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 samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)

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Samaël O. Nicholson

Samaël O. Nicholson


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MessageSujet: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 0:19



Nicholson Samaël Oz
règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes

nom  Nicholson prénom  ▽ Samaël Oz âge  ▽ 19 ans nature du sang  ▽ sang mêlé nationalité  ▽ britannique  année  ▽ année préparatoire camp  ▽ résistant caractère  ▽ coléreux + attentionné + impulsif + observateur + sur de lui en apparence + intelligent + charismatique + froid + lunatique + joueur avatar  ▽ kit harington



le barème

ambitieux : ••••
romantique : •
sportif : •••••
généreux : •••
franc : •••••
sérieux : •••

le pourquoi tu comment

Les mangemorts et le Lord ont décidés de s'attaquer à ma famille et bien tant pis pour eux. Je ferais tout pour qu'ils tombent, tous autant qu'ils sont. Ils ont touchés à mon père à cause de son statut de né-moldu. Je les combattrais pour l'avoir touché. Nous n'avons plus eu de nouvelles de lui. Et je protégerais ceux que j'aime de ce lord noir et de ses sbires. Je suis un résistant investit et rien ne me fera changer d'avis.



Tout pleins de coeur sur vous. C'est juynie alias Méryt ou plus communément appelée Eloïse !  samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  273358 
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célébrité avatar - nom personnage




L'enfance
samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  Tumblr_minjgsbx7M1qfe816o4_250samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  Tumblr_minjgsbx7M1qfe816o3_250


Tu avais tout juste dix ans. Tu étais déjà grand et fort, mais tu ne jouais pas de ton physique. Tu préférais rester dans l'ombre. A l'école, tu ne cherchais pas les embrouilles, même si en grandissant tu devenais de plus en plus lunatique et colérique. Du moment qu'on ne s'en prenait pas à toi personnellement, ni à ta famille et surtout à ta petite sœur, tu ne te montrais pas. Tu étais assez marginal. Tu ne savais pas pourquoi, mais tu sentais que tu n'étais pas comme les autres enfants que tu côtoyais. Des fois des choses étranges se passaient et tu savais que c'était toi qui provoquais tout ça. Mais tu n'avais aucune une idée de comment. Tu préférais donc rester à l'écart, ne pas te montrer. Tu avais quelques amis, bien sur. Mais tu n'aimais pas la grande foule. Tu étais dans le jardin de votre petite maison. Tu entendais les voitures qui passaient. Le centre de Londres était loin d'être tranquille. Mais tu aimais bien, ça ne te dérangeais pas. C'était l'été, tu venais tout juste d'atteindre tes dix ans. Tu étais assis sur l'herbe arrachant un à un les brins. Tu t'ennuyais un peu. D'habitude, tu étais avec ta petite sœur, mais aujourd'hui elle n'était pas là. Journée entre filles. Pff. Tu restas seul encore un petit moment. Puis ton père te rejoint. Tu ne l'entendis pas arriver. Il était très silencieux. Tu te demandais comme il arrivait à être aussi silencieux. Il s'installa à coté de toi. Tu aimais bien ton père. Plus tard, tu aimerais lui ressembler. Il  était tellement fort, pas physiquement, mais mentalement. Tu le regardas du coin de l'œil. Il avait un air sérieux, trop sérieux. Tu ne lui connaissais pas cet air. Tu levas un sourcil, légèrement surpris. Que se passait-il ? « Samaël, c'est moi qui est dit aux filles de partir. Je voulais qu'on se retrouve tous les deux. Entre hommes. » Tu te redressas, abandonnant les brins d'herbe que tu avais entre les doigts. Tu regardas ton père plus intensément, te mettant bien face à lui. « Ce que je vais te dire est très important. Tu ne devras pas en parler à ta sœur, pas pour le moment. Tu m'as compris ? » Tu hochas la tête. Tu savais garder un secret, même si tu n'aimais pas mentir à Willow. « Je suis un sorcier. Un vrai sorcier. Et toi aussi, tu en es un. C'est pour ça que tu n'es pas comme les autres enfants. » Tes yeux se remplirent d'étoiles. La magie existait réellement ? Waah. Il savait que son père ne lui mentirait pas, il le croyait fermement. C'était incroyable. « Je ne t'en ai pas parlé avant car des choses horribles se passent dans l'autre monde. Le monde magique. » Il te raconta ce qu'il se déroulait dans ce tout nouveau monde. Tu l'écoutais avec une grande intention. Il te racontait tout, sans omettre un détail. Il t'expliqua que les sorciers né moldu était les parias de ce monde.« J'en suis un né-moldu. C'est pour ça que nous ne vivons pas dans ce monde et puis je suis tombé amoureux de ta mère. Une moldu comme dirait les sorciers.  » Tu déglutis. Tu sentais que ce n'était pas la fin. Loin de là. « L'année prochaine, tu intégreras Poudlard. C'est une très bonne école, mais je voulais te mettre en garde. On risque de ne pas te faire de cadeau. Les sangs purs te mépriseront s’ils connaissent la "valeur" de ton sang. S’ils l'apprennent, tu ne feras rien de stupide. Tu ne les provoqueras pas. D'accord ? » Tu hochas la tête, mais dans quelques années tu ne tiendras pas cette parole malheureusement. « Mais pourquoi maintenant ? Pourquoi ne pas me le dire plus tard ? » Tu trouvais ça bizarre que ton père te révèles ça un an avant ton départ. Tu avais le temps encore. «Très bientôt, je ne serais plus là avec vous. Je ne sais pas quand, je ne sais pas si je pourrais te dire au revoir. Je ne sais rien du tout, à part qu'ils traquent les né-moldus comme moi. Le lord ne les trouve pas digne d'être sorcier. Je voulais te prévenir que bientôt tu seras le seul homme de la famille, mon fils.  » Il te prit par les épaules. « J'aurais aimé que ça n'arrive jamais, mais malheureusement, je ne décide pas. Tu seras fort mon fils. » C'est alors que tu te demandas si toi tu craignais quelque chose. Devant ton air suspicieux, ton père sembla se rendre compte de ce qui te tracassait. « Ne crains rien. Tu ne seras pas pourchassé, du moins pas pour le moment. Au contraire de moi, ils considéreront que tu as tout de même du sang de sorcier dans tes veines. Tout comme pour Willow. » Ta sœur aussi était une sorcière. Au fond de toi, tu fus rassuré. Au moins tu pourras veiller sur elle à Poudlard. Tu ne serais pas trop séparé d'elle. « Tu dois seulement me promettre une chose Samaël. Promets moi de ne jamais rejoindre les mangemorts ou quoi que se soit qui s'en rapporte. Promets moi que tu te mettras du coté du bien, même si cela risque d'être dur. » Tu regardas ton père dans les yeux. « Je te promets. » Cette fois-ci, tu tiendrais ta parole. Jamais au grand jamais tu ne rejoindrais ce qui pourrait faire du mal à ta famille. C'était inconcevable. Un mois plus tard, vous étiez tous à table. Soudain un bruit sourd fit sursauter toute ta famille. Quelqu'un venait d'enfoncer la porte. Tu regardas ton père, paniqué. Tu savais et lui aussi. Les mangemorts débarquèrent dans la cuisine. Ils prirent ton père et le forcèrent à se lever. Toi aussi tu te levas, mais tu te rassis rapidement devant le regard de ton père. « Rappelles-toi ce que je t'ai dit. » Puis ils se volatilisèrent. Ta mère pleurait en silence, tandis que ta sœur paniquée criait comme une folle. Elle ne savait ce qu'il se passait. Toi, tu étais fort du moins tu essayais. Tu voulais être comme ton père. Tu pris ta sœur dans tes bras, essayant de la calmer. Vous restâtes ainsi un long moment. Jusqu'à ce que le soleil ce couche.

Tu étais devant la fenêtre de ta chambre. Ton regard se projetait au loin. Tu étais perdu dans tes pensées. Voilà neuf mois que ton père avait disparu. Tu ne savais pas s’il était encore vivant ou non. Au fond de toi, tu l'espérais mais c'était de plus en plus dur. Et plus tu y pensais, plus tu te disais que c'était peu probable. Il avait beau être fort, il ne pouvait résister longtemps aux mangemorts. Il était fort, mais peu être pas à ce point. Et aujourd'hui était un grand jour. C'était ta rentrée à Poudlard. Tu étais excité, même si tu étais triste de quitter ta mère et ta sœur. Justement cette dernière rentra discrètement dans ta chambre, tu ne l'entendis. Tu fus surpris de sentir ses petits bras se rouler autour de ton torse. Tu étais beaucoup plus grand qu'elle. Tu baissas les yeux et posa ta main sur sa tête. Oh oui, elle allait te manquer, sans aucun doute. Elle était exceptionnelle ta sœur. C'était la personne la plus adorable que tu connaissais. Tu te penchas légèrement et passas tes mains sous ses aisselles. Tu la soulevas. Elle se cramponna à toi, passant ses bras autour de ton cou et ses jambes toutes fines autour de ta taille. Elle se cramponnait très fort à toi. Elle ne voulait pas que tu partes. Elle n'arrêtait pas de te le répéter depuis que tu avais reçu la fameuse lettre pour Poudlard. Tu sentis ses cheveux te chatouiller. Sa tête était au creux de ton cou. Elle était en larmes. Tu le savais. Tu le sentais. Ses larmes coulaient sur ta peau. Elle était triste, toi aussi. Jamais vous ne vous étiez quitté. C'était la toute première fois. Ce n'était pas un abandon, elle le savait, mais elle ne pouvait s'empêcher d'être triste malgré qu'elle  te rejoigne dans trois ans. Tous les deux, vous restâtes comme ça. Puis votre mère vous appela. C'était l'heure, l'instant fatidique. Ils n'allaient pas tarder à venir te chercher. Les mangemorts. Le même clan que ceux qui avaient amené ton père. Tu déposas ta sœur à terre et lui fit un baiser sur son front. Tu te déplaças vers ton lit où se trouvait ta valise et ton hibou. Ta sœur s'empressa de prendre ton hibou pour pouvoir prendre ta main tout en descendant les escaliers. Tu lui envoyas un petit sourire. Puis vous partîtes, vous quittâtes la chambre. Celle-ci même que tu retrouvais dans un an lors des vacances scolaires. Tu descendis tout doucement les marches, ta sœur ne t'avait toujours pas quitté. Votre mère vous attendait dans le salon. Elle était assise sur le sofa, le regard perdu dans le vide. Quand elle vous entendit arriver, elle posa ses yeux sur toi. Elle aussi était triste, tu le voyais très bien. Elle se retenait de pleurer, ses larmes étaient prêtes à couler. D'un moment à un autre, elles allaient déferler sur son beau visage. Tu posas ta valise et te retiras doucement de la prise de ta sœur. Tu te dirigeas vers ta mère. Ton seul parent désormais. Elle aussi se leva. Elle te prit dans ses bras, toi son grand fils. Son seul homme désormais. Depuis quelques mois, elle ne cessait de te répéter que tu ressemblais de plus en plus à ton père. Tu en étais fier et tu espérais honorer comme il se doit à sa mémoire, qu'il soit mort ou non. Tu voulais être la fierté de ta mère, de ton père, être un model pour ta sœur. Tu espérais y arriver, tu ferais tout ce qui était en ton possible pour que les deux femmes de ta vie est la plus belle vie qui soit. « Samaël, mon chéri. » Elle te serra fort contre elle. Tu en fis de même. Tu ne voulais pas la lâcher, puis ta sœur vous rejoignit. C'était vitre dernier avant longtemps. Tu profitais de chaque seconde. Soudain un petit pop! vous éloignâtes l'un de l'autre. Tu inspiras grandement. C'était eux. Puis tu te retournas, leur faisant face. Tu mis un masque froid, ils t'étaient indifférents. Tu faisais comme si ils n'étaient pas là. Ta mère te donna tout de même un petit coup dans le dos pour que tu les salues. Tu ne devais pas être mal poli si tu ne voulais pas subir leur foudre, mais on fond tu t'en foutais. Vu ce qu'ils avaient fait à ton père, tu pouvais réagir comme bon te semblait envers eux. Mais devant ta mère, tu t'exécutas. Tu ne voulais pas risquer de mettre leur vie en péril. Tu te mis entre les deux mangemorts, ta valise et ta cage dans tes mains. Tu posas tes yeux sur ta sœur. Elle était en pleure, contrairement à ta mère qui essayait tant bien que mal de ne pas craquer. Tu reposas tes yeux sur ta sœur, ton adorable petite sœur. « Sois forte. » murmuras-tu, mais tu étais sûr qu'elle t'avait entendu. Tu lui avais promis de lui envoyer une lettre toutes les deux semaines et tu t'y tiendrais. Puis tout tourbillonna autour de toi. Tu ne percevais plus rien. Un haut le cœur commençait à pointer son nez. Tu avais envie de vomir, tu n'aimais pas cette sensation. Puis tu retrouvas la terre ferme. Ton haut le cœur n'avait pas passé. Tu voulais vomir, mais les mangemorts t'en empêchaient. Ils te soutenaient par le bras pour te forcer à avancer. Tu leur aurais bien dégobillé sur les chaussures, mais il ne fallait mieux pas. L'année venait à peine de commencer et il ne fallait pas que tu te prennes une heure de colle dés le premier jour. Tu ne voulais pas te faire remarquer, comme te l'avais dit ton père. Du moins pour le moment.




Dernière édition par Samaël O. Nicholson le Sam 21 Juin - 4:03, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 0:19



Poudlard
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Le grand château se dressait devant toi. Il était magnifique. Tu ne pouvais pas l'admirer autant que tu le voulais car les mangemorts te forçaient encore et toujours à avancer. Tu ne disais rien. Ton père t'avait bien dit de ne pas te faire remarquer. Tu allais suivre son conseil, essayé au moins. Ils te poussèrent un peu plus violemment et tu tombas sur les marches. Tu ne relevas rien. Tu te mordis la lèvre pour t'empêcher de pester cependant. Tu sentis qu'un des mangemorts te prit par la manche de ta robe et te mit sur pieds sans ménagement. Tu crus même l'entendre dire des mots d'oiseaux contre toi. Tu montas alors les marches. Tes accompagnateurs te quittèrent dans le hall. Tu étais enfin seul et tu pouvais évoluer à l'allure que tu voulais. Tu restas un petit moment dans le hall. Tu entendais des bruits de paroles, mais tu n'y prêtas pas attention pour le moment. Tu observais cette nouvelle maison, ta nouvelle maison pour les sept années à venir au minimum. C'était gigantesque, magnifique. Tu n'avais jamais vu quelque chose d'aussi grand. Ta maison entière devait ressembler et avoir la taille du hall de ce château. C'était époustouflant. Tu restas un long moment immobile jusqu'à ce que quelqu'un te percute de plein fouet. « Oh ! Tu bouge de mon chemin ou quoi ? » Tu ne réagis pas. Ne pas faire de scandale, ne rien dire, ne pas se faire remarquer. Tu l'avais promis à ton père. Mais le garçon ne voulait pas en resté là apparemment. « T'as perdu ta langue ? Oh je te cause abruti ! » Il s'avança vers toi. Il ne te faisait pas peur, même s'il était plus grand que toi. « Tu vas me répondre ?! N’essaye pas de jouer au petit malin avec moi. » continua-t-il, menaçant. Tu lui lanças un regard. De ce que tu avais lu sur les maisons, tu étais sur qu'il allait aller à Serpentard. Tellement arrogant et sur de lui. Il y avait peu de chance pour qu'il se trouve autre part. Tu lui lanças un regard noir, pas forcément menaçant, mais lui intimant de ne pas aller plus loin. « Je ne joue à rien. » Puis tu te retournas sans un autre mot. Tu l'entendis pester encore et encore tandis que tu montais les marches. Tu rejoignais tous les autres élèves qui avaient été témoin de cette scène. Ils t'avaient surement prit pour un lâche vu ton comportement. Ils n'avaient pas pu voir l'expression de tes yeux. Seul le garçon l'avait vu, seul lui avait vu le défi qu'il pouvait y avoir et la dissuasion de le chercher plus longtemps. Mais toi ça t'allait qu'ils pensent ça. Ils ne te chercheraient pas de poux au moins, tu resteras tranquille dans ton coin et tu te feras des amis. Tu te mis dans la foule, même si tu n'aimais pas vraiment être aussi oppressé. Le seul avantage qu'avait cette foule, c'était que tu pouvais te fondre dans la masse. Si tu avais pu le faire autrement, tu l'aurais fait. Malheureusement tu ne pouvais pas. Vous attendîtes encore de longues minutes. Tu observais tout le monde. Tu n'aimais peu être pas la foule, mais en tout cas tu aimais les regarde, observer leur comportement, essayer de voir comme ils pouvaient agir. Par exemple, celle qui était à coté de toi, tu te doutais que c'était une grande bavarde rien qu'à voir comme elle se tenait sur place. Elle sautillait presque. Et tu ne t'étais pas trompée. Quelques minutes plus tard, elle t'adressait la parole, te noyant sous les multitudes de phrases. Tu la laissas parler seule, continuant d'observer les autres. Tu voyais que quelques amitiés commençaient à se tisser ici et là. Tu essayais de voir avec qui toi tu pourrais t'entendre, mais tu n'eus pas assez de temps. Les grandes portes s'ouvrirent et la foule rentra dans ce qu'on appelait la Grande Salle. Voila tes années magiques commençaient réellement, à cet instant précis. Dès que tu auras dépassé cette porte, tu seras un sorcier. Tu sais que tu devras travailler dur, mais tu essayeras d'être aussi remarquable que ton père, ton modèle. Tu te surpris toi-même à attendre impatiemment ton tour. Passer sous le choixpeau magique n'était pas l'expérience la plus désagréable qui soit. Quand ce dernier se posa sur ta tête, tu ne savais pas dans quelle maison tu voulais y aller. Tu n'y avais pas vraiment réfléchis. Tu te disais que toutes les maisons avaient leur charme. Au moins tu ne serais pas déçu d'aller dans une maison plutôt qu'une autre. C'était un avantage. Tu passas enfin. Tu fus répartis et tu rejoins ta nouvelle maison et qui sait peut être ta deuxième famille ? Tu étais heureux, vraiment heureux. La première fois depuis un an. Dés le lendemain matin, tu envoyas une lettre à ta sœur et comme promis tu lui envoyas une toutes les deux semaines. Tu lui racontais tout. Et dans ses lettres, tu pouvais voir à quel point elle était excitée de te rejoindre.

L'année avait défilée à une vitesse impressionnante. Jamais tu n'avais vu une année passé aussi rapidement. C'était fou. Il fallait dire que la magie était très intéressante. En tout cas toi, elle t'intéressait. C'était tellement mieux que ce que tu vois dans les écoles moldus. Tu étais enfin à ta place. Durant ton année, tu avais réussis à te faire des amis. Tu étais bien avec eux. Au moins tu ne te faisais pas remarqué. Tu en étais fier. Tu avais tenu ta promesse, tu n'avais pas divulgué plus en détail la nature de ton sang. Personne ne te l’avait vraiment demandé non plus. Depuis l'accident qui avait eu lieu le premier jour, tu n'avais pas eu d'embrouille. Tu croisais le garçon seulement en cours, mais tu pouvais tout de même sentir son regard noir se poser sur toi à chaque occasion. Tu sentais qu'il attendait avant d'agir, qu'il attendait quelque chose de croustillant et de concret. Il voulait te faire payer ce regard noir que tu lui avais adressé, ce regard de défi. Pour l'instant, il n'agissait pas. Il ne t'adressait même pas la parole. Tu attendais pour temps ce moment. C'était la dernière semaine. Tu voyais qu'il commençait à te chercher. Il te traînait autour. Tu ne savais pas comment réagir car il n'attaquait pas, du moins pas encore. Un jour, tu étais dans un couloir en attendant une amie. Oui, une jeune femme. Tu commençais déjà à apprécier leur compagnie. Enfin du moment qu’elles n’étaient pas trop folles et envahissantes. Celles qui parlaient trop tu n'aimais pas, c'était pareil pour les garçons. En faite, tu essayais d'éviter les gens comme ça. Ce jours là tu attendais donc une amie quand tu vis le garçon approché. Tu avais juste levé la tête en entendant des pas, mais tu ne t'étais pas attarder sur leur groupe. A quoi bon ? Tu t'étais replongé dans ton livre, car tu aimais bien lire et étudier. Tu sentis le garçon s'arrêter devant toi. Tu ne relevas pas la tête, tu savais que ça allait l'énerver. De toute façon, s’il était venu c'était qu'il avait l'intention de te dire quelque chose que tu veuilles l'écouter ou non. Tu feignais donc l'indifférence. Soudain tu sentis que ton livre s'échappait de tes mains. Il s'était matérialisé dans les mains de l'autre garçon. C'est alors que tu levas la tête avec un regard noir, une nouvelle fois. « Alors l'intello ! » Tu laissas échapper. Si toi tu étais vraiment un intello, ça se saurait. Tu étais peu être intelligent, mais tu n'avais pas du tout de très bonnes notes. Tu étais plus que moyen. Tu attendis la suite. « Dis dont, Nicholson. Tu avais oublié de nous préciser des petits trucs. » Tu te redressas. Tu croyais avoir deviné la suite. Tu ne t'étais pas trompé. « T'es peu être un sang mêlé, mais tu as plus de sang de moldu que de sorcier dans tes veines. Pas la peine de le nier. Tout le monde le sait désormais. » Ses amis ricanèrent. Tu leur lança un regard noir, qui les firent taire. Tu avais une telle prestance que tu arrivais à leur faire un minimum peur avec un simple regard. « Et ? » répliquas-tu. Qu'est ce que ça faisait. Enfin de compte, tu étais tout de même un sorcier quoiqu'il dise. Tu te relevas pour lui faire bien face. Ta carrure était bien plus impressionnante que le petit gamin qui te provoquait, malgré que vous ayez le même âge. « Alors ça veut dire que t'es pas si digne que ça d'être sorcier. Un quart de ta personne l'est peu être et encore. » Il s'avança un plus vers toi. « C'est une honte. » dit-il, te crachant presque à la figure. Tu serras les poings. Rien, il ne fallait rien faire, ne pas réagir. C'était dur tellement dur. Le garçon était entrain de dire devant une partie de l'école que tu ne devrais pas être sorcier. En effet quelques élèves s'étaient rapprochés pour voir la scène qui se déroulait. Il te ridiculisait, il allait te discréditer de toute crédibilité. Tu retins cependant tes poings. Tu avais dit à ton père que tu n'allais pas agir sous une impulsion, mais là le garçon commençait vraiment à te chercher. « Tu finiras comme ton père. Et ta sœur... » C'en était trop. Tu attrapas le garçon par le col de sa chemise. Tu le soulevas de quelques centimètres et traversa d'un pan à l'autre le couloir. Tu n'entendis plus aucune respiration tandis que tu plaquais sans ménagement l'abruti qui avait osé s'attaquer à ta famille. Tu voyais son visage se décomposer, tu en tiras une certaine satisfaction. Cependant tu ne laissas rien paraître. Tu gardais ton masque froid et dur. Tu lanças un regard menaçant aux acolytes du garçon pour les dissuader de s'approcher. Ils n'en firent rien. « Ne t'avise plus jamais. JAMAIS. De parler de ma famille de cette manière. » lui lanças-tu. « Compris ? » Il secoua la tête. Tu voyais qu'il commençait à avoir peur. Tu voyais dans ses yeux qu'il se rendait de compte de la bêtise qu'il avait fait en s'attaquant à toi. Tu étais peu être bien sage cette année, mais il se doutait que maintenant tu ne resterais plus dans l'ombre. Tu ne serais plus l'ombre de toi même. Tu avais rompu la promesse de ton père, mais il aurait été d'accord. On ne s'attaque pas aux Nicholson. Tu le lâchas enfin et lui donna tout de même un coup dans les côtes pour que le message passe encore mieux, que se soit pour lui ou pour les autres. « Retournes dans les jupes de ta mère. » Tu lui lanças un regard noir. Et il déguerpit très vite, courbé en deux. Bien sur tu fus collé. C'était évident. Votre altercation n'était pas passé inaperçu avec toute la troupe d'élèves autour de vous. Mais ce n'était pas grave, tu ne t'en voulais pas. Tu commençais à t'affirmer et c'était bien.



Le nouveau Samaël
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Cet épisode datait déjà d'un an. Tu étais avec ta mère et ta soeur. Ta sœur ne t'avait pas quitté depuis que ton père avait quitté subitement la maison, ou bien très peu. Vous avez fait des tas de choses. Durant cette année, elle avait bien grandit Tu te dis que se sera la même chose dans deux ans, tu la trouveras changée quand elle te retrouveras à Poudlard. Tu ne la verras pas grandir. Puis après elle te rejoindra. A Poudlard. Se sera votre nouvelle maison à tous les deux. Tu as hâte, très très hâte. Un jour enfin, elle te lâcha. Une amie était venue la voir et elle avait passé sa journée avec elle. Tu étais alors parti faire un tour. Tu avais été dans un parc. Il faisait tellement beau que tu ne pouvais rester à l'intérieur. A part ta sœur, tu ne connaissais plus personne dans le petit village ou vous viviez. Tu avais perdu tout contact avec les jeunes de ton ancienne école. Déjà que tu en avais pas beaucoup. Tu marchas donc un long moment seul. Tu t'enfonçais dans le parc. Tu partais loin, très loin sans but précis. Le soleil caressait ta peau. Que c'était bon. Tu arrivais dans un endroit entouré d'arbre. Tout était paisible. Tu ralentis le pas, profitant de ce calme. Au moins, ici, personne ne viendrait t'embêter. Tu laissas tes yeux observer le paysage. C'était splendide. Soudain quelque chose t'attira. Quelque chose d'anormale, de magique. A première vu, ce n'était pas étrange pourtant. Ce n'était qu'un groupe de papillons. Mais ses papillons n'étaient pas réels. En effet, tu l'avais très bien remarqué. Ils avaient ce petit quelque chose de magique. Tu haussas un sourcil. Qui pouvait bien s'amuser à faire de la magie dans un lieu remplit de moldus. D'accord, c'était de la belle magie, mais de la magie quand même. Tu pressas le pas essayant d'atteindre l'endroit où se trouvait cette personne. Tu mis quelques minutes. Ce n'était pas évident avec tous ses arbres de voir la source de cette magie. Les branches te cachaient de plus en plus ces magnifiques papillons. Mais il fallait que tu trouves cette personne. Tu levas une énième fois la tête puis tu les aperçus. Tu cru percevoir des cheveux blonds. Tu observas plus intensément. Oui de longs cheveux de fille. Tu ne vis pas son visage cependant. « T'es qui, toi ? » Tu crias, la déstabilisant. Tu avais peu être parlé trop fort. La jeune fille tomba des feuillages. Tu ne levas pas un petit pouce pour aller la récupérer. C'est vrai quoi, elle aurait pu révéler l'existence de la magie à un moldu si il avait été à ta place. Tu affichas un regard dur et froid. La jeune fille aux cheveux blonds te regarda avec un air apeuré. Elle ne semblait pas méchante. Son visage ne te disait rien. Tu n'oubliais pas un visage, mais si tu l'avais croisé qu'une fois. Tu étais beaucoup trop observateur pour ça. La fillette semblait plus jeune que toi, elle ne devait donc pas être à l'école de sorcellerie. Il fallait mieux pour elle, sinon elle risquait l'exclusion. « Euh, je- » Mais encore. Tu n'avais pas toute la journée. La fillette se mit à rougir, manquais plus qu'elle bégaie. « En fait, je- » Tu étais tombé sur empotée. Bien, Samaël. Bravo. Elle te regarda avec des grands yeux de biche. Espérait-elle vraiment te rendre compatissant avec de tels yeux ? Elle n'était pas tombée sur la bonne personne. Tant pis pour elle. « Quelqu'un aurait pu te voir. Tu es inconsciente et naïve. Tu ne peux pas pratiquer la magie dans ton jardin, comme tout le monde ?! » Tu faillis rajouter un "pauvre cruche", mais tu te retins. Elle ne méritait pas autant. Tu essayais juste de lui faire comprendre la grandeur de son acte, pas de la faire pleurer. Après c'était son problème si elle était si sensible. Tu fis demi-tour puis partis. Tu n'allais pas rester plus long temps avec une pleurnicheuse. Ta sœur était la seule personne qui pouvait pleurer et mériter ta consolation, ainsi que ta mère. Tu entendis à peine la blondinette t'interpeller. Tu marchais d'un pas décidé, prêt à partir et rentrer chez toi. Mais la jeune fille te rattrapa trop vite. Tu laissas échapper un soupire et levas les yeux au ciel. Que te voulait-elle ? Tu t'arrêtas donc. Elle se présenta alors que tu ne lui avais rien demandé. Rien du tout. Puis elle se mit à rougir. Ce n’était pas possible. Si elle rougissait à chaque fois qu'elle parlait, elle devait avoir des problèmes dans sa vie sociale. Tu te dis alors que pour la mettre un minimum à l'aise, tu devais te présenter toi aussi. Malheureusement, elle te coupa la parole et plus d'une fois. La pauvre, elle ne le savait pas, mais elle venait de ruiner ses chances de te parler plus de deux minutes. Si il y avait bien quelque chose qu'y t’insupportais c'était les gens qui parlaient trop et qui te coupaient la parole. Tu étais encore prêt à partir quand elle essaya de se rattraper. Elle se foutait de ta gueule ou bien ? Quand on s'intéresse un minimum à quelqu'un on ne lui coupe pas la parole. Pourtant c'était bien ce qu'elle était entrain de faire. Cette fille était exaspérante. « Je suis désolée de t'avoir pété les tympans. Et je suis désolé de le faire encore. Mais t'en vas pas s'il te plaît, tu me pardonnes ? » Voila comment tu devins amis avec une jeune fille insupportable, mais tu devais l'avouer attachante. Tu ne pu en faire autrement de toutes les manières. Tout le reste des vacances, elle vint te voir. Au moins trois fois par semaine, ça en devenait presque flippant. Tu l'invitas tout de même à venir avec toi au chemin de traverse. Tu essayais de passer au-dessus de ses innombrables paroles, mais c'était très dur. Tu fus soulagé quand elle t'abandonna quelques instants. Elle te laissait le choix de choisir ton animal en paix. Tu pris cette mission à cœur. Malgré qu'elle soit insupportable, tu tenais vraiment à être son ami. Oui, c'était très étrange. C'est ainsi que tu la retrouvas à Poudlard avant son entré dans la grande salle, un an plus tard. Au creux de l'oreille tu vins lui souffler : « Bonne chance. Je serais dans la salle. » Puis tu rentras avant qu'elle ne puisse t’assommer de parole comme elle le faisait tout le temps. Tu t'installas avec des amis de ta maison. Tu lui racontas tes vacances, mais ne leur révéla pas encore l’existence de cette Heaven. Ils la connaîtraient bien assez tôt de toute façon. Quand la file de premières années s'avança, tu ne pu te retenir d'observer la jeune blonde. Elle aussi semblait te chercher. Elle semblait à l'aise cependant. Mais tu voyais bien que le stress montait. Toi aussi, tu stressais. Tu ne savais pas si tu avais envie de la voir dans ta maison ou non. Tu l'espérais d'un certain coté, mais de l'autre tu te dis que tu ne pourrais la supporter H24. Puis le mangemort prononça le nom d'Heaven. Elle s'avança. On posa le choixpeau sur la petite tête blonde. Cette dernière s'évanouit. Tu entendis tes amis ricaner tandis que tu te tapais le front avec le creux de ta paume. Elle était exaspérante...

Le temps passait à une vitesse folle. Trois ans s'étaient écroulés depuis qu'Heaven t'avait rejoint à Pourdlard. Vous deveniez de plus en plus proche. Tu pouvais même dire qu'elle devenait ta meilleure amie. Après trois longues années, vous aviez réussit à tisser une forte amitié. Elle te cassait toujours les pieds cependant, mais tu ne pouvais te résigner à l'abandonner. Elle était adorable, cassez pied, mais adorable. C'était ta petite bouffée de joie, de jolie, de fraîcheur. Elle te rendait meilleure, c'était plus que certain. Cette petite blonde arrivait à te calmer presqu'autant qu'elle t'énervait. Tu n'aimais pas qu'on lui fasse du mal. Un jour, tu te souvins qu'elle t'avait avoué être tombée amoureuse d'un garçon. Et pas n'importe lequel. Le garçon que toutes les filles convoitaient. Tu devais bien reconnaitre qu'il était charmant et qu'il avait de quoi attiré l'intention des jeunes femmes. Mais le problème c'était qu'il était horrible, dégoûtant et irrespectueux. Toi, tu avais peu être ton petit coté méchant et impulsif, mais tu n'étais rien à coté de lui. Tu avais vu comment il traitait Heaven. Il la traitait comme de la merde, il fallait l'avouer. Jamais au grand jamais, tu n'aurais imaginé qu'elle puisse tomber amoureuse de lui. Lorsqu'elle te l'avoua, tu tombas dans une colère noire. Pas contre elle, enfin pas vraiment. Tu ne comprenais vraiment pas comment elle pouvait tomber amoureuse de cet abruti de première. Bien sur, elle t'en voulu de ne pas la soutenir. Mais tu étais dans une telle colère. Tu étais un peu trop expressif et impulsif, mais c'était hors de ton contrôle. Il ne la méritait pas, comme toi tu ne méritais surement pas d'être son ami. En tout cas, toi tu savais que tu ne lui ferais aucun, mal en tout cas pas intentionnellement. Tu essayas de te rattraper quand elle remarqua qu'elle n'avait aucune chance avec lui, mais tu étais maladroit pour ce genre de chose, tu ne savais pas comment faire. Les filles étaient tellement compliquées. Pourquoi ne pas avoir dit ça à une des amies filles plutôt qu'à toi ? Tu n'en avais aucune idée. Mais Heaven n'était pas la seule dont tu devais te préoccuper. Ta sœur venait elle aussi de rentrer à Poudlard, en première année. Tu devais garder un œil sur elle. Bien sur, tu la laissais vivre, mais tu ne pouvais t'empêcher d'observer quel comportement adoptait les autres vis à vis d'elle. Jusqu'à là, il n'y avait pas eu de débordement. Il fallait dire que Willow était tellement adorable. Qui lui voudrait du mal ? Tu te demandais bien. Elle ne te ressemblait pas, niveau caractère du moins. Willow ressemblait plus à votre mère et toi à ton père. Mais tu n'avais pas tout à fait toutes les qualités de ton père, malheureusement. Depuis la fin de ta première année, tu n'avais pas vraiment fait d'efforts niveaux cours. Tu avais tout juste la moyenne et encore. Tes professeurs essayaient de te donner envie d'apprendre, comme avant. En vain. Ils avaient abandonné désormais. Ils voyaient bien que tu n'en ferais qu'à ta tête. Cependant cette année était une année décisive. C'était celle ou tu passais tes BUSES. Tu ne devais pas te louper si tu voulais passer en sixième année. Tu avais beaucoup de retard à rattraper. Heaven te motiva. Elle croyait en toi. Pour elle, tu décidas de t'y mettre sérieusement quelques mois avant le grand examen. C'est ainsi que tu partis en direction de la bibliothèque. Tu avais tout ce qui t'étais nécessaire sous le bras. Tu n'avais rien oublié. Bien sur tu n'allais pas là bas avec un grand sourire, tu avais plutôt un ton morose même. Tu marchas en direction de la bibliothèque. Tu vis au loin une silhouette et une plus petite. Tu n't prêtas pas grande attention. Tu avais promis que tu allais travailler cet après-midi. Tu posas la main sur la porte quand tu entendis une voix que tu connaissais que trop bien.« Rends le moi s'il te plait. » Tu crus entendre un reniflement, montrant qu'elle était au bord des larmes. Ta sœur. La chose la plus précieuse à tes yeux. Quelqu'un osait l'embêter et tu avais faillit partir sans rien faire. Oui faillit, car dès que tu entendis sa voix tu lâchas tes parchemins là où tu étais. Tu t'avanças d'un pas décidé vers le coin où se trouvaient les deux personnes. Tu reconnus celle qui se trouvait de dos. Alistair, celui qui t'avait cherché lors de ta première année. Depuis il y avait encore eu des altercations. Rien de bien grave, à part quelques côtes cassées et des injures à tout va. Tu te rapprochas encore plus. Tu croisas le regard de ta sœur, apeurée et au bord des alarmes. Tu n'aimais pas cette vision. Dans la main du jeune homme, tu reconnus un objet qui appartenait à ta sœur. Tu savais qu'elle tenait à beaucoup à lui car il avait appartenu à ton père. Tu saisis Alistair par l'épaule et le détourna violement. Un rictus se dessina sur ses lèvres quand il remarqua que c'était toi. Oh oui, il avait prit bien de l'assurance depuis la première année. Il ne semblait plus te craindre, mais toi tu t'en foutais qu'il te craigne ou pas. Il avait touché à ta sœur malgré la recommandation que tu lui avais faite. « Tu perds la mémoire ? Je t'avais dis de ne pas toucher à ma famille. » « Mais je lui fais rien du tout, n'est-ce pas mon coeur ? On fait connaissance. » dit-il d'un ton mielleux. Tu ne supportais pas ce ton. Qu'est ce que tu détestais ce ton. Il se voulait moqueur et provocateur. Tu n'aimais pas être violent devant Willow, à vrai dire elle ne t’avait jamais vu comme ça. Tu ne voulais pas qu'elle te voit comme ça. Tu savais qu'elle n'aimait pas la violence. Tu restas donc calme, serrant les poings tout de même. « Rends lui cet objet. » dis-tu calmement. Alistair accentua son sourire. Ca n'allait pas être aussi facile, le jeune homme voulait qu'il s'énerve. « Je ne vais pas le lui rendre, c'est un cadeau. N'est ce pas chérie ? » C'en était trop. Il n'avait aucun droit de parler à ta sœur de cette manière, devant toi en plus. Tu l'attrapas par le col et le plaqua violemment au mur. « Ne lui parle pas comme ça. » Tu arrachas ce qu'il avait dans ses mains et le donna à Willow. Cette dernière courra vers lui, en pleure. Il avait un nouvel air pour elle, menaçant et méchant. « Samaël, lâche le s'il te plait. S'il te plait. » Tu regarda une dernière fois Alistair, méchamment. Ton poing menaçait toujours de s'abattre sur son minois. Puis tu le lâchas. « Voici la faille du grand Samaël. » Puis il partit avec un grand ricanement. Il n'allait plus le lâcher. « Pourquoi tu as fait ça ? » « Il te menaçait. » « Il ne m'a pas fait mal. » « Il allait le faire. » « J'aime pas quand tu es comme ça. » Ses petits bras s'enroulèrent autour de ta taille. Tu la serra contre toi. Tu restas avec elle un long moment. Tu ne révisas pas. Heaven allait te tuer, mais tant pis. Maintenant dès que tu avais du temps libre, tu le passais avec Willow. Tu ne voulais pas la laisser seule. Alistair pouvait revenir à l'attaque, d'ailleurs tu le gardais à l'oeil. Un peu trop peu être car tu ratas tes BUSES et tu redoublas. C'est ainsi que tu allais partager tes cours avec Heaven maintenant.




La résistance
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C'était parti pour une nouvelle année, ta cinquième année encore une fois. Une part de toi te maudissait. Tu avais été bête. Tu n'aurais jamais du redoubler. Tant pis, tu trouvais quand même du bénéfice à cette nouvelle année. Déjà tu allais être avec Heaven, ta seule vraie amie. Malgré que tu ais peur qu'elle soit tout le temps sur ton dos, tu étais content. Et puis c'était ta meilleure amie et tu t'étais attachée à elle. De deux, tu avais enfin ouvert les yeux sur quelque chose : tu allais agir contre les obscurs. Mais toi, tu avais décidé de ne pas faire comme les autres. Enfin pas vraiment. Tu voulais vraiment t'attaquer à eux, pas resté dans l'ombre. Tu décidas que c'était l'heure, mais avant de t'engager tu décidas tout de même de prévenir le chef des résistants. Tu ne voulais quand même pas être tout seul. Tu voulais quand même que le chef soit d'accord. Et si jamais il jugeait qu'il fallait quelqu'un pour surveiller tes arrières, il fallait donc qu'il soit au courant. C'est ainsi que tu attendis de longues minutes au détour d'un couloir, mais ce n'était pas n'importe quel couloir. Tu avais enquêté, observé et tu avais su que le lieu de réunion des résistants se trouvait ici. Tu attendis donc patiemment la fin de la réunion. Soudain des bruits de pas se firent entendre. Tu jetas un coup d'œil et remarqua qu'une foule de gens sortait de la salle. Tu attendis qu'il n'y ait plus personne puis tu avanças tout doucement. La porte était restée ouverte. Il ne restait plus qu'une personne dans la salle. Le garçon se tenait accoudé à une table regardant une pile de papier. Tu t'avanças avec précaution. Tu pensais que le jeune homme t'avait entendu, mais il ne bougea pas. Il devait être trop absorbé par ses papiers pour t'avoir entendu rentrer. Tu toussotas doucement. Il se retourna et leva un sourcil en te découvrant. «C'est toi le chef des résistants ? » Il secoua la tête. Il se demandait surement ce que tu lui voulais. Tu humectas tes lèvres puis repris la parole. « J'aimerais vous rejoindre... » Il ne semblait pas comprendre. Il te lança un regard du style : et pourquoi me dira ça quand on est tout seul, t'avais qu'à venir à une réunion ? Tu donnas un coup de tête vers les chaises, puis vous installâtes tous les deux. Tu pris une inspiration et lui expliquas que tu voulais rejoindre les résistants, mais que tu voulais agir. Tu ne voulais pas rester dans l'ombre. Il t'écouta attentivement. Tu lui exposas ton plan et tu lui appris tes motivations. Plus tu parlais, plus il semblait emballer par ton idée. Il te posa un tas de questions, voulant être sur que tu serais capable de tenir ce rôle. Puis il accepta, il devait se dire que tu avais le caractère pour cette mission. Que tu étais assez fort et que tu ne te laisserais pas marcher sur les pieds. Tu allais devenir un saboteur. Cependant il devait te prévenir de certaine chose : il acceptait que tu sois un saboteur, mais tu ne devais pas le faire remarquer par les adultes. Tu avais le droit de mener la vie dure aux obscurs. Tu pouvais montrer ta vrai nature aux élèves si tu voulais, montrer quelles valeurs tu défendais, mais les adultes ne doivent pas le voir. Sinon tu risquais de mettre ta vie en danger pour les années qui arrivaient. Tu acceptas. C'est ainsi que vous vous quittâtes avec une poignée de main. Tu savais que cette poignée de main n'était pas anodine, loin de là. C'était ton gage de fidélité. Il n'allait pas te lâcher des yeux, ni ses compagnons de confiance. Tu ne devais rien faire qui puisse les mettre dans l'embarras avec les adultes. Tu savais que tu ne ferais aucun faux pas, ou en tout cas pas intentionnellement. Quelques jours plus tard, il te conduisit à un lieu de rendez-vous. C'était ta première réunion. Tu étais la nouvelle recrue des résistants. Ils t’acceptèrent sans sourciller. Beaucoup savait que ta place était vraiment ici. Il te voyait mal chez les obscurs. Pas que ton caractère ne conviendrait pas, mais vu tes idéaux, tu étais fais pour être avec eux. Tu te trouvais dans le fond de la salle. Tu souhaitais d'abord observé comment cela se passait avant de faire partie plus activement du groupe. Tu les observas un long moment. Du coin de l'œil, tu vis que quelqu'un s'était approché de toi. « C'est donc toi le petit nouveau. » Ce n'était pas une question. Tu te tournas légèrement pour voir qui te parlais. C'était une jeune femme rousse, tu devais avouer qu'elle était très belle. Tu l'avais déjà remarquée avant. Tu partageais des cours avec elle. Enfin seulement depuis un mois, vu que tu venais de redoubler. Elle te regardait avec un petit sourire provocateur. « Moi c'est Ophélia. » dit-elle tout simplement. Elle se rapprocha un peu plus de toi. Tu pouvais sentir son odeur et son souffle chaud. « On fait son timide ? » dit-elle tout en caressant ta cuisse. Elle t'avait susurré ces paroles au creux de l'oreille. Tu ne pu t’empêcher de sourire. Ce n'était la première fois que tu te trouvais aussi proche d'une fille, mais c'était la première fois que l'une d'entre elles se montrait si entreprenante dès la première rencontre. D'un certain coté ça te plaisait, mais tu te méfiais de cette fille. «Pas du tout, je n'aime pas parler quand je n'en ai pas besoin. » Ophélia te lança un nouveau sourire. Elle se colla à toi, votre visage n'était plus qu'à quelques centimètres. « On n’est pas obligé de parler tu sais. » te dit-elle avec un sourire entendu. Tu plongeas tes yeux dans les siens, essayant de voir si elle blaguait ou non. Elle avait l'air sérieuse. Bien sur, cette proposition te tentait plutôt pas mal, mais tu ne devais pas céder aussi rapidement. Tu lui lanças un petit sourire en coin puis tourna la tête reportant ton attention sur la réunion. Tu la sentis bouillonner, elle ne devait pas avoir l'habitude qu'on ne cède pas à ses avances. Il fallait bien un début à tout.

Tu t'étais bien intégré aux résistants. Tu commençais par des petites actions pour le moment. Au fur et à mesure, tu allais grossir tes coups. Heaven avait trouvé ton choix étrange au début, mais elle comprit très vite qu'il ne fallait pas te poser trop de questions sur ton choix de camp. Elle t’avait tout de même tanné pendant des semaines, mais tu n'avais pas céder. Elle était bien trop curieuse cette petite blonde. Le faite d'être au même niveau qu'Heaven te rapprocha encore plus d'elle et ce n'était pas pour te déplaire. Bien sur elle te tapait souvent sur le système, mais de moins en moins. Tu supportais plus ses cris, ses moments de délires et tu commençais même à trouver sa naïveté et sa timidité, mignon. Bon ça tu lui avouerais jamais, non mais, fallait pas demander la lune non plus. Comme tu lui dirais jamais directement que tu tenais à elle, elle le savait tu en étais sur. Entre vous il n'y avait pas vraiment de démonstration d'affection, enfin de ton coté. Heaven ne se gênait pas pour te sauter au cou quand ça lui chantait, mais ça ne te gênait plus, ou du moins plus beaucoup. Une autre personne cependant n'était bizarre depuis quelques temps, c'était ta sœur. Tu l'avais appris il y a quelques jours. Tu l'avais retrouvé au détour d'un couloir, tu l'avais attrapé et l'entraîna dans un coin. Tu voyais bien qu'elle était bizarre en ce moment. Elle venait de moins en moins te voir et tu trouvais ça étrange. Tu voulais savoir ce qu'il se passait. Vous vous installâtes donc sur les marches d'un escalier, dans un lieu où aucune oreille ne pouvait traîner. Tu la regardas intensément. Elle devait une femme, elle était de plus en plus belle. Tu étais fière d'elle, oh oui très ! Mais tu trouvais qu'elle avait un comportement étrange et tu essayais de savoir pourquoi. En plus, elle n'avait l'air de se comporte comme ça qu'avec toi. Tu ne tournas pas autour du pot, tu ne voulais pas. Ce n'était pas vraiment ton style non plus, tu étais assez direct. « Willow, qu'est ce qu'il se passe ? » Tu la regardas encore plus, essayant de la regarder dans les yeux, mais elle gardait les yeux baissés. Elle évitait ton regard, elle ne voulait pas te regarder. Du moins tu avais cette impression. Tu attendis patiemment qu'elle veuille te répondre. Tu resterais là toute journée s’il le fallait. Tu raterais les cours pour elle, tu laisserais tomber le rendez-vous que tu avais prévu avec Heaven s'il le fallait. Puis tu vis enfin ses yeux, l'espace d'un bref instant. « J'ai peur Samaël. » Peur, peur de quoi ? C'était encore Alistair ? Tu ne l'avais plus vu traîner près de ta sœur depuis un moment, mais qui sait peut être qu'il l'avait fait sans que tu ne t'en rendes compte. C'était peu probable, mais qui sait. « Je ne te reconnais plus. Je ne reconnais plus mon frère. » Elle renifla. Elle était entrain de pleurer. Ta sœur pleurait et c'était par ta faute. Tu la pris par les épaules, la serrant contre ton torse. Tu n'étais pas très doué pour consoler les gens, mais tu savais qu'un câlin était toujours une source sure. Tu lui caressas tout doucement les cheveux. Tu voulais être sur d'une chose : « C'est de moi que tu as peur ? » Tu sentis qu'elle hocha la tête. Tu te mordis les lèvres, jusqu'au sang presque. Tu lui faisais peur. Tu aurais du t'en douter, elle était tellement fragile. A la maison, elle n'avait pas l'habitude de voir des horreurs ou de la violence. Toi tu avais découvert une autre personnalité que tu n'aurais jamais soupçonné en entrant à Poudlard. Tu pouvais être brutale parfois, mais tu ne faisais pas de la méchanceté gratuite, du moins c'est ce que tu croyais. Willow n'avait pas l'habitude de te voir comme ça. Tu comprenais qu'elle ai peur de toi. « Pourquoi agir comme ça ? Être aussi méchant... Papa... » Sa voix se brisa au souvenir de votre père. Des larmes te montèrent aux yeux à toi aussi. « J'ai mes raisons Willow. J'ai mes raisons. Je te promets quelles sont bonnes... » Tu ne lui en dis pas plus. Elle resta dans tes bras un long moment. Puis il était l'heure pour elle de partir en cours, tu la laissas partir, mais avant tu lui déposas un bisou sur le haut de son crâne. Tu restas un moment seul, repensant à ce que venait de te dire ta sœur. Puis tu partis. Tu ne voulais croiser personnes. Malheureusement, ce ne fut pas le cas. Tu sentis quelqu'un te prendre par le coude, te plaquant contre le mur. Des cheveux roux. Avant même d'entre sa voix, tu savais qui c'était : « Alors Nicholson, on se cache ? Je te cherche depuis une heure. » Elle plaqua le bas de son bassin contre le tien, puis elle passa ses mains sur ton torse. Tu connaissais les yeux qu'elle affichait en ce moment même, tu savais ce dont elle avait envie. Malheureusement pour elle, tu n'en avais pas envie. Tu mis tes mains sur ses hanches et inversa vos positions. Tu voyais qu'elle espérait. A vrai dire tu faisais exprès. C'était votre petit jeu, vous vous cherchiez, vous évitez pour mieux vous retrouver. Tu te penchas vers elle, caressant sa joue avec le bout de ton nez. Puis tu te détachas vivement d'elle. Avant qu'elle ne puisse comprendre quoique se soit, tu t'enfuis. Tu tournas en un coin et tu l'entendis : « Tu fais chier ! » Tu ne souris pas. Habituellement tu l'aurais fais, ça t'aurais amusé. Mais là, non. Tu pensais à ta sœur et à l'image qu'elle avait de toi. L'image d'un nul qui avait redoublé et d'un brute, autrement dit une très mauvaise image.



Les femmes
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« QUOI ?! » Tu avais jeté tout le jus de citrouille que tu avais dans la bouche. Tu avais faillit t'étouffer. Heaven était tombé sur la tête ou bien ? Tu la regardais avec des yeux ronds d'incompréhension. Tu étais stupéfait. « Allez s'il te plait ! Ce n’est pas comme si c'était ta première fois. Tu l'as fait déjà plein de fois. » Euh quoi ? Elle connaissait sa vie sexuelle ou bien ? Comment elle la connaissait au fait ? Tu avais encore plus les yeux ronds. « Je ne vis pas dans une grotte tu sais ! Je vois bien et surtout j'ai entendu quelqu'un en parler. » Cette conversation était de plus en plus étrange. Heaven était peu être ta meilleure amie, mais tu n'aimais pas parlé de ça avec elle. Pas du tout même. Jamais vous en avez parlé et ce ne sera pas aujourd'hui que tu lui parleras de tes ébats sexuels.« Oui, mais c'est ta première fois à toi. » Tu la regardas dans les yeux, malgré la gêne que tu éprouvais. C'est vrai quoi. C'était sa première fois à elle. C'était super important. Surtout pour une fille. « Il faut que tu le fasses avec quelqu'un que tu aimes. C'est un moment important dans ta vie. » Elle s'assit près de toi. Il n'y avait plus beaucoup de monde dans la grande salle. Heureusement, sinon tout le monde aurait prit Heaven pour une folle en l'entendant demander ce qu'elle t'avait demandé. « Mais je t'aime toi ! T'es quelqu'un d'important. » « On n’a pas ce style de relation, Heaven. C'est non désolé. » Elle fit sa mine de chien battu. Elle voulait te convaincre de changer d'avis, mais ça ne marchait pas avec toi. Pas du tout même. Tu étais buté. Tu savais ce que tu voulais. Tu ramassas tes affaires et te levas. Ta meilleure amie restait toujours assise et boudait. Avant de partir, tu te penchas tout de même vers elle et déposa un baiser sur ses cheveux blonds. Puis tu partis en cours. Tu essayas d'oublier cette histoire. Tout ça était inconcevable pour toi. Oui tu voulais le bien être de ta meilleure amie, mais allez jusque là... Non. Ce n’est pas comme si tu n'en avais pas envie. Heaven était très belle, mais c'était mal sain en quelque sorte. Tu voulais que sa première fois se fasse avec quelqu'un qu'elle aime et qui la respecte vraiment. Que se soit un bon souvenir pour elle. Il ne voulait pas qu'elle fasse ça avec elle, par défaut. Quelques jours passèrent. Tu n'entendis plus parler de cette idée folle. Tu commenças donc à oublier, mais quand tu t'y attendis le moins, Heaven revint à la charge. « Samaël. Je veux vraiment que ça soit toi. » Vous étiez tranquillement dans le parc quand elle revint à la charge. Au début tu ne répondis pas, ne voyant pas de quoi elle parlait. En voyant son expression, tu compris. Elle n'allait pas abandonnée. Elle en avait envie. Elle était têtue. « On en a déjà parlé Heaven. » dis-tu. C’est alors qu’elle explosa. Elle t’exposa toutes ses idées. Elle essayait de te convaincre. Malheureusement pour elle, elle n’y parvient pas. Tu n'allais pas céder, pas si facilement. Cependant elle n'abandonna pas pour autant. Heaven revenait à la charge, tout le temps. Elle ne perdait pas le nord. Elle te tanna durant des jours et des jours. Puis soudain tu dis oui, surtout pour qu'elle se taise. Sans réfléchir. Tu eu tord. Tu ne pouvais plus faire machine arrière. Ton coté un peu trop impulsif était sorti au mauvais moment. Tu le regrettais déjà. Tes paroles n'étaient pas tombées dans l'oreille d'une sourde. Peu être qu'elle ne t'en avait pas parlé depuis que tu avais accepté, mais tu savais qu'elle n’oublierait pas. En effet, un samedi matin, elle te fit parvenir un petit mot
ce soir,20h, dans mon dortoir. tu n'as pas droit de me lâcher. je t'attends devant la salle com'. H.
Tu passas toute la journée à essayer de trouver une excuse valable, malheureusement tu n'en avais pas. Ce n’était pas que tu n’avais pas envie d’Heaven. Non bien au contraire, tu serais fou de ne pas la désirer. Toute personne saine d’esprit devait désirer Heaven, si on omettait son caractère parfois gonflant. Ce que tu avais peur, c’était des conséquences que cela pouvait avoir. Et si jamais justement, après cette expérience, elle se rendait compte qu’elle ressentait quelque chose pour toi ? Tu ne saurais comment réagir. Tu ne savais ce qu’il faudrait faire. C’était ça que tu craignais plus que tout, mais maintenant que tu avais accepté, tu devais aller au bout de tes engagements. C'est ainsi qu'à vingt heure tu te dirigeas vers la salle commune. Tu stressais énormément. Pendant le trajet, tu essayais de te calmer. Quand tu arrivas devant Heaven, tu étais calme. Du mois en apparence. Elle te prit par la main et fit traverser la salle commune, vide. Tous les élèves étaient partis dîner et la plupart devait avoir une soirée après. Ils n'allaient être que tous les deux si tous se déroulaient bien. Personne ne viendrait les interrompre. Elle te fit patienter devant la porte. Quelques minutes plus tard, elle te demanda de rentrer, ce que tu fis. Tu la retrouvas sur son lit. Nue ou presque. Seule la couverture était sur ses épaules. My god, qu'alliez vous faire ? Tu t'avanças quand même. Tu t’essayas sur son lit. Tu restas un moment immobile. Ce n'était pas une bonne idée. Pas du tout. Tu sortis de cette immobilité quand tu sentis les mains de ta meilleure amie sur ton torse. Elle défaisait les boutons de ta chemise, t'invitant à la rejoindre. Bizarrement, elle ne parlait pas. Elle devait stresser. C'est alors que tu pris conscience de la responsabilité qu'elle te donnait. Tu devais la mettre en confiance, la rassurer. Tu décidas d'oublier toutes tes craintes. Tu devais le faire ça, pour elle. Elle t'avait dit qu'elle voulait avoir une bonne expérience pour sa première fois. Elle voulait quelqu'un qui ne serait pas une brute. Tu allais lui offrir une belle première fois, du moins tu l'espérais. Tu détachas tout doucement ses doigts de ton torse et finis de te déshabiller. Tu t'avanças alors vers elle. Tu enlevas doucement la couverture et te retrouvas au-dessus d'elle pendant qu'elle s'allongeait. « T'es sûre que c'est ce que tu veux ? » demandas-tu une dernière fois d'une voix mal assurée. Tu ne pouvais lui cacher que tu étais anxieux. Tu la regardais dans les yeux et tu vis que c'était vraiment ce qu'elle voulait avant même qu'elle ne hoche la tête. Tu hésitas quelques instants. Puis tu te lanças. Tu rentras en elle. Tu vis ses mains s'agripper au drap du lit. Tu commenças donc à faire des vas et viens en douceur. Tu vis tout de même qu'elle éprouvait de la douleur. Tu l'embrassas donc doucement. Sur la joue, dans le cou, sur les épaules, mais pas sur les lèvres. Tu ne t'aventuras pas sur ce chemin. Tu prenais de plus en plus de plaisir à lui faire l'amour. Tu espérais que se serait pareil pour Heaven. Tu espérais que tu lui donnais une bonne première fois. Tu ne pensais plus aux gens qui pouvaient vous surprendre, tu voulais juste que tout se passe bien pour Heaven.

Tu étais encore au lit. Tu fumais. Tu ne pensais à rien. En fait, tu étais totalement perdu. Et ça, ça datait de quelques jours déjà. Depuis que tu avais partagé la première fois d'Heaven plus exactement. Tu ne savais plus quoi penser. Tu ne savais plus ce que tu ressentais. Tu étais totalement perdu. Tu expiras, la fumée te brouillant la vue. Tu entendis la porte de la salle de bain s'ouvrir. Quelqu'un se glissa dans ton lit. Elle se trouva près de toi en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Ophélia glissa ses mains derrière ton dos, le massant. Sa tête se reposa sur ton épaule, l'embrassant puis montant le long de ton cou. Elle essaya de capturer tes lèvres, mais tu avais ta cigarette à la bouche. Elle se contenta donc de ta joue, ton oreille, ton cou. Tu la sentis qu'elle tirait sur ton caleçon. Elle en redemandait, encore, toujours. Tu posas ta main sur la sienne. Elle te regarda dans les yeux. Tu répondis négativement à sa question muette. Elle se laissa tomber contre la tête d'oreiller, croisant les bras sur sa poitrine. Vous restâtes silencieux un long moment, très long moment. Tu pensais à Heaven, oubliant Ophélia. Depuis que vous aviez eu cette expérience tous les deux, tu ressentais de la gêne envers ta meilleure amie. tu ne comprenais pas pourquoi. Tu ne comprenais pas ce qu'il se passait. Et tu avais surement peur de comprendre. Tu sentis qu'Ophélia avait quelque chose à te dire, mais elle restait silencieuse. Et ça devenait de plus en plus agaçant. Tu tiras une nouvelle fois sur ta cigarette, puis tourna la tête vers la jeune femme.« Qu'est ce que t'as ? » Elle secoua la tête l'air de dire : rien, laisse moi tranquille. Ce que tu fis. Si elle ne voulait pas te le dire, tu ne la forcerais pas. Elle craquera peu être, surement. Elle craquait toujours. Tu connaissais cette tête. Elle n'était pas contente. Ou du moins quelque chose la contrariait. Tu allais bientôt le savoir. Tu lui offris ta cigarette. Elle l'accepta. Tu la regardas fumer. Elle était belle avec les cheveux ébouriffer comme ça, naturelle. Tu constatais cela presque tous les matins où vous vous trouviez au lit ensemble. Tu le lui avais fait remarquer une fois, mais elle avait tout de même repris ce visage superficiel. Tu ne lui avais plus refais ce type de compliment. Soudain elle te scruta de ses yeux verts. Tu levas un sourcil. Qu'est ce qu'elle avait. « Y a quoi entre toi et la morveuse ? » La morveuse. Tu savais de qui elle parlait. Heaven. Ces deux-là se détestaient. Et pas qu'un peu. Ta meilleure amie ne comprenait pas comment tu pouvais coucher avec une pimbêche comme elle si tu reprenais ses mots. Elle la trouvait superficielle et fausse. Elle essayait de t'enlever de son emprise, de ses bras. Mais tu étais bien avec Ophélia, c'était simple, sans prise de tête, sans attache. Quand à la rousse, elle n'aimait pas le caractère d'Heaven. Elle ne la comprenait pas tout court en faite. D'un certain coté, tant mieux. Tu n'avais pas envie qu'Heaven devienne amie avec une fille comme Ophélia. Tu voulais qu'elle reste la petite Heaven que tu connaissais depuis toujours, même si elle était totalement agaçante. Tu t'étais attachée à elle comme ça. Mais la question de la rousse te surpris. « Rien du tout. » Tu n'étais pas convaincant. Ça sonnait faux, même dans tes oreilles.« T'es sur ? Parce que tu ne donnes pas vraiment cette impression. » De quoi parlait-elle ? Tu étais complètement perdu. De toute façon, ce n’était pas nouveau tu étais totalement perdu avec toutes les filles, quel qu’elles soient. Même avec ta petite sœur. « J'ai remarqué le regard que tu posais sur elle depuis quelques jours. Ne me dit pas que t'es amoureux de cette abrutie de première ? »« Ta gueule Ophélia. Tu ne parles pas comme ça d'elle. Tu m'entends ? Je te l'ai déjà assez dit. Et il n'y a rien du tout entre nous. RIEN. » « C'est ça, prends moi pour une crétine. » Elle envoya en l'air la couverture et ramassa les affaires qui se trouvaient au pied du lit. Elle remit son pantalon. Tu regardas son dos. Mais qu'est-ce qui lui arrivait ? Les femmes pouvaient être si étranges. « Et puis même si y avait quelque chose, que ce que tu en as à foutre ? Pas d'attache entre nous, c'était ça le deal non ? » dis-tu, énervé par son comportement. Tout t'échappais en ce moment, tout étais hors contrôle. Tu commençais à en avoir ta claque. Ophélia ne répondit pas tout de suite. Elle remit son tee-shirt, énervée elle aussi. Tu le voyais à ces mouvements. Elle remit ses chaussures avant de te faire fasse. « En effet, c'était ça le deal. » Tu remarquas un éclat de colère dans ses yeux. Elle attrapa son sac et te tournas le dos. Avant qu'elle ne passe le seuil de la porte, tu sautas du lit. Tu la rattrapas et la força à se tourner. Elle était terriblement sexy quand elle était en colère. Tu l'embrassas fougueusement. Elle lâcha son sac et passa les mains autour de son cou. C'était ça votre relation : vous cherchez, vous vous trouvez, vous vous disputez, mais vous retombez toujours dans les bras l'un de l'autre. Vous êtes attiré l'un par l'autre. Vous n'y pouvez rien. Mais ce qui est sure, c'est que tout ça ne risque plus d'être facile. Il y a Heaven maintenant. Car Ophélia a raison. Tu ressens bien quelque chose pour ta meilleure amie. Tu ne sais pas quoi, mais ce n'est pas comme avant. Et c'est bizarre, très bizarre.


Dernière édition par Samaël O. Nicholson le Sam 4 Mai - 5:26, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 0:21

salut toi samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  395107
(re)bienvenue sur le forum, avec ce checkchi môssieur samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  204902
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 0:26

    JON SNOW :36: . Et puis le prénom samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  273358
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 0:29

Coucou toi samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  747403 samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  260743
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 0:43

Who ... are ... you CAULDWELL

rewelcome samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  3904174883

EDIT 2s après: Nerio! Cramé !!!! kukukuku
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 0:46

t'es au courant que ta fiche ne rentre toujours pas en entier ? samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  2874821285 (met un passage dans le premier post sinon. samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  811173)

reBIENVENUE ma toute belle samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  241369 samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  241369 (qui est tout beau cette fois-ci. samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  3516571458)


ian : t'a perdu. samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  2874821285
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 0:48

samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  747403 rebienvenue samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  260743
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 1:00

merci tout le monde, vous êtes des amours samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  241369 samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  204902
z'avez vu, il est sexy le snow samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  273358
oui sarah, je suis un boulet samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  594477 mais c'est bon, j'ai rectifié (a)
et non, ian t'as tout faux samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  747403
Et akeukoukou, belle blonde samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  747403 samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  136179
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 1:07

gkjdhiguhdiutg euh JUYNE
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 1:11

Ahah oui, je suis démasquée samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  644995
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 1:12

J'suis trop fort samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  819681 ... Moi j'préfère Ilyas il est plus cool d'abord CAULDWELL
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 1:19

Re bienvenue sexy boy samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  880945
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 1:19

REBIENVENUE SUR D. samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  260743
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lost in fucking mind
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 1:39

Hanw, sexiness. samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  204902

Samaël en plus c'est joli.

welcome again. ♥️
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 1:54

:64: :64: Rebienvenue samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  804613
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 2:33

HAN KIT HARRINGTON :64: :64: :64: :63:
Rebienvenue samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  273358
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Samaël O. Nicholson

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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 5:05

Merci mes amours, vous êtes choux samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  273358 samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  241369
eh oui, bavez devant kit harington. Moi aussi je bave :64:
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 11:52

Rebienvenue samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  241369
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Alistair M. Fitzbern

Ali BabaYou are the cause of the funeral of my heart...
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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptySam 4 Mai - 22:33

EHEH SORS TA BAGUETTE NICHOLSON ! samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  204902
Rebienvenue ! samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  491263
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Samaël O. Nicholson

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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptyDim 5 Mai - 0:51

Merci samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  273358 samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  241369
Alistair, arrêtes. Tu vas pleurer samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  14256

Sinon fiche terminée. J'ai changé le passage qui n'allait pas. Si il y a le moindre problème, n'hésitez pas (a) samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  644995
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Fred Weasley

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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptyDim 5 Mai - 3:00

Rebienvue. samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  299578
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Dissendium

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MessageSujet: Re: samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)    samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  EmptyLun 6 Mai - 4:47

samaël • règle numéro 3 : méfiez-vous des toilettes (terminée)  33xhcaq
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