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Israël D. Everglade

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MessageSujet: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptyDim 20 Avr - 5:20

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Tu regardais une dernière fois ta sœur, encore sous le choc d’avoir faillit la perdre. Le Médicomage à tes côtés n’arrêtait pas de se confondre en excuses aussi pitoyables qu’inutiles. Pas étonnant cependant vu comment tu l’avais menacé à votre première rencontre afin qu’il s’occupe au mieux de ta sœur. Tu n’arrivais pas encore à réaliser que tout aurait pût se finir ici. Malgré ton statut, malgré tout ce que tu as fait, tu restais impuissant, obligé de contempler celle pour qui tu étais prêt à donner ta vie. Ta chère petite sœur. Si innocente, si fragile. Elle ne méritait pas ça. On avait rarement ce que l’on méritait d’ailleurs. Une fois revenu dans le couloir, tu croisas tes parents. Eux aussi avaient été prévenus de l’alerte. Tu les serras dans tes bras, les rassuras, et les accompagna dans la chambre, soutenant ta mère encore tremblante. C’est ainsi que vous vous retrouviez tout les trois au chevet de la petite dernière de la famille. Depuis combien de temps n’était-ce pas arrivé ? Tu le savais : depuis ton entrée au ministère, ceux qui t’avaient donné la vie te reprochaient ton ambition démesurée ainsi que ta volonté à toujours voir plus haut. Combien de fois ton père ne te l’avait-il répété ? Tu ne comptais même plus. « Ce qui compte », répétait-il inlassablement, « c’est la famille ! ». Ta mère en rajoutait généralement une couche « quand est-ce que tu nous ramèneras une jolie fille convenable qui nous donnera de beaux petits enfants ? ». A cette pensée tu ne pu t’empêcher de penser à ta douce Méryt que tu avais laissé en plan dans l’arrière-salle de sa boutique alors que vous alliez enfin passer à la vitesse supérieure. « La vie passe trop vite mon fils », dit soudainement ton père en caressant le visage de la malade. Tu le regardas, fronçant les sourcils. « L’important c’est… » « La famille », complétas-tu. « Je sais ». « Vraiment ? ». Tu hochas la tête, tes pensées se bousculant de ton esprit. Tu commençais enfin à comprendre le véritable sens des dires de tes parents. La famille ; Le temps qui passe ; Du temps de perdu. « Je dois vous laisser. J’ai quelqu’un à voir ». Ta mère leva la tête vers toi, les yeux interrogateurs. « A bientôt ». Tu déposas un rapide baiser sur le front de ta génitrice et gratifia Everglade sénior d’un signe. Tu partis au pas de course, excité comme jamais. Tu transplanas une fois dehors et t’activa à trouver ce qui te tenais à cœur.
Deux heures plus tard, tu te trouvais de nouveau devant ton immeuble, le cœur tambourinant dans ta cage thoracique. Tout allait se jouer maintenant. Enfin en partie. Tu pénétras dans les lieux et grimpa l’étage d’un pas énergique pour te retrouver sur le seuil de la porte de l’appartement de Méryt et Tobias. Tu espérais que ce dernier  ne soit pas là. Sinon tu convaincrais ta dulcinée à venir avec toi ailleurs. Tess était en ce moment à l’autre bout du pays sur une mission donc aucun risque de ton côté. Tu toquas à la porte, tentant d’arborer ton habituel petit air mutin et sûr de toi. Peut-être Méryt serait-elle dans la même tenue que la dernière fois ? Tu entendis du bruit derrière. Quelqu’un approchait. Tu dis à travers la porte encore fermée : « Désolée de vous dérangez si tard mais… Je dois voir une certaine personne ». Même si tu ne l’étais pas du tout au fond. Tu voulais la voir. Rien ni personne ne t’en aurait empêché ce soir. Surtout pas Tobias ou un autre gêneur. Tu devais te justifier, tout lui avouer et advienne que pourra.


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Méryt-Ahmès J. Calloway

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MessageSujet: Re: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptyLun 21 Avr - 7:38


«Have you ever had a feeling
That we're not alone? »




Tu te tenais devant la porte de Honeyducke. C'est toi qui fermais la boutique. Ta collègue avait bien remarqué que tu n'étais pas dans ton état normal à le fin de la journée. Elle t'avait posée des question, inquiète. Tu les avais balayée du revers de la main. Tu n'avais aucune envie de lui révéler ce qui te tracassait. Cela ne la regardait pas. Et puis elle ne comprendrait pas. Tu ne pouvais pas lui confier ce qu'il se passait entre Israël et toi. Elle te prendrait pour une folle, elle ne te croyrait pas. Elle serait même capable de te conduire à Sainte Mangouste pensant que tu es tombée sur la tête. Tu n'avais pas besoin qu'on te prenne pour une folle. Tu avais seulement envie d'en parler à une seule personne, ta meilleure amie. Seulement elle pourrait te comprendre réellement. Tu ne doutais pas qu'elle connaisse déjà tes réels sentiments envers le mangemort. De même pour Pan. Tout le monde devait le savoir avant toi. Comme d'habitude. Tu tournas la clé. Tu te reculas. Sur la pointe des pieds, tu tiras sur le rideau de fer. Tu le descendis jusqu'en bas et sécurisas le tout par un cadenas. Tu rangeas les clés dans ta parka. Un frisson te parcourut. Tu repensas à Israël. A ses yeux, son expression. Tu aimerais avoir de ses nouvelles, mais tu ne sais pas où le trouver. Tu ne sais pas qui à demander. Sûrement pas à Tess. Tu la détestait et ça, ça ne changerait pas. Tu n'avais pas envie de subir une quelconque remarque de sa part. Tu préférais attendre plutôt que te confronter à elle. Et puis peu être qu'elle n'était pas au courant. Peu être qu'Israël ne l'avait pas appelé, pas encore. Une part de toi l'espérait. Oui, tu étais jalouse de Tess, du fait qu'elle partage sa vie. Tu ne voulais pas qu'Israël se jette dans ses bras. Pourtant cela serait tout à fait normal. Après tout, elle était censée être son amie. Une amie devait être là pour réconforter. Mais tu n'avais pas envie qu'elle le fasse. Tu la méprisais au plus profond de ton coeur. Tu savais que tu ne pourrais pas les séparer. Un lien étrange semblait les relier. Et ils travaillaient et vivaient ensemble. Oui, ils étaient plus lier que tu ne le voudrais. Jamais tu n'aurais pensé un jour pouvoir souhaiter qu'Israël ne soit pas aussi attacher à elle. Il y a quelques semaines, cela ne t'aurait fait ni chaud ni froid. Tu te foutais d'eux, de la relation qu'ils pouvaient entretenir. Tu étais un peu dans la même situation. Tu vivais avec un autre homme : Tobias. Cependant, entre vous, il n'y avait aucune ambiguïté. Et il n'y en a jamais eu. Pas comme les deux mangemorts qui étaient tes voisins. Tout le monde connaissait l'attirance que Tess avait envers Israël, elle était plus forte que tout. Et Israël ne devait sûrement pas être indifférent à la plastique de la jeune femme. Tu devais reconnaître qu'elle était belle et c'était sûrement ça qui te faisait peur. Tu passas devant la porte de leur appartement. Tu t'arrêtas quelques secondes. Tu pouvais peu être lui demander quand même, non ? Tu levas le poing puis te ravisas. Tu ouvris ta porte et la claquas derrière toi.

Tu étais à table, en compagnie de Tobias. Tu n'étais pas très bavarde ce soir. Il l'avait remarqué, mais il ne disait rien. Il devait comprendre que ce n'était pas le moment de poser de questions. C'est ce que tu appréciais chez lui. Il savait comment se comporter en n'importe quelle situation. Tu lui étais reconnaissant de ne te poser aucune question. Tu finis ton assiette en silence. Tu te levas et commenças à faire la vaisselle. Tu sentis la main de Tobias sur ton épaule. Tu penchas la tête pour la toucher. Ce petit signe d'affection te faisait du bien. Tu appréciais ce contact. Tu lui offris un sourire lui intimant de ne pas s'inquiéter pour toi. Il toucha ta joue en la pinçant pour te faire sourire. Il y parvint. Le jeune homme t'aida. Après quelques minutes, tout était fini. Cela t'avait apaisé, mais tu te sentais lasse, fatiguée. Tu avais envie de retrouver ton lit. « Je vais me coucher Tobi. Je suis épuisée. » Tu t'avanças vers lui et l'embrassas sur la joue. « Bonne nuit. » Tu lui offris un nouveau sourire et tu t'éclipsas dans ta chambre. Tu te changeas. Tu enfilas un short et un tee-shirt beaucoup trop grand pour toi, mais tu étais à l'aise dans cette tenue. Avant d'aller dans ton lit, tu pris ta guitare. Tu passas tes longues jambes sous ta couette. Rien de tel que de jouer des morceaux pour apaiser l'esprit. Tu gratta. Tu commenças à fredonner doucement pour pas que Tobias soit embêter par ta musique. Tu te détendais de plus en plus. Tes yeux commençaient à se fermer. Tu étais bien. Tu allais bientôt tomber dans les bras de Morphée. C'est alors que tu entendis du mouvement dans la salon. Tu te levas avec précipitation. Tu ouvris doucement la porte, la guitare toujours à la main. Tu tendis l'oreille. « Tu fous quoi ici Israël ? » Israël. Il était là ? Ton coeur se contracta. Tu déglutis. Avais-tu bien entendu ? Tu t'avanças dans le couloir. Tu allais arriver dans le salon quand tu l'entendis parler. « Je ne suis pas là pour toi. Je veux voir Méryt.  »« Qu'est-ce qu'il te dit qu'elle veut te voir ? »« Tobias. » Tu posas ta guitare près du mur. Tu t'approchas de lui. Tu pris son bras pour qu'il recule. Il te regarda avec incompréhension. « Je m'en occupe. » dis-tu en te rapprochant de la porte. Tu mis une main sur la poitrine du bellâtre, le forçant à s'éloigner dans le couloir. Tu attrapas la poignée. Tu te tournas pour faire face à Tobias. Tu refermas doucement la porte. Tu passas la tête d'en l'ouverture pour lui murmurer. « Je t'expliquerais plus tard. » Tu refermas doucement la porte. Tu te retournas pour faire face au mangemort. Tu déglutis difficilement. Tu sentis que ta respiration devenait de plus en plus saccadé. « Israël... » Tu t'avanças vers lui. Tu posas une nouvelle fois tes mains sur son torses. Tu te hissas sur la pointe des tes pieds. Tu frôlas ses lèvres avec les tiennes. Tu y déposas un doux baiser. Puis tu t'écartas. « Comment vas-tu ? Et ta soeur ? Je suis... » Tu ne trouvais plus les mots. Comment fallait-il régir dans une situation pareille ? Tu n'y avais jamais été confrontée jusqu'à aujourd'hui. Tu ne savais pas quoi faire. Tu tordis tes mains. Tu tiras son tee-shirt qui cachait la moitié de tes cuisses. Pourquoi fallait-il que tu trouves en pyjama à chaque fois que tu le vois dans l'immeuble ?


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Israël D. Everglade

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MessageSujet: Re: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptyMar 22 Avr - 7:31

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« Tu fous quoi ici Israël ? » Manque de bol le toutou de garde était là. Tu dévisageais ton ancien meilleur ami d’un air circonspect. Tu te demandais encore ce que Tess pouvait bien lui trouver. Bien sûr elle s’en défendait encore aujourd’hui, mais tu soupçonnais derrière ses commentaires méprisants qu’elle restait attachée au moins-que-rien en face de toi. Vous étiez pourtant ami à Poudlard, les meilleurs amis du monde comme dirait certains. Mais plus maintenant. Tobias n’avait aucune ambition, aucun véritable but à part faire la chèvre devant sa chère petite Tess. Tu l’avais comprit très vite et de par cette conclusion avait décidé de le laisser se complaire dans sa médiocrité. Actuellement, ses yeux semblaient te lancer des éclairs pour tenter de te foudroyer sur place. Tu soupiras. Tu te serais bien volontiers confronté avec lui mais tu n’étais pas là pour ça. Plus tard peut-être. Ou pas car tu savais l’attachement de Calloway à son encontre. Tu mis donc de côté tout ce que tu avais envie de lui balancer à la tronche et dit d’un air posé : « Je ne suis pas là pour toi. Je veux voir Méryt.  » « Qu'est-ce qu'il te dit qu'elle veut te voir ? » Mais c’est qu’il prenait la confiance le petit Tobi. Tu t’apprêtais à le remettre à sa place lorsque tu entendis une voix bien familière. « Tobias. » Méryt arriva et écarta Tobias de toi en lui tenant le bras. Il regardait désormais sa colocataire avec de gros yeux ronds, ce qui te fit évidemment sourire malgré toi.  « Je m'en occupe. » dit-elle en se rapprochant de toi. Elle mit ensuite sa main sur ton torse pour te faire reculer puis referma la porte derrière elle en disant à Tobias qu’elle lui expliquerait plus tard. En ton for intérieur tu te demandais comment la jeune femme réussirait à parler de ça à Tobias. Il la traiterait sans doute de folle en lui citant toute les raisons qui décriaient une telle relation. Toi Mangemort sûr de la suprématie des sang-purs, elle simple commerçante adepte de magie blanche. Toi Inspecteur de la Brigade ambitieux, elle petite rêveuse rêvant de découvrir son prince charmant. Les exemples ne manquaient pas. Elle se retourna vers toi, le souffle court.  « Israël... » Tu agrandis ton sourire. « Callow… Méryt », rectifias-tu rapidement.  Elle s’avança vers toi et déposa un rapide baiser sur tes lèvres sans plus de cérémonie. Durant cet échange son corps se mit à frôler le tien, ce qui déclencha en toi un nouveau feu intérieur.« Comment vas-tu ? Et ta soeur ? Je suis... » Tu la détaillais avec intérêt tandis qu’elle parlait. Magnifique. Elle était magnifique. Habillé de son simple short et d’un vieux t-shirt lui arrivant jusqu’aux genoux, tu ne pus t’empêcher d’avoir de drôles de pensées envers ta douce. « Elle va bien », dis-tu pour la déstresser. Tu lui caressas la joue de ta main droite et ajouta : « J’aime bien ta nouvelle façon de me saluer ». Tu désignas la porte d’un hochement de tête. « Tu crois que Tobias nous écoutes en ce moment ? ». Tu t’approchas d’elle, la collant contre le mur du couloir. « Je m’en fiche en fait. Je te veux pour moi, autant qu’il le sache d’une manière ou d’une autre ». Tu t’emparas de ses lèvres, l’esprit complètement obnubilé par ta belle. Tu te détachas d’elle à regret et dis dans un souffle : « J’ai compris quelque chose aujourd’hui. Une chose importante ». Tes mains avaient prit possession de ses hanches, ton regard planté dans le sien. Merlin que sa peau était douce sous tes doigts. « Le temps passe Méryt. Trop vite ». Tu soupiras, le cœur battant la chamade. « Je sais que je ne suis pas le type idéal pour toi. Je ne suis pas un prince charmant ou un de ces héros de jeunes Sorciers ». Tu mis ton front sur le sien et continua sur ta lancée : « Mais je m’en fiche. Je te désire depuis trop longtemps. Je veux que tu sois mienne Méryt ». Ta main droite montait sur son ventre ainsi que ton désir. « J’aimerais savoir : pourquoi moi ? Pourquoi me choisirais-tu ? ». Puis tu ajoutas avec une lubricité inavouée. « Il n’y a personne chez moi ce soir… ça te dit qu’on se mette à l’aise pour continuer de discuter ? J’ai un petit cadeau pour toi ». Ton regard brûlait d’envie irrépressible. « En tout cas j’adore ta tenue… Et promis : je serais sage».


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Méryt-Ahmès J. Calloway

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MessageSujet: Re: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptyDim 27 Avr - 3:45






Tu étais assise sur ton lit. Ta couette recouvrait tes jambes. Tu tenais ta guitare entre les mains. Tu jouais. Tu ne l'avais pas fait depuis un long moment. Ça t'apaisait. Tu aimais ça. Les quelques notes remplissaient ta chambre. Tu te calmais. Tu ne pensais plus à rien, plus à cette journée riche en émotions. Tu voulais dormir, tu en avais même besoin. Tu étais épuisée, mais tu étais trop énervée émotionnellement pour tomber dans les bras de Morphée. Au bout de quelques minutes, tu sentais tes yeux se fermer. La guitare toujours entre les mains, ta tête commença à tomber. Tes yeux étaient mi-clos. C'est alors que tu entendis du mouvement dans le salon. Quelqu'un était à la porte. Tobias s'était levé pour ouvrir, mais il ne semblait pas heureux par cette venue. Tu l'entendis prononcer un prénom. LE prénom. Son prénom : Israël. Il était là, vraiment ? Tu étais heureuse qu'il vienne te trouver, même si tu n'avais pas envie que Tobias soit au courant tout de suite. Comment allais-tu lui expliquer qu'Israël, ton bourreau depuis toujours, souhaitait te voir, sans aucunes mauvaises pensée ? Il ne pourrait comprendre. Pour lui, vous vous détestiez. Point. Et pourtant, il fallait croire que désormais c'était le contraire. Cette haine s'était transformée en une passion dévorante qui grandissait de jour en jour. Maintenant tu ne pouvais plus résister. Tu avais besoin du mangemort plus que tu ne te l'avouais. Tu avais besoin de le sentir contre toi. Tu levas la couverture et posas les pieds à terre. Lorsque tu pénétras dans le salon, tu croisas le regard d'Israël. Tu eus le souffle coupé. Il se tenait devant Tobias qui ne voulait pas le laisser passer. Il commençait à s'énervé légèrement et cela semblait amuser l'inspecteur. Tu t'avanças vers ton ami avant qu'Israël ne puisse dire quelque chose qui blesserait Tobias et toi par la même occasion car tout ce qui touchait ton ami te touchait aussi. Tu le séparas du jeune homme du main rassurante et poussas l'autre en dehors de votre appartement. Tu sortis avec lui tout en promettant de tout expliquer à Tobias à ton retour. Tu te retrouvas dans le couloir avec Israël, seule et en pyjama, encore une fois. Tu prononças alors son prénom. Tu étais inquiète pour lui. Quelque chose se passait pour sa soeur. Tu ne savais comment réagir dans une telle situation. Avant de dire quoi que se soit tu l'embrassas, rapidement, mais tu en avais besoin. Tu voulais te donner du courage. Tu le vis sourire. Tu lui demandas des nouvelles. De lui, de sa soeur. Tandis que tu parlais, tu sentais ses yeux parcourirent ton corps. Tu t'empêchait de sourire. Tu aimais de plus en plus te sentir désirer par le jeune homme. Cela te donnait du baume au coeur. Savoir que l'on plait à un aussi bel homme était toujours gratifiant, surtout un homme dont toutes les femmes s'arrachaient. « Elle va bien » Ouf, tu étais soulagée. Voila ce qui devait enlever un poids des épaules du bellâtre. Tu étais heureux pour lui et pour sa soeur malgré que tu ne la connaisse pas. Tu soupiras. Toi aussi tu avais un poids en moins sur le coeur.

Il s'était rapproché de toi tout en parlant. Il te caressait la joue. Ce petit geste anodin te donnait un tas de frisson dans tout le corps. « J’aime bien ta nouvelle façon de me saluer. » Tu te sentis rougir, comme une gamine qui rencontrait son premier amour. Tu n'avais plus l'habitude. Cela avait été spontané de l'embrasser, tu n'avais pas fait attention de savoir si quelqu'un pouvait vous voir. Tu le regardas, les joues rosies. Tu le vis donner un petit coup de tête vers la porte de ton appartement. « Tu crois que Tobias nous écoutes en ce moment ?  » Peu être; Peu être pas. Tu ne pensais pas qu'il puise entendre quoique se soit derrière la porte ou les murs de l'immeuble. Tu espérais qu'il te laisse de l'intimité en tout cas. Tu ne voulais pas qu'il te surveille, tu voulais pouvoir lui dire toi même ce qu'il se passait avec Israël même si il devait avoir des doutes en ce moment même sur votre relation. Israël s'avança vers toi. Tu le regardas avec des yeux, ne comprenant pas ce qu'il se passait. Tu reculas sous l'effet de la surprise. Tu étais collée au mur et Israël se tenait à quelques cm, à peine, de toi. Tu pouvais sentir la chaleur de son corps, les battements de son corps. Tu voulais rompre les quelques centimètres qui vous séparaient. Tu voulais attraper ses hanches et te coller contre lui, mais tu ne bougeas pas. Tu avais juste du mal à respirer. «  Je m’en fiche en fait. Je te veux pour moi, autant qu’il le sache d’une manière ou d’une autre. » Il se pencha vers toi. Il attrapa tes lèvres. Le feu reprit de plus belle. Tu attrapas vivement son cou. Tu ne voulais pas qu'il s'éloigne pourtant il y parvint tout de même, tu avais peu de force dans les bras. « J’ai compris quelque chose aujourd’hui. Une chose importante » Tu sentis ses mains sur tes hanches. Tu posas tes mains sur les siennes. Tu ne voulais pas qu'il les lâche. Vos yeux étaient plantés les uns dans les autres.« Le temps passe Méryt. Trop vite » Qu'essayait-il de te dire ? Tu ne voyais pas. «  Je sais que je ne suis pas le type idéal pour toi. Je ne suis pas un prince charmant ou un de ces héros de jeunes Sorciers. » Son front se colla au tien. «  Mais je m’en fiche. Je te désire depuis trop longtemps. Je veux que tu sois mienne Méryt. J’aimerais savoir : pourquoi moi ? Pourquoi me choisirais-tu ? » Tu levas une main. Tu caressas sa joue. Tu le forças à se pencher un peu plus vers toi. Son nez frôla de tien. Tu ne pu t'empêcher de frisonner. Tu approchas sa bouche de la tienne, mais tu t'arrêtas avant qu'elles ne soient collées. « Il n'y a aucune raison. C'est un choix irraisonnable que je fais. Mais je t'ai choisi toi. Il n'y a rien à comprendre. » murmuras-tu doucement. Son souffle chaud se mêlait au tien. Tu étais terriblement tentée de l'embrasser, mais rien que l'avoir à cette distance te renversait la tête. Tu lâchas doucement sa joue. Vous restèrent tout de même à la même distance.  « Il n’y a personne chez moi ce soir… ça te dit qu’on se mette à l’aise pour continuer de discuter ? J’ai un petit cadeau pour toi. En tout cas j’adore ta tenue… Et promis : je serais sage.  »

Aller chez lui ? Sérieusement ? Tess n'était pas là ? C'était une très bonne nouvelle. « Tu seras sage ? Vraiment ? » dis-tu avec un petit sourire. Tu ne savais si tu devais croire en ses paroles. Mais après tout, tu avais terriblement envie de lui, d'être avec lui. Sa proposition était plus qu'alléchante. Tu collas ton corps au sien. Tes hanches s'imbriquant parfaitement dans celle d'Israël. Tu levas la tête vers le bellâtre. Tu frôlas l'arrête de sa mâchoire avec ton nez, puis déposa un baiser sur son menton. Tu mis tes mains sur ses hanches. « Pourquoi pas dans ce cas. » dis-tu en le séparant de toi d'un mouvement sec. Tu avais reculé ses hanches vers l'arrière. Tu le poussas doucement vers la porte de son appartement. Tu gardais une distance de sécurité entre vous deux tandis que vous vous rapprochiez de sa porte. « Et puis j'aime bien les surprises. » lui dis-tu. Tu attendais qu'il ouvre la porte. Tu allais enfin voir là où vivait le jeune homme. Allais-tu être surprise ?
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MessageSujet: Re: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptyDim 27 Avr - 8:03

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Il n’y a personne chez moi ce soir… ça te dit qu’on se mette à l’aise pour continuer de discuter ? J’ai un petit cadeau pour toi. En tout cas j’adore ta tenue… Et promis : je serais sage.  » Tu exultais, les yeux tournés vers ta belle. Promesse bien pieuse que tu savais d’avance difficile à respecter si vous vous retrouviez dans l’intimité de ton appartement. Une fois la porte refermée derrière vous, personne ne pourrait vous importunez. Tess ? Elle était à l’autre bout du pays. Tobias ? Il n’oserait jamais s’immiscer aussi directement dans les affaires de sa meilleure amie. « Tu seras sage ? Vraiment ? » Dis Méryt avec un sourire qui te fit fondre. Tu hochas la tête, un air mutin plaqué sur le visage. Oui tu serais sage. Si elle l’était aussi. Ce qui était loin d’être gagné. Tes mains étaient toujours collées à son corps. Ce touché, cette sensation t’enivrait toujours autant. Tu rechignais à les enlever. Elle était à toi. A personne d’autre. Peut-être un aspect de ton côté possessif. « Pourquoi pas dans ce cas. » Tu levas un sourcil, amusé. “Dans ce cas ?“  Tes yeux détaillèrent encore une fois la belle jeune femme de haut en bas. Elle était belle et doté d’un charme que tu n’avais jamais retrouvé dans toutes tes conquêtes. C’était étrange de s’imaginer ça sans avoir jamais goûté aux plaisirs des sens avec elle. L’idéalisais-tu ? Possible. Il fallait creuser la question. Tu avais hâte. Mais la peur n’était pas loin non plus. La peur de la découvrir plus intimement. T’attirerait-elle toujours autant si vous veniez à passer à l’acte ? Elle se sépara de toi dans un geste sec, ce qui t’irritas malgré toi. Elle te poussa vers ta porte d’appartement avec un air intriguant et dominateur dont tu ne pouvais te dégager. « Et puis j'aime bien les surprises. » ajouta-t-elle. Tu pris ta baguette et tapota la pognée qui s’ouvrit en cliquetant. Tu la laissas entrer et referma la porte derrière toi d’un claquement sourd. La pièce principale était plongée dans la pénombre. Tu distinguais sa silhouette juste devant toi et vint te coller à elle dans son dos. Tu laissas tes mains retrouver le chemin de ses hanches et déposa un rapide baiser dans son cou. « Tu n’as donc aucune peur de te retrouver toute seule avec moi ? ». Tu laissas un instant de flottement tout en faisant mine de faire une fouille corporelle en traçant de tes doigts un cercle sur sa peau de tes doigts : en réalité une simple caresse. « Sans baguette ? ». Tu humas ostensiblement sa chevelure, faisant courir ton nez au-dessus d’elle. Son odeur te montait encore une fois à la tête. Tu la gardas contre toi d’une main forte plaquée sur son ventre et claqua des doigts de l’autre. Plusieurs bougies s’allumèrent, dévoilant un canapé confortable situé non loin de là ainsi qu’une table basse garnie de deux assiettes avec dedans…Des sucreries en forme de canard. « Tu n’imagines pas le mal que j’ai eut à les trouver ». Tu avais effectivement eut beaucoup de difficultés à t’en fournir. Surtout vu l’heure tardive à laquelle tu étais sortis de l’hôpital. Sa proximité, le fait de la toucher et la savoir si près de toi t’oblitéra la raison lorsque tu l’as retourna d’un mouvement de poignet pour la serrer contre toi, désormais les yeux dans les yeux. « Je ne suis plus si sûr de vouloir être sage », lâchas-tu le souffle court. Tu goutas avidement à ses lèves, ne voulant surtout pas que cet instant se termine. Enivré par ton excitation, tu te mis à poser tes mains sur ses fesses et d’un coup à la porter à la seule force de tes bras, ses jambes enserrant ta taille afin de se maintenir. Tu prolongeas le baiser et fis quelques pas en la portant afin de la déposer délicatement sur le bord de la table en bois. L’envie te pressait, mais tu ne voulais surtout pas brusquer les choses en la forçant d’une quelconque manière que se soit. Ça devait être un choix, une décision commune. Tu ne voulais pas d’un coup “vite fait bien fait“. Elle méritait mieux. Infiniment mieux. Tu la respectais désormais trop pour ça. Armé d’un sourire coquin, tu lui dis : « J’allais oublier ton cadeau » Tu sortis rapidement une enveloppe de ta veste et en sortir deux billets. Des billets Moldus. Dessus était inscrit le nom d’un spectacle actuellement en vogue dans le monde non-magique. Un spectacle qu’elle devrait apprécier. « La belle et la bête », lui lis-tu en lui tendant. Tu fis une petite moue. « Je sais que tu aimes ce… Comment disent-ils ? Dessin Ranimé ? ». Tu avais tes sources. Après tout, autant que les infos que tu avais collectées sur elle t’aide un peu dans cet étrange jeu de séduction. « Qu’est-ce que tu veux faire maintenant ? », lui demandas-tu en lui caressant les cheveux. Tu désignas le canapé d’un hochement de tête. « On peut rester sage et discuter de tout et de rien en se goinfrant de ces pauvres petits canards ». Tu laissas courir tes doigts sur ses jambes nus. « Ou alors devenir de vilains garnements… ». Tu étais là, à attendre sa réponse, l’esprit en ébullition.


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MessageSujet: Re: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptyJeu 1 Mai - 0:51





Tu le poussais jusqu'à sa porte. Il semblait surpris. Tu ne sais pas pourquoi, mais ça te plait de le surprendre. Tu t'étais emparée de ses hanches. Vous n'étiez qu'à quelques centimètres de la porte quand il sortit sa baguette. Tu l'imaginas tapoter la poignée. Soudain tu sentis la peur s'emparer de toi. Combien de fois avais-tu rêver de ça ? Des centaines, des milliers de fois. Vous alliez enfin passer le pas, mais tu avais peur. Tu redoutais ce qui allait se passer. Tu savais que tu attirais Israël, mais après qu'il ait réussi à te conquérir, voudra-t-il encore de toi ? Tu ne seras plus un défi pour lui. Le jeune homme t'avait dans ses filets. Tu avais peur qu'il te rejette après car il n'y avait plus "d'obstacles". Tu te sentais trembler. Il ouvrit la porte. Il te regardait. Israël attendait que tu rentres. Tu l'observas. Tu essayais de le sonder. Tu voulais percevoir ce qu'il ressentait malgré qu'il te l'ai déjà avouer. Tu espérais réellement que ça soit vrai et qu'il ne s'était pas mélangé dans ses sentiments. Tu décidas enfin de rentrer. De toute façon tu ne pouvais rien savoir sans passer le cap. Tu passas à quelques centimètres de lui. Vos corps se frôlaient puis tu pénétras dans l'antre du mangemort. Il faisait noir. Tu fis quelques pas à l'intérieur. Tu essayas de deviner les meubles dans la pénombre. Tu fus surprise de sentir Israël se coller à toi. Ton dos reposait sur son torse. Tu sentais ses mains parcourir une nouvelle fois ton corps, jusqu'à tes hanches. Tu laissas échapper un soupire de plaisir quand tu sentis ses lèvres sur ton cou. « Tu n’as donc aucune peur de te retrouver toute seule avec moi ? » Il fit une fouille corporelle semblait-il. Tu laissas pencher ta tête en arrière jusqu'à ce qu'elle rencontre l'épaule du jeune homme. Tu la laissas se reposer ainsi. «  Sans baguette ? » Tu l'avais complètement oublier celle-là. En même temps en pyjama, cela risquait d'être difficile de l'avoir sur soi. Tu souris. « Ais-je tord d'avoir confiance en toi ? » Ton coeur battait la chamade. Tu sentis une main remonter vers ton ventre. Il exerça une pression plus forte. Tu te collas un peu plus à lui. Ses doigts claquèrent juste à coté de ton oreille. Puis une légère lumière remplit la pièce. Des bougies. Israël était un romantique ? Tu devais avouer que tu ne l'avais jamais imaginé comme tel. Tes yeux parcoururent la salle. Tu découvris un salon avec des sièges qui semblaient moelleux. Tes yeux suivirent leur chemin et se possèrent sur une table basse. Il y avait deux assiettes avec des canards en sucre. Tu fronças un sourcil. Tu ne te souvenais qu'il en ait acheté à Honeyducke.  « Tu n’imagines pas le mal que j’ai eut à les trouver  » Toi qui pensait qu'il avait passé tout son temps à Sainte Mangouste. « Tu n'étais pas obligé... » Il te retourna vers lui d'un mouvement brutale que tu apprécias. Tu pouvais le regarder dans les yeux. Ses beaux yeux. Tu fondais devant eux. Tu lui offrit un sourire.

« Je ne suis plus si sûr de vouloir être sage. » Tu ris. Tu te doutais que cette proposition n'allait certainement pas être tenue. il fondit sur tes lèvres plus vite que tu ne l'aurais pensé. Tandis qu'il t'embrassait, le sourire ne te quittait pas. Tu passas tes mains dans son dos, descendis jusque dans le creux de ses reins pour le rapprocher un peu plus de toi. Tu sentais ses mains descendre elles aussi. Tu remontas les tiennes jusqu'à son cou quand tu sentis les bras d'Israël te porter. Tu passas tes jambes autour de la taille du bellâtre. Tu te souvins à cet instant de la dernière fois que c'était arrivé. Il t'avait abandonné sur ton canapé en te traitant de sang-de-bourbe. Tu essayas de l'effacer de ta mémoire, tu ne devais plus penser à cet instant. Tu ne remarquas même pas qu'Israël bougeait. Tu te concentrais sur ses baisers seulement. Il te posa sur la table à manger. Il se détacha de toi. Sur ta faim, tu repris une grande inspiration. Il t'offrit un sourire. Tu passas la main dans tes cheveux qui étaient en-mêlés. Tes joues devaient être rosies par le plaisir. « J’allais oublier ton cadeau. » Tu fronças le sourcils. Ce n'était pas les canards en sucre ? Il sortis une enveloppe de sa veste. Il te tendit deux billets. Tu penchas la tête en les prenant dans ta main. Ce n'était pas du papier magique ça. « La belle et la bête. » te dit-il. Quoi ? Il t'offrait des places moldus pour un spectacle moldu ? Jamais tu n'aurais imaginer qu'il te ferait un tel cadeau. Comment savait-il en plus de ça que c'était ton dessin animé moldu préféré ? « e sais que tu aimes ce… Comment disent-ils ? Dessin Ranimé ? » Tu éclatas de rire. Il était si adorable. Tu t'avanças un peu plus, te tortillant sur la table. Tu lui offris un sourire. « Dessin animé. » lui dis-tu avec un clin d'oeil. « Tu viendrais avec moi à ce spectacle moldu ? » Tu tendis la main vers le jeune homme. Tu attrapas le col de sa chemise et le tiras vers toi avec encore et toujours ton éternel sourire. Tu capturas ses lèvres. Tu lui offris un baiser. « Merci Israël. » lui soufflas-tu sur le bout de ses lèvres.

Tu te reculas légèrement pour regarder entièrement son visage, même si ton regard était plus attiré par ses lèvres et ses yeux. Tu déglutis difficilement. « Qu’est-ce que tu veux faire maintenant ? » Sa main caressait doucement tes cheveux. Tu le vis faire un mouvement vers le canapé. « On peut rester sage et discuter de tout et de rien en se goinfrant de ces pauvres petits canards. » L'idée te plaisait bien. Mais tu savais qu'il avait autre chose derrière la tête. Il n'y avait aucun doute là-dessus. Tu reposas tes yeux sur le jeune homme attendant la suite. Ses doigts caressaient tes jambes nues. Cela te procurait des frissons de plaisir.« Ou alors devenir de vilains garnements…  » Tu fis une petite moue, faisant mine de réfléchir. Alors que ta décision était déjà prise, bien entendue. Tu passas tes doigts sur son torse. Tu jouais avec le col de sa chemise. Tu avais passé une nouvelle fois tes jambes autour de sa taille. Tu restas un petit moment comme ça. Puis tu retiras tes jambes et tes mains de son corps. Tu mis tes deux jambes du même coté de la table. Tu glissas pour que tes pieds rencontrent le sol. « Je ne suis pas du genre à être un petit garnement. » Tu voulais le faire languir. C'était trop facile sinon. Il ne pouvait pas t'avoir comme ça. Aussi facilement. Même si tu dois avouer que tu en as terriblement envie aussi. Qui n'aurait pas envie d'Israël ? Mais maintenant, il est à toi. Tu peux prendre ton temps. Tu n'as pu à avoir peur que quelqu'un d'autre arrive et te le pique. A moins que tu le fasses trop languir. Ce qui n'arrivera pas. MAis tu ne voulais pas que le jeu soit fini. Tu avais peur qu'après ça, il ne te désire plus autant qu'il te désiré à cet instant car toi, tu sais que ton désire ne diminuera pas. Tu pris sa main et le dirigea avec toi vers la salon. Tu le poussas vers la canapé. Tu te penchas pour prendre une assiette de friandise. Tu revins vers le bellâtre. Tu lui offris un sourire coquin. Tu savais qu'il ne s'attendait pas à ça. Tant mieux. Tu t'assis sur ses genoux. « Ce serait bête de perdre les bonbons que tu as mis tant de temps à trouver. » lui dis-tu avec un clin d'oeil. Tu réprimas un rire. Tu lui offris un canard en sucre et en mangea un à ton tour.   « Comme tu le sais, je suis gourmande. Je n'allais pas les abandonner ici. » Tu passas tes jambes sur l'accoudoir. Tu lui offrais une vue sur tes jambes nues. Maintenant tu n'étais plus gênée. Au contraire, même. tu étais heureuse qu'il "profite" du spectacle.


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Israël D. Everglade

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MessageSujet: Re: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptyVen 2 Mai - 5:51

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« Tu viendrais avec moi à ce spectacle moldu ? » Tu laissais échapper un ricanement d’amusement. « Si je t’ai offert deux place ce n’est pas pour y aller avec Tobias ». Ta douce t’offrit en remerciement un énième baiser en plus de ses paroles. Tu la détaillais minutieusement tout en lui décrivant les différentes situations possibles qui pouvaient se produire : d’un côté rester sage et déguster les petits canards sucrés ou alors laisser libre court à votre désir que tu savais commun. Vous étiez si proche désormais, si proche de conclure votre attirance par un contact charnel plus qu’attendu. Bien qu’excité à l’idée d’une telle union, tu en avais toujours un peu peur. Désirerais-tu ta douce toujours autant si vous veniez à franchir le dernier pas ? L’aimerais-tu d’un amour sincère ? Tu pensais que oui. Elle arbora une petite moue et se mit à jouer avec ton col, ses jambes que tu trouvais si sublimes t’entourant toujours la taille de manière si sexy. Tu espérais encore et étais au supplice en attendant sa réponse. Allait-elle succomber ? Se retenir ? Fuir même ? Non, tu l’en empêcherais. « Je ne suis pas du genre à être un petit garnement. » Tu fis un demi-sourire. L’affaire ne serait pas si facile à conclure, comme à chaque fois que ça concernait la demoiselle. Elle prit ta main et t’amena vers le canapé pour t’y faire assoir. Tu l’observais, attentif à ses moindres faits et gestes. Une intuition te soufflait que tout cela devait l’amuser. Savoir que tu étais là, presque à ses pieds, attendant son bon vouloir. Tu appréciais au final. Elle prenait les commandes. Elle était si différente de toutes les autres filles. Elle te gratifia d’un air mutin et coquin avant de venir s’assoir sur tes genoux, une assiette de canards dans la main. « Ce serait bête de perdre les bonbons que tu as mis tant de temps à trouver. » Elle te donna une des sucreries avec sensualité comme deux amants savourant des délices interdits. « Comme tu le sais, je suis gourmande. Je n'allais pas les abandonner ici. » Elle te mit un peu plus au supplice en passant ses jambes sur l’accoudoir du canapé, t’offrant par-là même une vue splendide sur ses gambettes. Tu ricanas en laissant ta tête s’accouder au dossier. « Calloway… », Soufflas-tu en utilisant inconsciemment son nom de famille. Tu réfléchis quelques instants. « C’est drôle, maintenant je trouve ça bizarre de t’appeler ainsi ». Tu te redressas, laissant une de tes mains sur sa cuisse en y traçant des mini-cercles de tes doigts. Tu la regardas engloutir un autre canard. Ses lèvres pleines de sucres t’attiraient de plus en plus. Lorsque sa main allait en prendre un autre, tu la stoppas dans son geste et prit toi-même la friandise ; Qui n’en était pas une en réalité. Tu passas ton bras gauche dans le bas de son dos pour mieux la caler contre toi lorsque tu désignas le faux-canard devant son jolie visage. « Tu te rappelles ce que je t’avais dit à propos des objets Moldus qui ressemblaient à cet animal ? ». Sourire jusqu’aux oreilles, tu agitas le coin-coin en le reposant sur la table basse. « Je me suis dit que ça t’amuserait… Toi qui connais des trucs Moldus tu devrais savoir comment ça fonctionne». Un simple petit clin d’œil, rien de pervers dans ton geste et tu espérais qu'elle le comprendrait. Tu désignas l’autre assiette de sucreries d’un signe de tête. « Trop de douceurs endors ; Et je n’ai pas envie de dormir. » N’en pouvant plus, tu laissas ses fesses glisser de tes genoux, pour que son dos rencontre la banquette du canapé. Dans cette nouvelle position, elle se trouvait désormais couchée, toi te mettant en position dominante juste au-dessus d’elle. « Il faudrait songer à éliminer toutes ces calories maintenant… ». Tu déposas un premier baiser sur ses lèvres, puis tu descendis sur son cou pour en apposer de nouveaux. Tu enlevas ta veste pour l’envoyer valser sur le côté et te redressa, le sourire aux coins des lèvres. Tu étais désormais assis, contemplant ta belle de tes yeux avides. Tes mains se mirent de part et d’autres de ses épaules et descendirent jusqu’au bas de son t-shirt. Tu commenças à le soulever, ton regard plongé dans le sien. « Il faut plutôt chaud ici, non ? », dis-tu avec un air coquin.


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MessageSujet: Re: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptyVen 13 Juin - 8:55





Tu n'y croyais pas. Le jeune homme te surprenais au plus haut point. Il serait vraiment capable de t'accompagner au vue et au su de tous à un spectacle moldu ? Il tenait vraiment à toi. Tu en étais heureuse, mais tu avais peur aussi. Votre relation s'engageait de plus en plus vite. Tu avais l'impression de ne rien contrôler. C'était bon d'une certaine manière, mais tu avais peur. Tellement peur de plein de choses. Tout ce bousculait dans ta tête. Tu ne savais plus que penser. Toutes les relations que tu avais vécu étaient difficiles. Tu aurais aimé une relation simple, sans encombre, sans peur. Cela ne semble être ton truc ou du moins ton destin ne le désirait pas. Tu regardas fixement Israël. Ton ventre se tordit. Qu'il était beau. Tu l'embrassas pour le remercier. Tu lui en étais plus que reconnaissante. Il te demanda alors si tu préférais être sage ou un petit garnement. Tu jouas avec lui. Tu le fis languir. Tu te frottas à lui puis l'amenas vers le siège. Avant de s'asseoir sur ses genoux, tu saisis une assiette de canard en sucre. Tu lui en proposas, le portant à ses lèvres puis tu en mangeas à ton tour. Tu passas tes jambes sur l'accoudoir, le mettant au supplice. Tu le vis laisser tomber la tête vers l'arrière. Tu réprimas un léger sourire. Puis tu continuas à manger les petits canards. C'était ta drogue. Tu n'arrivais plus à t'arrêter d'en manger. Ils étaient tellement bon. Oui, Israël avait raison : ta friandise préférée était bien les canards en sucre. Il murmura ton nom.« C’est drôle, maintenant je trouve ça bizarre de t’appeler ainsi. » dit-il tout en caressant la peau nue de tes jambes. Tu lui souris. C'était normal d'un certain coté. Vous aviez passé un cap. Vous n'étiez plus des rivaux, enfin pas autant qu'à une époque en tout cas et vous vous étiez rapprochés. Et pas qu'un peu. Vous étiez si proche maintenant que cela serait bizarre de s'appeler par son nom de famille. Vous formeriez un couple encore plus atypique que vous ne l'étiez déjà. Tu sentis qu'il se redressa. Il avait toujours sa main sur ta cuisse. Il traçait des ronds laissant au passage une marque de feu. Ton coeur battait vite. Tu ressentais tellement de chose pour cet homme. Tous ses sentiments étaient tellement nombreux et forts que tu en perdais tes mots. C'était bien l'une des premières fois. Tu mangeas un canard encore une fois. Tu allais en reprendre un autre quand il te stoppa. Il prit le fameux canard entre ses longs doigts fins. Tu sentis son bras t'enlacer et te serrer un peu plus contre lui. Ce n'était pas pour te déplaire, loin de là. « Tu te rappelles ce que je t’avais dit à propos des objets Moldus qui ressemblaient à cet animal ?  » Tu regardas le bel homme avec des yeux ronds. Tu faillis t'étouffer quand tu entendis ses paroles. Le rouge commençait à te monter aux joues. Tu n'étais pas pudique, mais tu ne pouvais rester insensible face à cette remarque. « Tu veux dire que ? Non, c'est pas possible ! » Un sourire commençait à naître sur tes lèvres. Il se foutait de toi ? Il reposa le canard sur la table basse. « Je me suis dit que ça t’amuserait… Toi qui connais des trucs Moldus tu devrais savoir comment ça fonctionne » Tu fis un "OOOH" avec tes lèvres et le tapa gentiment avec le peu de force que tu avais. « N'importe quoi, Monsieur Everglade. Qu'est que c'est que c'est sous-entendu ? » lui dis-tu avec un petit sourire.

« Trop de douceurs endors ; Et je n’ai pas envie de dormir. » « Tu en es sûr ? » Tu n'eu pas d'autre réponse que ses gestes. Il te fit glisser sur le canapé. De cette manière, tu t'allongeas. Ton dos rencontras l'assise du fauteuil. Tu regardas Israël en te mordant la lèvre. Il se campa au-dessus de toi. C'est lui qui contrôlait les choses maintenant. Ton coeur battait la chamade comme jamais. Mon dieu. Tu étais sur le point de faire ce dont tu rêvais toutes les nuits ou presque depuis quelques temps. Il plaça ses deux mains de part et d'autre de ta tête. Tu le regardas dans les yeux. Tu essayais de respirer tant bien que mal. « Il faudrait songer à éliminer toutes ces calories maintenant… » Tu allais rétorquer mais il posa un baiser sur tes lèvres qui ne demandaient que ça. Ses lèvres bougèrent passant de tes lèvres à ton cou. Tu frissonnas de plaisir. Tu n'osais pas bouger, malgré que tu ais terriblement envie de frayer tes mains dans ses cheveux noirs ou de toucher son corps d’Apollon. Il se releva. Tu ressentais le manque de son corps sur le tien. Comment pouvais-tu en être accro à ce point depuis si peu de temps ? Était-ce parce qu'en réalité, tu le désirais depuis tellement longtemps ? Sûrement. Il enleva sa veste et l'envoya à l'autre bout de la salle. Il s'assit en face de toi. Il te regardait. Tu n'osais pas bouger. Au bout d'un certain temps, tu lui souris. Enfin il posa ses mains sur tes épaules. Il descendit lentement, faisant le tour de tes formes. Il arriva au bas de tee-shirt. Il passa les mains en dessous.  « Il faut plutôt chaud ici, non ? » Tu rigolas tandis qu'il remontait de plus en plus ton tee-shirt. A chaque mouvement que faisait Israël, tu avais l'impression que des papillons s'emparaient de ton ventre. Il passa ton tee-shirt par-dessus ta tête. Tu n'avais plus que ton short et ton soutient gorge. Il s'était penché vers toi pour enlever ton tee-shirt. Tu capturas ses lèvres avec les tiennes. Tu pris son cou avec tes douces mains pour l'amener un peu plus à toi. Vos lèvres jouaient un ballet qu'elles connaissaient très bien. Tu rapprochas un peu plus son corps du tien. Tu te soulevas même un petit peu en cambrant le dos. Tu sentis qu'il passait ses mains dans le creux de tes reins. Le contact de ses mains sur ton dos nu te procurèrent de nouveaux frissons. Que tu étais bien là avec lui. Un délice. Tu aimais tellement cette sensation. Tes mains quittèrent son cou et tes lèvres prirent le relais. Tu faisais des aller-retour entre ses lèvres et son cou. Tu laissas à ton tour tes mains glisser sur son corps. Tu attrapas le bout de son tee-shirt. Tu le lui ôtas sans aucune difficulté. Tes mains parcoururent le torse parfait et musclé d'Israël. Tu passas tes mains sur son dos, son ventre, ses hanches. Vos lèvres s'étaient retrouvées une nouvelle fois pour un baiser endiablé. La suite partie vite. Tu fis la chose dont tu avais rêvé depuis tellement de nuit. Tu connaissais enfin la vrai sensation. Israël te fit l'amour comme jamais tu n'avais connu. Tu lui rendais ses baisers. Vos corps étaient mêlés. Tu avais ta tête sur l'épaule du jeune homme. Ta main était sur son torse. Tu jouais avec sa peau. Tu respirais lentement. « J'aimerais que tout soit aussi simple dehors. Que ça soit aussi simple que cette nuit. » Tu embrassas son épaule. Tu te calas un peu plus contre lui. Tu aimais le contact de vos deux corps.  « J'ai peur Israël. Tu crois qu'on peut rester dans se salon, ne pas en sortir et rester que tous les deux ? » Tu savais pertinemment que ce n'était pas possible. Tout ce que tu voulais c'était être sûre qu'Israël ne t'abandonnes pas, qu'il ne t'abandonne jamais.


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MessageSujet: Re: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptyJeu 10 Juil - 22:15

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Au fond de toi tu n’arrivais toujours pas à comprendre comment tu en étais arrivé là. Elle, toi, sur ce canapé, à déguster des canards en sucre. Toutes ces années, tout ces moments de tensions entre vous deux semblaient ne jamais avoir existé. Pourquoi ? Comment ? Autant de questions jusque là sans réponse. Tu savais bien sûr être attiré par elle. Petite lors de son arrivée elle t’avait intriguée. Une gamine sautillant partout, s’extasiant de la moindre manifestation de magie. Des rumeurs sur elle ont couru. Moldue, Sang-de-bourbe. Alors toi, digne Sang-Pur nouvellement Obscur, tu avais fait ce que les autres attendaient de toi. Elle n’avait jamais réagit sous tes insultes d’enfant. Avec le recul tu avais honte de ton comportement de l’époque. Un sombre crétin. Oui, les mots-même que ta douce avait employé à ton encontre lors de vos « retrouvailles » sur le palier de son appartements. Tu avais alors fait en sorte d’attirer son attention par tout les moyens à ta disposition. Draguer sa meilleure amie ? Aucune réaction. La larguer pour espérer avoir toute son attention ? Réaction mitigée. Tu détestais déjà à l’époque cette sensation qu’elle éveillait en toi, aucunement semblable à tout ce que tu avais rencontré jusqu’alors. La haine ? L’amour ? N’y avait-il vraiment qu’un pas ? Lorsque l’idée de devenir pion t’avait effleuré l’esprit tu avais immédiatement pensé à tout ce que tu pourrais faire endurer à la pauvre Méryt. Harcèlement, punitions. Pour finir un baiser, d’abord à sens unique, mais qui avait bien vite été approfondi par ta belle avant de s’échapper dans les couloirs de Poudlard. Tu savais alors que vous seriez amené à vous retrouver. Le temps avait passé, ta carrière boosté, le nombre de tes conquêtes impressionnant ; Mais quelque chose te manquait, tu le sentais là, au creux de ton cœur. Quelqu’un qui te fasse vibré, que tu te sentes comme à cet instant présent. Elle t’avait manqué, bien qu’il en coûte de l’avouer. Tu l’avais retrouvé, Et vous étiez là, ensemble dans ton appartement, prêts à franchir l’ultime cap de l’acte charnel. Lorsque tu évoquas la température élevée des lieux, tu savais que se serait sans retour. Il était évident que le désir était réciproque, bien qu’elle sache avec délice le camoufler, et une fois que vous seriez lancé… La désirerais-tu toujours autant ? N’était-ce pas simplement un caprice d’adolescent refoulé ? Tu espérais que non. Tu commenças donc à la déshabiller lentement, sourire à l’appui. Les mains de ta belle se mirent à explorer ton propre corps. Torse, hanche, dos, tout allait y passer. Mais elle aussi. Vos baiser s’intensifièrent et sans vraiment savoir comment, vous vous retrouviez nu l’un contre l’autre. Un moment endiablé, pur, de complicité entre deux amants qui se languissaient de l’autre depuis si longtemps. Lui faire l’amour déclencha en toi un plaisir inconnu jusqu’alors. Alors tu étais désormais sûr. Ce n’était pas un caprice. Tu l’aimais. Tu la désirais ; Et tu étais prêt à tout pour qu’elle reste tienne. Peu importait le moyen. L’acte finit, vous restiez collé, chacun plongé dans ses pensées. Ta main gauche caressait son bras tandis que sa tête était callé dans le creux de ton épaule. « J'aimerais que tout soit aussi simple dehors. Que ça soit aussi simple que cette nuit. » Elle te déposa un baiser sur l’épaule pendant que tu tournais le regard vers elle. « J'ai peur Israël. Tu crois qu'on peut rester dans se salon, ne pas en sortir et rester que tous les deux ? » Retour à la réalité. Cet instant magique était désormais derrière vous. Il fallait donc choisir. Voulais-tu en rester là ? Non, hors de propos ! Tu capturas ses lèvres de nouveau avant de dire « J’aimerais beaucoup ». Tu soupiras en reposant ta tête sur l’oreiller. « Mais on risque d’être dérangé un jour ou l’autre. Sans compter Tobias qui risque à tout moment de défoncer la porte pour être sûr que je ne t’ai pas kidnappé », dis-tu en souriant à cette éventualité bien malgré toi. L’idée que son ex-meilleur ami les trouve ensemble dans cette situation. Intéressant. « J’ai peur aussi, mais cette peur ne doit pas nous empêcher d’avoir ce que l’on veut vraiment, non ? ». Tu te tournas à nouveau vers elle. « Ça va être difficile, mais je suis prêts à faire ce qu'il faut… Si c’est pour qu’on reste ensemble ». Tu écartas une mèche rebelle qui allait dans ses si beaux yeux. « Qu’est-ce que tu en dis ? ».


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Méryt-Ahmès J. Calloway

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MessageSujet: Re: I am yours - You are mine / Meraël   I am yours - You are mine / Meraël EmptySam 29 Nov - 5:24





Tu étais là, sur ce canapé. Il était là au-dessus de toi. Tu regardais son visage, son magnifique visage. Ce visage que tu n'avais pu regarder pour de "vrai" pendant des années. Tu ne l'avais encore jamais vu comme ça. Tu le trouvais beau. Il était magnifique. Tu sentais ses mains sur ton corps. Ce dernier ne résistait pas à ses caresses. Tu te sentais frissonner sous ses mains. C'était tellement agréable. Il enleva le bout de tissu qui couvrait ton torse. Après l'avoir fait, tu passas tes mains sur son corps. Tu réalisas alors à quel point tu en avais envie. Tu ne te cachais plus. Tu ne cachais plus ton envie, l'envie de son corps. Vos baisers étaient plus rapprochés, plus envieux. Tu en avais presque le souffle coupé. La complicité était de plus en plus forte entre vous. Vous pouviez deviner les gestes de l'autre. S'en suivit le moment magique que vous attendiez tous les deux. Ce moment dont tu avais tant rêvé sans jamais te l'avouer. Tu le vivais en cet instant présent. Tu en savourais chaque seconde. Tu voulais que se soit l'éternité. Et pendant ses quelques instants, tu avais l'impression que c'était l'éternité. Tu savourais réellement. Même après. Tu n'avais aucun envie que ce moment magique ne se finisse. Tu restas contre lui. Tu avais ta tête posée sur son torse. il te caressait les cheveux. Tu respirais calmement. Tu reprenais tous tes esprits. Tu repensais à ce qu'il venait de se passer. Qu'allait-il se passer maintenant ? Tout avait été si magique cette nuit, parfait. Pourtant votre relation ne semblait pas être aussi simple que ce qui c'était passé cette nuit. Tu aimerais pourtant. Mais il fallait croire que les histoires faciles n'étaient décidément pas ton truc. Loin de là. Tu espérais qu'avec Israël se serait moins difficile, mais tu ne voyais pas vraiment comment cela pouvait être simple. Tous les deux vous étiez têtu et aviez un fort caractère. Et puis il y avait les autres et leur réaction. Malgré tout cela pouvait jouer sur votre couple. Et cela allait jouer sans aucun doute. Vous étiez diamétralement opposer dans vos idéaux, dans votre façon de vivre. Cependant tu ne pouvais plus nier que vous pouviez tout de même vivre quelque chose tous les deux. Tu avais déjà vécu une histoire avec un mangemort, mais il n'était pas aussi impliqué qu'Israël. Cela avait tout de même difficile, très difficile. Dès que votre relation sera connu de tous, tout sera différent. On portera un regard nouveau sur toi. Les phénix se poseront surement beaucoup de questions sur ta fidélité. Malgré l'amour et la tendresse que tu pouvais avoir pour Israël, il n'arriverait pas à t'éloigner de ta cause. Tu voulais voir revenir la paix dans ce monde. Tu te battras pour ça. Il pourras t'en dissuader autant qu'il veut, il n'y arrivera. Tu levas les yeux vers ton bel amant. Il était dans ses pensées. Comme tu avais été dans les tiennes. Se posait-il les mêmes questions que toi ? Tu lui commenças à parler, lui faisant part de façon dissimuler de tes craintes. Tu regardas son visage changer d'expression. Il sortait de sa rêverie. Tu l'avais ramener dans la réalité. Il intégra tes paroles. Il tourna son beau visage vers toi. Il captura tes lèvres sans que tu ne t'y attende. Ton coeur rata un battement. « J’aimerais beaucoup » Oooh. Lui aussi avait peur d'affronté la réalité de dehors ? Tu le regardas soupiré et reposer sa tête sur l'oreiller. Toi tu étais toujours à moitié relevé. Ta tête reposais sur ta main. Tu le regardas de tout ton saoul. Tu n'arrivais pas à penser que ce bellâtre t'appartenait. Il était à toi. « Mais on risque d’être dérangé un jour ou l’autre. Sans compter Tobias qui risque à tout moment de défoncer la porte pour être sûr que je ne t’ai pas kidnappé. » Tu souris de toute tes dents. Tobias serait capable de venir en plus. Il avait tellement Israël en horreur. Tu passas une jambe aussi d’Israël. Tu étais désormais à califourchon sur lui. Tu posas tes mains sur son torse nu. Tu te penchas et t'arrêtas à quelques millimètres de sa bouche. « Tobias peut bien venir, je suis prête à être ton otage. » Tu l'embrassas. Un baiser passionnel. Tu te relevas un instant et repris ta position à coté de lui. Tu reposas ta tête une nouvelle fois sur son torse. Ta main jouai avec les poils de son torse. « J’ai peur aussi, mais cette peur ne doit pas nous empêcher d’avoir ce que l’on veut vraiment, non ?  » "Je te veux toi" pensas-tu. Tu te blottis un peu plus contre lui. Il avait raison. Vous deviez faire un choix. Un choix qui vous conviendrait à tous les deux. Advienne que pourra par la suite. Tu le sentis bouger, tu te relevas légèrement. Il se tourna vers toi. Ton visage était à la même hauteur que le sien. « Ça va être difficile, mais je suis prêts à faire ce qu'il faut… Si c’est pour qu’on reste ensemble » Il retira une mèche qui te barrait la vue. « Qu’est-ce que tu en dis ? » Pour tout réponse, tu l'embrassas. Oui tu voulais de lui. Oui tu voulais être avec. Oui tu voulais lui appartenir. « Je suis prête à tenter l'aventure. » Tu l'embrassas une énième fois. Il te rendit ton baiser. Tu restas discuté avec lui une bonne partie de la nuit. Au bout d'un certain temps, tu décidas de rejoindre ton appartement. Tu savais que Tobias se posait un milliard de question seul dans votre appartement. Pour ne pas qu'il appelle la brigade des sorciers, tu retournas dans ta propre chambre malgré qu'Israël voulait que tu restes. Tu t'étais rhabillée et avais retrouvé ta chambre. Tu avais le coeur léger, des étoiles pleins les yeux. Tu étais bien. Tu étais amoureuse.


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I am yours - You are mine / Meraël

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