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 Quand tout va mal, tu es là | SOLI

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Sarah Mandleton

    Sarah-fraîchit quand il fait chaud ♛ ADMIN
Sarah Mandleton


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MessageSujet: Quand tout va mal, tu es là | SOLI   Quand tout va mal, tu es là | SOLI EmptyDim 10 Mar - 3:39

Quand tout va mal, tu es là | SOLI Tumblr_m31qvlYmyj1qj40aw

Tu rentres dans ta salle commune et tu cours partout dans le but d’aller le plus vite possible. Tu ne veux pas perdre du temps, non mieux encore tu ne veux perdre aucune minutes, tu as retrouvé ton Oli et tu espères de tout cœur que ton amoureux chéri de ta vie ne t’en voudra pas, mais sur le coup, la seule chose qui compte c’est d’aller le retrouver alors tu cours. Ta chambre est en bordel, comme d’habitude, enfin la chambre ça va presque, c’est surtout ton coin qui n’est pas rangé, pas que Janet soit particulièrement maniaque mais toi c’est pire encore. Tu ne retrouves jamais rien de toute manière, où as-tu bien pu mettre cette foutue cape ? Bon CERTES elle est invisible c’est ça le but mais tu aurais pu réfléchir. Bon, tu essaies de réfléchir, quand l’as-tu utilisée pour la dernière fois ? Tu t’assieds par terre, tu mets tes deux mains sur tes tempes et tu les masses. Tu fermes les yeux et tu te concentres. ALBUS. Oui, tu l’as utilisée quand tu étais avec Albus, tu souris, yeah, c’est un bon début ! Maintenant où peut-elle être ? Tu te souviens que vous avez couru pour revenir et que tu as jeté tes affaires en boule, bravo. Tu as soudainement une image, celle de ta cape que tu as récupérée pendant la nuit, suite à un brusque accès d’intelligence, tu l’avais rangée dans le double fond de ton sac. Tu te relèves tout sourire et tu ouvres ton sac. Chouette elle est là. Tu ris. Maddison te regarde bizarre et avant qu’elle dise quoique ça soit tu lui fais un sourire énigmatique « Sarah qu’est-ce que tu as ? » demanda tout de même la jeune fille. « Je suis presséééééééée, faut que j’y aille. Bisous. » Et tu enveloppes la cape sous ton tee-shirt et, le plus innocemment possible tu quittes la pièce. Tu marches le plus vite possible, tu essaies de courir mais tes pieds ne semblent pas avoir envie, résultat tu tombes par terre en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire. Tu te relèves et tu te remets à marcher. « MERDE LA CAPE. Et FIKI. » Tu te frappes la tête l’air désespérée, tu as vraiment un soucis de concentration. Tu penses à ton pauvre Oli qui doit t’attendre, tu enfiles la cape et tu remontes dans le dortoir, heureusement que ta belle Fiki était allongée sur ton lit en train de faire un somme, si jamais tu avais dû la chercher, tu n’aurais pas été dans la merde. « Fiki jolie. Viens on va voir Tonton Oli. » Sous ta cape tu ne te rendais même pas compte que personne ne pouvait pas te voir, mais voilà la preuve vivante que les animaux sont largement supérieurs aux humains, car la mignonnette Fiki est passée sous ta cape et s’est calée sur ton épaule avant de se rendormir pour finir sa sieste. « Oh ma jolie Fiki, tu es heureuse de revoir ton Oli hein. » Tu caresses le cou de la jeune et jolie souricette et cette dernière se mit à ronronner, ok, tu en est convaincue, toutes les deux vous êtes bien heureuse de revoir votre Oli. Tu souris en marchant, mais pas trop vite non plus sinon tu risques de faire tomber Fiki.

Enfin tu arrives à l’escalier, le temps ne t’a pas paru si long mais tu n’imagines même pas combien Oli a dû t’attendre. Tu t’en veux. Tu t’approches de lui, tu lui fais un grand sourire mais tu t’inquiètes parce qu’il n’a pas l’air de te voir. Ah oui, tu portes la ta capte d’invisibilité, mais tu ne peux pas déranger Fiki, la pauvre dort sur ton épaule. Et te mords les lèvres, tu hésites, tu bouges un peu dans tous les sens. Oli va bien finir pas te sentir. Tu commences à réfléchir et tu as une idée, tu remontes sur l’escalier pour arriver à la hauteur de son visage et très doucement tu lui dis « Oli, n’aie pas peur, je suis là c’est moi, Fiki dort sur mon épaule donc je pouvais pas lui faire ça. Dooonc voilà. » Tu as parlé tout doucement mais Oli a tout de même sursauté. Tu te mords les lèvres encore une fois. Oli se retourne et regarde ton front, il est doué quand même, presque la bonne hauteur. Il te fait un clin d’œil et d’un signe, t’invite à le suivre. Tu souris avant de te rappeler qu’il ne peut pas te voir. Tu descends discrètement les escaliers et tu suis ton ami. Il ne sort pas par la porte principale, mais une beaucoup plus loin derrière la salle des professeurs. Vous arrivez devant une porte ouverte, enfin ce n’était pas vraiment une porte, cela ressemble plutôt à espace clair au milieu comme un portail qu’on aurait oublié de mettre. Tu souris, était-ce si facile que cela ? Oli franchit le portail sans problème mais toi, tu te prends un mur invisible dans la face. Puis une décharge. Tu tombes au sol, presque évanouie. Oli se tape la tête. « Oh merde la marque. » Tu ne comprends pas ce qu’il te dit alors tu te laisses tomber et tu t’évanouies. Quand tu te réveilles, tu te rends compte que ta cape est en train de glisser le long de ton corps et que tu n’es plus au sol, des bras musclés te soutiennent, tu dois être dans les bras d’Oli. Tu essaies de sourire mais tu n’arrives pas, d’ailleurs tu n’arrives plus trop à grand-chose. Tu entends ton ami lancer un sortilège, tu sens des grésillements qui se propagent le long de ton corps. Tu ne comprends rien, tu finis par t’endormir.

« Sarah. » La voix de ton ami est faible, mais tu l’entends. Tu ouvres les yeux. Tu lui souris, cela ressemble plutôt à une grimace. « Pardon » Tu t’en veux d’être aussi faible, tu tombes dans les pommes trop facilement en ce moment, bon certes tu t’es pris une forte décharge cette fois-ci, à ta décharge, sans mauvaise blague. « Je, je suis nulle, je je voulais faire les trucs bien. » Tu arrives peu à peu à t’en remettre. Tu arrives à ouvrir les yeux et à les garder ouverts, tu te sens revivre. Tu t’assoies et te dégages délicatement de ses bras, tu n’en as pas envie, mais il le faut bien, ça ne serait pas une bonne idée. Tu regardes autour de toi, tu vois que vous êtes au trois balais. Il a dû te porter super longtemps ! Tu admires durant un cours instant sa force, puis tu redresses ta tête. « Je t’offre un verre à boire ? » Oli rigole et te désigne la table d’un signe de la tête. Il y en a déjà deux. Tu fronces les sourcils. « Pas drôle. Le prochain est pour moi, dépêches toi de le boire. » Tu le supplies du regard. « Allez, j’ai déjà tout raté en m’évanouissant, alors au moins laisse-moi me rattraper ! » Tu souris. Tu tends la main dans l’espoir que quelqu’un vienne vers toi pour te demander ce que tu veux boire. Tu te sens un peu ridicule alors tu rebaisses la main. Au même moment la serveuse s’approche de toi. « Oh ma petite Sarah, tu t’en es remise ? Eh bah, c’était rapide. Alors tu veux boire quelque chose ? » Tu souris, tu la remercies et finalement tu te tournes vers Oli, mais il ne semble pas avoir envie de te répondre, il fait semblant qu’il regarde ailleurs. Tu soupires. « Tu connais la boisson préférée de Oli ? » chuchote-tu à Meryt. Elle te fait un clin d’œil, tu la remercies. Elle revient deux minutes plus tard, un grand verre à la main. « Combien je te dois ? » Elle sourit, tu lui tends ton billet. Elle roule des yeux et repart pour te rendre la monnaie. Quand l’échange est terminé, tu te retournes vers Oli et tu lui tends le verre. « Alors ? T’aimes bien ? C’est bon ? J’suis un peu pardonnée d’être trop nulle ? » tant de questions débiles à la fois c’est ta marque de fabrique, mais en même temps cela t’intéresse vraiment. Tu bois une gorge du verre qu’il avait acheté pour toi. Et tu t’exclames, en oubliant que tu avais posé des tas de questions, pas que cela ne t’intéresse pas mais parce que tu n’y penses juste plus. « EH MAIS c’est quoi ? c’est super bon. » Oli te regarde en souriant. Tu te rends compte que tu avais oublié de l’écouter. Tu rougis. « Je t’écoute. » un sourire angélique et tout passe crème, parfait.
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MessageSujet: Re: Quand tout va mal, tu es là | SOLI   Quand tout va mal, tu es là | SOLI EmptyJeu 25 Avr - 4:20

i love you once i love you twice i love you more than beans and rice



Tu fixes le couloir d’un air absent, repensant aux heures bien étranges qui viennent de se passer. Tu en es venu à kidnapper une élève, et à lui crier dessus, et à être jaloux de son petit ami qui doit avoir 8 ans de moins que toi. Le constat de ta journée est un peu mitigé, mais au final, t’es content, parce que Sarah est de nouveau ta pote, et c’est quand même une putain de super bonne pote alors ça va. Et puis tu pouvais simplement pas continuer comme ça, qu’est-ce que t’allais dire à Fiki après ? Que sa maman était partie avec un autre et qu’elle ne revenait pas ? Nan, ça aurait été traumatisant et pour Fiki – et pour toi. Un étudiant passe au bout du couloir mais ne te vois même pas. Fatigué, tu considères t’asseoir un instant, et après tu réalises que c’est Sarah que tu attends. Et si tu bouges de dix centimètres à tous les coups elle te loupera, douée comme elle est. Au final, tu te mets à stresser parce que tu sais pas comment tu vas la voir avec sa cape, et elle aura du mal à se montrer. Tu imagines qu’elle trouvera bien un truc, de toute façon. Et puis il y a une chance sur deux qu’elle avance et trébuche sur sa cape et qu’elle s’étale dans le couloir, et là tu la verras. Tu ne sais pas combien de temps passe, mais plus ça passe et plus tu te sens STUPIDE à attendre tout seul. Tu entends du bruit derrière toi, ce qui te fait sursauter d’un coup. C’est April, qui descendait les escaliers juste derrière toi. Tu manques de tomber mais te rattrape juste à temps, toussotant pour cacher ta gêne visible. Elle te regarde un instant et finit par éclater de rire, finissant les quelques marches qui mènent jusqu’à toi. « Tu fais quoi tout seul perdu ? » Tu roules des yeux et cherche à toute vitesse une excuse. « J’attends. » Elle fronce les sourcils et tu lui lances un sourire hésitant. Tu ferais un très mauvais espion. Dans le genre très très TRES mauvais. « Tu attends ? » Long silence. « Eros. J’attends Eros. » Tu croises les doigts dans l’espoir qu’elle ne l’ait pas vu passer dans l’autre sens, ou qu’elle ne soit pas au courant de où il est, où qu’elle ne l’attende pas elle aussi. Il y a un nouveau long silence. Tu sens que tes joues brulent, et que tu es sûrement tout rouge. Incapable de mentir aux gens que tu connais bien. Elle hoche la tête, sceptique, et avec un petit sourire en coin elle s’approche un peu plus de toi. « Elle a un nom la fille ? Je la connais ? » Tu manques de t’étouffer avec ta salive, recule, re-glisse sur une marche et fini par foutre tes mains dans tes poches et à reprendre contenance. « Quelle fille ? J’ai dit j’attendais Eros. » April roule des yeux, croise les bras mais ne rajoute rien. « Bonne pyjama party alors. » Tu n’as rien le temps de rajouter qu’elle a déjà tourné le dos en ricanant, marchant à grand pas dans le couloir. Si elle savait.

Cinq bonnes minutes passent, et il n’y a pas un chat dans le couloir. Tu commences à VRAIMENT t’ennuyer, voire à s’inquiéter que quelque chose soit arrivé à Sarah. Au moment où tu assumes qu’elle a du se faire bouffer par des araignées mutantes qui se baladaient en colonie dans les couloirs – SI C’EST VRAI – tu entends un bruit derrière toi, et tu sursautes exactement de la même façon qu’avec April. Tu jures dans ta barbe mais quand tu remarques qu’il n’y a personne derrière toi, tu comprends que Sarah est enfin arrivée, qu’elle n’est pas morte ni blessée et qu’en plus elle s’occupe de Fiki. Elle murmure un petit « Oli, n’aie pas peur, je suis là c’est moi, Fiki dort sur mon épaule donc je pouvais pas lui faire ça. Dooonc voilà. » à ton oreille pour que tu comprennes, et tu hoches la tête, essayant de deviner où est-ce qu’elle pourrait être, fixant le vide. Tu finis par décider qu’elle va devoir te suivre discrètement, et tu lui fais un petit clin d’œil avant de froncer les sourcils, te rendant compte de la stupidité du geste pour tout le monde sauf Sarah qui elle sait qu’elle est là. Sans en rajouter plus, tu tournes les talons et tu marches vers la porte derrière la salle des professeurs, décidant que ça sera plus court, plus simple et plus discret. Tu oublies presque que Sarah te suis avant d’entendre un grésillement derrière toi et un boom par terre. Tu as un moment de réflexion avant de réaliser que oui, c’est vrai, tu es en situation illégale, alors tu dois gérer les problèmes que ça engendre. Comme le fait que SARAH NE PUISSE PAS SORTIR IMPUNEMENT DE POUDLARD. Tu te sens bête pour la jeune fille, et tu te dépêches de t’approcher d’elle. « Merde, la marque. » Elle ne semble pas réagir, alors tu jettes un sortilège pour lui permettre de passer le portail sans plus de souci, et tu la prends délicatement dans tes bras. Rien à voir avec le kidnappage de tout à l’heure.

Tu commences à te ré-inquiéter de sa santé quand elle mets du temps à se réveiller dans tes bras, mais elle finit par ouvrir les yeux au 57ème « Sarah. » Tu as marché jusqu’aux Trois Balais et t’es fait tout petit pour ne pas te faire remarquer en tant qu’homme qui assomme les jeunes filles et les emmène dans des bars. Tu sors à la serveuse que c’est une amie, et qu’elle a besoin d’un remontant. Elle te fais un petit signe de tête, une lueur rassurée dans ses yeux. Un mangemort qui porte une fille comme ça, ce n’était pas particulièrement une bonne nouvelle. Elle contemple le visage de la demoiselle un instant avant de faire un « Oh ! Mais c’est Sarah ! » qui te fais sourire. C’est pas comme si c’était étonnant qu’elle la reconnaisse. Tu acquiesces et tu demandes un verre de bieraubeurre et un jus de pomme – au pif. Au final, tu l’as assise à côté de toi sur un genre de canapé, et elle se réveille petit à petit, tu vois ses paupières bouger. Tu lui fais un petit sourire satisfait. « Pardon. » Tu soupires, n’essayant même pas de rajouter que ça sert à rien de s’excuser. Après tout, elle fait ça à chaque fois et t’as beau répéter qu’elle n’a pas à s’excuser tout le temps, elle le fait quand même. « Je, je suis nulle, je je voulais faire des trucs bien. » Tu affermis un peu ta prise sur elle, la serrant dans tes bras en lui murmurant que ce n’est pas grave. Elle s’écarte délicatement, et tu la lâches petit à petit quand tu es sûre qu’elle va mieux et qu’elle n’a plus la tête qui tourne trop. Finalement, elle relève la tête, déterminée à passer un bon moment. « Je t’offre un verre à boire ? » Tu souris, rigolant de la bonne intention de la Poufsouffle. « C’est fait. » Elle fronce les sourcils, manifestement déçue. « Allez, j’ai déjà tout raté en m’évanouissant, alors au moins laisse-moi me rattraper ! » Tu la regardes lever la main pour appeler la serveuse. Tu abandonnes, la laissant faire. De toute façon, vous boirez bien tous vos verres, ça ne sera pas vraiment du gâchis. Elle finit par baisser la main, mais tu as vu arriver la serveuse de loin. Tu souris, attendant qu’elle arrive. Sarah est surprise de la voir s’arrêter à la table, mais elle ne se démonte pas, et te fixe pour que tu commandes ce que tu veux, alors tu fais semblant de regarder ailleurs pour ne pas avoir à lui faire payer la commande. Elle remarque bien que tu fais exprès, alors elle soupire et commande quand même, hésitante. « Tu connais la boisson préférée de Oli ? » Tu l’entends chuchoter, et tu la trouves tellement mignonne que tu lèves les yeux vers la serveuse. Tu la connais de vue, mais impossible qu’elle dise ta boisson préférée. Elle te lance un mini-regard, mais ça suffit pour que tu lui montre d’un doigt la bieraubeurre. Elle hoche la tête, fait un clin d’œil à la Poufsouffle et fait demi-tour.

Peu après, elle revient avec un autre verre de bièreaubeurre, ce qui te fait plus rire qu’autre chose. Sarah paye, toute contente, et tu la laisses faire, sachant que ça partait d’un bon sentiment et qu’elle est très contente de te faire plaisir. Et oui, ça te fais plaisir. Au moins tu es détendu, et tu n’es plus en train de paniquer à propos de pleins de sujets différents sur Sarah. Xander, le fait qu’elle ne veuille plus te parler, les deux baisers de la dernière fois, Fiki. Xander. Tu décides de le supprimer de ton esprit pour le reste de la soirée, il ne viendra pas la pourrir. « Alors ? T’aimes bien ? C’est bon ? J’suis un peu pardonnée d’être trop nulle ? » Tu attrapes le verre qu’elle te tend avec un hochement de tête, et tu commences à ouvrir la bouche mais elle te coupe déjà. « EH MAIS c’est quoi ? C’est super bon. » Tu ricanes et pose ton verre, en ayant but une gorgée. Elle réalise qu’elle t’as encore coupé, et rougis. C’est la fille la plus mignonne du monde et elle boit un verre avec toi et c’est ton ami et t’es tellement content que tu t’en fous. « Je t’écoute. » Tu élargis ton sourire, bois une autre gorgée pour être sûr qu’elle n’a rien d’autre à rajouter, et lance un coup d’œil à son verre. « C’est que du jus de pomme, tu sais. Je savais pas ce que t’aimais et je me suis dit que t’aurais soif en te levant, alors j’ai commandé le premier truc qui me passait par la tête. Je suis content que tu aimes. » Tu lèves ton verre et invite Sarah à lever le sien. Vous frappez vos verres l’un contre l’autre. « Merci pour celui-là de verre. Même si j’en ai deux maintenant. On partage ? » Elle hésite un instant, alors tu cherches quelque chose pour la forcer un peu. « Je te pardonne si on partage. » Sans hésiter, elle attrape le verre et boit une longue gorgée, avant de manquer de s’étouffer, et de tousser, et de poser le verre. Tu fronces les sourcils mais elle te fait un petit signe de tête pour te dire que ça va bien. Tu prends le verre et le ramène imperceptiblement de ton côté. « Reste avec ton jus de pomme en fait, je sais pas si te faire boire c’est une bonne idée. Je voudrais pas que tu sois malade après. » Tu réalises bien que ce n’est qu’une bièreaubeurre, mais tu ne connais pas – encore – le degré de résistance à l’alcool de Sarah. Et le jus de pomme c’est bon, non ? « Enfin, si t’en veux, tu peux en demander, j’suis ni un pion ni ton père donc tu bois ce que tu veux. » Il y a un petit silence. Tu lui souris. Elle te souris aussi, un sourire un peu perdu. « BON. Raconte moi ta vie ma belle. A part Xander » Tu dois dire son nom sur un ton dédaigneux, puisqu’elle a un petit rictus et jette un regard noir. Bon, pas noir, elle peut pas avoir un regard noir, plus gris clair. Mais c’est déjà assez violent pour que tu décides d’enchaîner. « Qu’est-ce qu’il se passe dans ta vie ? Les cours ça va ? Janet va bien ? J’aime bien Janet. C’est Janet son nom c’est ça ? Elle vient toujours chercher des magazines à la bibliothèque, la dernière fois on a couru dans les rayons pour écraser des araignées avec. » Ton propre manque de professionnalisme devrait te choquer, mais tant pis. Sarah rigole, en plus, ce qui ne t’encourage pas à prendre ton job au sérieux. « La prochaine fois tu viendras avec nous. Comme ça on sera trois. BREF, raconte moi ta vie. »
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Sarah Mandleton

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MessageSujet: Re: Quand tout va mal, tu es là | SOLI   Quand tout va mal, tu es là | SOLI EmptyJeu 2 Mai - 0:50

Quand tout va mal, tu es là | SOLI Tumblr_m31qvlYmyj1qj40aw

Être hors de Pouldard rendrait n’importe qui heureux. Faire des bêtises remplirait de joie beaucoup d’élèves. S’échapper de la surveillance des mangemorts plairait à tous les résistants. Boire un remontant aux trois balais ferait envier un bon nombre d’étudiants. Seulement toi, la seule chose qui t’empli de joie c’est de voir Oli. Tout le reste n’a pas d’importance, tu pourrais être à pataouchnock dans la neige ou sur une plage d’une île paradisiaque que tu aurais le même sourire éclatant au visage. Un sourire qui désarmerait bien des gens puisqu’il est trop sincère et trop naturel, mais toi tu ne t’en soucis pas et tu souris et c’est tout. Tu regardes Fiki qui s’est enroulée autour du verre vide de ton Oli et tu souris encore. Personne n’a une telle capacité à sourire, personne sauf peut être Oli. « C’est que du jus de pomme, tu sais. Je savais pas ce que t’aimais et je me suis dit que t’aurais soif en te levant, alors j’ai commandé le premier truc qui me passait par la tête. Je suis content que tu aimes. » Du jus de pomme ? C’est bizarre ça, tu ne connais pas. Le jus de citrouille oui, mais le jus de pomme. Pourquoi n’en as-tu jamais goûté avant ? Soudain cette saveur fait renaître quelque chose en toi, une saveur d’il y a longtemps. Et avec un flash back énorme, tu te revois, petite, sur les genoux de ta mère. OUI le jus de pomme c’est un produit moldu. Oh, comment a-t-il su que c’était pile ce dont tu avais besoin. Tu rigoles et tu remarques qu’il tend son verre. Tu mets quelques instants à comprendre puis tu lèves le tiens et vous trinquez. C’est trop chouette parce que c’est comme les grands. Tu avais souvent vu tes parents le faire sans que toi-même tu ne puisses le faire. « Merci pour celui-là de verre. Même si j’en ai deux maintenant. On partage ? » Tu sembles hésiter, tu as bien envie de goûter ce que tu lui as offert cependant est-ce raisonnable ? C’est son verre à lui, si on offre quelque chose mais qu’on profite de la moitié à quoi ça sert d’offrir ? Tu es sur le point de refuser quand il lance son dernier argument imparable. « Je te pardonne si on partage. » Pff il triche. Tu soupires mais tu attrapes son verre avec joie. Tu ne sais pas ce que c’est, mais tu bois. Un peu trop et un peu trop vite. Evidemment tu t’étouffes parce que ça te brule la gorge. Tu tousses pour faire ressortir le tout puis tu déposes le verre. Il récupère le verre et semble inquiet, tu le rassures du mieux que tu peux, mais là tu ne peux pas parler. Tu essaies de tousser pour chasser le chat qui est entrer dans ta gorge, ou un truc comme ça, mais rien à faire il reste bien coincé. « Reste avec ton jus de pomme en fait, je sais pas si te faire boire c’est une bonne idée. Je voudrais pas que tu sois malade après. » Te faire boire ? Tu fronces les sourcils, parce que quand tu bois du jus de pomme tu ne bois pas vraiment ? La phrase de ton Oli est énigmatique, tu ne comprends pas bien ce qu’elle signifie ni le sens qu’elle a. Tu regardes le plafond, comme s’il pouvait t’apporter un éclaircissement mais rien ne te vient. Tu ouvres la bouche pour lui demander de traduire, mais il répond avant même que tu n’aies le temps de poser ta question. « Enfin, si t’en veux, tu peux en demander, j’suis ni un pion ni ton père donc tu bois ce que tu veux. » Ah non non, il ne répond pas du tout et tu es encore plus perdue. Qu’est-ce que signifie son charabia ? Tu rigoles en imaginant Oli comme ton père, c’est à mourir de rire. Puis tu te demandes pourquoi est-ce qu’il serait pion et en quoi cela changerait grand-chose. Apparemment cela à un sens pour lui et comme il sourit, tu l’imites. Pourquoi se poser des questions quand tout est tranquillement simple ? Sourire ça suffit et ça marche à chaque fois. « BON. Raconte-moi ta vie ma belle. A part Xander » Tu n’aimes pas le ton sur lequel il prononce le nom de ton amoureux, mais à peine as-tu pensé au serdaigle qu’un sourire béat s’est inscrit sur tes lèvres. C’est ton amoureux. Le monde à Poudlard finit peu à peu par s’y habituer, même si les gens n’aiment pas trop trop, les élèves qui t’embêtent à propos du septième année sont de moins en moins nombreux. Tu ouvres la bouche pour parler quand le bibliothécaire te coupe la parole, une fois de plus. « Qu’est-ce qu’il se passe dans ta vie ? Les cours ça va ? Janet va bien ? J’aime bien Janet. C’est Janet son nom c’est ça ? Elle vient toujours chercher des magazines à la bibliothèque, la dernière fois on a couru dans les rayons pour écraser des araignées avec. » Tu rigoles devant l’air de ton ami, tu les imagines tellement bien tous les deux, ton faux-frère et ta meilleure amie. Ils sont tellement parfaits tous les deux. Tu fermes et les yeux vois la scène en grand. Tu rigoles encore plus fort. C’est tellement eux tout crachés. « La prochaine fois tu viendras avec nous. Comme ça on sera trois. BREF, raconte moi ta vie. » OH QUE OUI. La prochaine fois. Maintenant que la guerre est terminée et que tu ne l’évites plus, vous allez pouvoir refaire les fous comme avant. Qu’est-ce que tu as hâte. « T’es trop fort quand même ! Pour réussit à convaincre Janet de mettre les pieds dans la bibliothèque, je suis bien contente, même si du coup elle t’empêche de travailler. Hihi. Moi aussi elle m’empêche de travailler c’est vrai, mais c’est tellement mieux de rigoler avec elle. Janet elle est géniale. Presque autant que toi. » Tu lui souris, tu es sincère. Tu ne sais pas qui tu préfères au monde, mais tu sais qui sont tes préférés. D’une main distraite tu caresse Fiki qui somnole. Soudain tu comprends quelque chose de fou. Tu comprends ce qu’il y avait dans son verre. Tu ouvres tes grands yeux étonnés et tu tends un doigt devant toi. « Attends. Tu veux me faire dire que ya de l’alcool dans le verre que j’ai bu ? Genre vraiment de l’alcool ? » Tu t’arrêtes quelques instants et tu sembles réfléchir aux conséquences. Waouh, de l’alcool… finalement tu lâches un « COOOL » très enthousiaste, tu es fière d’avoir bu un pue d’alcool comme ça. Puis tu repenses à ce qu’il s’est passé et tu sens ta gorge en feu comme tout à l’heure. Tu bois avidement une gorgée de jus de pomme pour calmer le tout. « Ah non en fait pas cool. J’en avais jamais bu. Ça brule tout le temps la gorge comme ça ? Ils sont tous fort comme ça ? Fin je veux dire c’était bon parce qu’il y avait du sucre non ? Mais sinon c’était eurk caca la gorge. Comme caca les araignées mais en différent. » Tu t’arrêtes parce que tu te rends compte que tu ne dis que des conneries. Et tu rigoles devant l’air de ton ami. Pourquoi a-t-il fallu que tu parles des araignées ? C’est plus fort que toi, tu mets les pieds dans le plat, toujours. Comme si c’était trop dur de le contourner. Tu lui dis que bientôt Fiki sera la première chasseuse d’araignée à Poudlard parce que vous l’avez bien éduqué tous les deux. Oui, Fiki est une bien sage petite souris, tu es fière de tout ce que vous avez accompli depuis son adoption. Tu échanges un nouveau sourire avec Oli. Tu regardes ton verre et tu bois une nouvelle gorgée. « Et le jus de pomme j’adore, c’est ma maman qui me faisait boire ça quand j’étais petite, mais j’en ai jamais retrouvé sur les tables à Poudlard, fin aussi j’ai pas beaucoup cherché mais je crois pas que y’en ai beaucoup. Je me trompe ? » Tu n’es pas sûre de toi en réalité. Tu bois une nouvelle gorgée, que c’est bon. Tu lui dis combien tu adores en tout cas et qu’il a très bien choisi, comme toujours. Il te connait si bien et quand il fait au pif, c’est exactement ce dont tu as besoin. Cet homme-là est génial. Pour peu tu voudrais l’épouser. Tu ris doucement à cette pensée puis tu relèves la tête. « Hum, bah moi dans la vie c’est cool. Je fais des bêtises, les gens me tournent le dos, j’ai été virée de l’équipe de quidditch, Fiki est trop mignonne, j’ai trouvé un lapin avec Ken ! Dans le lac ! Il est trop choupinet d’amour tout plein bon il a encore un peu peur, mais ça va bien vite s’arranger, Fiki fait du très très bon travail ! Après, j’ai eu une mauvaise note en potion. » Tu baisses le regard et rougit, comme si tu avais honte. « Mais c’est l’assistante, elle m’aime pas, elle me saque je suis sûre. Par contre en divination j’ai eu une trop bonne note ! » Cette fois-ci tu es toute fière et tu le montres, tu affiches un grand sourire. « C’était un devoir super compliqué mais je m’en suis sortie comme une chef ! Et après euh, je crois qu’on a fait le tour. AH NON. Tu sais pas ce qu’il m’est arrivé ? un truc caca pas beau. » Tu regardes autour de toi, pour vérifier qu’il n’y a personne qui ne puisse t’entendre et tu lâches. « Bon j’ai fait une grosse bêtise, je suis allée dans la forêt interdite. Ouimaisc’estpasdemafaute ! C’est pour faire plaisir à une amie, je te dis pas son prénom sinon tu vas pas être content et bref, c’était chouette jusqu’à ce qu’il y ait un gros loup pas beau. Je sais pas trop ce que c’était comme animal, moi je voulais l’adopter mais maman Eden a dit non. Mince j’ai dit son nom, tu oublies hein ? Et bref bref, écoute-moi. L’animal était grand et très lumineux c’était très attirant et il a fait un truc pas bien du tout : il m’a mangé le bras ! J’avais du sang partout et je me suis évanouie. C’était horrible. Et après je me suis réveillée à l’infirmerie heureusement que Ted et Victoire sont trop forts, tous les deux ils m’ont soignée trop bien et j’ai presque plus rien maintenant. Regarde ! » Tu tends le bras pour lui montrer ta cicatrice, Victoire t’avait proposé de l’effacer mais toi tu trouves que ça fait cicatrice de guerre et que c’est trop cool. Elle a une forme un peu bizarre mais elle est trop chouette. Tu l’arbores avec fierté. Il n’y a pas un seul moment où tu te dis que tu as failli mourir, que c’était super dangereux et que tu as agis comme une débile, non, pour to tout vas bien, la vie est belle normal. Tu ne vois pas l’air d’Oli qui lui est peut être un peu plus réaliste. Tu te redresses sur ta chaise et range ton bras, ta main se rapproche de Fiki que tu caresses de nouveau. « Et toi raconte ! Qu’est-ce qu’il se passe dans ta vie ? Les choses bien, les choses moins bien, les trucs trop cool surtout, je préfère que tu ris c’est beaucoup mieux. » Tu poses ton regard sur lui, toute sage, prête à l’écouter avec attention, même si au fond de toi tu sais bien que tu es trop bavarde pour l’écouter jusqu’au bout et que tu vas sûrement le couper en plein milieu, mais tu es comme ça et s’il t’apprécie c’est tant mieux, profites-en, des Oli comme ça, il n’en coure pas les rues !
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