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 Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène.

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Kenneth A. Shaun

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MessageSujet: Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène.   Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène. EmptyVen 25 Jan - 0:43

Louise Ҩ Kenneth

« Il n'est pas de bien aussi précieux que le sourire de ceux qu'on aime. »


Tout n'était que brouillon dans l'esprit de Kenneth. A vrai dire, tout l'était depuis le début de cette journée. D'abord, il s'était pris un coup à la tête en voulant séparer deux griffons se battant pour une fille, ensuite il avait trouvé sa grande amie Louise Londubat dans un couloir du premier étage, avec des cheveux ayant apparemment connu l'explosion capillaire plus qu'habituellement, et voilà qu'elle l'avait embrassé. Ou qu'il l'avait embrassé, d'ailleurs, il ne savait plus trop bien. Quoi qu'il en soit, il s'était passé des choses étranges dans ce couloir, et la situation ne semblait pas vouloir devenir un peu plus commune. Louise avait commencé à s'inquiéter de mal embrasser, comme si le froid qu'avait jeté Kenneth relevait de cela. Évidemment, le rouge et or aurait dû prévoir que son amie ne comprendrait pas la gêne qu'il ressentait. Et en même temps, il en avait des raisons de l'être ! EH, elle l'avait embrassé, YOLO. Allo la Terre, ici la Lune, depuis quand on embrassait ses amis ? Kenneth ne le faisait pas, lui, en tout cas. Bon, maintenant si, mais ce n'était pas de sa faute ! En tout cas, le jeune sixième année n'avait pu le nier, ce baiser lui avait beaucoup plût, bien plus que ne l'aurait du. C'était vrai quoi, Londubat et Shaun étaient censés être les meilleurs amis que ce monde ait jamais connu, des amis légers, qui ne craignaient jamais le ridicules, et qui l'étaient pourtant bien plus que de coutumes. Ensemble, ils formaient un duo de choc, c'était eux contre le reste du monde, et ils riaient tellement que Kenneth avait en permanence mal au ventre avec son amie. Mais tout cela n'était que secondaire, car à présent, les papillons se mêlaient à ses rires, et jamais oh grand jamais l'un d'eux deux n'aurait pu l'imaginer. Quoi qu'il en soit, si le jeune lion aurait pu pensé qu'il avait rêvé cette matinée, le baiser furtif que lui avait une fois de plus livré Louise lui confirma bien qu'il ne s'était guère trompé, et que tout cela n'était point une illusion. Shaun aurait pu, et aurait peut-être du, d'ailleurs, crier au scandale, mais la seule pensée qu'il venait dans l'esprit du jeune homme était "tant mieux". « J’AI GAGNEEEEEEEE » avait crié Louise après l'avoir entraîné dans une course folle à travers les étages, jusqu'à ce qu'ils n'arrivent dans la salle aux coussins. A bout de souffle, très assurément décoiffé, et ne savant pas bien exactement s'il se trouvait à l'intérieur ou l'extérieur de la salle, le jeune homme tenta de respirer lentement afin de reprendre ses esprits, et son souffle, par la même occasion. Louise se trouvait toujours à ses côtés, et elle se trouvait bien plus en forme que lui, ma parole, elle était hyperactive cette fille ! Et elle ne se fatiguait jamais, elle ne devait pas marcher aux piles, il devait s'agir d'une nouvelle technologie, un truc qu'on ne débranche jamais et qui reste toujours si excité. Londubat, l'énergie même. A moins qu'on doive dire que l'énergie est du Londubat... Ahem. Le lion reprit finalement ses esprits lorsqu'il se sentit pousser à l'intérieur de la pièce - bah finalement, il se trouvait dehors hein -, et que Louise ne le lâcha que pour le faire s'écraser sur des coussins, dans un coin un peu plus isolé de la salle, désert. « Oh mon Kikiii on dirait une poule !! Un crapaud avec des plumes ! » Hein, quoi ? Le jeune homme ne comprenait rien, la Poufsouffle hoquetait littéralement de rires, et il ne comprenait pas bien la situation le pauvre. C'est qu'il était toujours chamboulé, le petit. Ah bah comme quoi des baisers ça peut vous retourner un homme. Mais bien entendu, le jeune homme gardait ses sens - du moins la plupart -, et il aperçut que des plumes continuaient à voleter autour de eux, et qu'il devait très certainement en avoir les cheveux et le visage remplit. En tout cas, cela était le cas pour son amie, et à voir sa tête à elle, le sixième année ne put s'empêcher de mêler son rire à celui de la jaune. « C'est toi la crapaute, mon chaton. » sa phrase ne voulait strictement rien dire, il en était bien conscient. D'ailleurs le mot "crapaute" n'existait même pas, il venait d'inventer un féminin au crapaud ! Enfin, si il n'en existait pas déjà un. Et puis en plus, il la traitait affectivement de petit chat juste après, un surnom super affectif qui n'allait pas du tout avec le premier, ah bah oui oui, que personne ne bouge, il avait perdu sa cervelle.

Souriant toujours, la Poufsouffle se laissa tomber sans plus attendre sur les genoux du garçon, et celui-ci pensa en cet instant même, qu'ils étaient l'image même d'un couple : isolés, dans une salle prévu à cet effet, en tête à tête, et se câlinant en se couvant presque des yeux. La belle affaire ! Et puis Louise se mit à lui enlever les plumes encombrantes qui se trouvaient dans les cheveux de Kenneth, alors, couple ou pas couple ? Cette pensée fit faire un tour à l'esprit du jeune homme, il avait pensé... couple ? Par la barbe de merlin, tout cela devenait bien plus étrange qu'il n'aurait pu l'imaginer, ils n'étaient pas un couple ! Enfin, ils ne se définissaient pas comme tel, c'était certain. En tout cas, ils en avaient tout l'air ! OH BON SANG, et si ils en étaient un et que Kenneth ne le savait même pas ? Pris de panique, le garçon resserra son étreinte auprès de la Londubat et, voyant la bouche de la jeune fille s'entrouvrir, il reporta avec attention son regard sur le visage de la belle. « Dis moi Kiki tu n’aimes pas les bisous ? Je veux dire sur la bouche ? Parce que tu étais énervée après et tu as dis que j’embrassais bien mais peut être que tu n’aimes pas ça ? Mais je ne comprends pas pourquoi tu étais énervée parce que un bisou c’est mignon non ? Moi je n’embrasse pas tout le monde, en fait tu es le deuxième garçon que j’embrasse mais je voulais pas que tu te fâches je voulais juste te faire goûter mon glush et puis moi j’ai bien aimé ton bisou et même que je voudrais recommencer mais ça se fait pas hein ? » Le sixième année manqua de faire un arrêt cardiaque, d'accord, il aurait du être habitué à toute la franchise de son amie, mais était-elle bien en train de lui dire qu'elle voulait qu'ils recommencent à s'embrasser ? Parce que Kenneth le comprenait comme cela, et qu'en général il ne fallait pas lui dire les choses deux fois. Mais le jeune homme ne fit rien. Il se contenta de scruter le visage de Louise, cherchant peut-être à réellement bien interpréter ses paroles. Du moins, si cela en était le but, ça ne marcha point. Lui qui comprenait toujours si bien Louise, ne savait plus comment il devait agir. Bien sûr qu'il avait aimé leur baiser, et bien sûr qu'il aimait les bisous, quelle question ! C'était juste que, Louise ne se rendait pas compte de la portée de telles choses. De ses actes. Car dans son monde à elle, tout était beau et tout était gentil, et que si elle avait envie de faire quelque chose, elle le faisait un point c'est tout. En fait, il semblait bien plus facile d'être Louise que d'être Kenneth. Il suffisait d'entendre avec quelle légèreté la jeune fille s'exprimait, et comme elle ne semblait guère angoissée ni perdue. Le jeune homme aurait voulu pouvoir s'arrêter de penser, des fois. Esquissant un léger sourire, le jeune homme posa sa tête contre celle de son amie, et il sentit qu'elle lui déposa un tendre baiser sur le bout du nez, ce qui fit sourire le Shaun, lui qui avait toujours était de nature chatouilleuse. « Ça chatouille ! » le lion regarda Louise avec tendresse et douceur, tout en hochant la tête de haut en bas. « Bien sûr que si que j'aime les bisous » oula, son vocabulaire ne s'arrangeait apparemment pas... En tout cas, il fallait qu'il dise une bonne fois pour toute la vérité à Louise, ils fallaient qu'ils en parlent, pour de bon. « C'est juste que... Tu ne trouves pas ça étrange ? Je veux dire, on est censés être amis, et les amis ça ne s'embrassent pas, non...? » C'était question était plus une affirmation qu'autre chose, il n'avait jamais vu des amis s'embrassaient ainsi. Ou alors, c'est qu'ils étaient plutôt en couple. Enfin, euh, VOILA QUOI. Caressant la joue de Louise avec son pouce, son visage toujours proche de celui de la belle, le jeune homme reprit « Est-ce que... Est-ce que ces baisers signifient quelque chose pour toi ? Je veux dire, à part trouver cela agréable, ça rime à quoi ? » Eh mais il y arrivait le gryffon finalement hein, il s'exprimait plutôt bien, et ses pensées se transformaient en paroles bien plus facilement qu'il ne l'aurait pensé. Comme quoi, il en avait gros sur le cœur, et il souhaitait réellement savoir où tout cela les menaient, ce qu'ils faisaient... Il voulait savoir si c'était un jeu ou du sérieux. S'arrêtant de caresser la Poufsouffle, Kenneth posa ses deux mains sur les joues de son amie et, plongeant de manière presque incongrue ses yeux dans les siens afin qu'elle ne détourne point le regard, et réponde avec grande franchise, il demanda « Tu... Tu ressens quelque chose pour moi ? » Il ne parlait pas d'amitié, il parlait en terme d'amour, et il était presque certain que Louise comprendrait cela. Il ne pouvait en être autrement, Kenneth dévoilait réellement à Louise toutes les questions qui le turlupinait depuis le début de leur rencontre, enfin, de leur baiser, plus exactement. Finalement, tenant toujours fermement le visage magnifique de Louise, Kenneth demanda avec force dans sa voix, et avec chaleur « Ces baisers signifient-ils qu'on est... un couple ? » ces mots sonnaient étrangement maintenant que le Gryffondor les avaient prononcés. C'était comme si ils ne prenaient de leur assurance et de leur signification qu'à présent qu'ils s'étaient échappés de la bouche du beau brun. « Parce que ça sonne étrangement. » lâcha-t-il avec un sourire. Non que l'idée lui déplaise, loin de là. Quoi qu'il en soit, le garçon restait statique et doux, il attendait les réponses de Louise. Il avait besoin de savoir.

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MessageSujet: Re: Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène.   Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène. EmptyDim 27 Jan - 7:35

Louise Ҩ Kenneth

« On avait déjà parlé de l’avenir, une fois. On s’était pas trop trompé d’ailleurs. T’apprends à devenir un Tyran et moi un Flan ! »


Louise la naïve. Louise la débile. Louise qui refuse de grandir. Louise la retardée. Louise était affublée de beaucoup de noms d’oiseaux dans cette école mais au final toutes ces insultes rejoignaient un seul et même fait que personne ne pouvait nier, même pas elle, Louise ne vit pas dans le même Monde. Dans son Monde à elle tout est simple, clair, sans prise de tête, il n’y a pas toutes ces interrogations, toutes ces remises en question qui peuvent bouffer une inexistence, il y a juste les faits, les actes, les envies, les contraintes et les conséquences en moins. Quand on est enfant on est comme ça, on agit selon nos pulsions sans même penser à mal. On va taper un autre enfant pour prendre son chocolat mais on ne pensait pas le taper pour lui faire mal, on voulait juste aussi du chocolat. De même qu’on va embrasser dix autres petits garçons sur la bouche dans une journée juste parce que ces garçons là on les aime bien et qu’on veut des bisous, la bouche, la joue, les oreilles, le front, le nez peu importe, c’est juste des parties de la personne qu’on aime alors on embrasse sans savoir que plus tard embrasser sur les lèvres signifie tellement plus. Louise n’est pas stupide contrairement à ce que beaucoup peuvent penser, elle est juste enfermée dans son monde de poney et de licorne, elle croit encore aux contes de fées et au prince charmant. Elle pensait même l’avoir trouvé en la personne de Louis mais finalement ça n’a pas été le cas parce qu’un prince charmant ne nous fera jamais pleurer pas vrai ? Et Louise avait beaucoup trop pleuré pour son beau pouffssoufle alors autant se rendre à l’évidence que non, il n’était pas son prince charmant. Mais quelque part ça lui aura permit aussi d’ouvrir les yeux sur beaucoup de chose comme sa relation avec son Kenneth. Elle se rendait compte que lui jamais il ne l’avait fait pleuré, jamais il ne le fera d’ailleurs parce que eux deux c’est fusionnel, c’est un tout, une même âme dans deux corps séparés, ils se complètent, se disent tout, ils n’ont pas de limite quand ils sont ensemble, tout semble simple, naturel comme être seule avec soit même. Le baiser dans le couloir avait été spontané, innocent, Louise pensait juste une fois de plus faire quelque chose de normal en posant ses lèvres sur les siennes afin qu’il goûte sa nouvelle trouvaille mais le baiser qui avait suivit…elle n’est pas stupide, elle a déjà partagé ce genre de baiser avec Louis et sait plus ou moins ce que ça signifie d’embrasser un garçon de cette façon là mais elle en avait envie et elle ne pensait pas que ce qu’ils faisaient pouvait être mal, et elle ne le pense toujours pas. Elle pensait même que si son Kiki était si distant avec elle c’est qu’il était mal à l’aise de lui dire qu’elle n’embrasse pas bien, lui il a quand même de l’expérience, elle n’a connu qu’un seul garçon donc au final oui c’est fort probable qu’elle n’embrasse pas bien même s’il réfutait le contraire. Tout s’embrouillait dans sa petite tête vide, et elle se mettait à retrouver des sensations comme avec Louis, des sensations qui l’a font encore plus sourire si c’est possible, des petits picotements dans son cuir chevelu, des papillons qui volent dans son ventre, les yeux brillants et l’envie encore et encore de recommencer mais elle ne voulait pas, Kiki avait l’air trop déstabilisé, presque en colère ou distant, elle ne voulait pas se fâcher avec lui-même si c’était une chose qui n’était jamais arrivé. Le voyant frissonner et pensant qu’il avait froid, elle l’entraina dans une course folle dans les couloirs pour l’amener dans sa cachette, une pièce magique remplit de coussin et grande à l’infinie où elle aime aller pour jouer avec son crapaud Trevor ou juste pour lire et travailler. C’est mieux que la bibliothèque. Elle regarda alors son gryffondor tout décoiffé, les joues rouges et le souffle court en souriant puis ne lui laissant pas tellement le choix, elle l’entraina dans la salle aux coussins, dans un coin tranquille et le poussa sur un énorme pouf qui laissa échapper toutes ses belles plumes blanches qui retombèrent comme de la neige sur eux, recouvrant les cheveux et les vêtements du brun qui ne semblait toujours pas réagir mais ça Louise ne le remarqua même pas. Pour elle l’épisode du baiser n’avait rien d’important dans le sens où elle ne pensait pas vraiment que ça puisse autant perturbé son lion bien au contraire.

Elle ne put s’empêcher d’éclater de rire en voyant la mine déconfite de Kenneth quand elle le compara à une poule « C'est toi la crapaute, mon chaton. » La Londubat lui adressa un sourire resplendissant avant de mimer une patte de chat avec sa main « Miauuuu » avant de rire et de se laisser tomber sur les genoux de son meilleur ami pour entreprendre de le débarrasser de ses plumes même si elle trouvait ça mignon, en fait ça lui va bien. La jeune fille sentit alors son beau brun resserrer avec force ses bras autour d’elle ce qui l’a fit glousser comme une collégienne avant qu’elle ne parte dans une tirade sans fin, une tirade Louise sans queue ni tête finissant par poser un baiser tout doux sur le bout du nez de son Gryffon qui bien sûr n’eut pas le temps d’en placer une. Mais étrangement et contrairement à ses habitudes légères, Louise voulait comprendre. Savoir ce qu’elle avait fait de mal, de travers, pourquoi d’un coup Kenneth adoptait une attitude différente, jamais il n’avait été comme ça avec elle, sur la réserve, comme ci elle était un animale étrange. Elle n’aimait pas qu’il l’a regarde comme ça, comme les autres. Oui elle est bizarre, oui elle est différente, mais elle est Louise, et lui Kenneth, ils dansent des valses sans musique, ils ne craignent pas le ridicule donc pourquoi un petit baiser pourrait tout changer, elle ne comprenait plus rien surtout qu’elle lui avoua avec toute son innocence qu’elle voudrait recommencer. « Ça chatouille ! » Louise regarda son lionceau avec un sourire tendre et retira une autre plume de ses cheveux avant de la faire glisser dans son cou pour le chatouiller avec un sourire de gamine sur les lèvres. « Bien sûr que si que j'aime les bisous » le sourire de la jaune et noir se fit plus grand à cette révélation même si elle était du coup encore plus perdue. S’il aime les bisous alors pourquoi il ose à peine la regarder ? Ah oui non c’est vrai que si elle embrasse mal forcément ba il n’ose pas lui dire pourtant elle n’en sera pas vexée, au contraire, toutes critiques est bonne à prendre elle ne pourra que s’améliorer non ? « Kiki tu fais souffrir mon neurone… » La jeune fille afficha une moue boudeuse et s’attela à continuer de retirer les plumes tandis que son ami reprenait la parole. « C'est juste que... Tu ne trouves pas ça étrange ? Je veux dire, on est censés être amis, et les amis ça ne s'embrassent pas, non...? » Finissant sa lourde tâche, la belle rebaissa le regard pour le plonger dans celui de son beau Gryffon, haussant les épaules pour lui montrer que là non plus elle ne comprenait pas le problème. OUI JE REPETE LOUISE N’EST PAS NORMALE. Elle ferma un instant les yeux contre la caresse de Kenneth se retenant presque de ronronner et de frotter sa joue contre sa main avec bonheur avant de rouvrir lentement les yeux pas perturbée pour un gallion de la proximité de leurs visages. De toute façon même avant cette histoire ils avaient toujours été du genre tactile et il n’était pas rare qu’ils soient aussi proches physiquement mais là ça semblait être différent pour le rouge et or, comme ci cette proximité signifiait autre chose maintenant. Louise ne pouvait elle pas ignorer les battements frénétiques de son cœur et cette envie de reposer ses lèvres sur celle de son ami mais étonnamment, elle ne fit rien, lui souriant simplement en le laissant parler. Elle forte Loulou hein ! « Est-ce que... Est-ce que ces baisers signifient quelque chose pour toi ? Je veux dire, à part trouver cela agréable, ça rime à quoi ? » Oula bonne question. Louise dévisagea son beau brun avec des yeux comme des soucoupes. Jamais elle ne s’était posée la question, pas avec lui mais maintenant c’était différent elle devait l’admettre. Même dans son monde on prend conscience de certaines choses, même dans son monde on comprend que embrasser comme ça un garçon ce n’est pas anodin et surtout même dans son monde on comprend que ces papillons dans son bidou et son cœur qui s’emballer signifient beaucoup de choses. Alala Kenneth Shaun qu’avez-vous fait à cette petite Londubat toute naïve espèce de bourreau des cœurs. « Euh… » Louise qui perd l’usage de la parole…Ok appelez un médecin, les pompiers, l’armée, superman parce que là ça cloche, ça coince, il y a une merde quelque part, un boulon a du sauter parce que NON ce n’est pas possible que Louise Londubat perde l’usage de la parole ! Restant un peu interdite ce qui ne devrait pas passer inaperçue pour le jeune lion, la belle se laissa faire quand il prit son visage en coupe afin qu’elle plonge plus profondément son regard dans le sien, étant carrément aspirée dedans ne voulant plus jamais s’en détacher.

Instinctivement elle posa ses mains fines sur les avant bras de son ami sans quitter son regard, de toute façon même si elle le voudrait elle ne pourrait pas. « Tu... Tu ressens quelque chose pour moi ? » Ça vous ai déjà arrivé d’avoir une sorte de tilt dans la tête ? Que quelqu’un vous dise quelque chose, un mot une phrase ou même une image déclenche une sorte de connexion dans votre cerveau embrouillé et que d’un coup grâce à cet élément déclencheur toutes les petites connexions se font et votre monde se remet doucement à l’endroit ? Non ? Et bien pourtant c’est ce qui vient de se passer sous vos yeux. Louise regarda complètement figée son ami, ayant presque l’impression de le voir différemment et pourtant de la même façon. Dans son petit cerveau elle s’imaginait plein de petits fils qui se connectait entre eux jusqu'à ce qu’une enseigne en grosse lettres lumineuses lui indiquent ce qui pourtant sonnait comme une évidence pour le reste de l’école mais pas pour eux, pas pour elle. C’est drôle et en même temps effrayant. « Ces baisers signifient-ils qu'on est... un couple ?... Parce que ça sonne étrangement. » Ouch ça fait mal ça. La jeune fille retira presque brusquement son visage des mains de Kenneth sans même s’en rendre compte avant de détourner le regard. Ça voulait dire quoi ça, pourquoi il disait ça, est-ce qu’il se rendait compte à quel point c’est méchant ? Non surement pas, jamais il ne lui aurait fait du mal intentionnellement, pas lui, pas son Kiki mais finalement tout était clair maintenant, un peu trop maintenant et elle en venait à se poser des questions qu’elle ne s’était jamais posée avant, pour personne. Merde quoi, Louise ne pense pas aux conséquences, elle ne se demande pas des trucs existentielles qui prennent la tête comme oui je crois bien que je ressens plus de l’amitié pour toi mais je ne veux pas souffrir alors en fait on va peut être rien dire et feindre l’innocence. Non ça Louise ne sait pas faire, elle n’est pas faite comme ça, déjà le mensonge et elle ça fait deux. Londubat baissa les yeux vers ses mains maintenant posées sur ses genoux, jouant avec les plis de sa jupe en se mordant la lèvre. « Et tu n’aimerais pas c’est ça ? Etrange pour toi c’est mal ? Ça serait mal qu’on soit un couple ? Je ne comprends pas… » La jaune et noir tourna finalement son visage vers son ami sans même chercher à cacher son désarroi et sa peine. « Tu sais je suis pas bête hein…beaucoup de gens le disent ici mais je suis pas bête, j’ai des bonnes notes partout et on me demande toujours de l’aide pour les devoirs, même Roxanne veut que je l’aide pour se devoirs parce que j’ai toujours des bonnes notes donc ba non je suis pas bête, je suis juste…je sais pas je ne me suis jamais posée la question, j’aime pas réfléchir comme ça, ça fait bobo à ma tête et après ba je suis fatiguée tu sais… » Partit dans ses délires, Louise regarda un instant le plafond comme la chose la plus intéressante au monde la bouche entrouverte avant de reporter son regard émeraude sur le beau visage de son ami. Son cœur battait trop vite. « Moi je ne trouverais pas ça étrange parce que c’est nous, finalement je pense que…c’est dans la continuité des choses, enfin je crois…non j’en suis sûr. Mais je ne me suis jamais posée la question avant aujourd’hui parce que ba il y avait Louis et que je ne pensais pas trouver un autre prince parce que je pensais que mon prince c’était Louis mais après on a rompu et il m’a fait pleurer…un prince ne fait jamais pleuré sa princesse pas vrai ? » La pouffssoufle dévisagea Kenneth avant de venir à son tour tracer les traits de son visage avec son index comme si elle en apprenait par cœur les contours. « Toi tu ne m’as jamais fait pleurer, tu me fais toujours rire et tu me comprends, tu n’essayes pas de me faire venir dans ton monde ici, tu viens dans le mien sans te poser de question et j’aime être avec toi…je me sens complète comme si je retrouvais une partie de moi… » Louise se rendait à peine compte de ce qu’elle disait, les mots s’écoulaient tout seul de sa bouche tandis qu’elle traçait le contour des lèvres de son Kiki. « Ça fait peur…parce que je ne veux pas pleurer mais je ne veux pas que tu sois comme ça…que tu sois loin sinon je serais plus moi, on sera plus Loulou et Kiki si tu deviens distant parce que quelque chose à changé et que tu ne voulais pas…tu ne voulais pas hein ? » Louise ne put cacher sa déception en affichant une moue enfantine avant de retirer sa main du visage de son amie et de prendre doucement la sienne et de la poser au niveau de sa poitrine sur son cœur qui battait tellement fort et vite qu’il aurait pu casser sa cage thoracique puis amena l’autre au niveau de son ventre où même s’il ne pouvait pas sentir les papillons le geste signifiait beaucoup. « Moi ça me fait des boum boum et des chatouilles dans le bidou…ça me faisait ça avec Louis et maintenant ça me fait ça avec toi…c’est mal ? »


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MessageSujet: Re: Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène.   Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène. EmptySam 2 Fév - 8:33

Louise Ҩ Kenneth

« Il n'est pas de bien aussi précieux que le sourire de ceux qu'on aime. »


Louise et Kenneth, il en avait toujours été ainsi. Une amitié forte et solide, une relation rare. Se pavaner durant le plus clair de leur temps au bras l'un de l'autre, se vanner et se câliner, se chatouiller, c'était cela même, qui rendait leur "eux" si unique. En dépit de toute gêne, ils n'avaient jamais eu aucun problème à laisser les rumeurs courir sur eux, les disant ensemble, en couple. Ceci n'avait jamais gêné ni l'un ni l'autre car pour eux, tout était très clair dans leur tête, il étaient amis. Et des amis géniaux. Qu'aucun dire n'aurait pu séparer. Alors comment auraient-ils pu imaginer, qu'un jour, les rumeurs se rapprocheraient plus de la réalité qu'ils n'avaient jamais pu le croire, le penser. Comment pouvaient-ils expliquer que c'était bel et bien les autres qui avaient finalement vu "juste" en eux, et non eux-même directement ? Ils ne l'expliquaient pas, ou du moins ils ne s'expliquaient rien du tout, pour le moment. Perdus, oui, ils l'étaient. Enfin, Louise bien moins que Kenneth. D'ailleurs, il était fort probable que la jeune fille ne soit point perdue du tout. Mais pour ce qui en était du rouge et or, jamais un tel désordre n'avait habité son esprit, et pourtant ce n'était pas comme si ce dernier avait souvent été rangé ! Au contraire, même. Ainsi Louise et Kenneth avaient finis par atterrir dans la salle aux coussins, le cerveau quelque peu perturbé, et leur définition n'étant clairement pas définie. Qu'étaient-ils à présent, comment devaient-ils se considérer, est-ce que leurs baisers signifiaient qu'ils étaient toujours leur binôme de choc ? Ou devaient-ils à présent s'ignorer ? Car la dernière proposition n'était clairement pas concevable. Jamais, oh grand jamais, Kenneth ne pourrait vivre sans Louise. Ça non. Comment aurait-il pu se passer de son oxygène ? De sa raison de vivre ? De la personne qui avait toujours le pouvoir de le faire rire et sourire en même temps, de celle qui avait raison de lui, qu'importe les circonstances. "Kiki" ne pouvait pas, clairement, et il ne le pourrait jamais. Il aurait préféré devenir ami avec Roxanne Weasley, ATTENTION, oui, cette vipère de bougre de Serpentard malsaine, plutôt que de se voir enlever sa Louloute de la mort qui tue. C'était qu'il y tenait, à sa Poufsouffle, n'est ce pas. « Kiki tu fais souffrir mon neurone… » Ah bah oui, ça aussi il ne pourrait pas s'en passer, du fait que Louise se trouve toujours être largement à côté de la plaque. Ou dans le pays des bisounours. Kenneth adorait cela. Elle était si mignonne, et contrairement à ce que d'autres auraient pu penser, elle était une personne très intelligente. Bien plus intelligente que les trois quarts de ce château. Louise avait juste une façon à elle - particulière, admettons le - de comprendre certaines choses. Mais le gryffon l'aimait, non, l'adorait, comme cela. Un air attendrit sur le visage, bien que le jeune homme se trouve toujours être si perdu, voir plus, devant l'incompréhension de son amie à comprendre que la situation était quelque peu gênante et ambiguë, et que le problème était loin de venir de la qualité des baisers qu'ils avaient échangés, par merlin. Le Gryffondor commençait à se demander comment il arriverait bel et bien à faire comprendre à Louise ce qu'il souhaitait. Ahem. Dure tâche !

Le rouge et or, remettant une mèche de ses cheveux en arière, entreprit alors de faire comprendre à sa Louloute tout ce qu'il souhaitait lui dire, à travers des questions indirectes. Mais cela ne semblait guère marcher. Lorsque Kenneth laissa entendre à son amie que les amis, ce n'était pas sensé s'embrasser, habituellement, la belle jaune et noir se contentant de baisser le crâne et d'hausser les épaules, ne comprendra fichtrement rien à ce que le jeune homme semblait vouloir lui raconter. Double ahem. Caressant son amie, le lion vit sa belle fermer les yeux, profitant de l'instant présent, et il profita de ce moment d'inattention pour la scruter dans ses plus profonds détails. Qu'elle était belle. Kenneth l'avait toujours su, il n'aurait pu le nier, mais il ne l'avait jamais contemplé de la sorte, avec tant d'attention et de perception. Il suivait avec son regard les traits du visage de la sixième année, admirant la beauté de sa peau, et le calme et la sérénité que la jeune fille laissait émaner de sa personne. Les iris du jeune homme continuèrent leur course folle, absorbés par les paupières pourtant closes de la Poufsouffle qui, il le savait, étaient encore plus belles lorsqu'elles étaient ouvertes, et que l'on pouvait découvrir la splendeur de ses yeux. Et il ne s'y trompait pas, Louise ouvrit ses paupières, et les deux diamants de la belle percèrent le regard du Gryffondor. Ayant presque oublié la situation dans laquelle ils se trouvaient, Kenneth fut presque étonné de voir Louise faire les gros yeux. Oups, il lui avait demandé à quoi tout cela rimait, n'est-ce pas ? Il fallait qu'il sache où il allait, quel chemin il arpentait, le petit. En revanche, cela semblait totalement déboussoler la pauvre petite Poufsouffle. « Euh… » Euh, euh ? C'est tout ce que Louise trouvait à dire ? Fronçant les sourcils, le sixième année resta hébété. Elle ne... Elle ne partait pas dans une tirade ? Ne faisait pas des petites mimiques dans tous les sens pour exprimer ce qu'elle voulait dire ? ALLO, LOUISE NE TROUVAIT RIEN A RÉPONDRE, l'heure était grave. Il fallait que Kenneth poursuive, car il voulait savoir, et que sa Poufsouffle semblait toujours si, hm, choquée ? Il poursuivit donc, et sentit que la demoiselle posait ses mains sur les avant-bras du jeune homme. Le lion demanda alors si Louise ressentait quelque chose pour lui, et si on pouvait dire qu'ils formaient un "couple". Oui, bon, parce que des amis qui s'embrassent, Kenneth trouvait cela beaucoup trop étrange. Il avait comme l'impression qu'il devait mettre un nom sur leur relation, sur l’ambiguïté que ni l'un ni l'autre n'avaient jamais perçus en eux, et qui se dévoilaient à présent à leurs yeux comme une évidence. Bon sang, mais comment Kenneth avait-il pu passer à côté de cela ? D'accord, le jeune homme s'entendait bien avec beaucoup de personnes dans le château, mais il aurait du se rendre compte que la proximité qu'ils avaient, ne pouvait duper personne - et pourtant cela les avaient dupés eux-même. Ce qui relevait de l'incompréhension, c'était pourquoi Louise semblait soudainement être plus triste que jamais elle ne l'avait été. En réalité, cela avait bien plus de raisons d'inquiéter le jeune homme étant donné qu'il n'avait pratiquement jamais vu Louise sans le sourire, sans sa malice accrochée au bout de ses lèvres. Oh par merlin, qu'avait-il fait, qu'avait-il dit ? Il ne voulait pas qu'elle soit triste, oh ça non, jamais il ne souhaiterait une chose pareille ! A personne mais encore moins à Louise. Pas à son rayon de soleil. En moins de trois secondes, Kenneth perdit à son tour le sourire, et il crut bien qu'il allait se mettre à pleurer. Quoi ?! C'était trop dur de voir sa Louloute comme cela ! Celle-ci avait posé ses yeux ailleurs, et elle ne laissait plus les mains de Kenneth caresser ses joues. Il allait mourir, et la phrase que prononça Louise quelques secondes après l'acheva encore plus que si elle n'avait rien dit. « Et tu n’aimerais pas c’est ça ? Etrange pour toi c’est mal ? Ça serait mal qu’on soit un couple ? Je ne comprends pas… » Quoi ? Mais non, mais pas du tout, ce n'était pas ce qu'il avait voulut dire ! C'était juste une question qu'il avait posé comme cela à Louise, et elle se retournait à présent contre lui, c'était trop injuste. Lui, il n'avait jamais vraiment réfléchit à l'idée de former un couple avec Louise, ça non, pourquoi diable une telle idée aurait traversée son esprit ? Il n'en avait jamais rien su, mais à présent tout avait changé, il était clair qu'ils devaient tous deux savoir ce qu'ils voulaient. Non, ce ne serait pas mal d'être en couple avec sa Londubat, mais le gryffon avait le droit de penser que cela sonnait étrangement, non...? Parce qu'ils étaient amis depuis bien trop longtemps pour ne pas trouver cela étrange. « Mais je n'ai jamais dis ça, Louloute, je pose juste une question normale. On s'embrasse, alors moi je veux juste savoir. » Savoir, comprendre, oui, voilà ce qu'il souhaitait le Shaun. Des réponses. Et Louise finit finalement par tourner son visage et ramener ses yeux sur lui. Elle semblait encore plus triste lorsqu'il la regardait dans les yeux, et cela déchirait le cœur de Kenneth. Quelle sensation horrible ! « Tu sais je suis pas bête hein…beaucoup de gens le disent ici mais je suis pas bête, j’ai des bonnes notes partout et on me demande toujours de l’aide pour les devoirs, même Roxanne veut que je l’aide pour se devoirs parce que j’ai toujours des bonnes notes donc ba non je suis pas bête, je suis juste…je sais pas je ne me suis jamais posée la question, j’aime pas réfléchir comme ça, ça fait bobo à ma tête et après ba je suis fatiguée tu sais… » Kenneth ne réagit même pas au nom de la vipère de Weasley, tant il était concentré sur les paroles de la belle, et tant il était en même temps chamboulé à l'intérieur de lui-même, par le fait de voir une Louise sans sourire. Bien sûr que non, qu'elle n'était pas bête, par merlin ! Bien au contraire. Ça va pas la tête, eh. « Bien sûr que non tu n'es pas bête! Tu es même très loin d'être bête. Que quelqu'un vienne me le dire en face, ou que j'attende une personne prétendre cela, et je le tue. Mais véritablement. » le jeune homme marqua une pause, serrant le dos de Louise qui était toujours assise sur ses genoux avec sa main gauche, il rajouta avec un air tendre et sérieux « Pas touche à Louloute. » C'était fou ce qu'ils pouvaient être proches, en y pensant. Cela en était même carrément dingue. Et Kenneth adorait cela.

Louise scruta un instant le plafond puis ramena son attention sur le rouge. « Moi je ne trouverais pas ça étrange parce que c’est nous, finalement je pense que… c’est dans la continuité des choses, enfin je crois… non j’en suis sûr. Mais je ne me suis jamais posée la question avant aujourd’hui parce que ba il y avait Louis et que je ne pensais pas trouver un autre prince parce que je pensais que mon prince c’était Louis mais après on a rompu et il m’a fait pleurer… un prince ne fait jamais pleuré sa princesse pas vrai ? Toi tu ne m’as jamais fait pleurer, tu me fais toujours rire et tu me comprends, tu n’essayes pas de me faire venir dans ton monde ici, tu viens dans le mien sans te poser de question et j’aime être avec toi…je me sens complète comme si je retrouvais une partie de moi… » Kenneth n'osait plus bouger. Tout ce que disait Louise était si... vrai. Par merlin, bien sûr que tout cela était dans la continuité des choses, comment aurait-il pu en être autrement ? Kiki et Louloute sont dans le parc, Louloute et Kiki se tiennent par la main dans les couloirs, Kiki et Louloute s'attendent à la sortie des cours et se font des câlins, Louloute et Kiki se frottent le nez et se caressent le visage, ils ne s'en étaient pas rendus compte, mais ils étaient déjà un couple depuis bien longtemps... Kenneth retint son souffle. Tout, il avait tout depuis le début devant les yeux, et il ne s'était rendu compte de rien. Jamais, oh grand jamais, Kenneth n'aurait pu penser qu'une chose pareille arriverait... Ça. Oui, Louise était une partie à part entière de Kenneth, cela était certain. Plus que certain, même. « Ça fait peur… parce que je ne veux pas pleurer mais je ne veux pas que tu sois comme ça… que tu sois loin sinon je serais plus moi, on sera plus Loulou et Kiki si tu deviens distant parce que quelque chose à changé et que tu ne voulais pas… tu ne voulais pas hein ? » Le visage de Kenneth prit une tournure... étrange. Comment ça, il ne voulait pas ? Si, il l'avait voulu, et d'ailleurs, il en avait envie en cet instant-même, c'était juste qu'il était perdu, plus que perdu. Mais une chose qu'il savait avec certitude, c'était qu'il ne voulait pas que sa Louise pleure, et tout ce qu'elle lui disait le touchait, beaucoup. Prenant ainsi sa respiration, Kenneth sentit que le moment crucial n'allait pas tardé à arriver, il réfléchit durant quelques instants, se remémorant tout ce qu'il pouvait sur Louise et lui - et croyez moi qu'il y en avait des choses à se remémorer. Leur rencontre. Le jour où tout avait commencé entre eux. Il avait pris sa défense un jour en cours, il était le seul à ne pas s'être moqué d'elle, et il avait insulté de crétins tous ceux qui avaient osé ne serait-ce qu'esquisser un sourire en direction de la jeune fille. En deuxième année, Kenneth s'amusait souvent à faire des caches-caches inter château avec son amie, où ils passaient de longues heures à se chercher. Et puis ils avaient inventé leur langage codé. Maifé qu'esfé quefé tufé disfé ? Qu'ils avaient pu en rire. Tout, tout se rapportait toujours à Louise. De quelle que manière qu'il soit. Et peut-être qu'elle avait raison, pourquoi Kenneth ne l'avait jamais fais pleurer ? Parce que pour rien au monde il n'aurait voulut blesser la personne qui comptait le plus pour lui dans ce château, avec sa sœur Ana. C'était vrai que Louise et Kenneth se comprenaient, mieux encore, ils se complétaient. Plongeant ses tendres yeux bruns dans ceux de Louise, Kenneth dit en toute honnêteté, et d'une voix tranchante et attendrie « Si, je le voulais. » Maintenant qu'il le disait, le gryffon en devenait plus certain encore. Comment aurait-il pu se mettre à embrasser Louise avec tant de fougue alors qu'elle n'avait seulement voulu que lui faire goûter son nouveau glush, et penser que tout cela relevait du pur hasard ? Ce n'était pas possible. Peut-être qu'on n'embrasse pas les gens de la sorte, mais Kenneth n'était strictement pas le genre de personnes à le faire, en plus. Il reprit alors, d'une voix plus ferme, et attrapant le visage de sa Louise entre ses doigts, afin de lui transmettre toute la sincérité de ses mots « Bien sûr que si je le voulais. » Et puis il se passa quelque chose d'étrange. D'inattendu. Kenneth crut d'abord que son amie le refoulait en retirant à nouveau les mains du jeune homme de son visage et en tournant la tête, mais ce n'était pas le cas. Non, il n'en était rien. Certes, elle avait enlevée les mains du jeune homme de la place qu'elles avaient trouvées sur ces joues, mais elle les avait mené jusqu'à sa poitrine, jusqu'à son cœur. Des frissons traversèrent l'échine du jeune lion. Brrrr, ça titillait dans sa tête, pauvre garçon. La jaune et noir déplaça une des mains du jeune homme vers son ventre, et dit « Moi ça me fait des boum boum et des chatouilles dans le bidou… ça me faisait ça avec Louis et maintenant ça me fait ça avec toi… c’est mal ? » Elle était tellement mignonne que Kenneth aurait voulut lui coller un gros bisou sur le front, littéralement attendri. Mais le fait que celle-ci parle de Louis le refroidit quelque peu, il devait l'avouer. Qui souhaitait être associé à l'ex de quelqu'un ? Personne, assurément ! Même si Louis et Kenneth avaient toujours été de bons amis, par merlin il ne voulait pas s'attendre associer à un des exs de Louise. Le seul, peut-être, d'ailleurs, mais quelle importance ? Il voulait être unique aux yeux de Louise, il ne voulait pas qu'elle revive des sentiments déjà vécus. C'était comme si il lui disait qu'il avait pensé à Jaycee lorsqu'il l'avait embrassé, c'était faux mais par dessus tout cela était horrible. Beurk beurk, non, Kenneth ne voulait pas être un substitut d'un ancien amour de Louise, ça non. Détournant le regard malgré lui, le jeune homme ne put s'empêché de demander, oubliant même les paroles que Louise avait précédemment prononcées « Tu l'aimes toujours ? » le jeune homme marqua une pause « Louis. » il précisait, sait-on jamais. Le gryffon pensait connaître la réponse, mais il espérait clairement que Louise le conforterait dans son idée. Louis l'avait fait souffrir, mais par dessus tout Kenneth espérait qu'elle comprendrait qu'il ne voulait pas être identifié à son ami jaune et noir, tout comme il n'aurait pas apprécié être identifié à qui que ce soit d'autre qui ramène des souvenirs. « En fait, ce que je te demande c'est, euh tu vois, enfin... » allez Kenneth, tu peux le faire, exprime donc ta pensée ! « J'aime pas trop trop savoir que je te rappelle ta relation avec Louis, parce que... » olalala pourquoi avait-il démarré ? Il aurait mieux de se taire pour le coup. Quelle pagaille. « J'aime pas être identifié à un de tes exs. J'ai pas envie de te rappeler qui que ce soit quand je t'embrasse, ou quoi, parce que pour moi c'est unique, et je veux pas être un substitut de ton passé. » eh beh, c'était mieux sortit qu'il ne l'aurait cru. Au moins, le jeune homme se sentait plus léger, cela était certain. Récupérant ses mains afin de jouer quelque peu avec ses propres doigts, le jeune homme attendit quelques instants. Quoi ? Il ne le savait pas lui-même, il attendait juste, tout simplement. Et puis sa bouche reprit le chemin de la parole par elle-même, trouvant ses mots bien plus facilement qu'il n'aurait pu le penser. « Tout ce que tu dis, je le ressens aussi. Et non c'est pas mal, tu sais. Je pense que tout le monde soupçonnait qu'on soit un couple... Bien avant que nous-même ne le sachions. » Etait-il en train de lui dire ce qu'il pensait qu'il était bien en train de lui dire ? Ahem, lui même n'en savait trop rien, en toute honnêteté. Affichant une petite moue, et arrêtant de faire mu-muse avec ses doigts, le jeune homme redressa son visage en direction de Louise, avec un air plus malicieux que jamais, et taquin aussi. Il avait le sourire le garçon, et tout cela avant même qu'il n'ait sortit la réplique qui le faisait sourire. Cependant, ne voulant pas passer pour un débile trop longtemps, le jeune homme s'empressa de la dire à son interlocutrice, parce que quand même, on aurait dit un fou qui souriait tout seul avec un air coquin, et ça faisait peur. Puis c'était pas le cas. BREF. Il finit par le dire, tout simplement « Alors comme ça... Tu as envie de m'embrasser ? » Le jeune homme remua les sourcils d'un air charmeur, amusé à la fois, avant d'éclater de rires. C'était fou, ce qu'il arrivait à garder sa relation d'amitié folle avec son binôme dans un moment pareil. Un moment qui aurait du être sérieux, il l'avait rendu taquin et amusant. Il l'avait rendu comme ils avaient l'habitude de le rendre tous les deux, ensemble. « Alors, c'est mon charme fou qui te fait de l'effet ? » bah tiens donc, la débilité de Kenneth dans toute sa splendeur ! Niveau d'intelligence ? Zérooooo. Oui oui, il était amusé, et il n'arrêtait plus de sourire. « Ou peut-être est-ce ma fantastique personne ? » modestie amusée, quand tu nous tiens. Il en faudrait un peu du temps pour que le jeune homme n'arrête de sourire niaisement à ses propres blagues, par merlin. Cependant, cela ne semblait pas être pour de suite mais, dans un instant de totale lucidité, le jeune lion se pencha vers son amie, vers sa Poufsouffle, lui remit une mèche de cheveu derrière son oreille, et déposa un nouveau baiser sur les lèvres de la belle.

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MessageSujet: Re: Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène.   Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène. EmptySam 9 Fév - 13:16

Louise Ҩ Kenneth

« On avait déjà parlé de l’avenir, une fois. On s’était pas trop trompé d’ailleurs. T’apprends à devenir un Tyran et moi un Flan ! »


Plus ils parlaient, plus elle le regardait et plus Louise réalisait des choses qui pourtant avait toujours été devant de son nez depuis le début. En même pour sa défense, on parle de Louise Londubat, il y aurait eut un écriteau géant avec l’inscription lumineuse Tu es amoureuse de Kenneth Shaun ton meilleur ami qu’elle serait passé à côté et ne l’aurait pas vu alors lui demander de s’en rendre compte toute seule avec son mono neurone qui fonctionne à peine correctement c’était beaucoup lui demander quand même. Mais maintenant ça devenait de plus en plus limpide. Le baiser, leur lien, leur complicité et surtout leur proximité qui au final avait toujours dépassé celle d’un simple binôme de meilleurs amis, c’est même étonnant qu’a l’époque Louis n’ai jamais rien dit et idem pour les anciennes petites amies de Kenneth parce qu’au final ils se comportaient comme un couple depuis bien longtemps sans même faire attention, certes les bisous et le sexe en moins mais quand même, maintenant les deux inséparables comprenaient mieux pourquoi ils avaient déjà la réputation d’un couple au sein de l’école alors que eux même ne le prenaient pas encore comme ça. Mais étrangement, cette prise de conscience ne faisait pas du tout peur à Louise, bien au contraire, elle trouvait ça normal contrairement à son Kiki, elle savait que c’était dans la continuité des choses ce qui leur arrivait, les sentiments qu’elle pouvait ressentir pour son ami ils n’avaient rien de nouveau, ils ont juste évolué avec le temps rien de plus. c’est aussi ça l’avantage de réfléchir comme Louise, on ne cherche pas très loin et parfois comme maintenant ça a du bon parce qu’elle prenait les choses avec beaucoup de légèreté, elle venait de réaliser que son prince charmant était devant ses yeux et qu’elle ne le perdrait surement jamais, en revanche Kenneth lui semblait en proie à un gros doute quand a l’évolution de leur relation ce qui eut l’effet de refroidir la jeune jaune et noir, réalisant que même si elle avait prit conscience de ses sentiments, ça n’impliquait pas forcément qu’elle finirait en couple avec le beau brun parce que oui, le B.A.BA d’une relation c’est qu’elle se construit à deux donc si Kenneth veut juste garder leur super amitié de la mort qui tue, Louise acceptera sans broncher, jamais elle ne prendrait le risque de le perdre, ça serait comme se priver d’oxygène et encore plus maintenant qu’elle réalisait à quel point elle tenait à lui. Mais malgré tout l’effort du monde, la jeune fille ne parvint pas à cacher sa déception aux propos de Kiki, baissant la tête comme une gamine boudeuse pour fuir son regard. Ça faisait mal de se prendre ça dans les dents quand même, passer du chaud au froid Louise n’était pas vraiment habituée et ne savait pas trop comment aborder la chose. « Mais je n'ai jamais dis ça, Louloute, je pose juste une question normale. On s'embrasse, alors moi je veux juste savoir. » Louise se contenta d’hausser les épaules et de vider son sac, lui avouant tout ce qu’elle pensait sur tout ça, s’emmêlant les pinceaux comme à son habitude mais étrangement elle parvint à dévoiler le fond de sa pensée à peu près correctement, lui avouant ainsi plus ou moins clairement ses sentiments, essayant d’être clair, même pour elle ce qui n’est pas simple quand on est une Londubat, la jeune fille avait vite tendance à partir sur des explications de choses que personnes ne voulaient savoir comme l’épilation des copines de Louis mais quoi qu’il en soit, elle s’en sortit plutôt bien. Et elle acheva ses proposes tristement en revenant sur les premières paroles de son ami, les mêmes qui l’avaient rendu si triste parce que si son Kiki ne veut pas d’elle comme amoureuse, elle ne veut pas d’autre amoureux que lui, personne ici, dans cette école et même surement sur cette planète n’est aussi apte à comprendre et à compléter Louise que Kenneth, c’est un fait, ils sont comme une âme dans deux corps séparés et quand ils se retrouvent ensemble, ils sont un tout.

Louise le sait, même si avec Louis c’était magique, génial et tout le tralala, même si elle a été follement amoureuse de ce garçon timide et renfermé qui ne s’ouvrait qu’avec elle, qui lui a fait découvrir la définition du mot amour et stabilité, avec Kenneth c’est encore autre chose, c’est plus fort, plus intense mais surtout plus naturel. Louis était un garçon introverti alors c’est vrai qu’avec une copine comme Louise qui se cassait la gueule partout et qui se mettait à hurler sans raison dans les couloirs, il devenait vite le centre d’attention des autres et la cible de moquerie ce qu’il a toujours eut du mal à accepter. Louise n’a jamais eut cette notion des choses, elle s’en fiche que les autres rient d’elle ou de sa manière de pensée bizarre, elle s’en fiche de tomber et que les gens rient sur son passage et ça elle peut le partager avec Kenneth, elle peut s’enfermer dans sa bulle avec lui, elle peut le faire venir dans son monde sans avoir peur qu’il s’y perd, elle est sûr que chaque fois qu’elle trébuchera par terre, il y aura toujours un Kiki pour la relever, essuyer ses larmes et faire un bisou magique sur son genou éraflé avant de lui payer une tarte à la citrouille. Toujours. Alors oui, elle voulait qu’il dise oui parce que maintenant même si elle ne dira jamais non à rester son amie, ça fera mal de le voir avec une autre comme Dalia parce que c’est son Kiki, son double, son amoureux et à personne d’autre. « Si, je le voulais. » Kézako ? Louise releva doucement la tête pour plonger son regard dans celui du beau brun, détaillant son visage parfait de milles et une façon. Il ressemblait à ces princes charmants dans les romans avec sa peau bronzé et son sourire tendre à faire chavirer le cœur de toutes les filles de cette école dont le sien. La jeune fille ne masqua pas son étonnement et secoua lentement la tête pour lui montrer qu’elle ne savait pas ce qu’il voulait dire là tout de suite, il lâchait ça comme ça mais non il peut pas, avec elle il faut ramener un minimum d’information de la conversation précédente sinon elle est vite perdue la Louloute hein ! Aller hop un résumé monsieur Shaun ! « Bien sûr que si je le voulais. » Il n’a pas comprit. Sans savoir pourquoi ni comment, Louise se retrouva le visage prit entre les mains fortes de son ami, son regard accroché au sien. Automatiquement ses yeux allèrent à la rencontre de sa bouche si près, si tentante, Louise se demanda même si ses lèvres avaient encore le goût fruité du glush mais elle resta sage et préféra elle aussi lui expliquer ce qu’elle ressentait, prenant ses mains pour en placer une sur sa poitrine, et l’autre sur son ventre sans même se dire que ce simple geste pouvait prêter à confusion avec un adolescent de 16 ans qui a les hormones en pleine ébullition. Elle ne se douta même pas de la maladresse qu’elle effectua en parlant de Louis pour essayer de montrer ce qu’elle ressentait. En même temps elle restait une gamine, elle n’avait jamais rien vécu d’autre avec personne donc oui elle le prenait comme point de comparaison mais c’est vrai que elle ne voyait pas le mal. Le sourire récemment apparut de la belle disparut d’un coup quand elle vit son Kiki détourner le regard, elle pensa alors que c’est parce qu’elle en avait peut être trop dit, elle avait peut être été trop loin, elle ne se dit pas un seul instant que c’était la mention de Louis qui avait créé cette réaction chez son nouvel amoureux, mais elle pensait que la fautive c’était elle tout simplement, comme toujours en fait. « Tu l'aimes toujours ? » Louise fronça un instant les sourcils sans comprendre, gardant toujours les mains de Kenneth fermement sur elle. De quoi il parlait ? Louise ne s’était même pas rendu compte qu’elle avait mentionné Louis alors allez répondre à cette question surtout pour une gamine qui aime tout le monde ! « Louis. » Ah oui j’ai oublié de préciser c’est que ces deux là ont une capacité assez énorme à lire dans les pensées de l’autres, les évitant parfois de tout simplement parler…bon non c’est pas vrai, Louise parle tout le temps même dans son sommeil mais vous avez comprit. Affichant un O avec sa bouche, Louise montra ainsi qu’elle avait comprit et réfléchit un instant, essayant de s’imaginer si demain Louis revenait vers elle mais elle n’y arrivait pas, tout simplement parce que ça n’arrivera jamais. « Oui. En quelque sorte mais pas…c’est plus mon amoureux. Moi j’aime plein de gens mais ce n’est pas mes amoureux, j’ai qu’un seul amoureux et c’est toi, Louis c’était mon amoureux et oui je l’aimais, très fort mais en fait maintenant quand je pense à lui ou que je l’imagine avec sa nouvelle amoureuse…ça me fait plus mal, ça me rend heureuse pour lui donc c’est sans doute que j’ai tourné la page pas vrai ? Et puis toi et lui ce n’est pas pareil… » Louise n’était pas vraiment de répondre correctement à la question, elle n’avait jamais eut à faire ça et n’arrivait pas à s’exprimer correctement, elle espérait juste que Kenneth ait comprit mais ça l’intriguait.

Elle caressa alors machinalement les mains de son ami toujours sur sa poitrine et son ventre plat. « Pourquoi ? » Je vous présente Louise Londubat la naïve, ton nouvel amoureux te demande si tu aimes encore ton ex mais toi tu ne percutes pas huhu. « En fait, ce que je te demande c'est, euh tu vois, enfin... J'aime pas trop trop savoir que je te rappelle ta relation avec Louis, parce que... J'aime pas être identifié à un de tes exs. J'ai pas envie de te rappeler qui que ce soit quand je t'embrasse, ou quoi, parce que pour moi c'est unique, et je veux pas être un substitut de ton passé. » Hein quoi qu’est-ce qu’il dit le monsieur ? Louise regarda avec des yeux ronds son Kiki essayer de se dépatouiller avec ses paroles, récupérant même ses mains pour se tordre les doigts dans un tic nerveux. La demoiselle le regarda alors sans bouger, la bouche entrouverte pas sûr de comprendre. « Mais…enfin vous embrassez pas pareil je peux pas penser à Louis quand je t’embrasses voyons mon Kiki…et puis toi c’est toi et moi c’est moi on s’en fiche des autres pas vrai ? » quelle grande philosophe cette Louise n’empêche, vous en trouverez pas beaucoup des filles aussi légères sur les ex de leur copain (a) quoiqu’il en soit une fois de plus la belle brune était complètement à côté de ses pompes et pourtant elle était d’une sincérité déconcertante, essayant à tout prix de rassurer son chéri. « Tout ce que tu dis, je le ressens aussi. Et non c'est pas mal, tu sais. Je pense que tout le monde soupçonnait qu'on soit un couple... Bien avant que nous-mêmes ne le sachions. » Sans qu’elle ne puisse le contrôler plus longtemps, la belle afficha un sourire resplendissant en hochant vigoureusement la tête. Là elle comprenait ! Rho pas compliqué quand même d’être clair net et précis pensez un peu aux personnes qui ne doivent vivre qu’avec un seul neurone pardi ! Louise attrapa les mains de son beau gryffondor pour qu’il arrête de se torturer les mains comme ça, elle ne voudrait pas qu’il se fasse mal et surtout elle ne voulait pas qu’il soit comme ça avec elle. Penchant la tête sur le côté, elle observa un moment le jeune homme en souriant. « Ça veut dire qu’on est un couple alors c’est ça ? » Ah ba au moins elle, elle ne tournait pas autour du pot hein ! Ça avait le mérite d’être clair, couple ou pas couple point. La jeune fille regarda son ami avec un intérêt grandissant et elle ne put cacher son sourire amusé en voyant l’air mutin de Kenneth, visiblement il avait une idée derrière la tête cette fripouille. Elle ne broncha pas, continua de caresser affectueusement ses mains en attendant qu’il se décide à révéler le fond de sa pensée. « Alors comme ça... Tu as envie de m'embrasser ? » Ne s’y attendant pas DU TOUT après une conversation aussi sérieuse, Louise afficha une mine faussement choquée avant d’éclater de rire à son tour sous le tour de passe passe de Kenneth avec ses sourcils, se voulant charmeur alors que ça lui donnait surtout l’air d’un idiot, son idiot à elle. « Oui mais pas si tu fais ça avec tes sourcils ! Comment tu fais d’ailleurs… » La belle essaya et se mit à loucher en regardant vers le haut comme une débile profonde avant de se mettre à rire de nouveau, en ayant mal au ventre et à la mâchoire. « Alors, c'est mon charme fou qui te fait de l'effet ? » Ok elle allait mourir de rire c’était décidé, il allait la tuer avec ses conneries le fou.

Son rire redoublant d’intensité, Louise se plia en deux sur les genoux de son amoureux en se tenant le ventre avant de se redresser en essayant de garder son sérieux mais elle était parcourut de gloussements incontrôlables tandis que des larmes perlaient au coin de ses jolis yeux. « Oh oui mon Kiki c’est ça tu es mon idole tu es trop beau je vais même acheter un poster de toi à mettre au dessus de mon lit ! Grrr » elle fit mine de griffer son torse avec des griffes inexistantes avant de rire de nouveau, retrouvant toujours avec lui cette complicité, qu’ils soient amoureux ou non, ils restaient meilleurs amis avant tout et c’est ce qui faisait la force de leur relation. « Ou peut-être est-ce ma fantastique personne ? » Affichant une moue sérieuse, Louise hocha vigoureusement la tête pour approuver son ami dans son délire, elle l’aime tellement. « Tout à fait mon cher ami, tout à fait » elle lui adressa un sourire amusé qui se mua vite en un sourire d’une tendresse inouïe, le genre de sourire que l’on adresse seulement à la personne qu’on aime, elle le laissa replacé une mèche folle derrière son oreille, se retenant de coller sa joue contre sa main et de ronronner. Louise le vit alors amorcer un mouvement vers elle, et c’est naturellement qu’elle alla dans son sens, fermant lentement les yeux quand les lèvres du garçon caressèrent chastement les siennes, timidement, comme si maintenant que leurs sentiments avaient été mis à nus et que les choses étaient clairs entre eux, ils étaient plus sur la retenue, ils prenaient leur temps, après tout c’était nouveau pour eux. « Attends j’ai mal à mon cou… » souffle contre les lèvres pleines de son Kenneth, la belle bougea de position aussi élégamment qu’un éléphant qui essaye de se retourner, lui donnant des coups sans faire exprès, puis elle se retrouva assez vite à califourchon sur le gryffondor, plus à son aise en étant face à lui que de profil, passant ses bras autour de son cou afin que ses doigts puissent jouer dans ses cheveux. « Tu es beau Kiki. » c’était une phrase qui n’appelait pas vraiment de réponse, juste une constatation qui venait du cœur. Elle s’amusa à caresser son visage avec ses doigts comme une enfant, s’attardant sur les lèvres que maintenant elle s’autorisait à embrasser sans gêne même si elle n’allait pas non plus lui sauter dessus, elle reste Louise quand même et puis même si les choses sont clairs, elle a besoin d’entendre certaines choses pour faire le vide dans sa tête. « On est quoi maintenant Kiki ? J’ai besoin de savoir parce qu’on va forcément me poser la question et tu me connais si je ne sais pas quoi répondre je risque de dire des bêtises et que je veux plus que tu sois fâché si je dis encore une bêtise alors il faut que tu me dises toi ce que tu vas dire aux autres…tu vas le dire aux autres ? » En fait elle se rendait compte qu’elle ne savait même pas si Kenneth voulait s’afficher avec elle ou s’il voulait rester le binôme de choc en public et peut être un peu plus dans l’intimité. Quelque chose lui tiqua l’esprit et elle redressa le visage après l’avoir considérablement rapproché de celui de son amoureux. « Han et Dalia ! Tu…tu as dis que tu l’aimais bien non ? Alors pourquoi tu es avec moi ? Oh mince j’ai mal à la tête maintenant… » La jeune fille grimaça et porta une de ses mains à ses temps pour se masser en soupirant, il fallait qu’elle arrête de réfléchir sérieusement ça devenait dangereux pour sa santé.



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Kenneth A. Shaun

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MessageSujet: Re: Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène.   Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène. EmptyDim 10 Fév - 6:01

Louise Ҩ Kenneth

« Il n'est pas de bien aussi précieux que le sourire de ceux qu'on aime. »


Tout le brouillard qui avait persisté dans l'esprit de Kenneth se faisait moins puissant. Au contraire, même, il disparaissait peu à peu, au fil des secondes qu'il passait avec Louise. En effet, ce nuage de poussière s'était installé dans son esprit car tout ce qu'il se passait avec son amie, tout depuis le début de cette matinée, les baisers, les aveux de sentiments, et tout ça, et bien Kenneth ne s'y était strictement pas attendu. Après tout, comment le jeune lion bravant tous de tous les dangers - oui bon, n'exagérons pas - aurait-il pu prévoir qu'il tomberait amoureux de la Poufsouffle ? Sa vie sentimentale était déjà pas mal perturbée et incompréhensible, et Louise avait toujours été là pour le soutenir, mais Kenneth n'avait jamais vu ce qu'il aurait du voir depuis le tout début. Louise. Non pas en tant qu'amie, la meilleure de toutes, non. En tant que Louise Londubat, la sublime et splendide jeune fille, qui ne savait pas aligner un pied devant l'autre alors qui préférait danser à reculons. Celle qui riait plus qu'elle ne souriait. Celle qui comprenait Kenneth mieux qu'Ana n'avait pu le comprendre. Peut-être parce que Ana était la sœur de Kenneth, et que Louise était une part même de Kenneth, un morceau de sa chair, de son être. En réalité, maintenant que le jeune lion comprenait ce qu'il se passait, il comprenait tout pour la première fois de sa vie. Comme si, tout en vivant des années extraordinaires depuis son arrivée à Poudlard, il était passé à côté de tout. De tout ce qui aurait pu être, de tout ce qui aurait du être. Louise était son amie, et rien ni personne n'aurait jamais pu la remplacer. Ensemble ils avaient appris à braver le monde, à parler un langage qu'eux seuls pouvaient comprendre, et ils s'étaient même révélés être de très bons télépathes, pouvant se comprendre sans même n'entrouvrir les lèvres. C'était étrange, de regarder Louise d'une manière différente. Pas différente comme si les choses allaient changer, ça non, elles ne changeraient jamais. Mais la regarder pleinement, sans quiconque puisse prétendre à une ambiguïté. Ils étaient seuls, et seuls eux deux savaient à présent. La vérité. Ce que tous les autres avaient toujours perpétuellement supposé, mais dont il ne pouvait se douter que le jour où les deux jeunes gens s'en rendraient compte - car oui ça y est, on pouvait clairement dire qu'ils en avaient pris conscience -, tout serait encore plus fort et plus intense qu'auparavant. Contrairement à beaucoup de couples qui étaient auparavant des amis, il n'y avait aucune gêne entre Louise et Kenneth. Ils pouvaient continuer à rire des mêmes choses, et se taquiner tout autant, sans que cela ne perturbe jamais rien à leur "eux". Enfin, pour l'instant ils n'avaient pas encore eu énormément l'occasion de tester leur eux, mais Kenneth le savait. Il le savait mieux que personne, tout comme Louise devait le sentir. On ne change pas une équipe qui gagne, on ne peut pas. Elle évolue, c'est tout. Mais en mieux, en beaucoup beaucoup mieux.

Lorsque Louise parla de Louis, le jeune lion sentit son échine se glacer et il vit là comme le signe, l'affirmation, que Louise et lui avaient cessés d'être le simple binôme de la mort qui tue qu'ils avaient toujours été. Kenneth sentait de la jalousie l'envahir, certes il avait vu Louise et Louis sortir ensemble, et il avait toujours trouvé leur relation si mignonne et attendrissante. Mais à présent, il avait le pressentiment qu'il ne voulait pas entendre la suite, il ne voulait plus imaginer Louise avec quelqu'un d'autre. Cela était étrange, car si le jeune homme avait toujours été protecteur et attaché à sa Poufsouffle, il n'avait jamais souhaité effacer quelques images de son crâne. Au contraire même, il avait toujours voulut conserver chacune d'elles, pour se rappeler de tous les beaux moments que ce binôme avait passé ensemble. Incontestablement alors, la bouche du jeune homme ne put retenir plus longtemps ce qu'il avait à lui demander. Il avait besoin de savoir, si Louise aimait toujours Louise ou non. Et la jeune fille finit bien par lui répondre. « Oui. En quelque sorte mais pas… c’est plus mon amoureux. Moi j’aime plein de gens mais ce n’est pas mes amoureux, j’ai qu’un seul amoureux et c’est toi, Louis c’était mon amoureux et oui je l’aimais, très fort mais en fait maintenant quand je pense à lui ou que je l’imagine avec sa nouvelle amoureuse… ça me fait plus mal, ça me rend heureuse pour lui donc c’est sans doute que j’ai tourné la page pas vrai ? Et puis toi et lui ce n’est pas pareil… » Le cœur de Kenneth avait lâché dès le premier mot qu'avait prononcé la belle. Une décapitation d'un organe, et celui même qui vous raccroche le plus étroitement à la vie, vous connaissez ? Car le Gryffondor venait d'en faire les frais, et il avait mal. Cependant, ce que Louise avait rajouté juste après le réconfortait quelque peu. Ce qu'elle disait c'était... Qu'elle ne l'aimait plus, hein ? Seulement Louise n'avait jamais trouvé les bons mots pour exprimer ce qu'elle voulait dire. Au lieu, comme toute personne censée, de dire qu'elle n'aimait plus Louis, mais qu'elle souhaitait le conserver en tant qu'ami, Louise avait provoqué un arrêt cardiaque à son meilleur ami. Et bah. Cependant, ce qu'elle disait par la suite était plutôt réconfortant, non ? Le fait de séparer littéralement Kenneth à Louis. C'est ce que le jeune homme voulait entendre, en plus de ce qu'il avait pensé précédemment. Mais comme toujours, Louise revenait au galop, non sans n'avoir percuté. « Pourquoi ? » Euh... Pourquoi quoi ? Pourquoi Kenneth demandait-il cela ? Ben, pardi, parce que ! Il ne pouvait pas l'expliquer, c'était juste que... Ben voilà quoi hein. Louloute = Kiki et c'est tout. Se contentant ainsi d'hausser les épaules, le gryffon ne prit pas la peine de répondre, considérant que son haussement répondait à sa place. Ne doutant pas que Louise ne réussirait peut-être pas à l'interpréter. Il ne voulait pas paraître trop compressant non plus, voyez. « Mais… enfin vous embrassez pas pareil je peux pas penser à Louis quand je t’embrasses voyons mon Kiki… et puis toi c’est toi et moi c’est moi on s’en fiche des autres pas vrai ? » La jaune et noir n'était définitivement pas vraiment agile avec les mots, mais le jeune homme s'y formatait, avec le temps. Si il se sentait parfois un peu blessé, cela passait et il pensait aux belles paroles que Louise voulut lui faire passer. Car la jeune fille ne faisait pas exprès d'être maladroite avec ses paroles, et Kenneth ne lui en voudrait jamais, d'ailleurs. Ni pour ça, ni pour quoi que ce soit d'autre. Hochant la tête de haut en bas, en signe d'affirmation, le brun soutena ainsi du regard les paroles de sa belle. C'était lui et elle, c'était tout.

« Ça veut dire qu’on est un couple alors c’est ça ? » Le sourire resplendissant de Louise éblouit tellement Kenneth qu'il faillit fermer les yeux. Mais il ne le pouvait pas, il aimait trop le sourire de Louise. Ses petites manières, ses petites manies, tout ce qu'elle avait l'habitude de faire, et sa folie permanente, que personne - pas même lui - n'aurait pu arrêter. Étrangement, Kenneth ne ressentit pas le besoin de réfléchir à la question de la belle, il l'avait déjà bien trop fait durant les minutes qui avaient suivies leur premier baiser, et qui avaient perdurées jusque dans la salle aux coussins. D'ailleurs, Kenneth n'avait pas besoin de répondre à tout cela, il savait ce qu'il voulait, et il savait ce qu'ils étaient. Alors, sans quitter Louise une seconde des yeux, le jeune homme lâcha avec force et sourire, non sans avoir l'air le plus attendrissant du monde, et un visage quelque peu enfantin « Oui, je crois bien qu'on en est un. » Réfléchissant un instant, l'air narquois de Kenneth ne put s'empêcher de gagner le visage du garçon, précédemment si doux et, attirant sa Poufsouffle contre lui, le jeune homme lâcha « Louise Londubat, vous êtes à moi ! Tiens, ça rime ça ! » Monsieur Shaun, vous êtes fortement atteint d'une débilité maladive. Mais ne vous inquiétez pas, ça ne passera pas. Le gryffon éclata de rires, et sourit de plus belle. Il avait envie de plaisanter, et pas qu'un peu, car il adorait cela, rire, sourire, dire des bêtises, et tout le patatra. C'était du Shaun tout craché, de faire le pitre, et il fallait avouer que le jeune homme était plutôt bon dans cela. Remuant ainsi frénétiquement les sourcils, et faisant un petit tour de charme à Louise, le jeune homme ne put s'empêcher de taquiner Louise sur le fait qu'elle avait envie de l'embrasser, ou qu'il avait tout à fait un charme fou, bien que le jeune homme n'en pensait pas un mot. Non, il n'aurait jamais prétendu en toute sérénité avoir un charme fou, c'était trop prétentieux et mesquin, il n'aimait pas les personnes qui disaient des choses comme cela avec le plus grand sérieux du monde. Heureusement, Louise était loin d'être comme cela, et mieux encore, elle rentrait toujours immédiatement dans son jeu, prête elle aussi à partir dans des délires impossibles et hilarants. « Oui mais pas si tu fais ça avec tes sourcils ! Comment tu fais d’ailleurs… » Essayant d'imiter son ami, la jeune fille ne réussit qu'à loucher vainement mais de manière comique, il faut dire, et Kenneth ne se gêna pas pour le lui faire comprendre, il éclata littéralement de rires, rejoint de près par sa Louloute.

Morts de rires, les deux jeunes gens rirent durant quelques longues secondes, il fallait dire que lorsque Kenneth entendait le rire de Louise, le sien augmentait de plus belle, et cela ne l'aidait pas franchement pour s'arrêter. Mais finalement, le jeune homme poussa un soupir de satisfaction, et se contenta d'avoir un sourire énorme collé au visage, regardant l'air taquin qu'avait pris Louise, et s'attendant à rire dans guère peu de temps. « Oh oui mon Kiki c’est ça tu es mon idole tu es trop beau je vais même acheter un poster de toi à mettre au dessus de mon lit ! Grrr. Tout à fait mon cher ami, tout à fait. » Il était reparti. Elle jouait tellement bien, elle avait du faire du théâtre dans une autre vie, ou un truc comme cela ! Riant encore, et sentant ses abdos en souffrir, le lion répondit, après que la jaune et noir ait fait semblant de le griffer « Eh mais, t'étais pas un petit tigre dans une autre vie toi ? MON PETIT TIGROUUUU. » oh my god. Qu'avez-vous fait de Kenneth Shaun, mon enfant ? Tuez-le, allez allez. « N'empêche qu'elles disent toutes ça. » dit le garçon en décochant un sourire à Louise, avant de rire à nouveau. Elles, c'était les autres filles. Bien entendu, cela n'était que de l'ironie. Retrouvant finalement son calme et son sérieux, Kenneth ne put s'empêché d'admirer la beauté de sa Poufsouffle. Bawi, elle lui adressait un sourire tout craquant, tout mignon, qui aurait pu en faire tomber plus d'eux, et il aurait fallut que Kenneth résiste ? Ah bah non, pardi, NON. Attirant Louise à lui, le gryffon prit soin d'écarter une mèche de cheveux vagabonde de Louise de son chemin et, les prunelles les plus tendres du monde, le garçon posa délicatement ses lèvres sur celles de son amie. Répondant doucement à son baiser, la jeune fille s'éloigna cependant rapidement, trop rapidement, du jeune homme. « Attends j’ai mal à mon cou… » Oh ! Voyant la belle s'écarter et se repositionner, le lion, sans ne se prendre un coup sur le passage et rigoler devant l'adresse que son amie n'avait pas, fut cependant étrangement surpris de voir la Londubat se poster à califourchon sur lui, en toute normalité des choses. Eh quoi, il était quand même un garçon ! D'accord, il était loin d'être comme tous ces idiots débiles et tout ça et tout ça, mais il restait un homme, et Louise devait l'avoir quelque peu oublié, pour le coup. « Tu es beau Kiki. » Respire mon garçon, respire. Sentant les doigts de Louise se glisser dans son échine puis jusqu'à ses cheveux, le Shaun se détendit finalement, et se laissa allé à fermer les yeux brièvement. Remuant le crâne de gauche à droite, pour faire comprendre à la belle qu'il n'était pas du même avis qu'elle, il rouvrit les paupières, et susurra au creux de l'oreille de Louise « Non, c'est toi. » Les lèvres des deux jeunes gens n'hésitèrent plus à se trouver, et finirent par former un tout, avec la plus grande normalité du monde. Ils étaient bien ensemble, ils étaient normaux, ils étaient eux, tout simplement. « On est quoi maintenant Kiki ? J’ai besoin de savoir parce qu’on va forcément me poser la question et tu me connais si je ne sais pas quoi répondre je risque de dire des bêtises et que je veux plus que tu sois fâché si je dis encore une bêtise alors il faut que tu me dises toi ce que tu vas dire aux autres… tu vas le dire aux autres ? » Être fâché contre elle ? Mais quelle idée ! Jamais de la vie, eh. Et puis Louloute, elle faisait souvent des bêtises, comme Kenneth, et ce n'était pas grave. Pas grave du tout. Mais jamais oh grand jamais il ne lui en voudrait pour quoi que ce soit. En revanche, la réponse à sa question était claire et nette. Si il allait le dire aux autres ? « Mais Louloute, tout le monde savait qu'on était un couple avant nous ! On a même pas vu que tout ce qu'on faisait, et ben c'était pas un truc d'amis, même si t'es mon amie, la meilleure de toutes même ! Mais si on me le demande, je dirais que toi, Louise Londubat, tu es ma petite-amie, oui. » Kenneth sourit, attendrit, et se rendit profondément compte qu'il était en couple à présent. C'était étrange, mais tellement bon. De l'être avec Louise, il voulait dire. « Et toi ? Tu vas pas avoir honte d'avoir un petit-ami comme moi ? » Comme lui ? Qu'est-ce qu'il entendait par là ? Aucune idée ! Mais cela n'avait guère d'importance, il disait souvent des bêtises, ou parlait pour rien dire. D'autant plus lorsqu'il se trouvait avec la Poufsouffle. D'ailleurs, celle-ci sembla subitement se rappeler de quelque chose d'excessivement important, et se redressa d'un coup, faisant sursauter Kenneth malgré lui. Son visage semblait épuisé de réfléchir autant, ce qui fit sourire le lion, qui entendit finalement ce qui inquiétait tant, et qui semblait être revenu si soudainement à l'esprit, de Louise. « Han et Dalia ! Tu… tu as dis que tu l’aimais bien non ? Alors pourquoi tu es avec moi ? Oh mince j’ai mal à la tête maintenant… » Oh non, non non non non non. Par merlin, Kenneth ne voulait pas penser à cela, il ne voulait pas se torturer l'esprit, il ne voulait pas. Si il embrassait Louise, c'est que cela avait un sens pour lui, certes il lui avait précédemment avoué que Dalia lui plaisait, mais la jeune fille lui avait toujours plut, et ils n'avaient jamais su où cela les mèneraient... Oui, leur différence d'âge avait toujours été un immense handicap entre eux, et ils ne savaient jamais vraiment trop comment s'y prendre entre eux. Ils étaient gênés. Tout le contraire de ce qu'il se passait entre Louise et Kenneth. Et puis, le jeune homme avait dit à Louise qu'ils étaient ce qu'on pouvait appeler un couple, alors pourquoi aurait-il du tout remettre en question ? Il n'était pas indifférent à Dalia, c'était certain, mais c'était Louise qu'il embrassait depuis ce matin, et c'était Louise qui le comprenait mieux que personne. Et c'était Louise, sa petite amie. Le jeune homme savait qu'il devrait se torturer l'esprit à un moment ou à un autre, mais il n'en avait clairement pas envie. « C'est toi et moi maintenant, non ? C'est nous contre le reste du monde. » d'accord, la dernière phrase ne servait à rien, mais le jeune Shaun avait une fois entendu cette réplique dans un film romantique, et il avait toujours rêvé de la dire. Voilà une bonne chose de faite. Néanmoins, celle-ci correspondait tout à fait à la situation. Il était avec Louise, c'était tout. « C'est toi ma copine, Louise. » le lion ferma les yeux paisiblement, puis les rouvrit et se rapprocha de la jaune et noir. « C'est toi. » Il déposa un tendre baiser sur les lèvres de son amie. « Toi. » un autre baiser, sur son nez cette fois-ci. Puis un sur ses yeux. Et un sur son front. « Toi toi toi toi toi... » Le garçon lâcha un énième baiser dans le cou de la belle avant de revenir jusqu'à ses lèvres. « Je sais pas comment on a pu passer à côté de tout cela, mais en tout cas, j'ai pas prévu de me congédier de toi. Je peux te l'assurer. Tu as toujours été tout pour moi, et j'ai toujours su que c'était très fort ce que tu représentais à mes yeux, c'est juste que je ne savais pas à quel point. » à quel point. Voilà, exactement, c'était exactement cela.

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MessageSujet: Re: Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène.   Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène. EmptyMar 12 Fév - 9:47

Louise Ҩ Kenneth

« On avait déjà parlé de l’avenir, une fois. On s’était pas trop trompé d’ailleurs. T’apprends à devenir un Tyran et moi un Flan ! »


Maintenant que tout le brouillard avait été dissipé de cette histoire, Louise n’arrivait plus à tenir en place, déjà parce qu’elle avait envie d’explorer sa nouvelle relation avec son amoureux et meilleur ami, ba oui c’est pas tout les jours non plus qu’on réalise qu’on est folle amoureuse de celui qui a tout partagé dans votre vie pendant des années, qui sait tout de vous et qui en plus vous complète sans forcément avoir envie de voir où ça mène. Bon pour les plus curieux, même si Louise est l’innocence incarnée ou plutôt la naïveté personnifiée, elle ne l’est pas tant que ça pour certaines choses dîtes de la vie et surtout dans les relations dans un couple. Elle a certes eut un seul petit copain durant ses courtes seize années MAIS elle a exploré…ce qu’elle avait à explorer donc pas de panique elle sait à quoi s’en tenir et ce qu’elle veut voilà. Bref. On déviât du sujet principal soit, les deux moustiques et le caca qu’ils ont eut dans les yeux ces dernières années. Non mais sérieusement, il n’y avait surement plus qu’eux pour ne pas savoir qu’ils sont en réalité fous amoureux, même le dernier abrutis de cette école qui ne connaît rien aux potins devaient savoir que ces deux là finiraient soit par sortir ensemble, soit par ne jamais s’en rendre compte sans cet incident avec le stick à lèvre parfumé. D’ailleurs Neville Londubat allait surement être ravit de savoir que son cadeau pour son innocente fille à été à l’origine de tout ça. Et du mariage de sa fille. Et de son bébé à venir. Comment ça je vais trop loin ? Bon d’accord peut être un peu trop. A peine. Louise ne réalisa même pas son énorme bourde quand elle aborda le sujet de Louis, son ex, en même temps elle n’y voyait aucun mal à le nommer, pour elle sa relation avec Louis et celle avec Kenneth étaient bien distinct, Louis était le passé, Kenneth son présent et surement son avenir c’est tout. Les gens devraient apprendre à réfléchir aussi simplement ça éviterait beaucoup de problème parce qu’au final tout ça n’était pas des théories abracadabrantes venues d’où on ne sait où, pondues à la suite d’intenses réflexions que personnes n’a jamais demandé, en bref c’était des faits logiques, clairs et nets sans prise de tête. Mais visiblement Louise devait être la seule personne à penser de cette façon dans le château, et peut être même sur cette planète alors forcément son nouvel amoureux lui voyait le fait qu’elle parle de son ex comme ça aussi librement d’un mauvais œil, heureusement qu’il ne savait pas qu’elle dormait encore avec ses tee-shirt sinon il déboulerait surement dans le dortoir pour les lui arracher et les brûler…c’est pas une mauvaise idée en soit en fait. La question du beau Gryffon prit donc la jolie brune au dépourvu, elle ne s’était plus vraiment posée la question au sujet de ses sentiments pour Louis, quand c’est finit c’est finit, alors pourquoi se demander pendant des heures et des jours si on aime encore cette personne ? Surtout qu’il y a tellement de sortes d’amour que c’est dur de définir ça pour une personne dont on a été amoureuse et qui au final ne nous a rien fait de mal pendant la relation. Louise tenta donc de se montrer le plus sincère possible en s’exprimant avec ses mots ce qui portait à confusion, mais Kiki eut la politesse et la présence d’esprit en connaissant sa meilleure amie de la laisser finir parce qu’il sait par expérience qu’une Louise en cache souvent une autre quand elle parle d’un sujet épineux, elle essaye souvent d’aller à l’essentiel mais en général ça peut faire mal sans même qu’elle le veuille ou qu’elle y pense. On lui pose une question, elle y répond, comme une enfant à qui on demande si quelqu’un est moche. La jeune fille ne fit donc pas attention aux diverses réactions de son amoureux, elle préféra lui poser à son tour une question toute bête à savoir pourquoi il avait demandé cela, parce que oui ça dépasse complètement la jaune et noir que son beau brun lui demande si elle aime ou non encore Louis. Après tout Kiki a été là tout au long de sa relation avec pouffssoufle, ils n’en étaient pas moins proche vu que Louis et Kenneth sont amis également.

La réponse peut expressive du gryffondor ne parla pas beaucoup à Louise mais elle ne releva pas, elle savait que soulever les épaules comme ça signifiait qu’il ne voulait pas répondre alors elle n’insista pas, lui adressant un sourire tendre pour essayer de recapter son attention et surtout pour qu’il sourit de nouveau parce qu’un Kiki triste c’est nul. D’ailleurs maintenant qu’ils abordaient ce sujet, Louise avait besoin de savoir si oui ou non ils étaient un couple maintenant les deux affreux parce que quand même son amoureux lui avait fait peur juste avant à lui dire que c’était étrange et tout le tralala, elle avait même pensé qu’il voulait pas d’elle comme amoureuse alors elle ne savait pas trop si elle pouvait se considérer de nouveau en couple ou pas même si c’est vrai que ça fait bizarre de se penser en couple avec son meilleur ami. La réponse de Kiki fit sourire la jeune fille jusqu’aux oreilles et elle se retint d’applaudir dans ses mains comme une gamine avant d’éclater de rime à la pseudo rime de son beau poète. D’ailleurs son rire devint alors sa façon de respirer pendant plusieurs minutes puisque Kenneth décida qu’il allait la tuer de rire avec ses pitreries, bien évidemment et dommage pour leurs abdos, Louise ne put s’empêcher de rentrer dans son jeu et donc d’attiser l’esprit taquin de son ami qui en rajouta une tonne pour le plus grand bonheur de sa chérichou qui se plia en deux pour tenter de calmer les spasmes de son rire qui raisonnait dans toute la pièce en écho avec celui du gryffondor. « Eh mais, t'étais pas un petit tigre dans une autre vie toi ? MON PETIT TIGROUUUU. » Louise hocha vigoureusement la tête et fit semblant de patouner avec ses mains sur le torse de son rouge et or en ronronnant avant d’aller frotter son nez contre la joue chaude de Kenneth. « Miaouuu » Oui bon on sait un tigre ne fait pas miaou mais Louise n’a pas eut beaucoup l’occasion de voir ce genre de bestiole dans l’enceinte du château, pourtant elle a déjà demandé à Alterman si ils pouvaient étudier ce genre d’animaux mais la proposition a été décliné alors elle fait avec les moyens du bord soit son imagination quelque peu débridée. Continuant de jouer au petit chaton, la belle redressa tout de même vivement la tête à la réponse de Kiki quand à savoir si toutes les filles disent ça. Euh hein ? « Quiii ? Non mais non sinon je les griffe moi tu es MON prince charmant d’abord… » Louise afficha une moue boudeuse avant de finalement jouer la carte de son sourire magique craquant et tout mignon spécialement conçue par Louise Londubat. Comme elle l’avait prévu Kenneth craqua et l’attira plus près contre lui si c’était possible vu déjà la proximité de leurs corps et de leurs visages, mais ce n’est pas Londubat qui allait s’en plaindre. Ba oui il sent super bon le Kiki. Et en plus elle avait droit à un bisou, un vrai de vrai cette fois ci et pas un accident ou un bisou timide du bout des lèvres, non un vrai bisou d’amoureux qui dure longtemps avec des petits soupire de bien être et des caresses dans les cheveux et sur la nuque. Mais la jeune fille du couper court à cet échange le temps de changer de position pour ne pas se rompre le cou à force de tourner la tête et c’est sans aucune gêne qu’elle grimpa à califourchon sur son étalon qui sembla se contracter un peu et Louise eut peur de lui avoir fait mal à force de lui donner des coups. « Je t’ai fait mal mon Kiki ? » non tu es juste en train de l’allumée petite dévergondée va. Bon ça elle le sait pas mais croyez le ou non, elle en est capable si elle le veut, encore une fois l’innocence ne s’arrête pas qu’a ce genre de chose, Louise en est la preuve vivante cette fripouille. Caressant le beau visage de son gryffondor, la jeune fille ne put s’empêcher de lui faire remarquer à quel point il est beau et elle reçut le même compliment en retour, un souffle chaud parsemant son cou lui arrachant des frissons en l’a faisant sourire comme une collégienne. Bien vite elle retrouva le chemin vers les lèvres de son chéri et les caressa langoureusement en se collant le plus possible à lui maintenant qu’elle avait la position adéquate.

Se détachant doucement, elle se lécha les lèvres avec gourmandise. « Tes lèvres ont encore le goût du bonbon ! » la jeune fille se mordilla la lèvre avec malice se retenant d’aller léchouiller comme une sucette les lèvres délicieuses de son amoureux avant de lui demander de l’éclairer sur ce qu’elle devait dire aux autres parce que même si Kenneth lui disait qu’ils étaient maintenant un couple, elle voulait être sûr de ce que ça définissait ça, couple. En amitié aussi on est un couple. « Mais Louloute, tout le monde savait qu'on était un couple avant nous ! On a même pas vu que tout ce qu'on faisait, et ben c'était pas un truc d'amis, même si t'es mon amie, la meilleure de toutes même ! Mais si on me le demande, je dirais que toi, Louise Londubat, tu es ma petite-amie, oui. » Petite-amie. Haaan ça sonne trop bien ! La jeune fille ne parvint pas à contenir son émotion, affichant un sourire resplendissant en tapant ses mains l’une contre l’autre en gloussant. Achevez là sérieusement. Louise sautilla sur les genoux de son amoureux sans réfléchir aux conséquences que peuvent avoir de tels gestes sur un garçon. « Et toi ? Tu vas pas avoir honte d'avoir un petit-ami comme moi ? » Très bonne question mon cher Watson ! La jeune jaune et noir cessa de sautiller comme une enfant avant de prendre une position d’intense réflexion, sa main sur son menton comme si la question que venait de lui poser Kenneth relevait de l’impossible. « Euh je sais pas trop…tu es beau…intelligent…gentille…drôle…attentionné…tendre…hum ça va je pense que je pourrais me balader avec toi en public ! » Louise lui adressa un sourire signifiant qu’elle était très fière de sa connerie et déposa un petit bisou sur le bout du nez de son amoureux pour se faire pardonne avant de poser une autre question, plus épineuse cette fois ci. Ba oui elle aussi peut avoir des questions sur les ex de son Jules parce que lui c’est un bourreau des cœurs, elle a été sa meilleure amie pendant longtemps je vous rappelle hein ! Mais étrangement si elle s’attendait à voir Kiki lui répondre vite pour la rassurer, ce ne fut pas le cas. Il resta comme figé, pensif et Louise pouvait voir dans ses beaux yeux chocolats qu’il se battait contre une intense réflexion, son cœur se mit à battre plus vite, plus fort, tellement qu’elle était sûr qu’il pouvait le sentir. Pourquoi il ne répondait pas du tac au tac ? Il hésitait ? Peut être qu’il prenait conscience que en effet il y avait Dalia et que donc ils devaient arrêter maintenant. Et les autres ? Il pensait encore aux autres ? Oh mais non là réponds réfléchis pas Kiki ! Ouvrant la bouche pour exprimer sa pensée, Lou fut pris de court par Kenneth qui sembla enfin avoir trouvé sa réponse. « C'est toi et moi maintenant, non ? C'est nous contre le reste du monde…C'est toi ma copine, Louise. » La pouffy expira alors tout l’air de ses poumons comme ci elle se vidait, elle ne s’était même pas rendu qu’elle avait retenu son souffle tout le long, ah ba finalement Louise Londubat aussi peut être angoissée hein ! La jeune fille recommença à respirer normalement en souriant à son copain qui déposa des baisers partout sur son visage et son cou pour appuyer ses Toi l’a faisant glousser de rire tandis qu’elle rentrait sa tête dans son cou pour échapper à ses bisous qui chatouille même si en fait c’était juste pour la forme parce qu’elle adorait ça. « Hihi ça fait des guilis ! » « Je sais pas comment on a pu passer à côté de tout cela, mais en tout cas, j'ai pas prévu de me congédier de toi. Je peux te l'assurer. Tu as toujours été tout pour moi, et j'ai toujours su que c'était très fort ce que tu représentais à mes yeux, c'est juste que je ne savais pas à quel point. » La jolie brune dévisagea le jeune lion avec un sourire d’une tendresse infinie avant d’aller nicher son visage dans son cou pour respirer son odeur, y déposant au passage des petits bisous papillons. « Moi aussi je t’aime mon Kiki » ba quoi c’était pas ça qu’il avait voulu dire ? Tant pis. Louise n’avait jamais été porté sur les formalités à savoir quand ils allaient se le dire, où, qui allait le dire en premier, ba voilà c’était elle et alors ? Elle le pensait, elle avait envie de le dire, de l’exprimer à haute voix et puis ce n’était pas comme ci c’était la première fois qu’elle lui disait je t’aime, sauf que là le sens des mots étaient un peu différent. Redressant la tête pour plonger son regard dans celui de son beau brun, la belle se mit à sourire malicieusement et se leva d’un bond après lui avoir volé un baiser. « C’est toi le chat ! » mais elle n’essaya pas de s’enfuir, juste elle grimpa sur un énorme coussin pouvant contenir au moins cinq personnes et se mit à sauter dessus en riant, retenant sa jupe pour ne pas qu’elle s’envole trop haut non plus un peu de pudeur.

Elle tenta alors de parler sans arrêter de sauter l’essoufflant considérablement mais elle s’en fichait bien. « Dis moi Kiki…et toi tu aimes…encore tes anciennes…amoureuses ? Comme Jaycee ? Parce que…je me disais…tu les as aimé…et…tu es plus avec elles doooonc….moi aussi tu vas me laisser ?...moi je…veux pas que tu me…laisses hein ! » A bout de souffle, Louise continua quand même de sauter comme une perdue, faisant sauter aussi les plumes qui étaient tombées plus tôt sur le coussin l’a faisant rire même si elle se doutait qu’une fois de plus son manque de confiance en elle reprenait le dessus. « Tu…me donneras un…tee-shirt ? » le rapport entre ces deux questions s’il vous plait ? aucun. La jeune fille ne s’en formalisa pas, elle pensait juste que maintenant que Kenneth était son amoureux peut être qu’elle devrait avoir un tee-shirt à lui pour dormir même si elle en avait plein de Louis. La jaune et noir tandis sa main à Kiki qui avait peu de chance de parvenir à l’attraper vu qu’elle ne s’arrêtait pas de sauter pour autant. « Saute avec moi ! », se penchant plus en avant afin de permettre au Gryffon d’attraper sa main, Louise tira dessus avec sa force de moustique et parvint quand même à le faire se lever avant de le faire tomber à la renverse sur le coussin, allongé, se retrouvant au dessus de lui avec un sourire triomphant de gamine complètement puéril et tellement Louise. « PLACAGE ! » quelqu’un peut faire enfermer cette folle s’il vous plait ?


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Kenneth A. Shaun

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MessageSujet: Re: Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène.   Lenneth ▬ Je ne pourrai pas vivre sans toi comme on ne peut pas vivre sans oxygène. EmptyVen 1 Mar - 6:58

Louise Ҩ Kenneth

« Il n'est pas de bien aussi précieux que le sourire de ceux qu'on aime. »


Kenneth était avec Louise. Louise était avec Kenneth. Le garçon s'y ferait. Il commençait déjà à s'y faire, et ça ne sonnait pas trop mal. Ça sonnait même plutôt bien, à vrai dire. Bon, il devrait encore s'y habituer, mais ça, ça viendrait sûrement. Non parce que rien n'avait changé entre eux, alors imaginez qu'un jour il s'approche de Louise et qu'il lui fasse la bise, EH la honte. Bref, ne pensons pas à des choses comme cela. Pour le moment Louise ressemblait à un petit chat, et cela faisait bien rire le sixième année. D'ailleurs, sa Louloute surjoué quelque peu, mais cela était drôle à voir. « Miaouuu. Quiii ? Non mais non sinon je les griffe moi tu es MON prince charmant d’abord… » Prince charmant ? Non, Kenneth ne se serait jamais définit comme ceci, clairement. Il était certes plutôt gentil, il était bien loin de l'image du prince charmant qu'il avait vu dans de nombreux animés, venant toujours sauver leur princesse des dangers les plus fous. Une fois, Kenneth avait parlé à Emily en fourchelang, pour qu'elle laisse son amie Sarah tranquille - voilà quelle était sa seule "gloire". Et puis, il ne se trouvait pas particulièrement charmant. Non, contrairement aux filles, les garçons ne pensaient pas tant que cela à leur apparence et leur physique, du moins pas les personnes que le Gryffondor côtoyait. En même temps, cela était qu'ils avaient bien d'autres choses à faire que cela, quand même. La jeune blonde que le rouge et or pouvait à présent qualifier de petite amie fit une grimace et se tourna dans à peu près tous les sens afin de trouver une position confortable qui lui convenait bien. A califourchon sur lui. Euh... Si elle continuait ainsi, Kenneth risquait de moins en moins de ressembler à un prince charmant, eh quoi ! Elle ne s'en rendait peut-être pas compte, mais ce que la Poufsouffle faisait été bien loin d'être conventionnel. Surtout qu'ils n'étaient ensemble depuis, euh, quoi... Une heure ? Ouais, voilà, une heure. Louise Londubat, vous êtes une tête en l'air qui ne vous rendez pas compte de vos actes. Néanmoins, Kenneth était poli et il connaissait son amie, il ne lui ferait pas remarquer. « Je t’ai fait mal mon Kiki ? Tes lèvres ont encore le goût du bonbon ! » Plus rien ne gênait à présent les amis, Louise pouvait embrasser Kenneth à son souhait sans que le jeune homme n'écarquille les yeux, et le garçon trouvait cela agréable. Louloute aussi avait à présent un goût de bonbon, à force de l'avoir embrassé ! Le gryffon sourit malgré lui avant d'éclaté de rires devant la figure mesquine de Louise qui se léchait les babines de manière comique.

Après avoir pris Louise dans ses bras, le jeune homme confessa à la jeune fille qu'il ne verrait absolument pas pourquoi il tenterait de cacher leur relation, après tout, si ils se mettaient ensemble, cela n'était pas pour se cacher. Cela était quelque peu ironique étant donné que c'était ce que le Gryffondor avait fait des mois durant lorsqu'il sortait avec Méryt, mais la situation était clairement bien plus complexe. Ils n'avaient pas eût le choix, eux. Mais Louise avait le même âge que Kenneth, ils se trouvaient tous deux dans le château et avaient le "droit" si on puis dire, d'être ensemble, ce qui n'était pas le cas pour Méryt et Kenneth. Et puis, la Poufsouffle et le gryffon étaient déjà trop proches dans le château pour que les gens autour ne pensent pas d'or et déjà qu'ils étaient en couple. Mais, jouant le jeu à son tour, le garçon demanda à sa belle si elle n'aurait pas elle honte de lui ? Ah bah, qui c'est. Comme prévu, la réaction de la demoiselle ne se fit pas attendre. Pas parce que Kenneth savait ce qu'elle allait répondre, mais uniquement car il était tout à fait typique que Louise Londubat réponde si rapidement et avec autant d'entrain à une question de ce genre. « Euh je sais pas trop… tu es beau… intelligent… gentil… drôle… attentionné… tendre… hum ça va je pense que je pourrais me balader avec toi en public ! » Londuhaut, avez-vous consommé quelques substances illicites ? Eh, fallait arrêter de dire des conneries, Kenneth n'était pas du tout comment la jeune fille le définissait ! Certes, il était plutôt gentil, tendre, avec des tendances à l'attention, mais beau ? ALLO, on atterrit s'il vous plaît. Entrouvrant les lèvres pour répondre, le garçon se fit rapidement couper par son amie, qui le devança dans ses paroles. Elle lui demanda ce qu'ils étaient, tous les deux, à présent, et puis Dalia ? Ah oui, Louise avait de la mémoire, zut. Mais le jeune homme trouvait les paroles adéquat, et rapidement la situation "normale" reprit son cours. « Moi aussi je t’aime mon Kiki » la boulette. Cette Louise alors, toujours un peu maladroite et rapide. Kenneth sourit avec tendresse, attendri devant la bouille démente de sa meilleure amie, qui préparait de toute évidence un mauvais coup, qui ne tarda pas arriver. La jeune fille colla ses lèvres sur celles du garçon avant de se lever d'un bond pour s'éloigner, en criant « C'est toi le chat ! » avec le visage d'une enfant qui redemandait de jouer. Le rouge et or éclata littéralement de rires, son amie était folle. Vraiment. D'ailleurs, la jaune et noir se mit à sauter avec fureur sur un pauvre coussin qui n'avait strictement rien demandé et, souriant de toutes ses dents, la jeune fille se mit à parler, de manière entrecoupée par chacun de ses sauts. « Dis moi Kiki… et toi tu aimes… encore tes anciennes… amoureuses ? Comme Jaycee ? Parce que…je me disais…tu les as aimé… et… tu es plus avec elles doooonc…. moi aussi tu vas me laisser ?... moi je… veux pas que tu me… laisses hein ! » hein, euh, quoi ? La laisser ? Elle avait, elle avait bien parlé de Jaycee ? Jaycee... Son ex ? La première petite amie que Kenneth avait eût, et avec qui il était allé plus loin que le baiser sur la bouche et les câlins ? POURQUOI LUI PARLAIT-ELLE DE JAYCEE ? Bien sûr que non qu'il n'était plus amoureux de la Gryffondor, c'était de l'histoire passée. Et bien passée, en plus. Bien sûr, ils restaient en contact, mais cela était car ils étaient amis. Seulement amis. Et puis, c'était elle qui avait quitté Kenneth, pas l'inverse. Oui, il l'avait aimé, mais on ne reste pas amoureux de toutes les personnes qu'on a aimé, ça non. Et heureusement d'ailleurs. Puis non, il n'allait pas laissé Louise, ils commençaient à peine à sortir ensemble ! « Non mais Louloute tu t'entends ? Tu sais très bien que je n'aime plus Jaycee, tu étais là après qu'elle m'ait quitté, et tu étais également là quand je me suis remis de mon chagrin d'amour. Et puis pourquoi tu parles déjà de la fin de notre histoire ? On la commence à peine ! Naméoh. » Il ne fallait pas voir noir maintenant, hein, ils allaient être heureux et tout et tout !

« Tu… me donneras un… tee-shirt ? » S'évertuant toujours de sauter sans cesse, la jeune fille partait un peu dans tous les sens, mais cela était drôle à voir. Bah pourquoi elle voulait un tee-shirt ? Pour dormir avec la nuit ? Le lion n'y voyait pas d'inconvénient, il trouvait même cela mignon, tellement mignon. Comme Louise, en fait. Hochant frénétiquement la tête avec un sourire, le garçon fit comprendre à son amie que la réponse était affirmative, avant de rejoindre la jeune fille dans ses sauts, sous la demande de celle-ci même. L'ambiance était légère entre eux, amusée, amusante. Il en avait toujours été ainsi, et cela perdurerait sûrement longtemps. Quoi qu'il en soit, Kenneth était heureux, il était bien, son rire se mêlait à celui de sa petite-amie, et il avait la baume au cœur. Il aimait cette compagnie, et il aimait encore plus l'idée qu'à présent, cette compagnie serait encore plus forte et indispensable qu'elle ne l'était déjà. Ils allaient plus unis que jamais, plus liés encore que le destin aurait pu le prévoir. Et cela, c'était une fin heureuse pour le jeune homme. Bon d'accord, ce n'était pas la fin, loin de là même, mais Kenneth ne trouvait pas réellement les mots qui exprimaient son état d'esprit, en cet instant-ci. Alors quand Louise le plaqua contre un coussin, le jeune homme éclata d'un rire cristallin, fort bruyant malgré lui et, embrassant la chevelure dorée de sa Poufsouffle, et ratissant du regard la pièce pour s'assurer que personne n'assistait au massacre de la pièce qu'ils étaient en train de faire, il se contenta de sourire bêtement.
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