sur ses lèvres. Oui en effet, il avait l'habitude, et rares étaient les garçons dans cette école à être capable de s'agenouiller devant une fille qu'ils viennent tout juste de rencontrer – et devant du monde qui plus est. Ne retirant pas sa main, pourquoi le ferait-elle après tout, la jeune fille lança un léger coup d'œil aux trois autres filles qui n'avaient pas l'air d'être très heureuses de la tournure des évènements. Elles voulaient sans doute accaparer l'attention sur elle, afin d'avoir – enfin – une conquête dont elles auraient pût se vanter par la suite devant leurs amies toutes plus stupides les unes que les autres. Manque de bol pour elles, ce soir c'était Roxanne qui était sous le feu des projecteurs – chose qui arrivait plus souvent à la blonde qu'aux trois autres, il faut le dire. D'où peut être cet énervement, elles devaient sans doute être folles de rage que ce genre de choses n'arrivent qu'à la blonde, et jamais à elles. « Enchanté de faire euh... votre connaissance ! » La voix de Max ramena la blonde sur terre et elle reporta toute son attention sur le jeune homme, plutôt que sur les trois filles qui ne présentaient pas plus d'intérêt que cela. La jeune blonde lui répondit par un sourire entendu, qui voulait dire qu'elle était tout aussi ravie de le rencontrer. Et c'était vrai. Elle ajouta même un rapide « Moi aussi, très enchantée »
Le brun se rassit tout de suite après, mais ne lâcha pas sa main. La jeune fille n'allait pas s'en plaindre, après tout ce n'était pas tous les jours qu'un septième année venait la voir de cette manière, l'abordant aussi rapidement. Elle ne se faisait pas d'illusions sur la suite des évènements. D'ailleurs la jeune blonde n'avait jamais été quelqu'un de romantique. Pour elle le prince charmant n'existait pas un point c'est tout. Elle était donc contentée par quelqu'un qui, comme elle, ne se faisait pas trop d'idées, et qui au moins allait droit au but. « C'est ça tout le temps ? Je te plains. » Au début la jeune fille ne comprit pas de quoi Max lui parlait, puis elle se souvint de la présence des trois autres filles, et elle arbora immédiatement une tête exaspérée. Elle se pencha vers lui, et lui chuchota, sur un ton de conspiration, « Oui, et encore là tu n'a qu'un minuscule échantillon de ce qu'elles sont capables de faire. » Puis elle se releva. Décidément, ce garçon avait tout pour plaire : il avait tout comprit au sujet des autres filles de son dortoir, et cela faisait plaisir de voir qu'elle n'était pas la seule à les trouver puériles. Et encore, lui n'avait pas à les supporter tous les jours, et encore moins au réveil. Déjà que la jeune fille était de mauvaise humeur le matin, avoir des piaillements stupides en guise de réveil ne l'aidait pas à aller mieux. « Ne voudrais-tu pas que l'on aille autre part pour parler, ici c'est bien trop bruyant ?! Ma chambre est déserte ce soir, on y sera tranquilles, ça te vas ?  » La jeune fille sourit de plus belle, dévoilant légèrement ses dents blanches. Elle avait réussi à cerner le jeune homme rapidement, et là c'était clairement ce à quoi elle s'était attendue. Et ce n'était pas pour lui déplaire, loin de là. Après tout, elle avait eu sa dose de gamineries pour la soirée, rester avec Max n'était pas contre sa volonté, loin de là. Elle n'eut pas le temps de répondre – encore une fois, ce Max était donc quelqu'un de très pressée de toute évidence – mais elle sourit à toutes dents et acquiesça d'un signe de tête. Il avait donc comprit. Tandis que le jeune vert se levait, la jeune fille se retourna vers les trois filles, et leur lança un sourire qui voulait dire « Désolée les filles, à plus tard » puis se leva à son tour et suivit le jeune homme. Qui soudain s'arrêta pour se retourner vers les trois autres filles. Il leur lança un « Tu n'as aucune chance, tu n'es rien... » qui fit éclater de rire la jeune blonde qui tenta de faire passer cet éclat de rire pour une prise toux, chose impossible puisqu'elle n'avait pas vraiment envie de faire plaisir à sa camarade de dortoir. Elle se retourna à son tour pour voir le visage de la jeune demoiselle se décomposer devant ses yeux. Puis Max tourna les talons, la blonde sur ses pas. Puis il l'emmena devant la porte du dortoir des garçons, où il s'arrêta une seconde fois. Une lueur d'incompréhension traversa le visage de la jeune fille mais elle parvint assez bien à masquer cela. « Je reviens, j'ai oublié mon journal sur la table. » Et il lui lâcha la main – qu'il tenait toujours depuis tout à l'heure – et alla récupérer son morceau de papier avant de revenir vers elle, qui attendait toujours devant la porte, le suivant des yeux jusqu'à son retour. Puis il vint ouvrir la porte et la laissa entrer la première. Ce n'était pas la première fois qu'elle pénétrait dans le couloir qui menait aux chambres des garçons, elle savait donc par où aller mais préféra laisser le jeune homme la diriger jusqu'à sa chambre. Ils marchèrent sans bruit pendant quelques tempes avant d'arriver devant une porte sur laquelle la jeune fille put lire quatre prénoms. Avant d'ouvrir la porte, le jeune homme se retourna vers elle « Je n'ai pas entendu votre prénom, à moins que j'étais trop subjugué par votre beauté pour l'entendre... » La jeune fille lui sourit en retour avant de répondre. Elle se sentait flattée par les propos du jeune homme, bien qu'elle y soit habituée. Dès qu'un garçon voulait la mettre dans son lit, il usait et abusait de beau langage. « Roxanne. Roxanne Weasley » bien qu'elle grimaça légèrement lorsqu'elle prononça son nom de famille, chose qu'elle faisait à chaque fois qu'elle devait le dire. Comme si ce mot lui écorchait la bouche à chaque fois qu'elle était obligée de le prononcer. A vrai dire personne ne s'attendait à ce que cette fille, une Obscure endurcie, fasse partie de la famille Weasley, ces grands Résistants et traîtres à leur sang. Puis sans dire un mot, Max ouvrit la porte.
La chambre était plongée dans le noir c'est pourquoi le jeune homme lança un sort afin d'allumer les quelques bougies qui permettaient d'éclairer la pièce, ce qui laissa à la jeune blonde le loisir d'observer les environs. La chambre était plutôt bien rangée, bien qu'un peu en désordre tout de même, ce qui étonna le jeune fille. D'habitude les chambres qu'elle visitait étaient toujours en désordre, comme si une tempête venait tout juste de passer et avait tout dévasté. Et pourtant là ça allait, vraiment. « Honneur aux dames. » La jeune fille ne répondit rien, se contentant de sourire et de rentrer dans la pièce, et elle découvrit en effet que la pièce était bien rangée, que vue de l'intérieur elle était la même que vue de l'extérieur. La jeune demoiselle entendit la porte se refermer derrière elle mais ne bougea pas, se contentant de rester à observer la chambre, d'un rapide regard. « Installe-toi où tu veux... Et oui, si tu te posais la question, ça va vite mais, le coup de foudre ça ne se commande pas, il arrive un peu à l'improviste... Euh... je ferais mieux de me taire... » La jeune fille sourit à cette phrase. Peut être était-ce un moyen de l'attirer plus facilement dans ses filets, puisque de nombreuses jeunes filles étaient attirées par ce fameux coup de foudre. Bien que ce ne soit pas le cas de la jeune blonde, mais ça il ne pouvait pas le savoir. Peut être était-ce vrai, ce à quoi la jeune fille ne pouvait rien répondre. Après tout elle en doutait, mais ne pouvait pas en être totalement sûre, et dans les deux cas elle ne se sentait pas gênée le moins du monde. Cela ne la dérangeait pas qu'il utilise une technique de drague, ou bien qu'il soit sincère. Elle se retourna vers lui et le vit se passer la main dans cheveux, chose qu'elle fit à son tour, essayant de redonner un léger volume à ses cheveux plats. Puis elle le vit s'installer sur son lit après avoir posé son journal. Faisant quelques pas dans la pièce, la jeune fille se dirigea lentement vers le lit à son tour et vint s'assoir juste à côté de Max. Elle croisa les jambes et plongea son regard dans celui du jeune homme. Un sourire vint illuminer son visage tandis qu'elle réfléchissait à ce qu'elle pouvait dire à présent. Puis au bout de quelques secondes d'hésitation, elle se lança. « Pas du tout, ça ne me dérange pas que ce soit rapide. Enfin je ne suis pas ce genre de filles gênées dès qu'elle rentre dans une cambre de garçon. Et si tu veux tout savoir, je préfère les gens directs, à ceux qui tournent autour du pot trop longtemps. » Elle s'arrêta quelques secondes avant de reprendre avec un sourire éclatant « Ce qui n'a pas l'air d'être ton cas en tout cas. » Les deux verts n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. La jeune blonde pouvait presque sentir le souffle du brun venir lui caresser le visage. Mais elle ne s'approcha pas, pas encore en tout cas. « Ah et merci de m'avoir sauvé des trois autres grognasses, elles commençaient à me chauffer » A la place, elle vint poser sa main sur celle de Max, attendant qu'il agisse. Et si ce n'était pas le cas, elle s'en chargerait par la suite, pour le moment rien ne pressait, la nuit de faisant que commencer pour tous les deux.

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Alistair M. Fitzbern

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Après avoir tournoyé quelques instants dans la chambre, Roxanne alla s'asseoir à côté d'Alistair sur le lit. Il tourna la tête vers elle, un sourire se lisait toujours sur son visage. Alistair avait un folle envie de l'embrasser, de poser ses lèvres sur celles de la jeune blondinette qui avaient l'air si appétissantes, mais pour faire bonne figure il s'en empêcha. Par bonheur, elle prit enfin la parole, ça va détendre l'atmosphère : «  Pas du tout, ça ne me dérange pas que ce soit rapide. Enfin je ne suis pas ce genre de filles gênées dès qu'elle rentre dans une chambre de garçon. Et si tu veux tout savoir je préfère les gens directs, à ceux qui tournent autour du pot trop longtemps. ». Il lui sourit et se rapprocha un peu de la jeune Serpentard et posa ses mains sur le lit et se mit à l'aise. Ils se touchaient presque, dix ou neuf centimètres les séparaient, il pouvait d'ailleurs sentir le souffle de la jeune Weasley sur son visage et il se délectait de se parfum délicieux qui flottait à présent dans l'air de la chambre un peu en désordre. Puis, elle reprit peu de temps après : « Ce qui n'a pas l'air d'être ton cas en tout cas. », il lui répondit avec un petit sourire pour acquiescer. Il tourna la tête, troublé par les yeux de Roxanne, de son regard des plus merveilleux. Il baissa la tête pour regarder le sol et il se contenta de sourire. Puis elle continua pour combler le silence qui devenait pesant : « Ah et merci de m'avoir sauvé des trois autres grognasses, elles commençaient à me chauffer. » et dans son élan elle continua en déposant délicatement sa main sur celle d'Alistair. Ce qui a eu le don de le faire sourire de toutes ses dents. Il retourna sa tête vers Roxanne et il prit les choses en main. Max plaça ses mains autour de la tête de la blondinette et approcha son visage du sien et déposa ses lèvres sur les siennes pour l'embrasser langoureusement. Puis après l'avoir embrasser profondément il dit : « Tout le plaisir était pour moi ! Me ferez-vous l'honneur de votre présence ici ce soir ou devrez-vous partir à mon grand déplaisir ? » puis dans un grand sourire il re-déposa ses lèvres sur celles de la jeune Serpentard et la poussa sur le lit.
C'était dans la poche, la jeune verte ne daignait le repousser, sans n'était presque effrayant. Pour tout dire, il détestait la facilité, même si il l'avait toujours eu, mais là s'en était presque trop facile. Il recula donc tout en détachant lentement ses lèvres de celles de la jeune fille, il doit l'avouer ça lui avait plus. Puis pour briser le silence qui devenait oppressent et gainant il enchaîna sur une question qui lui trottait dans l'esprit depuis qu'elle lui avait divulgué son prénom, il plaça son index de la main droite sur sa lèvre inférieur et proféra : « Weasley, avez-vous dit ?! Vous êtes une Weasley, comme c'est bizarre qui l'aurai cru...Mais pourquoi avez-vous choisi les Obscurs et les Serpentard, qu'est-ce qui vous y a poussé ?  ». Il souria en s levant du lit pour aller regarder par la fenêtre, tous étaient noirs, il n'y voyait rien, c'était juste pour se donner un genre. Puiq il se retourna vers elle et dans un regard interloqué il enchaîna : « Oh, excusez-moi, peut-être est-ce trop personnel, je m'en excuse... ».
Dans un excès, attiré par la fine et pulpeuse bouche de Roxanne il alla se rasseoir rapidement à côté d'elle et dans un sourire charmeur il rapprocha sa tête de la sienne pour y coller ses lèvres sur celles de la jeune fille et l'embrasser fougueusement. Entre deux baisers il susurra : « La vitesse vous plaît ma belle, alors je ferais en sorte que vous soyez comblé, j'ai aucunement envie que vous sortiez de cette chambre sans avoir accompli tous vos désirs... ». Puis il posa ses lèvres dans le coup de la jeune fille et y déposa quelques baisers tendres tout en humant l'odeur délicieuse qui envahissait ses narines et tous ses sens. Pour qu'elle se souvienne de cette instant, il lui fit un suçon au niveau de la carotide et remonta pour de nouveau trouver ses lèvres qu'il embrassa passionnément. Alistair posa ses mains sur la taille de Roxanne et la rapprocha de lui de tel sorte que leurs corps se touchent. Tout en l'embrassant il enleva la cravate de la jeune fille et la balança dans la pièce puis l'extirpa de sa robe qui connu le même sort que la cravate, elle se déposa sur le sol froid de la chambre. Il commençait à déboutonner la chemise de la jeune Serpentard et lui murmura à l'oreille : « Il n'est pas trop tard pour partir... » tout en souriant, son regard traduisait de la provocation.
Il ne se fit pas prier, il enleva sa robe qu'il jeta et reposa ses mains sur la taille de la jeune fille et la poussa quelques peu sur le lit puis, il s'arrêta pour la regarder et sourire et dit tout en replaçant une des mèches de la jeune fille derrière son oreille. « Qui l'aurait cru, une Weasley dans mon lit... » puis il avait rapproché son visage de celui de la jeune fille pour finir près de son oreille et déclarer : « Et j'aime ça... » puis dans un de ses sourires charmeurs il déposa un doux baiser sur le coup de Roxanne et descendit tout en déposant des baisers sur son corps jusqu'à son nombril où il se releva pour lui déposa un baiser chaste sur ses lèvres, pour ensuite lui décocher un sourire montrant rien que le haut de ses dents.
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