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 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.

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MessageSujet: 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.    'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.  EmptyJeu 30 Aoû - 12:39

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    « Peut être qu’il ne sait pas que tu es amoureuse. Je veux dire peut être qu’il t’aime mais tu vois, il ose pas te le dire ou je ne sais quelle connerie. DOOONC si tu l’embrasses par surprise il va forcément apprécier. Enfin, peut être qu’au début il va pas aimer donc faut que tu partes vite. Moi j’ai eu peur quand il m’a embrassé en fait. Mais après tu vas voir TOUT va s’arranger. » La brune plaqua ses deux mains sur sa bouche. L’embrasser par surprise. Han. Han. C’était fou comme idée ça ! Surtout qu’elle ne courrait jamais assez vite après. Mais peut-être que ça marcherait ? Il fallait toujours mieux essayer. Elle ne serait jamais assez courageuse, elle ne pourrait pas faire une chose pareille, non ? Et sa meilleure amie semblait oublié qu’il avait éventuellement une copine. Souriant à l’idée de faire ce que Sarah lui proposait, elle ne put s’empêcher de continuer à parler, rougissant malgré elle. « J’en ai déjà embrassé des garçons… Mais Pete… J’oserais trop pas arrête. Je vais parler et tout avant, et suffit que je le regarde pour que j’oublie ce que j’allais dire. J’arriverais JAMAIS à l’embrasser comme ça en lui sautant dessus. »


Janet sautait d’un pied sur l’autre devant sa salle commune. Elle hésitait, tournait, virait, rentrait dans son dortoir, ressortait. Elle rougissait rien qu’à l’idée de peut-être, éventuellement, faire ce qu’elle allait faire. C’était fou comme idée. C’était peut-être même stupide. Mais en même temps, qui ne tentait rien n’avait rien, c’était ça l’expression hein ? Elle ne se trompait pas encore une fois ? Ses parents lui avaient toujours dis qu’il fallait mieux essayer que rester à tergiverser et se morfondre. Et écouter ses parents, c’était bien. Surtout que Sarah avait trouvé l’idée, et qu’en plus de l’avoir trouvé, elle était tout à fait d’accord et encourageait la brune à la réaliser. Alors si les gens importants dans sa vie étaient ok, c’est que tout irait bien. Bon, les parents Bunrrow n’avaient pas donnés leur avis, mais… La Poufsouffle rentra une énième fois dans son dortoir. « Tu peux arrêter de faire le moulin, tu rentres ou tu sors Janet ! » Pour une fois la concernée ne prit même pas la peine de s’excuser ou de répondre ni même de tourner la tête. Elle monta les marches quatre à quatre et se retrouva à côté de son lit en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. Il était bientôt l’heure de manger. Elle devait finir de se préparer. Ça faisait déjà plusieurs fois qu’elle croyait que c’est bon, elle était prête, et puis elle revenait se regarder dans le miroir et elle devait changer des choses. De toute façon, elle commençait à s’auto-persuader que Pete l’avait déjà vu autant bien habillée qu’au réveil et qu’il n’était pas question d’une première impression. Parce que oui, son idée c’était Pete. Pete Levingston, le beau Gryffondor dont elle était amoureuse depuis… toujours, à ses yeux. Le pire de tout, c’était que son amour n’avait jamais diminué. Et elle ne pensait pas qu’il puisse diminuer un jour. Quoiqu’il arrive, le sixième année allait rester le jeune homme qu’elle admirerait toujours. Mais vous comprenez, il est parfait. Il est drôle, il est sexy, il est viril, il est gentil, c’est bien de passer du temps avec lui… TOUTES les qualités nécessaires réunies en un voisin qu’elle avait fut un temps vu tous les jours.

La brune finit par se lever, rajuster son maquillage bien trop mis en avant pour une fille de son âge, et sortit en soupirant de son dortoir. Respire, respire. Elle attendait Sarah dehors, mais elle était évidemment beaucoup trop en avance. Elle finit par voir arriver sa meilleure amie et lui sauta dessus, la tirant par la main dans le couloir. « SARAH. C’est aujourd’hui je le fais aujourd’hui voilà voilà obligé je le fais je vais mourir je vais mourir Sarah c’est horrible mais il faut. » La fille en face d’elle eut un peu de mal à tout enregistrer et à comprendre, mais elle finit par hocher la tête, déterminée, et par lui faire un câlin d’encouragement. « Quand quand quand ? » La Bunrrow réfléchit un instant et haussa les épaules. « Dès que je le vois, je le fais. Promis. » « Dès que tu le vois ? Mais. Tu vas le voir au repas là maintenant ! » Il y eut un petit silence et Janet fronça les sourcils, pas sûr que ce soit une bonne idée. Pas au repas devant tout le monde. Elle n’aurait pas le courage déjà, et ça embarrasserait sûrement le rouge et or. Et puis il y avait ses amies et tout et tout. Et tout Poudlard. Non, décidément, ce n’était pas un bon plan. Et commença à marcher avec Sarah, imaginant toutes les situations possibles. « Non. Je vais le faire quand il sortira de la Grande Salle. Comme ça il y aura moins de monde. Déjà que j’aurais sûrement jamais le courage… » La meilleure amie de la cinquième année se tourna vers elle et lui attrapa les épaules. « JANET. Tu auras le courage. C’est la meilleure chose à faire, sisi. Tu vas voir tu vas réussir parce que je vais t’envoyer des super ondes positives trop bien trop cool trop utiles. » Le sourire de Janet réapparut sur son visage. « Si tu m’envoies des ondes alors c’est bon, ça devrait le faire. Je vais y arriver. »

Le temps était finalement venu. Le repas s’était déroulé sans encombres, Janet l’ayant passé à regarder – bon, dévisagé – le garçon du coin de l’œil, ne bavant pas juste à cause de la nourriture, même si elle avait faim. Voyant qu’il finissait son assiette, elle regarda Sarah et lui lança un regard entendu. « Les ondes, oublie pas les ondes. » Hochant la tête, la brune se leva et sortit de la Grande Salle, marchant un peu dans le couloir pour s’occuper et pour ne pas lui montrer son amour devant les portes. Le stress montait en flèche. Elle ne savait plus quoi faire. Après un petit moment d’attente, elle le vit sortir de la Salle et faire quelques pas dans le couloir, vers son côté. Il approchait d’elle. Il approchait d’elle. Sans pouvoir se retenir, Janet lui tourna le dos et tourna au coin du bout du couloir. Elle retardait l’échéance, se demandant si c’était une vraie bonne idée. Et puis elle repensa aux ondes, à Sarah qui attendait sûrement un bilan, et dès qu’elle vit le garçon qui tournait à l’angle, dès qu’il réapparut dans son champ de vision, elle cria son nom. « Hé ! PETE ! » Il la regarda et lui fit un petit sourire. Ses jambes partirent toute seule. Poussée par je ne sais pas trop quel élan, elle se jeta au cou du garçon et profita de son effet de surprise pour aller au bout de son geste. Elle glissa sa langue dans sa bouche et l’embrassa, se repoussant juste avant que lui ne le fasse. En reculant, la brune posa sa main sur ses lèvres et écarquilla les yeux. Qu’est ce qu’elle faisait maintenant ? Le garçon ne l’avait pas repoussé, mais elle était convaincue que c’est parce qu’il ne s’y attendait pas. Il y eut un silence, et la cinquième année baissa les yeux sur ses pieds, rougissant. « Coucou Pete tu vas bien. » C’était presque un murmure. Quand elle releva les yeux, le sixième année n’avait pas bougé d’un pouce. Elle lui fit un petit sourire et haussa les épaules. « C’est bon t’es amoureux ? » Devant l’air plus qu’interrogateur du brun, elle se mordit la lèvre et commença à sautiller sur place. Elle avait envie de l’embrasser encore mais elle n’était pas sûre qu’il serait d’accord. Et elle n’allait pas lui demander. « Pardon pardon pardon. C’est juste que. Je. Sarah elle. Et j’ai. Enfin. » Bégayant, perdant complètement ses moyens, la Bunrrow finit par avoir les larmes aux yeux. C’était stupide puisqu’elle n’avait encore eu aucune réaction du Gryffondor, et qu’elle n’était pas encore complètement désespérée. « Et du coup je. » Finalement, elle fit demi-tour et commença à partir, ne voulant finalement pas savoir ce que pensait le Levingston et toute rouge de ce qu’elle avait osé faire.
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Pete K. Levingston

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MessageSujet: Re: 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.    'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.  EmptyDim 30 Sep - 11:03

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Manger, manger, manger. Pete ne pensait qu’à cela depuis déjà plus d’un quart d’heure. A un tel point qu’il avait du mal à suivre le cours d’Histoire de la Magie, cours qu’il affectionnait tout particulièrement pourtant. En effet ça lui venait de son éducation sûrement. Dans la famille on avait une certaine passion pour les sorciers qui avaient marqué l’histoire, plus particulièrement ceux qui avaient réussi. Oui chez les Levingston on n’aimait pas trop les ratés. Faut dire que la famille avait une haute estime d’elle-même, pour elle, les Levingston était le synonyme même de la réussite. Ils étaient beaux, riches, plutôt célèbres, avait une position très confortable dans la société et ils s’imaginaient que leur avis était tout le temps à prendre en considération. La réalité c’est qu’ils n’étaient qu’une vulgaire famille de moutons, de suiveurs si vous préférez qui se faisaient de l’argent facile et qui regorgeait d’arrogance et d’orgueil. Pour ces deux derniers traits de caractère, Pete était assez semblable à ses géniteurs. La seule tâche dans ce magnifique tableau ? Le fils évidemment à savoir Pete. Depuis sa plus tendre enfance il ne faisait que réduire à néant les espoirs que ses parents avaient mis à lui. C’était à présent de notoriété publique qu’il était le meilleur ami du fils de l’ennemi publique numéro un, à savoir Harry Potter. Quel honte pour ses parents ! Il devrait plus tôt lui jeter des pierres plutôt que de trainer avec lui. Ses imbéciles, qu’ils se complaisent dans leur stupidité, Pete ne suivrait pas leurs traces, il valait mieux que ça. Pour lui ses parents étaient des idiots imbus d’eux même qui ne méritaient pas le luxe dans lequel ils vivaient, sincèrement ils leur souhaitaient du mal même si une part de lui espérait toujours qu’un jour ils soient fiers de lui. Bien des fois il avait cru cela possible avec sa mère mais elle lui mettait un poignard dans le cœur à chaque fois. Ses parents n’étaient pas fiers de lui, ils ne l’aimaient sûrement plus, il devait faire avec. Certes ce n’était pas une opinion positive qu’il avait de ses parents et de sa relation avec eux mais malheureusement c’était la triste vérité. Condamné à s’opposer à eux, destin peu glorieux pour un fils. Des fois il se disait que c’était mieux qu’il n’ait pas eu de frères ou sœurs, au moins ils n’avaient pas à subir cela. Seul lui subissait ce fardeau. « Monsieur Levingston ? Je vous ai posé une question, y répondre serait bien. » Pete releva la tête, idiot car il ne savait absolument pas ce qu’il devait dire mais il connaissait ce qui se passerait s’il ne répondait pas. Ainsi à part bredouiller des mots confus et finalement il fut sauvé par la montre. C’était l’heure du déjeuner, on pouvait dire qu’il était chanceux aujourd’hui.

Pete vint s’asseoir à côté d’Albus à la table des Gryffondor, Blake n’était pas là mais ça n’étonnait pas vraiment le jeune homme, en ce moment ils n’étaient pas au meilleur de leur forme concernant leur couple encore à propos de son passé. Il ne pouvait pas le changer, pourquoi Blake en faisait-elle tout une affaire ? C’était derrière lui. Il ne comprenait pas vraiment cette obsession, est-ce que lui, lui en voulait pour son passé ? Non bon c’est sûr qu’il n’a pas grand-chose à craindre mais même, il s’en fichait. Quoiqu’elle ait pu faire, sa confiance en elle ne changerait pas, son amour pour elle non plus. C’était des détails le passé, ça ne forgeait pas un amour et une relation. Pourquoi une telle fixation ? Les choses seraient tellement plus simples s’il sortait avec une fille du genre de… Janet. Pourquoi Janet ? Et bien Pete avait croisé le regard de la jeune Poufsouffle et voilà que maintenant il lui faisait coucou d’un signe de main. Janet était une bulle de fraîcheur et elle ne se prenait pas la tête. Elle avait cette insouciance qu’il lui avait toujours enviée, lui qui était si réservé et calculateur. Elle faisait les choses comme elles lui venaient sur le moment, c’était loin d’être une mauvaise chose ! Le seul truc c’est que sortir avec Janet pour lui ça serait malsain. Non mais c’est vrai elle lui semblait tellement jeune et en plus elle était comme sa sœur, on ne sortait pas avec sa sœur. Pourquoi il pensait à cela de toute façon ? Ca n’était pas à l’ordre du jour, ça ne le serait sûrement jamais. Quelle drôle d’idée avait-il là ! Il chassa complètement cette idée de sa tête, il n’était décidément pas dans son état normal aujourd’hui. Enfin il quitta la table en expliquant à Albus qu’il allait faire des devoirs à la bibliothèque. S’il avait besoin de lui, il allait le trouver là-bas.

Pete marchait gaiement dans le couloir, seul, réfléchissant déjà à son devoir de métamorphose. Il se dit aussi qu’il devrait aller voir le professeur Blake ce soir pour faire en quelque sorte un rapport mais aussi boire un verre. Quoi sa position de préfet des Gryffondor lui donnait un rapport plus convivial avec son professeur et franchement Pete adorait Blake, c’était un excellent professeur et une personne formidable. Pete continuait à réfléchir à tout ça quand soudain il aperçut une silhouette avec une chevelure brune arriver vers lui. « Hé ! PETE ! » Par réflexe, le jeune homme se mit à sourire à son interlocutrice et s’apprêtait à la saluer avant d’être arrêté par la jeune Bunrrow. Elle se jeta à son coup et l’embrassa en mettant la langue. Plus perdu et déboussolé que Pete Levingston en ce moment on ne trouvait pas. Qu’est-ce qu’il se passait ? Que faisait exactement la jeune Bunrrow ? L’embrassait-elle vraiment ou est-ce qu’il imaginait tout ça ? Ca ne serait pas si étonnant que ça, ne venait-il pas d’imaginer la possibilité de sortir avec elle ? Mais il devait bien se rendre compte : tout ça arrivait bel et bien, ce n’était pas le fruit de son imagination. La jeune fille se retira sans que Pete n’ait rien fait bien trop perdu pour réaliser la moindre action. Il ne savait absolument pas c que ça signifiait. « Coucou Pete tu vas bien. » C’était donc une nouvelle manière de dire bonjour aux gens chez les Bunrrow ? Non parce que si c’était le cas, ça n’allait pas être possible. Pete était en couple, il ne pouvait pas rouler une pelle à une autre file surtout à une Bunrrow en fait. Violette causait déjà indirectement des problèmes dans son couple alors ne venons pas ajouter Janet au problème. Elle était adorable en plus, juste un peu bizarre quelques fois comme le reste de sa famille, rien de bien grave. Il était rassuré pendant un moment il avait cru qu’il allait être obligé de briser un cœur… « C’est bon t’es amoureux ? » Quoi ? Pardon, pouvait-elle répéter ? Pete n’était pas sûr de comprendre, peut-être qu’il n’avait pas envie de comprendre aussi. Oui certainement pour ça parce que sinon il allait être obligé de faire du mal à Janet et il n’en n’avait aucune envie. Elle se mit à sautiller, pour quelle raison ? Pete ne comprenait rien à ce qu’il se passait, c’était perturbant. L’esprit féminin était bien trop complexe à déchiffrer. « Pardon pardon pardon. C’est juste que. Je. Sarah elle. Et j’ai. Enfin. » Voilà le problème se résumer en un seul et même mot : SARAH. Partout où elle allait cette gamine semait la pagaille. C’était un danger public très sérieusement, pire qu’une arme nucléaire. Il ne fallait jamais l’écouter, ne jamais suivre ses idées. Elle avait causé Janet à sa perte. Le pire c’est que Janet se décomposait devant les yeux de Pete mais qu’il ne savait absolument pas quoi faire. Il ne pouvait pas lui dire qu’il l’aimait, ce n’était pas vrai. Lui il était amoureux de Blake et ainsi il allait détruire la jeune Poufsouffle mais elle s’en remettrait. On se remettait toujours d’un chagrin d’amour même si ça prenait du temps. Pauvre Janet, si adorable. Il allait lui causer une peine si grande. « Et du coup je. » Elle se retourna et commença à partir.

Ce geste eut l’effet d’un électro choc sur le jeune Levingston. Instinctivement il lui dit : « Janet, attend ! » Elle s’arrêta mais ne se retourna pas. Pete marcha jusqu’à elle et se mit de manière à lui faire face. Maintenant il devait lui expliquer le plus gentiment possible qu’il ne l’aimait pas. Comment faisait-on ? Pete avait rompu avec un tas de filles, leur avait très certainement brisé le cœur, tout ça avec une facilité déconcertante mais là c’était Janet, il ne pouvait pas faire cela sans remords. « Janet écoute… Comment dire ça ? Tu sais que je t’adore, tu es comme ma petite sœur. Je t’aime mais pas comme ça. Je. Euh. » Voilà terriblement gênant, comment se sortir de là ? « Je suis pas le garçon qu’il te faut Janet ! Tu es magnifique, gentille, naïve, insouciante et pure. Tu mérites beaucoup que moi Janet, je te l’assure. » C’était nul mais il le pensait et il espérait que ça consolerait Janet.
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MessageSujet: Re: 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.    'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.  EmptyDim 30 Sep - 11:47

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Janet ne comprenait pas ce qui se passait. Dans son plan, tout se passait bien. Dans son plan elle embrassait Pete et après ils se mariaient, enfin c’était ça non ? Elle avait appris à ne pas trop trop espérer, mais elle avait quand même cru un minimum à la réalisation de sa volonté. Pourquoi ça ne marchait pas pour elle, hein ? Pourquoi ? Pourtant elle était aussi jolie, non ? Et puis elle savait qu’elle pouvait être drôle. Bon, parfois elle était juste trop bizarre mais la plupart du temps elle était juste une jeune fille agréable. Enfin c’était ce qu’elle croyait avant. Maintenant, c’était plus le cas. Puisque Pete ne voulait pas d’elle, personne ne voudrait d’elle. De toute façon elle ne voulait de personne d’autre de cette manière. Il y avait bien Isaac, qui était plus que génial pour elle et tout ce qui allait avec, mais quand elle ça lui arrivait d’embrasser le Gryffondor ça n’avait rien à voir avec sa tentative face à Pete. Elle embrassait Isy comme une routine, le Levingston était une cible exceptionnelle. Il lui avait fallu tout son courage et sa volonté pour arriver à le faire, mais ça n’avait servi à rien. Et puis toute façon, il était évident que le grand, le beau Pete ne voudrait jamais d’elle. Si elle avait réfléchi avant, elle l’aurait su. La Bunrrow avait donc fait demi-tour, marchant droit devant elle le plus vite possible pour pas que le garçon qu’elle avait toujours aimé à un point démesuré ne voit trop ses larmes qui coulaient sans qu’elle puisse les retenir. « Janet, attend ! » Entendre la voix du brun l’arrêta sur le champ. Elle ne se retourna ceci dit pas, essuyant du plat de la main son maquillage qui dégoulinait sur ses joues. La cinquième année détestait ça, c’était insupportable, vraiment. Mais elle n’était pas censé pleurer aujourd’hui, surtout pas dans un moment pareil. Et l’idée qu’elle pleurait pour rien et qu’elle était ridicule la faisait pleurer encore plus. Mais elle s’arrêta, entendant les pas du garçon qui s’approchait d’elle. quand elle releva les yeux, elle croisa son regard un brin inquiet, mais surtout complètement désemparé. Ben oui, elle l’avait pris au dépourvu. Sans trop savoir pourquoi, Janet avait l’intuition que si elle avait demandé, elle n’aurait même pas pu approcher ses lèvres.

« Janet écoute… Comment dire ça ? Tu sais que je t’adore, tu es comme ma petite sœur. Je t’aime mais pas comme ça. Je. Euh. » La brune se mordillait la lèvre nerveusement. Oui elle savait déjà ça, et l’entendre ne rendait que les choses pires, pour être honnête. C’était tout simple pourtant, sa sœur. On n’embrasse pas les membres de sa famille. Elle avait prédit que ça arriverait, et comprenait maintenant que ça ne serait jamais possible. Mais c’était trop dur de considérer Pete comme un frère, c’était ridicule. Son cœur n’était absolument pas d’accord, et elle doutait qu’il le soit un jour. « Je suis pas le garçon qu’il te faut Janet ! Tu es magnifique, gentille, naïve, insouciante et pure. Tu mérites beaucoup que moi Janet, je te l’assure. » Il y eut un silence. Janet hocha la tête lentement, et baissa les yeux sur ses pieds. S’il faisait des compliments comme ça, pourquoi elle ne pouvait pas être sa petite amie ? Ce n’était pas ce qu’il recherchait chez une fille ? Cherchant à faire preuve de logique, elle haussa les épaules. « Tu sais je t’ai déjà vu avec Violette. Et c’était pas une relation de frère et sœur, et moi je suis la sœur de Violette donc c’est génétiquement pas possible que tu me considères comme une sœur. » Il y eut un long silence. Le sixième année semblait partagé entre le désespoir et le rire, ce que Janet ne trouvait pas particulièrement positif. Janet essayait de faire fonctionner son cerveau bien endommagé par la tristesse que lui causaient les récents évènements. Elle essayerait de convaincre Pete jusqu’à ce qu’il trouve l’argument qui gagnerait le débat. Allez, un petit effort Bunrrow, tu peux le faire. Sisi. Et puis Sarah compte sur toi pour que tu racontes un truc super, alors continues de parler. C’est entrecoupé de petits sanglots qu’elle n’arrivait pas à retenir que Janet reprit. « C’est pas juste. Pourquoi je peux pas être comme Violette. » La petite brune se plaqua une main contre la bouche. Ce n’était pas gentil à dire, et elle n’aimait pas quand elle était comme ça. Et puis en plus, ça ne risquait pas de convaincre Pete.

Reprenant son souffle, la Poufsouffle leva les yeux vers le garçon d’un air déterminé. « Tu sais je suis pas aussi pure que tu crois. Je me suis entraînée sur d’autre pour bien embrasser. Je connaissais même pas le nom des gens, mais je voulais que ce soit parfait pour toi. Parce que si c’était nul ça se trouve tu voudrais même plus me parler après. » Le visage du garçon se décomposait au fur et à mesure qu’elle parlait, alors elle arrêta de comparer, de parler de ses diverses expériences à son futur amoureux – parce qu’elle y croyait encore un peu – et changea de sujet, montrant du doigt sa robe, ses talons, son maquillage qui coulait. « Mais regarde. Regarde, je me suis fait belle pour toi. Enfin le maquillage se voit plus mais j’ai une jolie robe, t’aimes ma robe ? Moi je l’aime bien, je trouve qu’elle rend bien. Et puis les chaussures sont assorties, tu vois. » Janet se tut en attendant que Pete jette un coup d’œil aux chaussures, qu’il vérifie lui-même qu’elles étaient joliment assorties, parce que c’était primordial qu’il le remarque. C’était d’ailleurs tout le problème. La brune s’adossa contre le mur et se laissa glisser sur le sol, tombant assise. « Je sais pas si tu vois. C’est pas la première fois que je le fais tu sais ? J’essaie de toujours être jolie comme ça un jour tu me verras peut-être. » Janet réalisait à peine ce qu’elle disait. Mais elle voulait qu’il comprenne, elle voulait qu’il ait tous les éléments en connaissance avant de choisir de vraiment partir. Non pas que la couleur de ses chaussures allait vraiment changer son amour pour elle, mais c’était un geste attentionné, et elle tenait à ce qu’il le remarque. « Moi je te vois tout le temps. D’ailleurs, ce haut, je le préfère avec un jean. Si tu veux mon avis. » Levant les yeux vers le garçon, le suppliant presque du regard, elle répéta doucement. « Je t’aime Pete, je t’aime je t’aime je t’aime et c’est nul. »

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MessageSujet: Re: 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.    'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.  EmptyMar 16 Oct - 11:42

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Pete ne pouvait quand même pas lui dire « Janet t’es charmante mais c’est pas toi que j’aime, allez salut on se capte dans la semaine. Tchuss ! » puis partir après. Non ça la détruirait c’était sûre, encore plus si elle apprenait que c’était Blake. Enfin il n’en savait trop rien pour la dernière partie mais Blake était sa meilleure amie à la base alors en théorie une autre fille qui apprend qu’il sort avec elle se dit qu’elle ne peut pas luter. Tout ça n’était que théorique et très subjectif mais en tout cas c’est qu’il se dirait si ce genre de situation lui arrivait. Heureusement ce n’était pas le cas… Cependant il devait jouer le rôle la personne qui met un râteau à une personne qu’il appréciait énormément, on ne pouvait pas dire que c’était un rôle beaucoup plus réjouissant, non c’était peut-être même pire. En tout cas des deux côtés, la souffrance était là. La différence c’est que Pete lui pourrait trouver du réconfort auprès de Blake, Janet elle n’avait pas de petit ami pour remplir cette tâche. Il apparaissait donc clair que Janet était le plus à plaindre. Par Merlin, que Pete s’en voulait d’avoir l’obligation d’être cruel. Il ne voulait pas mais il ne pouvait en même temps pas lui dire ce qu’elle voulait entendre. On ne pouvait pas contrôler ses sentiments et choisir la personne concernée. C’est vrai, une part du jeune homme souhaitait ardemment que les sentiments soient réciproques comme ça, la jeune Bunrrow ne pleurerait pas, tout serait beau et magnifique dans un monde rempli de Bisounours et de licornes mais on était dans la vraie vie. Elle avait baissé la tête, c’était un mauvais signe ça, non ? En général ce n’était pas un bon signe, y a pas de raisons que ça change pour la situation en question. Pete ne savait pas gérer les pleurs, ça n’allait pas être bon. Il était persuadé qu’il n’allait faire qu’empirer les choses en parlant mais ce n’est pas comme s’il pouvait prendre la fuite comme un lâche. Déjà ce genre de comportement ne le considérait pas et de plus quel manque de respect cela serait pour Janet, il ne pourrait pas lui faire subir ça. « Tu sais je t’ai déjà vu avec Violette. Et c’était pas une relation de frère et sœur, et moi je suis la sœur de Violette donc c’est génétiquement pas possible que tu me considères comme une sœur. » Pete était sur… le cul. Oui c’était l’expression qui convenait il était sur le cul. Il s’attendait à tout entendre de la bouche de la jeune femme mais très certainement pas ça. Pourquoi évoquait-elle sa sœur de toute manière ? Elle n’était pas là et elle n’avait rien à faire dans cette discussion. En plus si elle savait ce qui s’était passée exactement entre son aînée et le fils Levingston, elle aurait de quoi remplir son argumentation. C’est vrai il voyait Janet comme une sœur mais jamais il ne verrait Violette comme une sœur… Mon Dieu, une sœur, beurk ! Vous vous rendez compte si c’était le cas, ce qu’ils avaient fait… DE L’INCESTE, pur et dur et c’était dégoutant, répugnant et tous les synonymes qu’il pourrait trouver. Plus jamais elle ne devrait dire des choses comme ça ou les insinuait. Pete avait déjà des problèmes, il avait sa dose de vice mais heureusement l’inceste n’en faisait partie. La biologie était avec lui, merci la science.

Il faut dire aussi que l’âge jouait en sa défaveur. C’est vrai, elle était plus petite ce qui encourageait Pete à la voir telle une petite sœur, Violette était plus grande qu’elle déjà et de lui. Alors c’est sûr quand on est en pleine adolescence, on préfère séduire la plus grande et puis il avait vu grandir Janet depuis le berceau, ce n’était pas du tout la même relation entre les deux sœurs. Des fois c’est comme si les deux Bunrrow n’étaient pas de la même famille, c’était étrange comme remarque et ressentiment. Il est vrai que parfois, on pouvait se dire que Janet était dans l’ombre constante de sa sœur et dans un sens s’était vrai mais ce n’était en aucun cas voulu par l’aînée. Pete le savait bien vu tout le temps qu’il passait avec Violette, elle était sa confidente, sa meilleure amie, sa maman et tellement d’autres choses. Violette était un tout pour lui. Elle était essentielle à sa vie. Bien des fois elle l’avait sauvé d’une catastrophe. C’est vrai avec toutes les merdes qui lui tombaient dessus, il aurait pu faire bien de conneries qu’il n’en n’avait faites et c’était essentiellement dû à Violette. Elle avait été bien des fois sa marraine la bonne fée. Violette serait encore très présente dans le futur, c’était sûr. Elle serait la personne qui lui ajusterait sa cravate ou son nœud-papillon à son mariage – ce n’est pas encore défini, il faut dire il reste encore un peu de temps – c’est elle qui serait la marraine d’au moins un de ses enfants s’il en a un jour, c’est à elle qu’il demanderait des conseils pour faire plaisir à sa chère et tendre et tellement d’autres choses indispensables. Parce qu’il était nul pour beaucoup de choses mais qu’elle arrivait toujours à combler ses parties là. Réfléchissant à tout ça, Pete avait un peu oublié Janet mais elle se chargea de capter à nouveau son attention. « C’est pas juste. Pourquoi je peux pas être comme Violette. » Pete la fixa du regard. Qu’est-ce qu’elle disait comme bêtise ? Sa personnalité la différenciait de son aînée et c’était une bonne chose. Être une copie de quelqu’un n’apportait rien de bien. Il préférait nettement la Janet qu’elle était maintenant avec ses qualités et ses défauts plutôt qu’elle devienne une pâle copie de sa sœur. Dire qu’elle envisageait tout ça à cause de lui, il était horrible de la faire se sentir mal à ce point-là.

« Tu sais je suis pas aussi pure que tu crois. Je me suis entraînée sur d’autre pour bien embrasser. Je connaissais même pas le nom des gens, mais je voulais que ce soit parfait pour toi. Parce que si c’était nul ça se trouve tu voudrais même plus me parler après. » Le visage de Pete se décomposait à mesure qu’elle continuait de parler. Certes ça avait un côté charmant mais tout de même, il n’avait pas forcément besoin de connaître tous les détails de l’histoire. Surtout que ce n’était pas la chose à faire, il ne voulait pas qu’elle fasse n’importe quoi pour lui plaire. Et si elle avait couché pleins de garçons dans l’optique d’être parfaite pour lui aussi ? Il ne voulait même pas envisager cette possibilité. Non Janet était encore pure de ce côté-là, il l’espérait bien, elle encore bien trop jeune. Il avait l’impression que c’était encore hier qu’il la voyait gambader toute nue dans le jardin de ses parents alors qu’elle n’avait que quatre ans. A l’époque elle était si mignonne et si marrante. Pete aimait la pourchasser en agissant comme s’il était un monstre qui voulait la manger. Ce n’était que des bons souvenirs d’enfance tout ça. « Mais regarde. Regarde, je me suis fait belle pour toi. Enfin le maquillage se voit plus mais j’ai une jolie robe, t’aimes ma robe ? Moi je l’aime bien, je trouve qu’elle rend bien. Et puis les chaussures sont assorties, tu vois. » Pete prit le temps de la regarder. C’est vrai qu’elle était très belle mais Pete le savait déjà, il l’avait toujours trouvé ravissante. Certes souvent il trouvait qu’elle se maquillait trop mais il s’était dit que c’était dû à son âge. C’est vrai à cet âge-là, les filles se cherchaient, elles voulaient montrer à tout le monde qu’elles n’étaient plus des petites filles. Cette phase allait lui passer, ce n’était qu’une question de temps. « Je sais pas si tu vois. C’est pas la première fois que je le fais tu sais ? J’essaie de toujours être jolie comme ça un jour tu me verras peut-être. » Pete se mordit la lèvre inférieure. C’était ça, il ne lui montrait pas assez d’intérêt ? Ne lui accordait pas assez d’attention ? C’est vrai que des fois il la délaissait peut-être mais il ne pensait pas qu’elle le ressentait aussi fort. Ça lui brisait littéralement le cœur qu’elle se sente délaissée par lui. Il s’était promis de veiller sur elle et voilà qu’il ne remplissait pas son job comme il devrait le faire. Certes sa vie c’était le bordel et il était quasiment perdu mais les autres n’avaient pas à subir ce genre de choses. Il voulait le meilleur pour Janet, la vie la plus facile qui soit. En aucun cas il ne souhaitait qu’elle ne souffre surtout pas à cause de lui. « Moi je te vois tout le temps. D’ailleurs, ce haut, je le préfère avec un jean. Si tu veux mon avis. » Euh d’accord, il prenait note. Il ne faisait pas forcément attention à son allure, il prenait un t-shirt et un pantalon et il les mettait. Bon certes il faisait tout de même attention à ce que les couleurs aillent ensemble mais vu qu’ils portaient pratiquement uniquement des couleurs sobres, à savoir noir, gris, bleu jean, des tons de marron et parfois du bordeaux et du blanc mais très peu, et bien il avait peu de fois à faire à ce genre de problèmes. C’était nettement moins compliqué de s’habiller quand on était un mec que quand on était une fille… A chacun ses petits soucis.

Janet leva alors les yeux pour le regarder. Dans ses yeux il put lire cette tristesse qui ressortait et comme une supplication. Oh non, il la faisait tellement souffrir en ce moment. Ne pouvait-il pas revenir dans le passé ? Il pourrait éviter tout ça comme ça. Rêve pas Pete, ce n’est pas toi qui décide ! « Je t’aime Pete, je t’aime je t’aime je t’aime et c’est nul. » Que pouvait-il bien répondre à cela ? Ben oui c’était nul parce qu’il était idiot ou quelque chose dans le genre pour apaiser son cœur mais qu’il ne penserait pas forcément. Lui dire encore que c’était une question de mauvais timing, il était pris en ce moment qu’il fallait qu’elle retente sa chance dans six mois et que peut-être ça serait bon. Ca l’anéantirait ce genre de truc. Décidément quoi qu’il fasse, les choses n’iraient pas. Alors il fit la seule chose qui lui permettrait de gagner un peu de temps pour essayer de trouver les mots justes, il prit Janet dans ses bras pour la réconfortait. Oui un câlin, le bon vieux remède qui existait depuis la nuit des temps mais qui avait montré son efficacité… Elle pouvait pleurer sur son épaule, elle serait toujours à sa disposition n’importe où, n’importe quand. C’était le moins qu’il pouvait faire puisqu’il était actuellement en train de briser son cœur. Espérons qu’elle se remette vite, elle était jolie, un nombre incalculable de garçons devaient lui tourner autour. Bien sûr Pete leur ferait passer un interrogatoire préliminaire pour être sûr qu’ils ne feraient pas de mal à sa Janet. Pete prenait toujours soin de ses filles, c’était l’une de ses priorités. Bon cela commençait déjà à faire quelques instants qu’il tenait Janet dans ses bras, on pouvait sûrement compter ses instants en minutes mais il ne savait toujours pas quoi répondre. Finalement il sortit une connerie : « Si tu veux je peux te le donner mon T-shirt… » Bah c’est juste qu’elle avait l’air de l’avoir remarqué alors si son t-shirt il pouvait bien lui donner, ça lui ferait sûrement plaisir et puis lui il en avait plein d’autres. Bon c’est sûr que c’était l’un de ses préférés mais c’était pour Janet alors il pouvait bien s’en passer. Pete desserra alors son étreinte et se recula un peu. Maintenant il lui parlait. « T’es très belle Janet et je l’ai déjà remarqué, tu sais. Je le dis peut-être pas mais je le remarque. » C’était pas mignon ? Pete était mignon mais ce n’est pas avec ce genre de paroles que Pete allait faire redescendre Janet de son petit nuage. Il devait lui dire la vérité en face. Elle avait besoin d’entendre certaines choses. Cependant il devait trouver la bonne manière et là résidait la difficulté mais il pouvait y arriver. Il avait résolu déjà bien des problèmes avant. « Janet tu crois que tu m’aimes mais c’est pas vraiment de l’amour… Ce que je veux dire par-là c’est que tu m’aimes parce qu’on se connaît depuis toujours et qu’on a grandi ensemble forcément ça rapproche. Ça passera vite. » Il se rendit compte que ce n’était pas forcément très délicat. Janet n’allait sûrement pas apprécier ce genre de paroles. Néanmoins Pete n’était pas réputé pour sa délicatesse. Non ce n’était pas qu’il était brute de décoffrage, il gardait pratiquement tout le temps son calme, c’est juste qu’il était assez blessant. Il était franc et heurter la sensibilité des autres n’était pas un problème pour lui. Il partait du principe que la franchise était nécessaire à tout fondement d’une bonne relation. S’il n’y avait pas de sincérité, il n’y avait pas d’amitié vraie. Ce qu’il oubliait c’est qu’il y avait une forme de le faire, lui se contentait d’oublier un peu ce côté-là, le format quoi.

Pete regarda alors Janet dans les yeux avant de lui dire. « Je t’aime beaucoup Janet, vraiment beaucoup et sache que ça ne changera jamais c’est juste que, et ben c’est pas la forme d’amour que tu espères. Ça ne veut pas dire que c’est moins important, loin de là, c’est différent. Et je te le redis, tu crois que tu m’aimes mais c’est pas de l’amour qu’on porte à un petit ami, tu le crois sûrement mais c’est différent. » Il espérait bien que ça allait convaincre Janet ou en tout cas ne pas lui faire de la peine parce qu’elle avait déjà bien assez souffert pour la journée. Néanmoins il fallait mieux qu’elle souffre aujourd’hui, une bonne fois pour toute et que tout aille bien pour la suite. C’était peut-être cruel comme façon de penser mais c’était un raisonnement logique aux yeux du jeune Levingston. C’était un raisonnement économique qui ne visait qu’au bonheur de la jeune Bunrrow. Car oui elle était bien jeune ! Trop naïve et insouciante encore mais n’était-ce pas les caractéristiques propres à âge ? Est-ce que lui n’était pas pareil qu’elle ? Non mais il faut dire qu’à son âge il était déjà fiancé, en froid glacial digne du pôle nord avec ses parents et ne parlons pas de ses relations amoureuses désastreuses et catastrophiques… Non il ne fallait mieux pas les évoquer pour éviter de déprimer un bon coup. Ce n’était pas plus mal d’un côté qu’elle ne soit pas comme lui, c’était mieux même parce que franchement il était loin d’être un modèle. Rien que de penser à cela le faisait rire.
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MessageSujet: Re: 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.    'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.  EmptySam 27 Oct - 3:26

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La seule amélioration de la situation qu’avait remarqué Janet, c’était que Pete avait pris le temps de s’arrêter deux minutes dans son fil de pensée et de l’observer un instant. Bon, elle l’avait demandé et dans la situation du garçon c’était la moindre des choses mais quand même, il avait fait attention. Et il ne semblait pas faire la grimace genre oh t’es trop moche, alors c’était un point positif, non ? Et puis avant qu’elle ne puisse comprendre ce qui lui arrivait, Pete était en train de lui faire un câlin. Une foule de sentiments contradictoires traversaient la jaune et noir à cet instant. Bon déjà, elle était contente parce qu’elle était dans les bras du garçon. Et si elle était débile et naïve, elle ne l’était pas suffisamment pour croire que c’était qu’elle avait sa chance. Elle voyait bien la différence de câlin avec un autre garçon qui l’aimait un peu plus et Pete, qui essayait juste de faire de son mieux pour lui dire la dure vérité de la vie. Et puis, elle avait vu Sarah et Xander. Ce n’était pas le même câlin. Mais tout bien considéré, elle était contente qu’il fasse quand même attention. Pete aurait simplement pu lui rire au visage, ou lui dire qu’elle était ridicule, ou la pousser quand elle l’avait embrassé sans lui demander. Mais non. Il était évident qu’il faisait de son mieux. Janet hésitait à reprendre la parole, et puis elle décida qu’il était mieux de profiter du câlin et d’attendre qu’il dise quelque chose. Après tout, elle n’avait plus grand-chose à lui dire. « Si tu veux je peux te le donner mon T-shirt… » La voix du garçon réveilla un instant la brune qui ne s’attendait absolument pas à une telle réponse. Non pas que ça ne lui faisait pas plaisir, au contraire, elle était ravie à l’idée d’avoir quelque chose qui appartenait au rouge même si elle ne savait pas si elle aurait le courage de lui dire oui et de le récupérer. ça serait bizarre, non ? Surtout qu’elle aurait envie de le mettre, et que débouler dans la Grande Salle avec le haut d’un garçon que tout le monde avait déjà vu, ça ferait désordre. En pyjama ? Oh, ça serait un super pyjama. Il faudrait qu’elle y réfléchisse, mais le temps qu’elle arrive à sortir quelque chose de sa bouche autre que des balbutiements, il avait repris une nouvelle phrase. « T’es très belle Janet et je l’ai déjà remarqué, tu sais. Je le dis peut-être pas mais je le remarque. » Le cœur de la cadette Bunrrow s’emballa la seconde d’après. Il lui avait dit qu’elle était belle. Il lui avait dit. IL LUI AVAIT DIT. Il l’avait remarqué, et apparemment ce n’était pas la première fois. La vie devenait plus belle. Ses efforts, loooongs efforts le matin prenaient forme. Prenaient une raison. Elle ne faisait pas tout ça pour rien et ça changeait la vie. La cinquième année releva les yeux vers le garçon et oubliant qu’elle était toute rouge comme une tomate, lui fit un sourire illuminé. Fier, un peu, aussi, qu’il ne regarde pas que les autres filles. Qu’il la trouve jolie. ça voulait dire quelque chose, non ?

« Janet tu crois que tu m’aimes mais c’est pas vraiment de l’amour… Ce que je veux dire par-là c’est que tu m’aimes parce qu’on se connaît depuis toujours et qu’on a grandi ensemble forcément ça rapproche. Ça passera vite. » Il en aurait fallu énormément pour que la brune perde son sourire, aussi elle encaissa sans que ses lèvres ne bougent. C’était un peu triste, mais elle se répétait intérieurement le compliment qu’il lui avait fait quelques secondes plus tôt. tu es très belle Janet. je l’avais déjà remarqué. je le remarque. tu es très belle Jan- c’est pas vraiment de l’amour. S’embrouillant dans ses pensées, elle secoua la tête. Non. Non, elle l’aimait, comment il pouvait savoir que ce n’était pas ça ? N’importe quoi. Après réflexion, elle n’avait jamais aimé personne d’autre, ça se trouve ce n’était pas ça l’amour. Mais qu’est-ce que ça pouvait être, les papillons dans l’estomac à chaque fois qu’il lui souriait ? Le sourire qui venait tout seul quand il lui disait bonjour ? La détermination avec laquelle elle se préparait pour qu’il la voie ? Le cœur qui battait à mille à l’heure quand il disait son prénom ? Comment il appelait ça, le beau Gryffondor ? En parlant des sentiments qui l’envahissaient chaque fois qu’il faisait quelque chose, il plongea ses yeux dans les siens, ce qui ne l’aida pas à se calmer. Oh, elle avait encore envie de l’embrasser. Mais non, il fallait résister. « Je t’aime beaucoup Janet, vraiment beaucoup et sache que ça ne changera jamais c’est juste que, et ben c’est pas la forme d’amour que tu espères. Ça ne veut pas dire que c’est moins important, loin de là, c’est différent. Et je te le redis, tu crois que tu m’aimes mais c’est pas de l’amour qu’on porte à un petit ami, tu le crois sûrement mais c’est différent. » La cinquième année fronça les sourcils, un air courageux dans les yeux. Elle DEVAIT faire comprendre au brun que si, c’était de l’amour. Peut-être que lui n’aimait pas vraiment sa petite amie et que c’était lui qui confondait ? Oui, probablement. Qu’est-ce que ferait Sarah dans un moment pareil, c’était sur ça que devait se concentrer la brune. Oh, se concentrer ça fait mal à la tête. Tant pis. Réagissant à une impulsion, la Poufsouffle fit un bisou sur la joue du brun en sautillant. Et puis le flot de paroles commença. « NON. Non je t’aime, je sais que je t’aime parce que j’ai comparé déjà. Isaac, je l’aime comme j’aime un frère et c’est pas pareil. Enfin je crois, j’ai jamais eu de frère. ça aurait été plus facile de comparer. Je sais pas en fait. Qu’est-ce que je disais. » Non Janet, ce n’est pas le moment de te perdre dans tes pensées. Concentre toi. « Ah oui c’est vrai. Je pense que c’est toi qui a tort cette fois, t’as souvent raison et tout et t’es plus grand donc t’es censé avoir plus d’expérience, mais non. Là je suis sûre d’avoir raison. Tu vois je t’ai fait un bisou sur la joue pour vérifier. Ben quand je fais ça… ça fait des guilis dans le ventre. ça me fait sourire, et puis je deviens toute rouge. Et je pense souvent à toi, et je voudrais que tu sois tout le temps en train de sourire. Et puis je veux être près de toi tout le temps. C’est ça l’amour. Y’a encore pleins de trucs que je pourrais te dire, te détailler, te préciser, te décrire, j’ai même pas besoin de te préparer pour te le prouver. C’est tout naturel, ça me paraît normal comme sentiment. Et c’est ça l’amour comme un petit ami pas comme un ami. Ni comme un frère. » Se mordillant la lèvre, Janet s’étonnait toute seule. Ferait-elle preuve de maturité ? Le Levingston devant avait l’air plus que surpris. Normal, ce qu’elle disait voulait vraiment dire quelque chose. Et ce n’était pas habituel que ce qui sortait de ses lèvres aient un sens, si vous voulez mon avis. « Peut-être que tu connais pas ça, ou pas autant, alors je pense que tu te trompes de fille. Je veux bien tout entendre tu vois, mais pas que je t’aime pas. Parce que je sais que je t’aime et que ça restera sûrement longtemps. Fais moi confiance sur ça. » Baissant la tête, réalisant que c’était en fait un peu triste que ça reste longtemps si ce n’était pas possible, Janet haussa les épaules.

La brune attrapa la main du garçon qu’elle aima tant et la serra un petit peu, fixant le sol, essayant de se résoudre à ce qu’il lui disait. « Dis Pete. » Laissant planer un petit silence, attendant que le rouge aie toute son attention, elle reprit. « Tu pourras y repenser quand même ? Parce que moi je suis là. Et on sait jamais ce qui peut arriver. ça se trouve c’est parce que t’y as jamais pensé de cette manière que tu dis que c’est pas possible. » Elle se mordit l’intérieur de la joue, et se rappela à quel point elle était contente quand il lui avait dit qu’elle était jolie. S’en souvenir, s’en souvenir. Désirant finir sur une note positive, elle inspira un grand coup. « En tout cas. Je suis contente que tu aies vu comment je pouvais être jolie. Parce que ça me fait gros plaisir. Si si. » Posant un doigt sur son cœur, poussant le cliché de la jeune fille amoureuse jusqu’au bout, elle donna son plus beau sourire au garçon. « Là. C’est quand ça me fait plaisir là que je sais que c’est de l’amour vrai. »

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Pete K. Levingston

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MessageSujet: Re: 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.    'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.  EmptyMer 7 Nov - 14:26

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« NON. Non je t’aime, je sais que je t’aime parce que j’ai comparé déjà. Isaac, je l’aime comme j’aime un frère et c’est pas pareil. Enfin je crois, j’ai jamais eu de frère. ça aurait été plus facile de comparer. Je sais pas en fait. Qu’est-ce que je disais. » Elle était mignonne, vraiment adorable. C'est vrai, s'il avait été célibataire et sûrement plus jeune, il aurait sûrement craqué. Pourquoi ? Et ben parce que Janet respirait la naïveté et la légèreté et tout cela c'était beau à voir. C'est vrai ça se faisait tellement rare de nos jours du fait de la société dans laquelle ils vivaient. Les enfants grandissaient trop vite. Ils étaient confrontés bien trop tôt à la dure réalité de la vie. Mais c'était tant mieux que Janet soit ainsi, Pete ferait tout pour que personne ne la change. Il ferait en sorte qu'elle garde son innocence le plus longtemps qu'il le pouvait. Néanmoins qu'elle s'accroche désespérément au fait qu'elle était amoureuse de lui, lui compliquait largement la tâche pour lui enlever cette idée de la tête. Non mais c'est vrai, il allait devoir lui dire plus fermement et ça ne lui ferait que plus de mal. Pete détestait à l'avance d'être méchant avec elle et lui faire du mal. Il n'avait aucun problème à l'être avec un bon nombre de personnes mais Janet n'était pas n'importe qui, elle comptait. Oui, le rôle du méchant lui convenait la plupart du temps mais pas pour cette situation. « Ah oui c’est vrai. Je pense que c’est toi qui a tort cette fois, t’as souvent raison et tout et t’es plus grand donc t’es censé avoir plus d’expérience, mais non. Là je suis sûre d’avoir raison. Tu vois je t’ai fait un bisou sur la joue pour vérifier. Ben quand je fais ça… ça fait des guilis dans le ventre. ça me fait sourire, et puis je deviens toute rouge. Et je pense souvent à toi, et je voudrais que tu sois tout le temps en train de sourire. Et puis je veux être près de toi tout le temps. C’est ça l’amour. Y’a encore pleins de trucs que je pourrais te dire, te détailler, te préciser, te décrire, j’ai même pas besoin de te préparer pour te le prouver. C’est tout naturel, ça me paraît normal comme sentiment. Et c’est ça l’amour comme un petit ami pas comme un ami. Ni comme un frère. » Que pouvait-il dire à tout cela ? N'était-ce pas ce qu'il ressentait, en quelque sorte, lorsqu'il voyait Blake ? Lorsqu'il l'embrassait ? Lorsqu'il la touchait ? Ce désir qui fourmillait au plus profond de vous, cette envie tellement indescriptible qui vous faisait oublier tout le reste. C'était plus fort que tout, quand vous le connaissiez, vous ne pouviez vous en séparer. Tout ce qui importait le plus c'est de ressentir toutes ces émotions le plus souvent et longtemps possible. Il ne pourrait plus lui dire qu'elle n'était pas amoureuse de lui, il serait bien hypocrite et mal placé. Non il devrait utiliser d'autres arguments pour effacer son affection. En tout cas en parlant, elle l'avait scotché parce qu'elle paraissait tellement plus... Grande ? Expérimentée ? Elle avait l'air un brin philosophe ou poète en révélant ses sentiments et les émotions qui en découlaient. Elle avait cette passion qui l'animait, passion commune à tous les amoureux. Oh comme Pete aurait préféré qu'elle jette son dévolu sur quelqu'un qui l'aime autant. C'était du gâchis. La vie était malle faite pour le coup.

Il aurait dû dire quelque chose mais comment répliquer des mots après une telle tirade ? Il ne le pouvait pas. Non parce qu'il briserait la beauté et la pureté de ces mots et c'était mal à ses yeux, cruel aussi. Il allait lui briser le cœur, il pouvait bien tenter de se faire pardonner ou en tout cas compenser en la laissant parler. Il lui laissait un peu prendre le contrôle mais elle avait plus de choses à dire que lui. « Peut-être que tu connais pas ça, ou pas autant, alors je pense que tu te trompes de fille. Je veux bien tout entendre tu vois, mais pas que je t’aime pas. Parce que je sais que je t’aime et que ça restera sûrement longtemps. Fais moi confiance sur ça. » Il connaissait ça mais il n'allait pas lui balancer « T'es bien mignonne Janet et tu sais je suis amoureux mais pas de toi, donc on reste en contact et on se fait une bouffe à l'occasion. » Non, non il ne pouvait pas dire une telle chose. Impossible. « Ça restera sûrement longtemps » mais il fallait mieux que non justement ! Oui, le contraire était préférable, c'était pour son bien que Pete le pensait. Elle lui prit alors la main avant d'ajouter : « Dis Pete. » Pete regarda Janet se demanda bien ce qu'elle allait pouvoir dire ou faire de plus, elle avait le don de l'étonner presque tout le temps. « Tu pourras y repenser quand même ? Parce que moi je suis là. Et on sait jamais ce qui peut arriver. ça se trouve c’est parce que t’y as jamais pensé de cette manière que tu dis que c’est pas possible. » Pete voudrait bien que ça se passe comme ça, que ça finisse en happy ending mais il le savait au plus profond de lui que ça ne serait pas le cas parce qu'il était déjà amoureux, fou amoureux même. Son amour pour Blake était une énorme partie de lui, il était invincible enfin il le pensait. Personne ni toute autre chose pourrait venir ternir ce flux de sentiments. Rien. « En tout cas. Je suis contente que tu aies vu comment je pouvais être jolie. Parce que ça me fait gros plaisir. Si si. » Pete ne put s'empêcher de sourire, enfin quelque chose de moins gênant. Cependant elle rajouta bien vite en posant un doigt sur son cœur. « Là. C’est quand ça me fait plaisir là que je sais que c’est de l’amour vrai. » Merci Janet maintenant Pete allait passer pour le pire des enfoirés que la Terre n'ait jamais connu.

Comment faisait-on ? Comment s'y prenait-on dans ce genre de situation ? Pete n'avait pas lu le manuel ou alors il avait raté ce chapitre. Il ne savait nullement comment procéder. « Janet... » Bien, il avait dit son prénom c'était pas mal pour un début mais ça ne suffirait pas. Il fallait qu'il trouve mieux que ça à présent. « Écoute Janet, je ne peux pas te donner ce que tu veux pour la bonne et simple raison que je suis déjà amoureux de quelqu'un. » BIM. Il avait sûrement détruit tous ses espoirs en une poignée de secondes et autant vous dire qu'il l'avait dit assez faiblement. Ce n'est pas qu'il avait honte d'être amoureux, qu'il ne l'assumait pas c'était par égard pour Janet. « Je sais ce que ça fait tout ce que tu m'as raconté et tu sais je suis tellement désolé de pas te répondre favorablement mais je veux pas te donner de faux espoirs. » Comprenait-elle ? Pete ne le savait pas. Elle allait peut-être encore chercher à lui prouver qu'il avait tort ou il ne savait pas quoi encore. Cependant en rajouter une couche ne serait pas l'enfoncer encore plus ? Janet n'avait sûrement pas besoin de ça, Pete ne voulait pas lui infliger ça. Il fallait qu'il trouve quelque chose de positif, finir sur une touche bénéfique. « Mais je le redis ça ne change rien sur le fait que je t'adore Janet ! Tu seras toujours comme ma petite sœur et tu pourras toujours compter sur moi. Je ne t'abandonnerais jamais, je te le promet ! » Pas sûr que ça arrange vraiment les choses mais au moins c'était un minimum.
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MessageSujet: Re: 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.    'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.  EmptyDim 16 Déc - 7:41

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you spin my head right round right round.

Dire que Janet n’allait pas abandonner de sitôt était l’euphémisme de l’année, vraiment. Elle avait bien compris – conne mais pas à ce point – que c’était plus que mal parti avec le garçon, et que ça n’arriverait probablement jamais. Mais pourtant, elle la brune avait toujours de l’espoir. Sait-on jamais, n’importe quoi pouvait arriver, même Blake qui tombait dans les escaliers. Malencontreusement. Si, si, le hasard. LE KARMA. VOILA, LE KARMA POUSSERAIT BLAKE DANS LES ESCALIERS. La Poufsouffle se demandait si ça se voyait sur son visage qu’elle se sentait coupable d’avoir imaginé le meurtre de quelqu’un, surtout que le sixième année aimait vraiment bien sa petite amie. Une fois de plus, Bunrrow se sentait coupable. Oui parce qu’elle ne pensait pas être censée savoir que Pete et la jeune fille était quelque chose d’autre que bons amis. Mais d’une, elle trouvait que ça se voyait à dix mille, et de deux elle avait espionné le garçon ce qui aidait un peu. C’est ainsi en connaissance de cause qu’elle était allée l’embrasser, mais elle ne regrettait pas grand-chose. Surtout que rien n’était officiel, alors bon. Elle n’était pas théoriquement au courant. Elle se demandait même si Violette savait. Mais elle n’avait pas envie de savoir si sa grande sœur savait des trucs comme ça sur Pete et lui cachait. Une fois encore, Janet n’avait aucune légitimité à être vexée de ne pas savoir la vie privée du Livingston, mais ça l’énervait et l’attristait de savoir qu’elle ne serait jamais aussi proche de lui que d’autres gens. C’était évident. Ils n’avaient jamais été proches de cette manière-là, et il la voyait encore comme une gamine innocente. « Janet... » Entendant son prénom, la brunette ouvrit grand ses oreilles. Une réaction normale aurait été de dire un truc style ah ben on reste bons amis ? ou encore connard et partir, mais non, elle s’accrochait. « Écoute Janet, je ne peux pas te donner ce que tu veux pour la bonne et simple raison que je suis déjà amoureux de quelqu'un. » Janet prit sa réplique comme une claque. Ce n’était pas SI surprenant quand on y réfléchissait, mais elle n’avait pas réfléchi. S’il était amoureux, c’était sûrement de Blake, et ça c’était pas cool. C’était un peu comme si ça allait devenir sérieux cette histoire, et la Bunrrow n’était pas particulièrement d’accord avec ça. De quoi, elle n’avait pas son mot à dire ? C’est quoi cette histoire ? « Je sais ce que ça fait tout ce que tu m'as raconté et tu sais je suis tellement désolé de pas te répondre favorablement mais je veux pas te donner de faux espoirs. » La Poufsouffle inspira un grand coup pour ne pas pleurer et baissa les yeux sur ses chaussures. De faux espoirs. Ah ben tiens, parlons d’espoir. La jeune fille se sentait bête, parce qu’elle voyait bien que Pete n’était pas du tout à l’aise avec la situation, que elle était triste et que c’était absurde. Tout ça ne menait à rien, mais elle ne voulait pas l’admettre. Il fallait bien pourtant : il était a m o u r e u x lui aussi. « Mais je le redis ça ne change rien sur le fait que je t'adore Janet ! Tu seras toujours comme ma petite sœur et tu pourras toujours compter sur moi. Je ne t'abandonnerais jamais, je te le promet ! » Janet releva soudainement la tête, et haussa un sourcil. C’était bien qu’il reste toujours pas loin d’elle, et qu’il ne l’abandonne pas, mais s’il pouvait arrêter de préciser qu’elle serait comme une petite sœur ça serait parfait. Non parce que c’est pas comme si ça rendait bizarre le fait qu’elle l’ait embrassé, mais qu’avec ça ça enlève toutes ses chances.

« Ok. » Pete eut un petit geste surpris. Ok ? C’était ça sa réponse ? Un simple ok ? Janet avait compris l’idée de toute façon, et elle ne voulait pas en parler plus que ça. Mais comme elle était rarement en colère, elle envoya son plus beau sourire au rouge. « Ok. J’ai compris. Toute façon, t’es amoureux de quelqu’un d’autre c’est ça ? Son nom… C’est Blake, non ? » La brune faisait comme si elle hésitait, mais elle se rattrapa bien vite. Tant pis pour la discrétion. « Blake, Cauldwell. Une rouge. Dans ton année. Ouais, je vous aie vu la dernière fois. » Pete toussota. Janet haussa les épaules. « Vous vous embrassiez juste avant de rentrer dans un couloir où y’a plein de monde. Enfin ça change rien, j’aurais deviné à dix mille que vous étiez amoureux l’un de l’autre. Enfin toi je savais pas, mais elle ça se voit partout. » Avec un soupir, la cinquième rajouta. « Comme ça doit se voir sur moi. » Il y eut un long silence. La Poufsouffle essayait de ne pas pleurer parce qu’elle savait que Pete n’aimerait pas ça, mais elle avait beaucoup de mal. Et le sixième année n’avait probablement rien à rajouter, ce qui semblait probable. Janet ouvrit la bouche pour dire autre chose, et sentit que des larmes coulaient sur ses joues. Pour faire comme si de rien n’était, elle continua de parler en gardant la tête baissée. « Et c’est sérieux ? Tu vas rester avec elle ? T’es avec elle parce que t’es amoureux. C’est pas parce qu’elle est un peu chiante ou qu’elle fait pitié ? Enfin c’est pas parce que je l’aime pas hein. Elle est vraiment un peu nulle cette fille, elle soulante moi je l’aime pas. » S’essuyant les joues avec ses manches, Janet inspira, mais ça n’arrangeait rien. « Je vais pas juger tes fréquentations, mais ça se trouve tu vois que ses qualités. Je sais pas comment tu fais parce qu’elle en a pas beaucoup, elle est même pas amusante en fait. Elle fait tout le temps la tête, ou alors elle se prend pour je sais pas quoi et tout. Et puis elle s’habille mal et elle sait jamais comment s’y prendre pourtant elle fait la belle. » Nouveau silence. La Poufsouffle s’en voulait d’être aussi méchante, surtout qu’elle ne connaissait pas Blake autant que ça : le fait qu’elle ait le droit d’embrasser le garçon quand elle voulait suffisait pour que la brune ne voie que ses défauts. Et elle occultait volontairement toutes ses qualités. Se disant, ceci dit, que ça vexerait probablement Pete si elle continuait, elle releva timidement la tête. « Désolée. Tu t’en fiches de ce que je pense d’elle. » En croisant le regard du garçon, elle rebaissa la tête aussi tôt. Comme si c’était une petite fille attendant une punition.
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Pete K. Levingston

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MessageSujet: Re: 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.    'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.  EmptyVen 28 Déc - 13:21

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Janet avait relevé la tête ce qui laissait espérer à Pete qu'il avait trouvé les bons mots pour la réconforter et que tout rentrerait dans l'ordre. Oui tout serait arranger et on parlerait de cette histoire en plaisantant au tour d'une bonne part de pudding tandis que Pete serait avec Blake et que Janet serait au bras d'un gentil garçon qui la traiterait bien, Pete veillerait à ce point précis. Quel tableau parfait, vous ne trouvez pas ? Mais c'est comme ça que ça finirait parce qu'ils avaient le droit à leur fin heureuse ! Oui, ils en avaient le droit, ils la méritaient. « Ok. J’ai compris. Toute façon, t’es amoureux de quelqu’un d’autre c’est ça ? Son nom… C’est Blake, non ? » Pete devint un peu blanc... Oui ce n'est même pas un peu. Comment avait-elle deviné ? Ça se lisait sur son visage ou quoi ? Ça ne le réjouissait pas tellement que Janet soit au courant car les filles déçues et rejetées étaient toujours les pires. Elles étaient capables du pire et Pete ne voulait pas que Janet détruise tout son plan et que même elle se venge sur Blake. Oh non, il ne fallait en aucun cas que cette situation arrive. Pete ne pourrait pas gérer le fait de devoir se séparer de Janet parce qu'elle l'avait trahi ou quoique ce soit dans le genre. Non et puis pourquoi il pensait au pire de toute façon ? C'était son truc ça, toujours envisageait le pire, jamais le meilleur. Ça venait sûrement de sa situation avec ses parents, il n'y avait que ça comme explication. Cherche toi des excuses Pete *sifflote* « Blake, Cauldwell. Une rouge. Dans ton année. Ouais, je vous aie vu la dernière fois. » Pete toussota tellement il était surpris et que la demoiselle était en train de le prendre au dépourvu. Par Merlin si elle les avait vu, il y avait des chances que d'autres personnes également. Ils risquaient gros là ! Quelqu'un pourrait leur faire du chantage ou pire tout révéler à ses parents. C'était vraiment mauvais, oh oui ça chauffait sérieusement pour ses fesses. « Vous vous embrassiez juste avant de rentrer dans un couloir où y’a plein de monde. Enfin ça change rien, j’aurais deviné à dix mille que vous étiez amoureux l’un de l’autre. Enfin toi je savais pas, mais elle ça se voit partout. » Pete se souvenait de ce jour-là. De toute manière toute occasion était bonne pour que Pete embrasse sa petite amie, ils manquaient tellement d'intimité tous les deux et surtout de temps pour en avoir qu'un coin de couloir sombre c'était ce que cherchait toujours Pete pendant les interclasses. Néanmoins Pete fut surpris quand Janet lui avoua qu'elle était sûre que Blake était amoureuse de lui mais pas lui. Bah peut-être qu'elle ne l'avait pas remarqué puisqu'elle se persuadait que c'était elle qu'il aimait vu qu'elle avait le béguin pour lui. De plus une fille amoureuse voyait toujours les rivales et en imaginait beaucoup aussi... « Comme ça doit se voir sur moi. » La preuve lui ne l'avait pas vu mais en même temps il n'avait rien deviné pour Blake à l'époque. Il n'était vraiment pas doué pour ce genre de choses. Pourtant comme il aimait souvent le rappeler, il en avait de l'expérience le coco.

Le silence s'était installé entre eux et il perdurait. Pete cherchait quoi dire, LA parole intelligente qui ferait Janet se sentir mieux et qui détendrait par la même occasion la situation. Malheureusement elle ne lui venait pas et il l'attendait désespérément. Il ne pouvait pas avoir une décale pour partir ou alors quelqu'un qui se ramène ? Oui c'était lâche mais peut-être préférable. Il avait l'impression que plus il restait avec Janet plus la situation s'aggravait. Comme quoi c'était lui le boulet bien qu'il se croit si parfait le Levingston. Par Merlin, il était nul, vraiment nul. « Et c’est sérieux ? Tu vas rester avec elle ? T’es avec elle parce que t’es amoureux. C’est pas parce qu’elle est un peu chiante ou qu’elle fait pitié ? Enfin c’est pas parce que je l’aime pas hein. Elle est vraiment un peu nulle cette fille, elle soulante moi je l’aime pas. » Pete n'apprécia pas vraiment les paroles de Janet. Il l'adorait certes mais il ne pouvait pas tout laisser passer. Elle parlait de sa petite amie, la fille dont il était fou amoureux. Il fallait vraiment qu'elle surveille ses paroles, si elle souhaitait conserver son amitié sincère et totale. Un peu piqué, Pete ne s'aperçut même pas qu'elle pleurait comme elle avait la tête baissée en plus. Là il faisait un peu goujat, vraiment pas cool le rouge et or ! « Je vais pas juger tes fréquentations, mais ça se trouve tu vois que ses qualités. Je sais pas comment tu fais parce qu’elle en a pas beaucoup, elle est même pas amusante en fait. Elle fait tout le temps la tête, ou alors elle se prend pour je sais pas quoi et tout. Et puis elle s’habille mal et elle sait jamais comment s’y prendre pourtant elle fait la belle. » Pete ne s'attendait vraiment pas à ce que de telles paroles sortent de la bouche de Janet. C'est vrai pour lui Janet c'était l'innocence, la bonté et tout ce qui va avec. Il n'aurait jamais cru qu'elle puisse être si... mauvaise. Oui mauvaise s'était le mot et le pire c'est qu'elle le ferait limite douté. Oui Pete commençait à s'imaginer qu'il ne voyait que les bons côtés de Blake parce qu'il en était amoureux et que du coup, il en oubliait le reste. STOP ! Ce n'était pas vrai, il aimait Blake et savait qu'elle avait des défauts, ils s'étaient d'ailleurs pris la tête plusieurs fois à cause de ça mais il n'était pas parfait non plus. Non, il ne voyait pas que ses bons côtés même s'il était amoureux. Il ne devait pas se laisser avoir par la jeune demoiselle. Il était intelligent, non naïf. Elle disait ça à cause de la jalousie, c'était tout. « Désolée. Tu t’en fiches de ce que je pense d’elle. » Il l'a vit alors car elle relevait la tête et il comprit qu'elle avait pleuré et voilà qu'il se sentait de nouveau très mal car il se rendait bien compte qu'il était responsable de ses malheurs. Il voulait veiller sur elle mais il ne faisait que lui faire plus de mal. Il était nul ! Mais en même temps il fallait bien avouer qu'elle ne lui facilitait pas la tâche pour le coup car elle s'en prenait à celle qui comptait le plus à ses yeux. Néanmoins elle n'avait que quinze ans, il se devait aussi de la rassurer. « Je m'en fous pas de ce que tu penses d'elle, au contraire ça m'intéresse beaucoup ! Le fait que tu n’aie pas d'avis sur elle à me communiquer me chagrinerait en fait. » On ne pouvait pas faire mieux comme entrée en matière, non ? Pete lui montrait son importance mais il n'allait pas s'arrêter là, c'était sûr. « Janet t'es une personne très importante à mes yeux, j'ai besoin que tu me dises ce que tu penses de ma petite amie parce qu'il est sûr que vous allez être amenées à passer du temps ensemble. T'es comme rattachée à moi, je te laisserais pas de côté, je te l'ai dit. » Maintenant qu'il avait parlé des bonnes choses, il devait pourtant parler des mauvais choses.

« Cependant ça m'embête vraiment que tu ne l'apprécies pas mais je me dis que c'est parce que tu ne la connais pas assez. C'est quelqu'un de bien, Janet et je l'aime vraiment beaucoup. Je suis sûr que vous pourriez bien vous entendre tous les deux mais je ne veux pas te forcer à apprendre la connaître. Je veux dire j'aimerais énormément mais si tu ne veux pas, je comprendrais. » Il espérait vraiment qu'elle allait lui dire qu'elle ferait des efforts, c'était un peu la technique du je te force pas mais fais-le quand même. En général ça marchait bien donc il fallait croiser les doigts... « Et Janet arrête de pleurer, j'aime vraiment pas te voir mal, ça me met mal et je me dis que je foire tout avec toi. Tu vois à quel point je suis nul, tu peux le dire tu sais. » Il se rapprocha alors d'elle et la prit de nouveau dans ses bras espérant que ça la réconforte. C'était bien la seule chose qui marchait pour le moment.
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MessageSujet: Re: 'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.    'cause baby you're a firework ▬ bunton powa.  EmptyDim 17 Mar - 11:46

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Janet se rendit compte qu’elle insultait l’amoureuse de son amoureux depuis quelques minutes sans même prendre le temps de respirer, et ça faisait un peu mauvaise impression, alors elle se tût et baissa les yeux, attendant que sa colère passe. Mais c’était vrai ce qu’elle disait, et elle s’était bien sentie obligée de se prononcer, elle n’allait pas laisser le rouge et or faire la plus grande erreur de sa vie. C’est en essuyant ses larmes qu’elle releva la tête vers le garçon. Plus elle le regardait, plus elle le trouvait attirant et beau et visuellement harmonieux. Plus il parlait, et plus elle le trouvait gentil et adorable. Plus il était là et plus elle tombait amoureuse, ce qui était un peu embêtant, à présent. Au moins, elle était fixée. Oui parce que ça faisait bien longtemps qu’elle fantasmait sur Levingston et qu’elle rêvait de leur mariage, mais là elle savait bien définitivement que ce n’était pas possible. Elle ne perdrait pas espoir, elle était trop amoureuse et trop optimiste, mais c’était quand même peine perdue pour les prochaines semaines. Et les prochains mois. Il faudrait au moins que Blake parte avec quelqu’un d’autre pour qu’elle ait sa chance, et encore, ce n’était 1) pas près d’arriver 2) pas sûr qu’il abandonne pour autant 3) si elle partait, ça serait à tous les coups avec Pete. Et là, elle ne le reverrait même plus. Elle saurait juste qu’il est parti avec l’autre moche. Le silence entre les deux commençait à durer, et le préfet finit par ouvrir la bouche pour donner son avis, lui aussi. La cinquième année attendait anxieusement. Elle avait peur qu’il lui dise qu’elle était méchante, et qu’il se fâche. Si Pete était en colère contre elle, là elle serait définitivement anéantie. « Je m'en fous pas de ce que tu penses d'elle, au contraire ça m'intéresse beaucoup ! Le fait que tu n’aies pas d'avis sur elle à me communiquer me chagrinerait en fait. » Le visage de la brune s’illumina. Il n’était pas fâché ! Il était même content qu’elle ait quelque chose à dire ! Alors ça, ce n’était pas prévu, mais c’était une super bonne surprise. Quand elle le dirait à Sarah, elles allaient faire une super danse de la joie toutes les deux. Janet avait déjà hâte. Elle réalisait qu’elle pouvait donner son avis et que le brun l’écoutait, et ça c’était un pas en avant, elle qui avait toujours cru qu’il ne savait quasiment que son prénom et c’est tout. Ce qui était stupide, ils avaient grandis ensemble, évidemment qu’il était intéressé par l’avis de Janet ! De toute façon, il lui avait toujours porté un minimum d’attention. Bunrrow junior n’avait simplement jamais trouvé ça suffisant.

« Janet t'es une personne très importante à mes yeux, j'ai besoin que tu me dises ce que tu penses de ma petite amie parce qu'il est sûr que vous allez être amenées à passer du temps ensemble. T'es comme rattachée à moi, je te laisserais pas de côté, je te l'ai dit. » Bon, il y avait du bien et du mal dans sa phrase. C’était super cool qu’elle soit importante, et qu’il aie besoin d’elle, et la partie préférée de sa phrase étant rattachée à moi. Mais l’idée de devoir passer plusieurs années avec Blake et d’aller au mariage et d’aller aux anniversaires et de lui parler et de la regarder et de la voir tenir la main de Pete et AH. Non ça c’était vraiment pourri comme idée. Janet fit même la grimace, qu’elle cacha vite, ne voulant pas vexer Pete pour les mauvaises raisons. A la place, elle tourna la phrase en boucle à propos de l’attachement, ça c’était sympa, et ça aussi elle devrait le retenir pour le dire à sa meilleure amie. C’était digne d’une deuxième danse de la joie. Elle en sautillait d’un pied sur l’autre d’avance. « Cependant ça m'embête vraiment que tu ne l'apprécies pas mais je me dis que c'est parce que tu ne la connais pas assez. C'est quelqu'un de bien, Janet et je l'aime vraiment beaucoup. Je suis sûr que vous pourriez bien vous entendre tous les deux mais je ne veux pas te forcer à apprendre la connaître. Je veux dire j'aimerais énormément mais si tu ne veux pas, je comprendrais. » La Bunrrow lâcha un grand soupir, comme une enfant qu’on grondait gentiment et à qui on faisait promettre de ne pas recommencer. Janet, pourtant, aurait bien recommencé. A part les points négatifs de cette journée, elle avait quand même embrassé Pete, et il lui avait dit des trucs super gentils. Par contre, il commençait à dire n’importe quoi là. Elle aimait plus ce côté-là, moins drôle. Pete attendait de la brune qu’elle fasse des efforts, ce qui était tout à fait légitime. La brune était de nouveau toute triste, se disant qu’elle avait déjà travaillé pour en arriver à ce point d’aborder Pete comme ça, et maintenant elle devrait se préparer psychologiquement à supporter et peut-être apprécier Blake.

Janet essaya de retenir des nouvelles larmes, et les essuya avec le revers de sa manche. « Et Janet arrête de pleurer, j'aime vraiment pas te voir mal, ça me met mal et je me dis que je foire tout avec toi. Tu vois à quel point je suis nul, tu peux le dire tu sais. » La Bunrrow serra le garçon qui la prenait dans ses bras, appuyant sa tête sur son torse. Elle renifla et le poussa en arrière. « Ah non ! T’es pas nul ! C’est moi qui suis bête et qui pleure pour rien. » Bon, Janet mentait un petit peu. Elle ne pleurait pas pour rien, elle pleurait pour une très bonne raison : Pete était en couple avec une fille qui n’en valait pas le coup. Mais il ne fallait pas lui dire ça, alors elle se tût. Janet prit la main du garçon et montra le bout du couloir. « Tu m’accompagnes ? » Le rouge eut un petit sourire et hocha la tête. Janet sautilla en le tirant derrière elle. « Tu me présenteras vraiment Blake ? Je te promets pas de bien l’aimer, c’est vraiment bien parti, mais on sait jamais, ça se trouve j’aurais le coup de foudre. Tu l’as bien eu, toi… » Il y eut un petit silence. Janet se refaisait toute la scène depuis le moment où elle avait couru pour l’embrasser au moment où elle le tenait par la main, juste maintenant. Elle allait devoir se souvenir des détails et ne pas se perdre dans son imagination pour redire à Sarah. Rah, si seulement elle avait été là dans un coin à regarder, ça aurait été beaucoup plus pratique. « A part ça j’espère que tu vas bien. » Pete hocha de nouveau la tête, ce qui fit sourire la brune. « T’es beau. » Pete rendit le sourire, un brin gêné. Janet réalisa que ça ne devait pas se faire, et que ça allait rajouter du gênant dans leur conversation. Dorénavant, elle essaierait d’être normale avec le garçon et de ne pas lui rappeler toutes les cinq secondes qu’elle voulait être avec lui comme un couple. « Pete ? » « Oui ? » « J’embrasse bien ? » Oops, raté. « Janet… » Avant qu’il finisse sa phrase, la concernée lâcha la main du garçon et fit une genre de révérence, qui ressemblait à un salut japonais mélangé à une courbette. « Pardon, je me tais. »


RP TERMINE
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