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 oh, please, killing me. that’s so two years ago + ariel

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MessageSujet: oh, please, killing me. that’s so two years ago + ariel   oh, please, killing me. that’s so two years ago + ariel EmptyLun 13 Jan - 6:05

ariel et palina


Le coup de sifflet final retentit dans le stade et tous les joueurs s'arrêtèrent quelques secondes pour tourner leurs visages en direction du score. L'équipe de la rousse avait attrapé le vif d'or, fermement enfermé dans la main de l'attrapeur, mais cette prouesse n'avait pas réussi à combler le fossé entre les deux équipes. Ils avaient donc perdu malgré leur atout de cent cinquante points. Une injure s'échappa des lèvres de la rousse tandis que ses pieds touchaient le terrain de terre battue. Elle se retint de justesse de lancer son balai sur le sol mais préféra foudroyer du regard le gardien de l'équipe adverse qui venait d’atterrir avec un sourire de victoire agaçant collé aux lèvres. Elle devait bien admettre que le gardien était fort puisqu'il avait bloqué la moitié voire plus des buts de la jeune femme mais jamais elle ne pourrait l'admettre. Tournant les talons, elle croisa le regard d'Ariel mais tourna de nouveau la tête pour se diriger vers les vestiaires. Sa robe de match était couverte de boue et tous ses muscles souffraient plus les uns que les autres. Du coin de l’œil, l'ancienne lionne aperçut l'équipe adverse fêter sa victoire et elle reconnu l'une des batteuses, une grande jeune femme métisse qui avait reçu un cognard d'Ariel en plein ventre, l'autre batteur plutôt pas mal et le gardien tant détesté qui pourtant n'avait rien à envier à son coéquipier batteur. Sortant enfin de la torpeur du stade, la jeune femme referma la porte derrière elle, posa son balai contre le mur et s'avança dans le long couloir qui menait aux vestiaires de son équipe. Poussant la porte, elle laissa échapper un soupir avant d'ôter sa robe par la tête et la laisser traîner sur le sol immaculé de la pièce. Tandis qu'elle s'avançait en direction de la douche, le bruit de la porte la fit se stopper, s'attendant à ce que ses coéquipiers viennent la rejoindre. Mais ce fut le visage souriant et arrogant du gardien adverse qui lui fit face. « Ce n'est pas parce que tu as gagné qu'il faut se croire tout permis » Sans un mot, le gardien referma la porte derrière lui et s'avança vers la rousse qui se tétanisa sur place, incapable de bouger un seul de ses muscles meurtris. Une boule se forma en travers de sa gorge tandis que le jeune homme arrivait à sa hauteur, son sourire arrogant toujours collé au visage. « C-ce n'est pas ton vest- » Les mots de la jeune femme se bloquèrent dans sa bouche lorsque les doigts ardents du gardien se posèrent sur sa joue, glissant le long de sa mâchoire. Un violent frisson parcourut le corps de la jeune femme tandis que son cœur s'emballait et que sa température corporelle semblait monter en flèche. Sans comprendre ce qu'il se passait, sans même réfléchir à ce qu'elle faisait, l'écossaise fit monter elle aussi sa main tremblante en direction de la nuque du jeune homme, ses doigts prenant une prise ferme sur la peau de son adversaire, leurs souffles se mélangeant. Bientôt, leurs deux bouches se scellèrent dans un baiser et Palina sentit les mains du jeune homme venir se poser fermement contre ses cuisses et la soulever. Son dos heurta bientôt le mur glacé du vestiaire tandis que les baisers du gardien réchauffaient avec violence son corps. La voix brute et grave du joueur parvenait à ses oreilles et ne faisait que la faire frémir encore plus et bientôt elle laissa échapper un soupir passionné.

Les mains de la rousse se resserrèrent autour des draps blancs de son lit et elle se redressa brutalement, le visage recouvert d'une fine couche de sueur, le cœur battant la chamade dans sa poitrine, les jambes tremblantes. Prudemment, presque peureusement, elle se tourna vers la silhouette qui dormait à ses côtés et reconnut la chevelure brune de Shane qui dépassait à peine de la couverture. Elle jeta un regard à ses mains tremblantes et souleva doucement le drap qui recouvrait son corps avant de poser ses pieds à terre et de se diriger vers la salle de bain sans bruit. Après avoir fermé le verrou de la porte, elle leva les yeux vers son reflet et entreprit de se passer de l'eau sur le visage. Le match de la veille avait bel et bien eut lieu et l'équipe de la jeune femme avait bien perdu malgré la capture du vif d'or. Mais tout le reste n'était qu'un pur produit de son imagination avec ce gardien. Dont elle ne parvenait pas à se souvenir du nom. Refermant le robinet d'eau froide, elle resta plusieurs minutes au dessus de l'évier, essayant de se reprendre du mieux qu'elle le pouvait. Mais les images trop nettes de son rêve revenaient heurter son esprit avec violence et elle ne pouvait s'empêcher de frémir de plaisir en imaginant la bouche de son adversaire venant capturer ses lèvres. Quelques coups à la porte la sortir de sa torpeur et elle observa avec crainte le morceau de bois qui la séparait de la chambre. La voix étouffée de Shane lui parvint aux oreilles et elle répondit d'une voix tremblante à sa question. « Non non ça va.. J'ai fais un cauchemar » Elle posa ensuite ses yeux sur l'heure et vit qu'il était trop tard pour se rendormir. Elle préféra donc se préparer pour se rendre à l'entraînement, qui allait sans doute lui permettre d'oublier ces pensées idiotes. Une heure plus tard, elle était fin prête, et après un baiser à Shane, elle transplana devant le stade d'entraînement de son équipe. Une fois être passée dans les vestiaires, elle vit Ariel adossé d'un air nonchalant contre l'un des murs et elle passa à côté d'elle sans lui adresser un geste ou même une parole. L'amour n'était pas au rendez-vous entre les deux jeunes filles, et ce depuis de longues années maintenant. Un méchant coup du sort avait décidé que les deux filles se retrouveraient dans la même équipe de Quidditch, et même si cela faisait profondément chier la demoiselle, elle se devait de « coopérer » avec l'ancienne vipère. Les deux femmes attendirent côte à côte et en silence que le reste de l'équipe arrive et l'entraînement commença dix minutes plus tard. Durant tout le temps où elle était sur son balai, la jeune femme ne pensa pas une seule seconde à l'épisode de cette nuit, mais une fois que le coup de sifflet de l'entraîneur annonça la fin de la séance, tous les soucis de la demoiselle remontèrent en elle. « Je pense que je vais rester encore un peu » Pour seule réponse, l'entraîneur haussa les épaules avant de tourner les talons. « Moi aussi » La rousse ferma les yeux en soupirant longuement lorsqu'elle reconnut la voix de sa chère Ariel. Se tournant vers elle tandis que le reste de l'équipe partait, la rousse la foudroya du regard avant de prendre de l'élan avec son pied et de décoller dans les airs. Les deux jeunes femmes restèrent donc encore une heure ou deux à voltiger dans le ciel sombre de la banlieue de Londres, s'échangeant quelques mots et quelques passes avant que les deux soient fatiguées et reposent leurs pieds sur la terre ferme. « Putain » fut le seul mot que prononça l'écossaise avant de se diriger vers les vestiaires aux côtés de la vipère. Elles se changèrent en silence et la lionne fut la première prête. Elle se dirigea donc vers la porte d'entrée mais, lorsqu'elle poussa la poignée, seule une forte résistance de la porte lui répondit. Palina se figea dès lors et posa ses deux mains sur la poignée, tapant sur la porte. Finalement, lorsqu'elle se rendit compte que la porte était bel et bien fermée à double tour, la rousse se tourna vers Ariel. « Je crois qu'on est enfermées » Un soupir traversa ses lèvres et elle se laissa glisser le long de la porte jusqu'au sol. « Putain, ils auraient pût vérifier s'il restait des gens » Laissant tomber sa tête en arrière, elle ferma les paupières. Elle se retrouvait bloquée en compagnie de la dernière personne de cette équipe qu'elle aimait, comme quoi sa journée était véritablement pourrie jusqu'à la moelle. Redressant la tête, elle lança un regard vers Ariel. « T'as une idée pour sortir d'ici ? Et me dis pas qu'on doit attendre demain... » Elle frappa du pied sur le sol avant de reprendre. « Avec toutes leurs normes de sécurité on peut même pas transplaner. Et j'ose même pas essayer de défoncer cette porte avec ma baguette » Un nouveau soupir s'échappa des lèvres de la rousse et elle posa ses mains sur son visage, attendant un signe de Merlin, un miracle.
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Ariel V. Edelwiess

beater ✥ gorgeous on a broom
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MessageSujet: Re: oh, please, killing me. that’s so two years ago + ariel   oh, please, killing me. that’s so two years ago + ariel EmptyJeu 16 Jan - 6:55


« macleod & edelwiess»




Elle s'étire longuement. Les muscles tirés, les bras tendus, elle geigne une fraction de seconde avant de se recroqueviller un peu plus dans sa couette. La brune décide de ne sortir de son nid qu'une bonne demie heure plus tard, si bien qu'elle en serait presque en retard. Malgré la défaite de la veille, elle se sentait plutôt bien, si ce n'est éreintée. Les Pies de Montrose démarraient bien la saison, comme à leur habitude. Hier, les Flèches d'Appleby les avaient vaincus alors que leur attrapeur avait manqué d'attraper le Vif d'Or. Ariel se repasse rapidement le match mentalement, lâchant un rire grossier lorsqu'elle se remémore la tête de la batteuse adverse se prenant un cognard furieux dans le ventre. La pauvre s'était faite violemment éjectée de son balais pour finir sa course dans l'herbe des dizaines de mètres plus bas. L'ancienne Serpentard s'attarde à sa fenêtre ; située dans l'ancien grenier d'une bâtiment, elle obtient une vue plutôt agréable de la ville au petit matin, la brume nocturne n'a pas encore totalement disparue. Avec un soupir, la jeune femme se prépare, se brimant mentalement à ce que l'entrainement d'aujourd'hui redouble d'intensité, comme à chaque défaite. C'était psychologique, et leur esprit de compétition l'emportait à chaque fois. D'un coup sec, elle ferma son sac de sport, contenant rien de plus que de quoi se changer à la fin de la journée, de l'eau, de quoi grignoter, et bien sur sa batte et le balais qu'elle pose sur son épaule. Tout le reste reposait dans le vestiaire au stade d'entrainement. Bien vite, la jeune femme transplana devant les grandes portes. Un léger sourire vint décorer son visage, comme peut être à chaque fois qu'elle se trouvait devant ces portes, ou bien dans les vestiaires d'un stade officiel, les gradins grondants et la foule rugissante. Elle n'était pas peu fière du métier qu'elle exerçait, ayant mit sa fierté et ses faiblesses de côté. Peu importe son statut social, et si oui, ou non, être acclamée de cette manière lui permettrait de se trouver quelqu'un de puissant et d'important, elle aimait ce qu'elle faisait. Cela lui changeait bien de Poudlard, elle était acclamée pour différentes choses, elle interagissait avec des gens plus adultes, elle découvrait la vie après sept ans passés dans ce château.

Première arrivée, la routine est simple, elle dépose son sac, prend le nécessaire, et s'extirpe des vestiaires au moment ou une autre personne y fait son entrer. La chevelure de feu de Palina est bien vite reconnaissable, alors Ariel ne s'attarde pas pour la saluer. Avoir quelqu'un de Poudlard, peut être à la fois bien, et dérangeant. Surtout la copine de Shane. Sans vraiment la détester dans le bon du de la forme, il est juste que l'ancienne Serpentard n'a jamais vraiment eu d'intérêt ou de relation à proprement parler avec la lionne. Elle doit bien avouer que lorsqu'elle vit MacLeod jouer le premier jour où elles s'étaient retrouvées ici, elle du s'incliner face à sa détermination et son talent, qu'elle n'avait jamais vraiment remarquer auparavant. L'équipe se forme, au fur et à mesure que les membres arrivent, et l'entrainement commence enfin. Ariel s'amuse, effectuant acrobaties et manœuvres pour jouer avec les Cognards. Si bien qu'au fil des minutes, des heures à s'exercer, faire et refaire ce que lui crie l'entraineur pour atteindre la perfection, elle n'entend même pas le coup de sifflet final, annonçant la fin de la journée. Cependant, elle ralentit et survole ses coéquipiers qui rentrent déjà dans le vestiaire. En biais sur sa gauche, la voix de la nouvelle poursuiveuse retentit. Je pense que je vais rester encore un peu. L'entraineur ne répond pas, et lance un regard à sa batteuse, lui demandant du regard. Elle hoche la tête avec ferveur. Moi aussi. L'ancienne Gryffondor ne perd pas son temps pour fusiller Violet du regard, qui elle retient un rire. Si elle avait voulut se débarrasser de sa coéquipière, elle se serait laisser tenter il y a déjà des semaines. Peu importe si elles étaient les deux nouvelles, deux jeunes recrues qui avaient eu l'immense chance (et surtout talent) pour intégrer l'équipe et remplacer les plus vieux joueurs partis rendre leur retraite, elles se devaient de se montrer incassable et fortes, sous peine de se faire écraser par les équipes adverses, leur public, voire même la pression de l'entrainement. Ariel hausse les épaules et fait balance avec son poids pour prendre de la vitesse à nouveau.

Liquidée, elle pose son pied sur la terre ferme, restant appuyée sur son balais quelque secondes pour l'équilibre. Un moment plus tard, elle est fin prête, son sac pendant du bout de l'épaule, le balais dans la main. Étonnée de voir que Palina n'est pas déjà partie, vu la vitesse à laquelle elle s'est préparée et enfuie du vestiaire. Mais lorsque la poursuiveuse se retourne, l'air inquiet et pas rassuré, Ariel s'attend au pire. Je crois qu'on est enfermées. Elle ne réagit pas de suite, c'est lorsqu'elle arrive au niveau de Palina qu'elle secoue la tête en l'interrogeant du regard. Excuse moi, tu as dis quelque chose ? Elle toise sa coéquipère qui affiche un drôle d'air sur son visage. Putain, ils auraient pût vérifier s'il restait des gens. Les paupières de l'ancienne Serpentard s'ouvrent grand, et elle se faufile entre Palina et la porte pour tester la poignée à son tour. Au retour de force elle appuie un peu plus, la secouant quelques secondes. Oh merde. T'as une idée pour sortir d'ici ? Et me dis pas qu'on doit attendre demain... Edelwiess ne peut s'empêcher de s'esclaffer d'un rire nerveux en se laisser tomber contre la porte. Elle secoue la tête en signe de négation. Elles avaient leur balais, évidemment, mais le stade d'entrainement était bien protégé dans le Londres sorcier, pour qu'aucun incident de Cognards perdus ou Vif d'Or un peu trop aventureux ne surviennent. En somme, elles étaient bloquées. Avec toutes leurs normes de sécurité on peut même pas transplaner. Et j'ose même pas essayer de défoncer cette porte avec ma baguette En fermant les yeux, la batteuse dodeline légèrement de la tête en signe de négation. Inutile. Elle soupire en lâchant nonchalament son sac par terre. Ils sont bien trop flippés. Puis certains laissent beaucoup de choses précieuses ici. Rien que le Vif d'Or, enfin bon. Elle rebrousse chemin, un peu plus loin dans le vaste vestiaire, et s'assied sur un banc pour retirer ses chaussures. Autant se mettre bien, je vais envoyer un patronus au coach, mais vu l'heure, et ma fatigue, j'ai peur qu'il mette bien du temps à arriver. Sur ces mots, elle se redresse, nus pieds et sort sa baguette de la poche de sa veste. Si tu pouvais te retourner, et ne rien dire, ça serait optimal. Un rictus forcé se dessine sur la mâchoire de la brune qui fait, à son tour, dos à la rousse. Ses paupières se closent, et avec douceur, elle incante. Le sortilège prend forme, non sans ciller, Ariel suit son instinct et rouvre les yeux, avertie par une lumière cinglante. Son loup lui fait face, assit calmement, il attend. Palina. Ariel. Bloquées. Vestiaires. C'est tout ce que le coach a besoin de savoir. Et bien qu'envoyer son patronus en messager lui prendrait beaucoup plus de force que nécessaire, elles n'avaient pas le choix. Ceci fait, Ariel garde sa baguette dans sa main ; elle pourrait jurer la sentir vibrer dans sa main, lui donnant force tout en la drainant. Une fois rassise, elle force un sourire en ouvrant grand son sac pour en sortir une barre chocolatée. Comment va Shane ?


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