Sujet: Le silence est la vertu des sots ▬ Mirka. Mer 22 Déc - 16:16
Selena B. Malefoy && Mirka A. Vladmirova
C’était un pari vraiment stupide, lancé en l’air, qu’elle avait accepté, piquée au vif. Ce pari était simple, il consistait à boire jusqu’à tomber par terre, et le premier qui tombe a perdu. En règle générale, jamais Selena n’aurait accepté un truc pareil, surtout quand le gage, c’est de donner huit cent gallions au vainqueur après s’être jeté tout nu dans le lac de Poudlard en pleine nuit. Pari tenu. Selena avait bu, bu, bu … Et heureusement, elle avait gagné son pari. Piquer une tête dans le lac de Poudlard, ce n’est pas son truc, à elle, la pyromane plus accro à la chaleur qu’autre chose. Elle avait beaucoup ri quand le perdant était allé barboter dans le lac du château, surtout quand le calmar géant était venu voir qui troublait la tranquillité de sa petite mare. Et après cette bonne tranche de rire, où elle s’était roulée par terre à n’en plus finir, et à en pleurer tellement la tête terrorisée du Serpentard qui rencontre le calmar géant était excellente, elle avait décidé, bonne princesse, de ne pas empocher les huit cent gallions, au grand soulagement de son adversaire, qui ne possédait pas une somme aussi élevée.
Par contre, maintenant, en ce début d’après-midi, joli samedi ensoleillée, les Serpentard tiraient une tête de dix pattes de long. Après avoir picolé toute la nuit, rigolé en voyant l’autre abruti revenir en gueulant à cause du calmar géant, et décuvé toute la matinée, ce début d’après-midi cueillait les verts et argents dans un état qui ne leur était pas coutumier, j’ai nommé la gueule de bois. Le pire dans tout ça, c’est que les premières, deuxièmes et troisièmes années papotaient avec agitation. Enfin, non, normalement en fait, mais vu l’état de loques humaines des ressortissants de Serpentard, le moindre murmure passait allègrement pour un hurlement, comme si quelqu’un se collait à votre oreille avec un bon sort amplifiant et qu’il hurlait des ragots comme une beuglante. Et Selena ne faisait pas exception à la règle. Si elle ne hurlait pas telle une beuglante, elle était assise dans son fauteuil favori car collé au feu, et était couchée sur la table, la tête dans les mains, les yeux fermés, ses cheveux blonds éparpillés autour de la tête. En face d’elle, un cendrier débordant de mégots et un joli tas de bouteilles d’alcool lui tenaient compagnie. Non, elle n’a pas été toute seule pour fumer et boire tout ça. Quoique les bouteilles d’alcool, on peut se demander, vu la forte résistance de la blondinette à l’alcool. En fait, là, si elle dormait, c’était pour rattraper son sommeil en retard. Ah, fatiguée la Malefoy, pauvre petite marmotte maltraitée. Bon, pour ne pas vous mentir, elle ne dormait pas du tout. Comment dormir quand les jeunes recrues vous hurlent dans les oreilles, et que les loques humaines grognent de douleur comme des animaux martyrisés ? Oh pitié, une aspirine, devaient-ils implorer dans leurs geignements pitoyables. Selena aurait plutôt gémi que oh pitié, un somnifère. Histoire de se taper un bon gros somme. Puis les jeunes années commençaient à lui courir sur le système, à piailler comme des dindons en manque de farce. En grognant, elle leva la tête, le regard polaire et électrique, prête à transformer en pâtée pour hippogriffe le premier qui passerait devant elle. Son allure revêche et hostile ne donnait pas envie aux gens de venir lui parler, bah tant mieux d’ailleurs. Au moment où elle allait sèchement rappeler à l’ordre une première année qui rigolait comme une poule, un autre Serpentard cracha son venin en sommant l’impertinent de la fermer, et plus vite que ça. Le fait que les autres Serpentard grognent leur assentiment – et Selena aussi, au passage – calma le jeune sorcier qui, maté, se tut en écarquillant ses yeux gris. Puis les éléments se déchaînèrent. La tempête commença à tomber, mais seulement chez les Serpentard. Non, en fait, une demoiselle renversa un verre sur un type, qui se leva en gueulant. Réaction immédiate d’un pauvre type ayant la gueule de bois qui se leva en beuglant que bon ça suffit maintenant on voudrait décuver tranquille, puis un autre jeune qui commence à rigoler et qui prend immédiatement un sortilège … Ok ça va là, fin du spectacle, tirez le rideau, voilà l’entracte. Attrapant son sac, Selena traversa la pièce et sortit de sa salle commune au milieu des hurlements, puis traça jusqu’au hall pour trouver un coin où elle pourrait dormir tranquille.
« Oh punaise, violent … »
Eh oui Selena. Il fait jour, c’est l’après-midi, il y a du monde ET du soleil ! Ainsi agressée, la jeune sang-pure ferma brutalement les yeux, grogna de nouveau, et arrangea sommairement sa chevelure. Bon, le maquillage c’est fait, toujours en place et jamais il ne coule, la coiffure c’est bon, alors … Le coin tranquille maintenant. Dehors ? Trop de sommeil. Infirmerie ? Pour tomber sur l’autre crétine de Weasley, non merci. Une tour ? Non, trop loin. Elle se résolut à avancer et fonça dans le tas, ne prenant même pas garde à ceux qui lui rentraient dedans, ne cherchant même pas à esquiver les importuns. Eh, on ne peut pas lutter contre le sommeil et regarder où on va ! Remontant dans les étages, elle se résolut à aller demander à l’infirmière un peu de potion vitaminée pour que ça aille mieux. En entrant dans l’infirmerie, elle alla droit vers Victoire, croisant ses doigts dans son dos pour ne pas hurler, et lui demanda posément un petit remontant, avec le sourire chaleureux mais hypocrite qu’elle sert à tout va. Avec un regard assez froid, l’infirmière alla chercher la potion et la lui donna, puis récupéra la fiole vide, et ne prononça pas un mot quand Selena la remercia avant de s’en aller, même pas outrée par ce manque de politesse. Tout le monde savait que Weasley soutenait Potter, de toute manière vu sa famille de vermines … Grinçant des dans à l’idée d’avoir été redevable d’une sale impure, Selena Malefoy redescendit dans les étages, plus guillerette, et repartit vers sa salle commune. Traversant les cachots, elle retourna jusqu’au mur masquant l’entrée de son lieu de vie … Et se retrouva nez à nez avec un septième année qui sortait en râlant.
« Ils se cognent toujours dessus ? » « Oui, maintenant ils utilisent les bouteilles vides pour se les envoyer à la figure en les faisant voler à travers la pièce. » « C’est susceptible, quelqu’un qui a la gueule de bois. » « Ca tu l’as dit. »
Haussant les épaules, Selena repartit en sens inverse, ayant cette fois-ci décidé de poser son sac sur les chaises de la bibliothèque, n’en déplaise à la tarée leur servant de bibliothécaire. Ah ouais, elle ne s’entendait pas du tout avec la bibliothécaire, c’est triste pour une personne qui aime autant les livres ! Hm, en fait elle ne savait pas trop comment son animosité avec la bibliothécaire avait commencé – surtout qu’elle avait l’air bien gentille la bibliothécaire – mais le fait qu’une impure tienne le poste la calmait suffisamment pour qu’elle n’aille pas lui dire ses quatre vérités. En même temps, face à un adulte responsable, c’est un peu interdit. Et le fait que Selena soit une Malefoy empêchait Mlle Collins de lui fermer la porte au nez. Excellent. S’étirant comme un chat, la Serpentard remit rapidement ses habits en ordre, redressa sa cravate, et se dirigea d’un bon pas vers la bibliothèque, qui devait être pleine à cette heure. Pleine, mais surtout silencieuse. Oh oui, un peu de silence dans ce monde de bruit ! Poussant la porte de la bibliothèque, l’héritière Malefoy salua très ironiquement la jolie bibliothécaire d’un hochement de la tête, et se dirigea vers les rayonnages d’histoire de la magie pour attraper un livre sur l’origine des l’animosité entre gobelins et humains, et alla s’asseoir à une table libre pour feuilleter son bouquin et prendre des notes, qui lui serviraient pour son futur devoir, à savoir le complot gobelin pour obtenir à leur tour une baguette magique, complot qui avait d’ailleurs échoué de manière spectaculaire quand … Enfin bref, on s’en fiche, ce ne sont que des détails ! Mordillant le haut de sa plume, elle commença à écrire, de sa belle écriture calligraphiée, et grogna en entendant des premières années rire discrètement derrière elle, quelques tables plus loin. En cas de bruit, prévenir la bibliothécaire. Hm. Aller lui parler et affronter son regard moqueur ? Ah non, très peu pour elle. Refermant son livre, elle se leva, et se mit en quête de trouver une autre table. Et en trouva une, où une jeune Serdaigle était assise. Mirka, fille du ministre de la magie de Biélorussie. Qui était, au passage, une de ses amies. Esquissant un sourire réjoui à l’idée de voir une tête connue et appréciée dans ce lieu voué au calme et au silence, Selena se dirigea droit vers sa camarade, avec un sourire chaleureux, et posa son livre en face d’elle, avant de tirer une chaise et de s’asseoir en silence, ressortant ses affaires de cours pour continuer ses recherches sur les gobelins.
« J’espère que je ne te dérange pas, les jeunes derrière moi pépiaient comme une couvée de poussins, j’ai préféré m’en aller. »
Petit coup d’œil vers la bibliothécaire, qui n’hésiterait pas à lui faire acidement remarquer qu’elle faisait trop de bruit. Elles échangèrent un regard glacial, et après avoir levé la tête par défi, la sang-pure retourna à son livre, lâchant un petit soupir de mépris.
« Elle m’énerve, la bibliothécaire. Ils sont cintrés d’avoir mis une … Une … Une femme comme elle à la tête de la bibliothèque. Ca me révulse. »
Grattant son parchemin avec application sans lever les yeux de son bouquin, Selena restait attentive aux bruits autour d’elle, pour le cas où mademoiselle Collins décidait qu’elle la foutait dehors pour tapage dans ce lieu de calme réservé à l’étude. Relevant très légèrement la tête pour toiser sa camarade de Serdaigle, plus influente qu’elle par bien des points, la Serpentard lui envoya un petit sourire simple, sans hypocrisie ni prétention – essayez donc la flatterie avec une je m’en foutiste ! – et retourna à son étude des gobelins du huitième siècle. Et malgré la grosseur du bouquin, c’était très passionnant. Voilà ce qu’elle aimerait faire, plus tard, devenir historienne de la magie.
« Et sinon, toi, ça va ? On ne s’est pas parlées depuis un petit moment, ce me semble. »
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Sujet: Re: Le silence est la vertu des sots ▬ Mirka. Mer 29 Déc - 11:28
●● Le silence est la vertu des sots
▌With selena bellatrix malefoy and mirka abigaïl vladmirova.
Une beuglante. Pourquoi une beuglante ? Alors là ce n’était pas normal, après tout ce n’était pas la bleue et bronze qui ne voulait pas suivre les idées de son père. Enfin quand on oublie le fait qu’elle ne voulait pas de son fiancé, non pas qu’elle le déteste la brunette, seulement il est vrai qu’elle le hait au moins un tout petit peu. Bon il faut bien avouer, elle ne peut pas se le voir en peinture pour la simple raison que monsieur est persuadé que comme ils sont fiancé, elle est totalement à lui. Mais cela n’est pas au goût de la biélorusse, bien au contraire, elle ne supporte pas être traitée comme un simple objet et tente bien de le faire comprendre, même si cela déplait fort à son père. Mirka ne se mets rarement aux travers du bon vouloir de son géniteur, mais là elle était obligée, elle ne pouvait pas ne pas montrer qu’elle était totalement contre. Mais cette beuglante ne l’avait pas étonnée seulement elle, sa sœur avait été la plus surprise des deux qu’elle ne lui soit pas destinée. Etant donné que la jumelle de l’aiglonne s’attirait bien plus souvent les foudre leur père qu’elle, premièrement par ses idées et sa trop grande gentillesse. Il avait honte de sa fille et ne voulait pas qu’elle fasse pencher l’autre qui elle écoutait bien comme il fallait tout du moins pour l’instant. Le plus étrange cela avait été la réaction des autres, puisque très peu des élèves de Poudlard connaissent la langue russe, un avantage d’ailleurs puisque grâce à cela, la jolie brune était certaine qu’un nombre limité d’élève connaissait la raison de cette lettre. Celui qui avait du rire était cet immonde serpentard qui voulait qu’elle fasse de lui son prince, oh mon dieux, pauvre enfant, elle va être traumatisée avec ce jeune homme à ses trousses.
Un avantage était qu’elle n’avait pas seulement eu qu’une seule lettre provenant de sa famille, puisque ses deux frères lui en avait envoyé une chacun. Ce qui l’avait fait rire, ils n’auraient pas pu s’en parler avant de faire quoi que ce soit néanmoins le fait que les deux jeunes hommes de sa fratrie se plaignaient de l’autre. Le plus jeune protestant sur le fait que l’ainé ne lui laisse rien faire alors que pour le cas contraire c’était l’ancien de la famille qui montrait la gêne que lui procurer le fait de devoir rester toujours sur le dos de leur petit frère. Cela faisait rire la biélorusse tout simplement parce qu’en premier lieu, elle savait parfaitement qu’ils ne s’entendaient pas et ne voyaient pas tous les deux qu’ils ne pouvaient se passer de l’autre. D’autre part, elle se demandait pour quelle raison il lui avait envoyé à elle leurs doléances et non à sa jumelle, enfin Demyan ne l’étonnait pas mais Timofei oui, puisqu’il avait plus de relation avec son autre sœur. D’ailleurs Mirka n’avait pas parler à sa rouge et or préférée depuis longtemps, enfin en privé, elle n’avaient même pas eu le temps de parler de la beuglante que la serdaigle avait reçu. Une chose étrange depuis qu’elles avaient chacune choisi un camp différent, l’aîné des jumelles ressentait qu’elle allait perdre sa sœur, une chose qu’elle ne supporterait pas elle le savait. Si jamais elle devait se battre face à elle, elle était consciente du fait qu’elle renoncerait, elle ne pourrait lui faire du mal. Tout le monde avait beau la croire dure, méchante et tout les adjectifs qui vous plairont elle ne l’était pas forcement et encore moins avec sa sœur, elle était le contraire avec elle d’ailleurs. L’aiglonne ne pouvait se passer de sa sœur, chose que quelques élèves pouvaient comprendre, mais son père ne le comprenait pas non plus. Pour lui le fait que la plus jeune des jumelles ait choisit l’autre camp était un affront que l’aînée n’aurait pas du laisser passer. Saut que Mirka se savait pertinemment incapable d’imposer ses choix à sa sœur, elle pouvait être d’une méchanceté particulière avec n’importe qui, mais avec sa sœur elle ne pouvait l’être. Celle-ci la changeait du tout au tout, elle la rendait si douce au point qu’elle pouvait être gentille avec une personne qu’elle pouvait rabaisser seule si elle avait la présence de sa jumelle. De quoi faire perdre la tête à n’importe qui de voir la bleue et bronze tout gentille.
La jeune femme avait passé une bonne partie de la matinée dans sa chambre afin de pouvoir répondre tranquillement à son père et ses frères. Elle avait arrêté de comptait au bout de la quinzième fois où elle avait recommencé la lettre pour le ministre. Elle avait beau savoir tourner ses phrases à son avantage avec n’importe qui, son père avait toujours été une énigme pour elle, elle n’avait aucune idée de comment faire avec lui. Cette lettre lui paraissait stupide à chaque fois qu’elle la terminait, en même temps comment dire à son père qu’il avait raison sur certains points, mais qu’elle ne voulait pas que celui qui l’avait choisi pour elle, la traite comme un simple objet qui lui appartient. La brune n’était pas sur la même longueur d’onde que son géniteur et savait que lorsqu’elle ne l’était pas elle risquait beaucoup de chose. Il était évident qu’elle avait une trouille atroce de lui, tout le monde avait du le comprendre lorsqu’elle avait reçue cette beuglante. Seulement, elle ne voulait pas le décevoir tout simplement parce qu’elle avait peur de lui, bien au contraire, elle passait cette peur pour montrer quelle était tout autant capable que son frère de faire partie de sa lignée, voire plus que son aîné. Une fois qu’elle avait terminée toutes ses lettres, elle s’était dirigée vers la volière afin de leur envoyer. Les chouettes de ses frères étaient restées attendant le message de retour, elles partirent en direction de Dumstrang où les princes biélorusses apprenaient la magie. Quand à son père, elle envoyé Aden son hiboux, comme çà il saurait parfaitement de laquelle des jumelles la lettre venait, même si il était rare que son autre fille lui écrive.
Une fois tout les problèmes de familles réglés, elle décida de faire un tour vers la bibliothèque, non pas qu’elle ait des devoirs à faire puisqu’ils aient déjà fait. Elle voulait juste lire, cela lui ferait du bien après le stress de cette beuglante du petit déjeuné. Seulement elle ne savait pas encore quoi choisir, mais il n’était pas rare qu’elle prenne le premier livre arrivant dans ses doigts. Finalement elle prit un simple roman qu’elle avait commencé à lire récemment mais qu’elle n’avait pas pu prendre puisqu’elle avait trop de livre empruntés, sale bibliothécaire, depuis quand on était limité. Et surtout elle ? Elle n’avait jamais eu de limite dans ses emprunts de livres, elle prenait ce qu’elle voulait, comme si elle ne les ramenait pas. Donc après avoir pris son roman, l’aiglonne allait essayer de trouver une table le plus au calme possible. Remarque si quelqu’un osait faire du bruit à ses côtés, la pauvre personne passerait certainement un sale quart d’heure. Il n’y avait que certaines personne qui pouvaient s’aventurer à s’approcher de la biélorusse à ce moment là. « J’espère que je ne te dérange pas, les jeunes derrière moi pépiaient comme une couvée de poussins, j’ai préféré m’en aller. » La brune était tellement plongée dans son livre qu’elle n’avait même pas entendu la jeune verte qui venait de rentrer ce qui la fit sourire. « cela peut être mignon des poussins. pense-tu que tu me déranges ? je ne fais rien d’autre que lire. » Une réponse simple et courte pour dire a la jeune Malefoy qu’elle pouvait se mettre ici sans problème, tout du moins pour la brunette, puisque elle savait bien que cela n’allait pas être du goût d’une certaine personne. Étant donné le fait qu’elles parlaient quelque peu beaucoup lorsqu’elles étaient ensemble. « Elle m’énerve, la bibliothécaire. Ils sont cintrés d’avoir mis une … Une … Une femme comme elle à la tête de la bibliothèque. Ca me révulse. » Mirka roulait des yeux, elle n’avait rien de concret contre cette jeune femme alors elle n’avait rien à dire étant elle-même de sang mêlés, elle ne disait pas souvent grand-chose sur les nés moldus puisque sa mère en était une. D’ailleurs cela l’avait toujours étonné de la part de son père, elle n’avait pas compris comment il avait pu en faire sa femme lui qui était tant pro sang pur. Comment il pouvait l’aimer elle ? Elle ne doutait pas qu’il l’avait aimé, même si avant leur rupture ils s’entendaient de moins en moins. Elle n’avait même pas appuyé sa remarque, puisque là elle n’avait rien à dire. « Et sinon, toi, ça va ? On ne s’est pas parlées depuis un petit moment, ce me semble. » Euh … bon là elle ne savait pas trop quoi répondre avec ce qui c’était passé le matin, elle n’était pas vraiment dans son assiette, cependant elle faisait avec. « et bien tu n’étais pas dans la grande salle ce matin. je ne t’ais pas vue à ta table, j’ai reçu une beuglante de mon père, je te dis pas la joie. » Elle souriait faisant mine que ce n’était pas grave, néanmoins elle s’attendait bien au fait qu’elle lui demande plus tard ce qui ce passait. « c’est un malentendu pour mon avenir rien de grave. mais dis moi qu‘elle est la raison pour laquelle tu n‘étais pas dans la grande salle ce matin» Mirka avait dis cela pour éviter toute question, elle n’aimait pas étaler ses affaires familiales au grand jour. La bleue souriait pour la deuxième partie de ma phrase, elle voulais bien savoir ce qu’elle avait pu faire pour ne pas être présente à son humiliation en direct.
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