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 ELLIO&RHÎM X That or nothing

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MessageSujet: ELLIO&RHÎM X That or nothing   ELLIO&RHÎM X That or nothing EmptyLun 11 Juin - 6:34

Khôl, putain, tu n'as pas vu mon t-shirt? S'énerve-t-elle, se posant contre le lit de son cousin sans la moindre délicatesse. Un grognement s'extirpe des lèvres de ce dernier alors qu'il tente de mettre ses idées en ordre. pas facile lorsque l'on est tiré de son sommeil par une furie dans le genre de Rhîm. L'impatiente le pousse sans ménagement, attendant vraisemblablement une réponse le plus rapidement que possible. Qu'est-ce que tu veux que je foute avec ton t-shirt, franchement? Il marmonne et tourne le dos à sa charmante cousine, prenant un soin particulier à emmitoufler dans la couette pour que l'idée de l'en extraire ne vienne pas germer dans son cerveau féminin. C'était sans doute trop lui demandé, parce qu'elle le débarrasse de sa couverture sans le moindre scrupule. Les mains posées sur ses hanches, elle le toise, les sourcils froncés. Les elfes de maison ont tendance à se tromper de Kaygizis, face de troll. Il la détaille. Dans un soupire, il consent finalement à se redresser. C'est ce qu'il me semble, oui... Faisant référence son propre t-shirt que la demoiselle s'est approprier en guise de robe de nuit. Elle roule des yeux, comme elle a souvent l'habitude de le faire, et repose son regard sur lui. Un regard suffit pour lui intimer de se bouger les fesses. Il te le faut vraiment maintenant? Putain, Rhîm, il est quelle heure? Murmure-t-il, se rendant compte que la plupart des garçons du dortoirs sont encore assoupi. Rhîm ne semble pas en tenir compte. Elle ne répond pas, indiquant le placard dans lequel sont rangé les affaires de son cousin. Placard qu'il ouvre, non sans laisser échapper un soupire, visiblement exaspéré. Il fouille, fouille? mais pas la moindre trace de ce fameux t-shirt. Il se traine déjà jusqu'à son lit, secouant la tête à la négative. Rhîm, elle profite de la vue charmante que son cousin, dont le corps n'est couvert que par un caleçon. Hey, Khôl? Il se pose, laisse échapper un nouveau soupire. Il se tourne avec une lenteur exagérée vers celle qui l'empêche de retrouver le confort de sa couche. Quoi? Merci Il dodeline de la tête avant de se tourner pour se laisser tomber dans son lit, littéralement. Tu devrais aller voir à la laverie... Parvient-il a articuler, le visage enfuit dans son oreiller. Ouai. La laverie ce n'est pas une si mauvaise idée. Enfin, après plus de deux semaines, elle aurait quand même préféré le retrouver dans son armoire comme le reste des vétements qu'elle avait confier aux elfes de maison. Elle pourrait tout aussi bien mettre une autre blouse, mais le truc avec Rhîm, c'est que quand elle a une idée dans la tête, on peut difficilement lui faire changer d'avis. Ainsi, elle avait mis sans dessus dessous le dortoir des filles de Gryffondor, essayant de mettre la main sur ce fameux t-shirt. Pas pudique pour un sous, l'égyptienne quittait la salle commune des Gryffondor, vêtue par ce t-shirt informe et ample qui se trouve appartenir à Khôl. Passant sous le nez de la Grosse Dame, cette dernière s'indigne qu'une jeune fille puisse se promener avec aussi peu de vêtement. Rhîm roule des yeux, lasse d'entendre sans cesse la Grosse Dame grommelé pour lui trouver l'un ou l'autre défaut. Faudrait que cette vieille gargouille comprenne que les choses ne sont plus ce qu'elles étaient à son époque. Ses pieds frôlaient la carrelage glacée, ce qui lui extirpa un frisson. Elle pressa le pas et fonça tête baisser dans la cage d'escalier qui était d'humeur taquine en ce beau matin. Un grognement s'extirpa de ses lippes alors qu'elle se laissait trimballée d'un côté à l'autre, victime des caprices des escaliers. Un soupire soulagé s'éleva lorsqu'elle fut enfant arrêté au premier étage. La laverie se trouvait de l'autre côté, mais elle n'allait pas faire la difficile, les Dieux seuls savent où les escaliers pourraient la conduire si elle avait choisit de rester à leur bord. Au bout de sept année à Poudlard, elle s'étonnait encore de ne pas connaître tout les recoins du château. Faut sire qu'elle trainait rarement de ce côté de Poudlard. Elle laisse son regard couleur chocolat se promener sur les différents tableaux qui la saluaient poliment lorsqu'elle passait devant eux. Ça la faisait doucement sourire. Rhîm se demandait toujours quel effet cela ferrait de vivre dans un tableau. Certain des personnages représenté avait réellement vécu, d'autre non. Elle se demandait toujours comment cela se passait. Elle n'avait jamais eut la chance de voyager d'un tableau à l'autre, mais cela devait être pratique pour fouiner... Et fouiner, c'était leur spécialité. A Poudlard, tout se savait toujours. Rhîm avait la certitude que les habitants y étaient pour quelques choses. Faut dire, il n'avait rien de mieux à faire que surprendre les conversations des élèves. C'était peut-être de là que venait l'expression "bruit de couloir". Rhîm finit par pousser la porte de laverie. Rhîm Kaygizis. Et sans attendre, le panier lui appartenant vole à travers la pièce pour lui porter son linge. Elle trouve immédiatement le fameux t-shirt. Au fond, c'était un tr-shirt plutôt simple, sans manche, lignée bleu et blanc dont le dos était fait en partie de dentelle. Quoi qu'il en soit, elle l'emporte avec elle derrière les rangées de drap blanc, au même titre qu'un pantalon carotte. Une fois à l'abri des regards, Rhîm se débarrasse du t-shirt de Khôl qu'elle envoie négligemment un peu plus loin. Les sous vétements avaient été changé plus tôt, alors qu'elle avait la certitude de trouver son t-shirt dans ses affaires. Elle passe son pantalon. C'est à ce moment là qu'un bruit survient. Froncement de sourcil. Rhîm se redresse, enfilant en quatrième vitesse son t-shirt alors qu'une ombre masculine s'approche d'elle. Elle est prête à s'énerver, comme si la laverie était un lieu strictement réservé à sa petite personne. D'un mouvement ample, elle dégage le drap qui lui servait de couverture et se retrouve nez à nez avec la frimousse d'Ellio. Elle ouvre la bouche et la referme. Un sourire vient naître sur ses lèvres. Elle dépose un baiser sur sa joue pour le saluer et passe devant lui, quittant ainsi sa "cabine" de fortune. Tu arrives presque trop tard. Qu'elle plaisante alors qu'elle réajuste son t-shirt. Elle passe une main dans ses cheveux, penchant la tête sur le côté, s'immobilisant devant le jeune homme qu'elle détaille sans la moindre gène. Qu'est ce qui t'amène ici aussi tôt?
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Ellio J. Fisher-Baker

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MessageSujet: Re: ELLIO&RHÎM X That or nothing   ELLIO&RHÎM X That or nothing EmptyLun 25 Juin - 11:06

Rhîm et Ellio
« je l'aurai un jour, je l'aurai parce qu'elle sait qu'au fond elle est folle de moi (a) »


Le problème quand on était un jeune homme de quatorze ans c'est qu'on était en général assez désorganisé et qu'on oubliait souvent d'emmener son linge sale aux Elfes pour qu'il le nettoie. En conséquence il arrivait un moment et bien où tout était pratiquement sale et franchement c'était un peu galère. Pour le jeune Fisher-Baker il y avait maintenant urgence car sinon demain il n'avait plus rien à se mettre, alors certes il était plutôt pas mal à regarder mais il n'avait pas on plus l'envie particulière de se trimbaler à poil, désolé pour ses admiratrices et admirateurs. Du coup le jeune Serdaigle s'était réveillé tôt et s'était mis en quête de rassembler tout son linge sale et il en profiterait pour récupérer le peu qu'il avait pensé à déjà envoyer au lavage. Et oui heureusement il lui restait un peu de bon sens et donc il avait tout de même penser à faire laver trois caleçons et une tenue de rechange. La perspective de déambulait vêtu seulement de ce que la nature lui avait fourni ne lui donnait pas du tout envie. Il avançait donc à travers les ténèbres dans son dortoir pendant que ses congénères dormaient paisiblement si on enlevait le fait que l'un d'entre eux ronflait très bruyamment. Certes cela montrait bien qu'il dormait paisiblement mais ce n'était pas très agréable pour les autres surtout pour lui qui était réveillé. Non parce que les autres comme ils dormaient ils s'e fichaient un peu mais lui ça la parasitait beaucoup tout de même. Bref c'était la minute les petits soucis d'Ellio. Une fois qu'il eut tout récupéré, en tout cas tout ce qu'il avait trouvé, il sortit de son dortoir. Dans la salle commune des élèves étaient déjà debout en train de réviser ou faire des devoirs dans un coin. Ellio salua l'un d'entre eux qu'il connaissait de nom car ils étaient de la même année et étaient donc amenés à avoir les mêmes cours ce qui rapprochait un minimum. En bref il poursuivit alors son chemin tranquillement jusqu'à la laverie qui se situait au premier étage. Il avait une petit trotte à effectuer jusque là donc autant ne pas perdre de temps.

Les couloirs étaient plutôt vides. En même temps vu l'heure c'était un peu normal, peu d'élèves étaient des lève-tôt. Ellio aimait autant quand c'était comme ça. Il était sociable mais aimait beaucoup la solitude ça lui permettait de mieux réfléchir et puis trop de personne autour de soi ce n'était jamais bon, non la plupart n'était là que parce qu'ils étaient intéressés par quelque chose, peu de gens étaient vraiment sincères. Ellio en avait fait l'expérience amère il y a peu alors il savait parfaitement de quoi il parlait. Mais encore une fois il ne regrettait rien. Certaines choses, certaines personnes lui manquait mais il ne regrettait pas ses décisions.. Il fut arriver à la laverie plus vite qu'il ne le pensait. Il ouvrit la porte et trouva quelques Elfes qui traînaient par-là mais ne vit pas d'autres élèves il dit alors : « Fisher-Baker. » Un panier vint alors voler jusqu'à lui sauf qu'Elio se rendit vite compte que ce n'était pas le sien vu qu'il contenait entre autre un string en dentelle rouge. Ce n'était pas vraiment son style, en examinant le reste du panier, il se rendit vite compte que c'était celui de sa demie sœur, Cheryl. « C'est pas possible ça, j'ai dit Fisher-Baker pas Baker. Ok je voudrais mon panier, Ellio Fisher-Baker. » Un autre panier arriva alors jusqu'à lui et cette fois-ci c'était le bon. « Merci beaucoup. » Ses paroles étaient remplies de sarcasme et d'amertume mais au moins il était poli. Il posa alors son ânier et commença à faire le transfert entre affaires sales et affaires propres quand il aperçut une ombre derrière un drap, il commence à s'avancer mais avant qu'il ne puisse faire autre chose le drap s'ouvre pour laisser apparaître la délicieuse Rhîm qui dépose un baiser sur sa joue avant d'ajouter : « Tu arrives presque trop tard. » Ellio ne put s'empêcher de sourire, c'est sûr qu'il aurait bien voulu la voir s'habiller mais bon il arriverait à survivre et puis ça sera pour une prochaine fois, Rhîm était folle de lui c'est juste qu'elle ne le savait pas encore. En plus en réajustant son haut, elle laisse apercevoir un peu de peau au jeune homme et c'est déjà pas mal quand on avait quatorze ans, qu'on était encore jeune et innocent. « Qu'est ce qui t'amène ici aussi tôt ? » C'était gentil de sa part de demander et en apprenti beau-parleur qu'il était, il lui répondit : « Figure-toi que je cherchais le rayon de soleil qui illuminerait ma journée et je viens juste de le trouver. » Il conclut sa phrase par un large sourire. Pour le coup il assurait un maximum, si Rhîm ne succombait pas avec ça c'est qu'elle n'aimait pas les bonnes choses. Néanmoins pour rétablir un minimum la vérité il ajouta : « Et récupérer du linge propre par la même occasion. Mais te trouvais là est décidément la meilleure chose qui pouvait m'arriver. » Nouveau sourire laissant découvrir son sourire brillantissime. Enfin il rajouta pour faire la conversation et aussi en profiter pour la faire avouer ce qu'elle n'osait avouer : « Et toi alors ? Avoue que tu me cherchais, je sais que tu ne peux te passer de moi mais tu aurais pu tout aussi bien me rejoindre dans mon dortoir. » Il fit une pause avant d'ajouter : « Tu y seras toujours bien accueillie, je peux te le garantir. »

fiche par century sex.
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MessageSujet: Re: ELLIO&RHÎM X That or nothing   ELLIO&RHÎM X That or nothing EmptyMer 27 Juin - 5:46

Figure-toi que je cherchais le rayon de soleil qui illuminerait ma journée et je viens juste de le trouver. Le rire glisse sur ses lippes et éclate dans la laverie, délicieusement, il se heurte au mur, qu'il lézarde joyeusement jusqu'à ce qu'il emplisse la salle de sa mélodie cristalline. Elle penche la frimousse, toisant de ses orbes noisettes le petit bout d'homme qui lui fait face. Des mots, ce ne sont que des mots et pourtant, c'est le genre de mot que toutes les filles rêvent d'entendre. Et ce sourire, il pourrait faire fondre le coeur le plus glacée de ce château. Et récupérer du linge propre par la même occasion. Mais te trouvais là est décidément la meilleure chose qui pouvait m'arriver. Elle se sent flattée, même si elle sait qu'au fond, c'est le genre de baratin qu'il sert à toute les filles. Pourtant, les compliments d'Ellio sonne différemment. Elle se sent presque ridicule d'être touchée par l'attention que lui porte un gamin. Enfin, un gamin, physiquement il n'en a plus spécialement l'air, mais il ne faut pas oublier qu'il n'a que quatorze ans. Peut-être est-ce son jeune âge qui lui confère cette sincérité doucereuse. Peut-être oui. C'est même certain. Un gaillard de son âge viendrait lui servir ce genre de phrase, elle lui rirait au nez, sans s'en émouvoir ni prendre la peine de lui répondre. Et toi alors ? Avoue que tu me cherchais, je sais que tu ne peux te passer de moi mais tu aurais pu tout aussi bien me rejoindre dans mon dortoir. Et voilà que Rhîm roule des yeux, comme elle en a l'habitude, mais elle ne perd pas ce sourire charmant et charmé. Ses lèvres se pincent l'une contre l'autre, sans qu'elle ne puisse effacé ce sourire. Tu y seras toujours bien accueillie, je peux te le garantir. Nouveau rire qui s'échappe alors qu'elle secoue la frimousse à la négative. Ce gosse allait carrément... Lui faire perdre la tête. Il avait quatorze ans. Quatorze ans. Elle ne cessait de se le répéter, bien que les propos du bleu et bronze ne concordait pas spécialement avec l'image que Rhîm se faisait d'un gamin... Un gamin. Oui, c'était un gamin. Mais son regard retombait sur ce soit disant gamin et ce qu'elle voyait, c'était tout sauf un gamin. Il lui fallait penser à autre chose, simplement à autre chose. Elle ne pouvait pas penser à Ellio comme elle le faisait, pour son âge et par respect pour la petite boule d'énergie de sa maison qui était encore dingue de lui. Ça la foutait mal à l'aise. Puis elle se résonnait... Au fond, elle ne faisait que jouer, ce n'était rien de sérieux, ni pour elle, ni pour lui... Il savait forcément qu'entre eux, rien n'était possible. Et c'est la joueuse qui repris le dessus, envoyant paître cette frustrée qui ne lui causait finalement que du tord.

Oh, je n'ai aucun doute là dessus. Qu'elle serait bien reçue dans les dortoirs des garçons de quatrième année appartenant à la maison des Serdaigle. Elle n'était pas certaine qu'ils réagissent tous de la même façon qu'Ellio. Pas du tout d'ailleurs. Mais, je ne suis pas certaine que l'accès à la salle commune des bleus et bronzes me soit autorisé. Une moue triste sur son visage, éclairé toutefois par les lueurs malicieuses qui dansaient dans la profondeur de son regard au couleur chocolat. Elle s'approcha de lui, simplement, posant une main contre son épaule, elle murmura, ses lèvres effleurant sa joue, son souffle chaud caressant sa peau. Dans ton dortoir encore moins. Un sourire, elle recule seulement son visage pour plonger son regard dans le sien. C'est un môme, juste un môme. Rhîm regrettait qu'il n'existe aucun sortilège qui effacerait les années qui les sépare. Un genre de télécommande magique. Ellio n'aurait plus quatorze ans, mais dix huit ans bien fait. Quatorze ans. C'était terriblement jeune, non? Pas tant que ça. La différence paraîtrait inexistante dans quelques années. La différence ne choquerait plus personne dans quelques années. Mais à l'heure actuelle, c'était tout simplement... Impensable. Hm. A croire qu'elle n'était pas comme les autres, qu'elle était irrémédiablement attirée vers ce qu'elle ne pouvait pas avoir. Khôl, Ellio, et tant d'autre. Khôl était bien évidemment différent des autres, ce qu'elle ressentait à son égard allait au delà de l'attirance physique, mais cela ne changeait pas grand chose, c'était le même problème. Et franchement, où était les garçons dans son genre quand elle avait quatorze ans, hein? Et lui, où était-il? Hm... Probablement dans les jupes de sa mère, ou quelques choses dans ce genre. Une chose est certaine, il ne s'occupait absolument pas de la gente féminine. Je ne pouvais donc qu’espérer que tu te sentes irrémédiablement attiré par ma présence. Oui, tout à fait. Elle continuait de jouer, de voler, sans se rendre compte que ses ailes s'approchait un peu trop du soleil et menaçait de finir en cendre. Bien loin de freiner les ardeurs du jeune homme, elle les alimentait, elle jouait le jeu, elle allait dans son sens. Oh, elle savait pertinemment que ce qu'elle faisait n'était pas bien, mais plutôt que de culpabiliser, elle se plongeait un peu plus encore dans ce jeu dangereux de la séduction séduction. Dommage qu'on se retrouve dans la laverie, mais bon, je vais me satisfaire de ta présence. Oui, il fallait l'avouer, la laverie, ce n'était pas le top, mais d'un côté cela la rassurait... La laverie. Rhîm ne se faisait pas confiance et finalement la laverie... C'était pas mal. Elle savait que n'importe qui pouvait débarqué, n'importe qui pouvait les voir.... Mais elle continuait de feindre l'inconscience, de feindre la nonchalance. Au fond, c'était une façon de se mettre à l'abri des questionnements et de ne pas se prendre la tête. C'était tout ce qu'il y avait à faire. Alors beau gosse, maintenant que tu m'as retrouvé, qu'est ce que tu avais prévu? Un sourire. Sa main quitte l'épaule du jeune homme pour se camper sur sa hanche. Elle ne se recule pas pour autant. Elle attend, soutenant son regard, profitant de ce sourire des plus agréable.
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Ellio J. Fisher-Baker

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MessageSujet: Re: ELLIO&RHÎM X That or nothing   ELLIO&RHÎM X That or nothing EmptyDim 22 Juil - 11:31

KAYSHER ❧ do you wanna touch ?
On pourrait se dire qu'à quatorze ans, le jeune Fisher-Baker était bien téméraire mais après tout pourquoi avoir peur de draguer une fille qui avait quatre ans de plus que lui ? C'est vrai l'âge représentait un sacré handicap mais sinon il était beau même canon, il était intelligent, marrant et il pouvait continuer ainsi encore longtemps. Franchement il était vraiment un bon parti et toute fille qui dira le contraire est une menteuse. Certes il était un sang-mêlé ce qui pouvait représenter un handicap pour certaines mais qu'était-ce la pureté du sang face à un regard de braise, un sourire charmeur et une voix suave ? Bien peu de choses, surtout à Poudlard où tout le monde couchait avec tout le monde. Ne faisait pas cet air outré, tout le monde est au courant. C'est la réalité et en même temps, Poudlard enferme pleins d'adolescents ensemble ce qui veut dire pleins de personnes dont les hormones les travaillent, normal que ça les démange. Ellio n'était pas une exception bien qu'il soit encore pur telle la blanche colombe mais pour combien de temps ? Ça c'est une bonne question. En tout cas ça serait étonnant que ça arrive aujourd'hui dans cette laverie mais qui sait ? Peut-être qu'elle succombera à un tel point qu'elle lui sautera dessus ne pouvant résister à son corps de rêve. En tout cas il la vit se mettre à rire, quel rire angélique ! Elle était mignonne, même s'il pourrait être vexé qu'elle rit. C'est vrai il pourrait croire qu'elle se moquait de lui mais bizarrement ou pas, Ellio ne pensait pas qu'elle se moquait de lui sinon elle ne prendrait pas autant de plaisir à toutes leurs petites discussions. Elle aimait bavarder avec lui, flirter avec lui même ce qui était déjà un début, un début prometteur. De toute manière un seul sourire d'elle et Ellio serait content voir fier de lui se sentant déjà être un Dom Juan. N'oubliez pas qu'il n'a que quatorze ans ! Alors même s'il est assez mature dans un sens, sur certains trucs il n'a pas le recul nécessaire. « Oh, je n'ai aucun doute là dessus.  » Encore heureux ! Il n'était pas un menteur, enfin si depuis quelques temps il était devenu un menteur de talent mais il ne lui mentirait pas à elle. En tout cas pour une chose si futile que celle-là. Après sur certains sujets, si elle touchait des cordes sensibles ça pouvait arriver. Il ne fallait jamais dire jamais parce que souvent c'était une promesse qu'on ne pouvait tenir. Il avait pu faire cette constatation au fil des années. Il était très observateur et il avait pas mal appris de ses erreurs certes mais aussi beaucoup de celles des autres. « Mais, je ne suis pas certaine que l'accès à la salle commune des bleus et bronzes me soit autorisé.  » Il y avait toujours moyen de s'arranger, il suffisait de connaître les bonnes personnes, agir au bon moment. Ce n'était pas une excuse ça, ça rendait juste la situation un peu plus compliquée mais c'était un mal pour un bien. C'est vrai ça rendait la situation plus dangereuse et excitante ce qui, avouons-le, a toujours plus d'effet chez une femme. Quelques fois la psychologie féminine n'était pas très difficile à déchiffrer, il suffisait d'être observateur. Elle posa une main sur son épaule et se rapprocha de lui de manière à ce que ses lèvres effleurent sa joue. « Dans ton dortoir encore moins. » Oh il avait envie de lui dire qu'au contraire cela serait très facile de la faire entrer dans son dortoir, qu'il pouvait y aller dès maintenant si elle le souhaitait mais il s'abstint. Après tout il savait que la réponse serait négatif et à cette heure-là, son dortoir était bien occupé. Non quand il l'emmènera dans son dortoir il s'arrangera pour qu'il soit désert ou en tout cas pour qu'ils soient tranquilles.

Elle recula alors mais pas trop loin ce qui est bien. Ça n'aurait pas été marrant si elle était partie loin de lui. « Je ne pouvais donc qu’espérer que tu te sentes irrémédiablement attiré par ma présence. » Le jeune homme ne put s'empêcher de sourire. La situation était comique. Il savait bien que tout cela n'était qu'un jeu que ce n'était pas vrai mais après tout il devait tout de même y avoir une part de vérité. C'est vrai ces paroles, elle devait les penser un minimum. Sinon c'était vraiment une bonne comédienne. Cela pouvait être les deux. En plus il préférait se bercer d'illusions car au moins c'était plus agréable. Au moins quand il était avec Rhîm, il passait toujours de bons moments, ça le détendait, l'amuser. Bref il pensait à autre chose. « Dommage qu'on se retrouve dans la laverie, mais bon, je vais me satisfaire de ta présence. » Ellio rit doucement. Se rendait-elle compte de tout ce qu'on pouvait faire dans ce lieu ? Sûrement pas, elle pourrait être surpris. Et tout de suite vous pensez à des trucs pas très catholiques mais pas du tout ! On pouvait faire tout sorte de choses dans la laverie, il suffisait d'être ingénieux. « Alors beau gosse, maintenant que tu m'as retrouvé, qu'est ce que tu avais prévu ? » Elle savait comment lui parler et lui faire plaisir en même temps. Malheureusement elle avait enlevé sa main de son épaule pour la déposer sur sa hanche. C'est dommage, il aimait bien ce contact mais bon ce n'était peut-être que temporaire. Il attendit un peu puis il se décida à répondre : « Tu sais on peut faire un tas de truc dans la laverie. Y a juste à être imaginatif. » Il fit une pause le temps de laisser son esprit à elle comme le sien vagabonder à la recherche d'idées plus folles les unes que les autres. C'est donc quelques instants après qu'il continua : « Et bien je ne sais pas que veux-tu faire ? D'habitude quand je me lève aussi tôt je vais courir où je bosse mais comme tu es là je doute que ses activités te plaisent franchement. » Néanmoins il sourit avant de rajouter vite : « Quoique voit mon corps d'athlète en sueur ça doit bien t'intéresser, ce que je peux comprendre. » Avec Rhîm il avait du culot, il disait tout ce qui lui faisait envie et c'est en grande partie pour cela qu'il aimait leurs discussions.


(c) tears buried.
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MessageSujet: Re: ELLIO&RHÎM X That or nothing   ELLIO&RHÎM X That or nothing EmptyMar 24 Juil - 9:30

Tu sais on peut faire un tas de truc dans la laverie. Y a juste à être imaginatif. Le truc avec l'imagination, c'est qu'on en faisait exactement ce que l'on désirait. le truc avec Rhîm, c'est que ses idées étaient loin d'être innocente. Très loin. Alors que le beau petit brun, lui, devait l'être nettement plus. Elle le savait pertinemment. Pourtant, à 18 ans, on gère ses hormones. Ou du moins, on les gère nettement plus qu'à 14 ans. A moins que... A 18 ans, on ait toujours pas passé le cape. Frustrée et coupable, elle préférait garder le silence, elle préférait laisser au jeune Serdaigle le soin de laisser libre court à son imagination. Il valait mieux garder à distance ses pensées à la limite de l'indécence. Et bien je ne sais pas que veux-tu faire ? Ah non, il n'était quand même pas en train de lui donner l'opportunité de choisir. Non, non, non et non, si le jeune homme tenait à sa vertu, il devait prendre le contrôle de la situation qui échappait de plus en plus à la demoiselle de préparatoire. Bordel QUATRE ANS. Quatre ans de différence. Pourquoi n'était-elle pas un minimum frainée par cette différente d'âge plus que frappante. Oh, puis, c'était de sa faute, à lui. ce petit gars avait-il réellement besoin d'être aussi beau. Non contente d'être beau, il fallait ajouter son corps d'Adonis à l'addition. Addition salée pour l’Égyptienne qui ré-freinait ses ardeurs sans trop de conviction. D'habitude quand je me lève aussi tôt je vais courir où je bosse mais comme tu es là je doute que ses activités te plaisent franchement. Comment se prendre une douche froide. Niveau Ardeur ré-freinée, le bleu et bronze ne pouvait pas faire mieux. Bon, il était certains que ce genre d’activité n'était pas envisageable... Pas parce qu'elle n'appréciait pas faire ce genre de chose mais parce qu'il y avait tout de suite plus... Excitant. D'accord, d'accord, il fallait rester correcte, mais il y avait sérieusement des limites à la décence. Hm. Puis, il était légèrement en train de la prendre pour une gourde qui ne supporte pas le sport et n'est pas du genre à aimer les bouquins. Il la prenait pour quoi au juste? Une belle plastique? Une poupée avec laquelle on se pavane. Nettement moins mignon, le petit Ellio. Niveau Tact, il y avait mieux. Elle ne lui en tenait pourtant pas trop rigueur, après tout, il était jeune et encore quelques peu maladroite. Quoique voir mon corps d'athlète en sueur ça doit bien t'intéresser, ce que je peux comprendre. Son? QUOI? Mais... Il se jouait d'elle, s'amusant à baisser et augmenter la température de leur conversation. Pour se faire rattraper, il se faisait rattraper le Serdaigle. Son corps. Et quel corps. Pourquoi lui faisait-il penser à cela. Oh, bien évidemment que son corps était parfait, trop parfait, elle l'avait deviner mainte fois sous ses vêtements. Elle s'était bien gardée de l'imaginer sans ceux-ci. Et voilà que le jeune homme lui offrait l'opportunité d'y penser sans qu'elle ne puisse se sentir coupable le moins du monde. Ce môme, c'était le diable. A croire qu'il faisait tout pour la pousser au vice. Même en pensée. Pourquoi était-il à ce point désirable?

Et elle, que pouvait-elle bien faire? Arrêter? certainement, mais ce serait trop simple. Elle détestait la facilité, elle détestait prendre la fuite face à la moindre difficulté. De toute façon, si elle en était arrivée là, c'est bien parce qu'elle avait joué le jeu. Oh oui, elle y avait jouer, elle s'était posée mille et une question, elle avait voulu revenir en arrière, mais elle avait joué encore et encore, allant toujours plus loin. On abandonne pas un jeu en pleine partie, alors elle ne pouvait faire qu'une seule chose : prendre les cartes qui avaient été distribués et les rejouer. En espérant seulement que le jeu joue en sa faveur. A ce niveau, elle n'était pas encore certaine de savoir exactement ce qu'elle voulait. C'était assez paradoxale, ça se bousculait dans sa tête. Elle le voulait lui. C'était horrible à dire, mais il lui était arrivé de le désirer. Puis, elle se raisonnait, se rappelait qu'il n'était qu'un gamin et qu'elle ne pouvait obtenir ce qu'elle désirait, même si lui semblait vouloir le contraire. La faire céder à tout pris. Elle adorerait que les choses aient été aussi simple. Elle lui aurait cédé depuis longtemps sans cette foutue morale, sans ce foutu honneur. Elle ne savait pas trop comment elle allait s'en sortir. Peut-être qu'un jour il se lasserait de la "résistance" qu'elle lui opposait. Peut-être qu'il trouverait une copine. Dalia ou une autre. A choisir, Dalia plutôt qu'une autre. Dalia. NON. Elle ne devait pas penser à cette petite brune. Non, non, non, ce n'était qu'un jeu. Rien de plus. Dalia ne faisait pas partie des règles de ce jeu. Dalia était chassée loi, très loin. Au même titre que le doute, la culpabilité, la frustration. Le jeu reprenait de plus belle. Elle posait une main contre son torse, un sourire malicieux se glissant sur ses lippes. Qui a dit qu'on était obligé de courir pour exhiber ton corps d’athlète. Elle joue avec le feu, elle se brûle les lèvres, ou dans ce cas-ci, elle se brûle les doigts. A travers le tissus, d'abord, sa main passe sur le torse du jeune homme, redessinant les contours de sa musculature. Malicieuse et tentatrice. Le sourire qui se lit dans la profondeur de son regard. Elle le toise. Elle pourrait ajouter que la sueur viendrait plus tard, mais c'était trop gros, trop rentre dedans. Elle craignait déjà d'aller trop loin dans ses propos. Ses doigts atteignait le bord du tissus, elle était proche de sa chair, elle l'effleura et se ravisa, revenant par dessus le tissus. Sa main restait là. Elle s'était rapprochée de lui, sans trop sans rendre compte. Je ne sais pas... Surprend moi. Sur ce qu'ils allaient faire. Oui, qu'il la surprenne, qu'il l'épate. Elle lui donnait le plein pouvoir. Elle lui donnait toute la responsabilité, sans doute par crainte de ce qu'elle pourrait faire. Elle ne se faisait pas confiance, pas avec lui. Frustrée. Carrément frustrée.
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