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 Meanwhile, with our little secrets.. — Vanity Cyreil

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MessageSujet: Meanwhile, with our little secrets.. — Vanity Cyreil    Meanwhile, with our little secrets.. — Vanity Cyreil  EmptyMar 6 Mar - 9:10

Misha ne s’intéressait pas particulièrement aux moldus. Plus précisément, elle ne voulait pas s’y intéresser. Autant observer la vie d’une fourmi. C’est sans intérêt, fade. Et puis, tellement ignorant du monde qu’un simple coup de semelle et elle n’est plus rien. D’ailleurs, même si elle n’en avait jamais vu un de sa vie, son opinion était sans appel. Non vraiment, elle ne voulait pas entendre parler de la vie de ces sans-magie, et c’était tant mieux, car le Lord était du même avis qu’elle. Les grands esprits se rencontrent, que voulez-vous.
Pourtant, au cours sur les moldus, elle ouvrait grand ses oreilles. Elle ne voulait pas en perdre une miette, elle voulait tout noter, tout assimiler. Non seulement pour avoir une bonne note, si ce n’est la meilleure, mais aussi parce que.. Et bien parce que du point de vue de son professeur Mangemort, ces gens sans-importance devenaient beaucoup plus intéressant. Qui avant sa première année lui avait vraiment parlé des attitudes si rudimentaires des moldus, de leur crasse, et de leurs guerres à ralonge et stupides ? Personne.

Il fallait dire que chez elle, personne ne lui avait vraiment parlé non plus.

Mais elle aimait ça. Pour une gosse élevée avec en tête sa propre supériorité, même fictive, de sa race, de son sang, elle appréciait grandement que l’on rabaisse officiellement les moldus. Elle adorait encore plus cette matière depuis qu’elle avait repéré un sang-de-bourbe dans sa classe. Du coin de l’œil, elle et sa petite troupe ne lâchaient pas le pauvre garçon des yeux, et même si elle était trop occupée à bien noter le cours, ses amis se moquaient à sa place du pauvre. C’était un Pouffsouffle. Décidément, il n’était vraiment pas gâté par la nature. Puis il n’essayait même pas de cacher un minimum ses sentiments. Preuve flagrante de non-civilité. Souvent, il pleurnichait même un peu, là, tout au fond, doucement, mais pas assez pour qu’on ne le remarque pas. C’était trop drôle. Autant tendre le bâton pour se faire battre, Misha ne ressentait aucune culpabilité à le voir se faire enfoncer encore plus. Il l’avait bien mérité non ?
Alors qu’elle copiait le chapitre sur la fabrication défaillante d’à peu près toutes les machines moldues ainsi que leurs failles et leur pauvre durée de vie, un coup de coude la dérangea. Autant elle ne se retenait pas pour se faire voir et donner son avis de gamine de onze ans sur tout, autant en classe elle était totalement dans sa bulle, pire qu’une Serdaigle. Ce n’était pas en papotant comme d’autres amies ou en fixant le plafond qu’elle allait être en tête de classe, et pour bien représenter sa famille, il fallait qu’elle le soit. Et non qu’on la pousse bêtement du coude pour lui parler. « Quoi ? » Le ton était assez sec, sa curiosité ayant laissé place à une concentration de fer. De toute manière, pourquoi prendre des gants avec sa voisine ? Cette fille lui collait aux basques, à son grand bonheur, et était donc habituée depuis longtemps au caractère hautain et revêche de Misha. « Emily vient de me dire que Andrew lui avait dit via ce qu’avait chuchoté Baltazard d’après ce qu’avait affirmé Lola qui elle-même le tenait de.. » La McClary leva les yeux au ciel, sans pour autant s’arrêter d’écrire « Oui bon, abrège » La petite rousse finit sa phrase dans le vent, sans comprendre immédiatement l’ordre de son amie, avant de se reprendre « Il paraît que tu.. » « Que je ? » « Que tu.. » Misha la regarda franchement. La plume posée à côté de son parchemin, si ses yeux avaient pu tuer, la pauvre petite blonde serait morte trois fois. « Si c’est pour imiter mémé Dina, autant te taire. » Retournant sa tête en direction du tableau, elle recopia rapidement ce qu’il y avait d’écrit au tableau, en grommelant un « J’suis occupée ». La dénommée Dina n’osa pas répondre que son prénom était Nina.

A force, elle savait que certains jours, Misha était forcément de sale humeur. Déjà qu’en temps normal, si l’on n’allait pas dans son sens on risquait de se faire harceler par cette fille haute comme trois citrouilles, mais des fois.. Et bien des fois, la McClary en venait même à parler toute seule, et à crachait à celles et ceux qui s’en étonnaient »Y’a rien à voir, que la populace circule de là » Phrase directement tirée de sa mère, seule chose qu’elle ai bien pu léguer à sa fille adoptive. Misha n’était sûrement pas folle, mais la voir tenir une conversation à voix basse avait de quoi aviver la curiosités des serpents de son dortoir. Souvent on entendait le prénom ‘Pam’ revenir, sans vraiment savoir qui elle était — non, la seule chose dont les autres petites commères de son année avaient réussit à déduire était que cette anxiété maladive se passait uniquement le mercredi matin. Comme un créneau des sentiments, cette matinée du milieu de semaine n’était pas des plus rieuses et moqueuses que les autres.
Parce que le mercredi matin, Mademoiselle McClary avait cour de défense contre les forces du bien. Oh, elle aimait autant cette matière que celle concernant les moldus, même plus (même beaucoup beaucoup plus), sauf qu’il avait lieu avec les Gryffondors. De première année. Et dont une certaine Vanity faisait partie.

Vanity Cyreil était sûrement le genre de fille mignone, gentille, douce, mais énergique. Comme à peu près toutes les gamines des Gryffondor, elle était donc un beau copié-collé — avec un supplément de dents du bonheur. En fait, Misha ne voulait même pas le savoir, pas plus que le lancement dans le monde moldu d’un objet stupide que sûrement une formule magique pourrait remplacer (un certain ‘iPad’), et qui chaque année ou presque sortait en une différente version. Quelque chose de profondément idiot et dont l’ignorance ne gâchait pas le sommeil. Sûrement donc, elle ne la connaitrait que par ce que lui avait dit sa petite cousine, cadette d’un an seulement. La triste histoire de Vanity, cette même histoire qui avait donné un grand sourire à Misha. Une mère tarée qui parrait-il conserve un cadavre d’enfant, un père qui a quitté le domicile ne supportant plus sa gamine braillarde et sa femme déglinguée.. Tout était bon pour que cela colle à la peau de Cyreil durant les sept longues années qu’elle allait passer à Poudlard avec Misha dans les parages. En vérité, tout dans sa petite tête vaiat été planifiée, chaque ragot, chaque rumeur, chaque vérité déformée devait être dite dans un ordre précis à sa rentrée. Ce n’était pas de la méchanceté, non, bien qu’elle y prenait un plaisir certain, mais plutôt une manière comme une autre de se faire intégrer, d’attirer les regards, de se faire connaître. Le bazar sans nom qu’avait été la petite vie de Vanity figurait en bonne place, pour capter la foule avant d’égrener comme un chapelet de prières le reste de ses révélations.
Sauf qu’en le disant à l’intéressée, en plein milieu de la foule, elle ne se doutait pas que elle aussi savait son secret. Oh, ce n’était même pas un secret. Ce n’était qu’un mensonge. Dans la tête formatée de Misha, toute cette pseudo-vie, cette pseudo-adoption n’était qu’un mensonge de la part d’une mère qui ne l’aimait pas. Voilà tout. Mais comment expliquer ça rapidement, par des suites logiques lorsque l’on a à peine que onze ans et que l’on est encore perdue dans un monde qui jusqu’à récemment se limitait à la forêt et à sa chambre ? Alors elles s’étaient arrangées dans le langage universel pour tout enfant ‘un secret contre un secret’. Motus et bouche cousue. Mais elle n’était pas naïve, et dès qu’elle le pouvait, elle surveillait la jeune Gryffondor de près. Comme lors du cour de défense contre les forces du bien, surtout lorsqu’elles devaient former un binome. Bien qu’étrange de voir une sang-pur se mettre avec une rouge et or, on les laissait faire tandis que d’un regard furibond, elle faisait taire ses amis de sa maison. Non mais vraiment. On avait pas idée, d’être si langue de vipère.


Nous étions donc précisément un mercredi matin, et des binômes devaient être formés. Immédiatement, Misha se colla à Vanity, ce qui ne posa pas grand problème vu qu'elle l'était déjà. Assise juste à côté d'elle, elle n'eu aucune résistance de la part de la "courageuse" Gryffondor. Sûrement était-ce à cause de l'habitude. « Alors Vanity, quoi de neuf depuis la semaine dernière ? On sauve toujours le monde ? »


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Dernière édition par Misha McClary le Lun 26 Mar - 6:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Meanwhile, with our little secrets.. — Vanity Cyreil    Meanwhile, with our little secrets.. — Vanity Cyreil  EmptySam 10 Mar - 11:21

Meanwhile, with our little secrets.. — Vanity Cyreil  120124111756374360

« DEBOUT, il fait beau dehors, les oiseaux chantent et il est l'heure de se réveiller ! » hurla Vanity d'excellente humeur à ses camarades et amies de son dortoir. Quelques « mais ta gueule », « veux dormiiir » et « par pitié, laisse moi tranquille » plus tard, la filette s'habillait en chantant et rigolant. Elle aimait être de service réveil du matin car ses amies, grosses flemmardes étaient très drôles à réveiller. Incapable de ne pas péter le feu dès le matin, même si on était mercredi, la jeune fille rigolait toujours quand elle inversa son chapeau et ses chaussettes. Finalement les quatre premières années quittèrent leur chambre et se dirigèrent vers la grande salle pour avaler un bon petit déjeuner avant le début des cours.

Dans la grande salle, l’excitation battait son plein, entre les élèves à moitiés endormis dans leurs assiettes et ceux qui, comme Sarah Mandleton, parlaient, mangeaient et bougeaient à la fois, il était facile de passer inaperçue, même avec une crise de fou-rire. Vanity se servit allégrement de tarte à la fraise et de bacon grillé, car elle sentait bien qu'il lui faudrait des forces pour affronter la journée du mercredi. Avalant son dernier morceau d’œuf brouillé la première année repoussa son assiette sur le côté sous les rires joyeux de ses camarades. C'était sûre qu'après un petit-déjeuner comme ça, elle n'aurai plus faim pendant les dix prochains jours. « Et bah Vani, t'étais affamée ce matin ! » Elle rigola, regarda furtivement autour d’elle et répondit dans un murmure « je dois être en forme aujourd'hui, je sens l'aura maléfique de » elle prit un air quelque peu hautain et rajouta « mademoiselle Misha McClary. » Et tous les élèves présents autour de la table qui connaissaient sa haine farouche pour la jolie serpentarde éclatèrent bruyamment de rire devant cette mauvaise imitation. C'est la préfète des rouge et or qui mit fin au fou-rire de la troupe en les envoyant en cours. Mais quand elle vit qu'ils ne faisaient que rire plus fort, elle remit en cause ses méthodes. Il faut dire que chasser des anciens enfants qui étaient accros aux walts diney moldus à coup de « En route mauvaise prout », n'était pas une idée excellente.

On était mercredi matin, et les rouges et or de première année avaient quatre longues heures de cours. Et deux atroces de défonce contre les forces du bien. Non pas atroce à cause de leur absurdité, Vanity était impartiale pour la simple et bonne raison qu'elle était trop optimiste pour se placer dans un des deux camps, car de toute manière tout allait finir par change et s'arranger. Mais bien atroce à cause de Misha McClary, qui partageait aussi ses deux heures de cours et qui généralement insupportait Vanity au plus au point. De toute manière il était évident qu'elle ne pouvait pas l'aimer... c'était -ou du moins ce qu'elle faisait croire mais on y reviendra plus tard- une McClary, or tous les McClary avaient un égo surdimensionné qui ne plaisait guère à la petite gryffondor. Voilà pourquoi, malgré sa bonne humeur constance, Vanity n'aimait pas le mercredi matin.

Oh mais n'allez pas croire qu'elle se laissait marcher sur les pieds par cette petite peste. No non non. Vanity était -et est toujours- une bien trop tête de mule pour se laisser faire. Elle n'avait rien à cacher de sa vie, elle évitait juste le sujet. Voilà tout. Son père lui manquait, elle aurait aimé retrouver la mère aimant qu'elle avait eu autre fois mais c'était fini cette période et elle le savait bien. Maintenant il fallait aller de l'avant. Elle n'était pas fataliste pour autant, mais le pire était passé alors pour le ressasser ? Voilà comment elle avait rencontré Misha. Cette dernière lui avait balancé son passé en pleine face, souhaitant surement lui faire mal. Surprise, la petite Vanity avait alors inventé un gros mensonge. On lui avait dit une fois que plus c'était gros plus cela passait. Merlin était de son côté. Car il se trouvait que cette gamine qu'elle ne connaissait ni d'Eve, ni d'Adam avait bel et bien été adoptée. Ainsi donc la fière Misha n'était pas que vrai McClary -même si elle avait toutes les caractéristiques pour- ? Depuis ce fameux jour, les deux petites filles sont liés par le secret forcé de la confiance de l'autre pour ne pas dévoiler son passé personnel à tous ceux qui ne doivent pas le savoir. Et chacune garde précieusement le secret, au cas où il faudrait s'en servir. Mais si Misha compte s'en servir comme arme d'attaque, la douce et gentille Vanity préfère le garder comme argument de défense. Voilà une fois encore pourquoi Vanity n'aime pas le cours de défense contre les forces du bien : car Misha est toujours présente, à l'affût, histoire de l'embêter et de s'amuser. Certes, la gryffondor aime beaucoup lui répondre, c'est son amusement quotidien même, mais elle n'a pas besoin de la chercher du regard tout le temps, elle n'a pas besoin de la tester à longueur de journée. Non parfois elle a besoin de temps calme, chose que Misha ne veut pas comprendre.

Et c'est bien un grand problème, parce qu'il y a des personnes que tu détestes et que tu peux éviter. Prénom par exemple son faux-frère : Zane. Vanity ne supporte pas ce poufsouffle qui semble cacher quelque chose, il fait le gentil mais il ne peut pas l'être. Eh bah elle l'évite tout simplement. Alors que cette Misha, elle est obligée de la croiser tous le mercredi au minimum ! Et encore, les cours de vols sont communs au gryffondor et serpentard aussi. Rha, c'est vraiment pas de chance.

Le professeur ouvrit la porte et pour faire entrer les élèves. Et comme d'habitude Vanity s'assit avec ses deux amies au dernier rang. Les autres gryffondor se plaçaient toujours devant, mais ce cours dégoutait trop Vanity pour qu'elle se mette au premier rang et fasse semblant d'écouter. Cette fois-ci, Ania s'assit contre le mur à côté de Paola, laissant Vanity se retrouver seule en bout de rangée. Et devinez qui était assise de l'autre côté du mini trou entre les différentes tables ? Misha. Bingo. Le professeur laissa faire les binômes et une fois de plus, la petite gryffondor n'eut pas le choix. Misha la força à se mettre avec elle. Pourquoi la courageuse petite lionne ne répliqua pas ? Sûrement qu'au fond d'elle-même elle était un brin masochiste et qu'elle aimait bien se mettre avec la verte et argent. Ou alors qu'elle savait que Misha serait pire encore si jamais elle refusait ? Même les suiveuses dociles de la demoiselle McClary ne disaient plus rien. Soupirant, Vanity se tourna vers son binôme qui lui demanda. « Alors Vanity, quoi de neuf depuis la semaine dernière ? On sauve toujours le monde ? » Haha. Mais qu'est-ce qu'elle était drôle cette petite Misha. Tout d'abord Vanity ne sauvait pas le monde mais uniquement ses amies, et ensuite elle préférait s'amuser que s'occuper d'autre gens, voyons. Rien que par sa présence, Vanity était énervée. Prenant sur elle, la rouge et or se retourna vers le tableau et fit mine d'écouter ce que le professeur disait.

Sa capacité d'attention était plus faible que les gamins de trois ans, car pas moins de trois secondes plus tard elle détourna le regard. Incapable de se concentrer sur le professeur, incapable de ne pas penser à la serpentarde assise à ses côtés. Piouf, elle n'y arriverait jamais. D'un coup sec elle se planta son regard dans les yeux de Misha, qui eux non plus ne fixaient pas le professeur. Une seconde, deux secondes, trois secondes. Vanity détourna les yeux. Non pas par faiblesse mais plutôt par peur. Les yeux de Misha étaient beau, innocent, clairs et pourtant son regard était violent, méchant, égoïste. C'était trop contradictoire et trop bizarre pour être normal. La première année resta perturbée quelques secondes encore avant de se reprendre. « Depuis la semaine dernière ? Hum, j'ai rencontrée une goule écervelée l'autre jour à la table des serpentards, une vraie débile incapable de tenir sa langue... » elle fit mine de réfléchir « Ah mais oui, c'était toi. » dit-elle en appuyant sur le dernier mot et en lui tirant la langue. L'avantage d'avoir onze ans c'était qu'on ne pouvait pas la traiter de gamine puisqu'elle l'était déjà. Une fois de plus elle se retourna et admira pendant quatre bonnes secondes la plume posée devant elle qui n'attendait qu'une seule chose : que la gryffondor l'empoigne et se mette à écrire. Hum non. Misha l'avait totalement réveillée et elle avait plutôt envie de jouer avec elle. Enfin jouer est un bien grand mot, se disputer irait presque mieux. « Et toi ? Qu'est-ce que tu as bien pu faire de … » elle marqua une petite pause « j'allais dire de beau mais bon, vu la personne que tu es, c'est juste improbable » elle émit un petit rire discret et moqueur « bref, qu'as-tu fait de mauvais ces derniers jours ? Je suis sûre que c'est toi l'auteur ou plutôt le cerveau -même si ça me coute de dire ça mais je te vois mal te salir les mains- de la farce aux gryffondor. J'ai tort ? » demanda-t-elle innocemment. Des farces les gryffondors en recevaient tous les jours, hier même son amie avait eu des oreilles de chat en plume d'oiseau accroché sur la tête toute la journée. Mais ils faisaient avec, Vanity était rarement l'objet des blagues innocente de toute manière elle prenait ça avec le rire. Non, elle voulait juste tester Misha, selon sa réaction elle verrait bien si la demoiselle McClary avait l'habitude ou non d'être une véritable peste. Oh finalement le cours ne s'annonçait pas si mal, elle apprendrait peut être des trucs intéressant. Plongeant son regard dans le visage de son binôme, Vanity attendit impatiemment la réponse.

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