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 Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT

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MessageSujet: Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT   Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT EmptyVen 30 Aoû - 11:31

La tempête menace et alors vous vous demanderez comment vous avez cru pouvoir vivre la grande vie et laisser vivoter le reste d'entre nous.
TAGADA ♡
Un nouveau jour de fuite. 

Le plus compliqué dans une cavale, ce n'est pas ce que l'on croit. C'est vrai qu'il faut rivaliser d'imagination pour trouver des endroits sûrs, des lieux où l'on peut évoluer sans avoir peur de se faire pincer par les sbires de Lord Voldemort. Mais ça, avec camelote et Sidney ce n'était pas si difficile que ça, tu as la chance d'avoir de bons acolytes. La réelle complication c'est l'ennui. Tu ne peux pas te permettre de te pavaner dans le chemin de Traverse comme tu avais l'habitude de le faire. Trouver de quoi occuper tes journées quand tu ne peux pas mettre le nez dehors sans avoir peur de tomber sur quelqu'un qui en veut à ta vie. 

En temps normal, vous restiez dans des endroits reculés, pour étudier de nouveaux plans, dans l'espoir de retrouver d'autres membres de l'Ordre ou même mettre au point un plan pour faire sortir tes amis d'Azkaban. Ce sont les deux choses qui occupent une grande partie de ton esprit en ce moment, à égale partie avec l'idée de pouvoir communiquer avec ta famille restée à Poudlard.

Seulement, aujourd'hui tu n'as pas envie de t'embrouiller l'esprit avec toutes ces idées qui te donnent l'impression d'être impuissant. Tu as besoin de te changer les idées. C'est une chose importante dans la vie d'un fugitif, réussir à ne pas tourner en bourrique, ne pas devenir fou. Et là, tu sens bien que si tu nelaisses pas un peu tes deux camarades pour aller t'aérer un peu l'esprit loin de tout ça, tu seras bientôt bon pour aller postuler pour les awards de plus barges à St-Mangouste. Tu n'es pas sûr que la camisole te siée à merveille. 

Ce n'est donc sans grands remords que tu laisses Sidney &camelote à leurs activités pour aller te promener. Tu n'as aucune idée d'où aller. Tu dois y réfléchir, tu n'es pas la bienvenuepartout. Alors tu tournes en rond, te promenant d'abord dans les bois, te ressourçant un peu. Ça fait du bien de se retrouver seul de temps en temps ça te permet de te recentrer sur les choses importantes. Tu ne peux t'empêcher de penser à Lily, à Albus et àtous ceux que tu as laissés derrière toi. Ils te manquent, même si tu ne veux pas te l'avouer. Si le décès de ton père t'a bien apprisune chose c'est que la famille est importante, mais comme tout le reste on s'en rend compte quand on ne l'a plus.

Après un long moment à errer comme une âme en peine dans cette forêt, tu as envie de voir un peu de civilisation, ça ne peut pas faire de mal. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire tu te retrouves à Pré-au lard, tu sais que c'est dangereux, mais cet endroit te manque et en journée, il y a beaucoup de monde, tuespères juste passé inaperçu. Tu te feras tout petit. Enfin, c'est ce que tu te disais.

Tu traverses le petit village, passant outre les quelques sbiresvoldemoresques qui se baladent dans les rues avec de faux airs de videur. Tu trouves ça plutôt ridicule, mais bien entendu tu te retiens d'aller leur dire. Pendant ta scolarité tu n'as pas vraiment eu l'occasion de venir ici, il faut dire qu'en tant que fils du survivant, tu n'avais pas vraiment le droit aux privilèges, bien au contraire, mais tu as toujours trouvé le moyen de les prendre par toi-même. 

Ta balade te ramène devant Honeyduke, le magasin de bonbons par excellence. Tu n'as l'intention de rien acheter, mais ça fait tellement longtemps que tu n'as pas eu l'occasion de sentir la douce odeur des sucreries. Ce n'est pas tous les jours que tu as une telle possibilité et tu décides de la saisir en poussant la porte du magasin. Tu humes l'air, un sourire se dessinant sur ton visage, c'est tellement agréable. Seulement, une fois entouré de toutes ses odeurs tu as envie d'y goûter, mais tu ne peux pas te permettre d'aller à la caisse et de payer normalement. Tu risques de te faire prendre et ça serait dommage de finir à Azkaban juste parce que tu voulais t'acheter des dragées surprises. Tu lorgnes sur quelques douceurs qui passent devant ton nez. Des suçacides, des patacitrouilles et autres bombes appétissants. Tu as envie d'y goûter et tu es sûr que camelote serait bien contente si tu lui ramènes quelques chocolats.

Suite à un coup de tête, tu attrapes une poignée de chocogrenouillesdans la poche de ta veste, regardant rapidement autour de toi pour t'assurer que personne ne t'as vu.



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Méryt-Ahmès J. Calloway

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MessageSujet: Re: Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT   Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT EmptyDim 1 Sep - 2:56




James & Méryt

«  Hakuna Matata,
ça veut dire "pas de soucis" ! »


Le ciel était sombre ce jour là. Les nuages rendaient l'air de plus en plus pesant. Ce temps noir te rappelait le monde dans lequel vous viviez en ce moment même. Un monde sombre et triste, où la peur régnait, où la magie noire faisait partie de votre quotidien. Cette magie que tu détestais tant ! Cette magie que tu aimerais voir éradiquer de ce monde. Tu aimerais voir revivre le type de magie dont on entend parler dans les livres ou même dans les films que tu aimais tant regarder avec ton amie Helia. Cette belle magie blanche qui rendait le monde meilleure, plus beau, plus fantastique. Comme tout le monde, tu aimerais que cette magie reviennent, qu'elle soit reine du monde magique à nouveau, comme avant, comme au tout début. Mais tu sais que cela risque d'être dur, long et éprouvant. Tu étais consciente de tout ça, de tous les risques que tu encourrais, mais tu voulais agir. Tu étais prête. Surtout après le spectacle que t'avais offert le Lord dans la Grande Salle de Poudlard. Ils vous avaient tous rassembler, tout Pré-au-lard. Dans l'école de sorcellerie, vous aviez vu des choses terribles. Des choses que tu n'aurais jamais voulu voir et surtout jamais voulu faire. Tu avais été sous l'emprise de l'imperium. Tu avais été contrôlée par le plus grand mage noire de tous les temps.  Tu avais torturée Violette, puis Kenneth. Deux personnes adorables qui n'avaient rien fait de mal, à part croiser son chemin. Surtout Kenneth. Le Lord avait exploré dans ton esprit et découvert qu'un lien fort vous liait, toi, la jeune phénix et lui le jeune Gryffon. Il t'avait obligé à le torturé. Ton Kenneth. Même si tu ne l'avais pas directement torturé. Tu étais passé par l'intermédiaire d'une jeune femme dont tu ne connaissais pas le nom. Mais tu te sentais sâle. Sale d'avoir fait du mal à quelqu'un. A plusieurs personnes même. Ce n'était pas toi. Ce n'était pas dans ton tempérament. Tout ça t'avait révolté. Et tu espérais pouvoir agir très bientôt. Tu espérais que la résistance allait bientôt agir et tu en ferais partit. Oh oui. tu ne resterait pas en retrait. Après tout ce que tu avais vécu, c'était hors de question.Tu te foutais bien de mettre ta vie en péril, du moment que tu pouvais battre cette magie noire. Te mettre en danger n'était pas un problème. Si tu pouvais permettre aux gens que tu aimais d'avoir une meilleure vie, tu le ferais volontiers. Tu étais prête à tout pour ta famille ainsi que pour tes amis. Tu voulais leur bien être plus que tout au monde. C'était ça le plus important pour toi, plus que ton bien être.

Toutes ses pensées t'assaillaient. Tu étais à la fenêtre de la boutique. Il n'y avait pas grand monde à cette heure-ci. La foule arrivait souvent une demi-heure après. Pour l'instant, tout était calme. Trop calme. C'est pour ça que tu t'étais perdu dans tes pensées. Tu avais les yeux dans le vide. Tu ne voyais rien, comme si un brouillard était devant tes yeux. Tout était flou. Tu sortis de ta torpeur quand soudain, tu entendis un bruit sourd dans ton dos. D'un mouvement lent, tu découvris que ta collègue avait fait tomber un bocal de fizwizbiz. Tu te détachas de la fenêtre où tu étais campé depuis un petit moment. Tu te précipitas pour l'aider. Un peu vite peu être car tu ne remarquas pas un Fizwizbiz qui traînait par là et marcha dessus. Malencontreusement, tu glissas. Tu tombas sur les fesses dans un bruit sourd. Tu n'eus pas mal, mais ta collège se précipita vers toi, un air navré sur le visage. Elle pensait surement que c'était de ta faute. D'une certaine manière, ça l'était, mais tu n'étais pas très attentionnée non plus aujourd'hui. C'était ta faute, à toi aussi. « Oh Méryt ! Désolé ! Ça va ? »  Elle t'aida à te relever. Tu la remercias avec un petit sourire, puis tu pris le temps de la rassurer.  « Rien de cassé, c'est le principale. Ne t'inquiète pas. » Tu aidas alors ta collègue. Quelques minutes plus tard, tu te trouvais à la caisse. Tu attendais paisiblement que les clients arrivent. C'était une première pour toi d'être aussi calme. Habituellement tu aurais couru un peu partout entre les rayons de cette boutique, humant les odeurs sucrés de chaque bonbon. Ces bonbons que tu aimais tant, dont tu ne saurais te passer. Mais non aujourd'hui tu n'étais pas aussi guillerette. Du moins pas pour le moment. Tu attendais les clients et peu être que là, tu redeviendrais la gamine éternelle que tu étais tout le temps aux yeux des autres.

Le magasin s'était remplit plus vite que tu ne l'aurais pensé. Honeyduke était plein à craquer maintenant. Tu avais retrouvé ton immense sourire, à ton plus grand plaisir et aussi celui des clients. Il y avait les habitués que tu connaissais à mieux connaître. Tu savais quels bonbons ils prenaient, c'était les même à chaque fois. Tu étais toujours à la caisse, les yeux pétillants. Tu avais oublié les sombres pensées qui t'avaient torturées l'esprit quelques heures auparavant. Pendant que tu servais un jeune garçon, tu remarqua un jeune homme rentré dans le magasin. De là où tu étais, tu ne voyais pas son visage. Tu pouvais seulement apercevoir ses cheveux bruns ébouriffés et son dos un peu voûtés. Tu avais un peu l'impression qu'il ne voulait pas montré son visage ou du moins que les gens ne puissent le scruter. Pourtant tu le vois lever la tête quelques minutes et tu aperçois un sourire. Comme un enfant. Tu trouves ça magique. Tu aimes à penser qu'il sourit comme ça car il se trouve dans ton magasin, entouré de sucrerie en tout genre. Après quelques secondes, ton attention se reporte sur le client qui se trouve à la caisse. Le seul pour le moment. Tous les autres pavanent dans les rayons, choisissant leur bonbons préférés, hésitant à goûter ce nouveau bonbon qui à l'air pourtant appétissant. Toi, tu l'as goûté et tu sais qu'il est drôlement bon ce nouveau bonbon. Après avoir encaissé le petit kilo de bonbons de la jeune fille, tu reportes ton attention sur la foule. Tes yeux sont alors attirés par la touffe brune que tu as observé tout à l'heure. Tu le vois regarder, observer les bonbons, sans oser les toucher, sans prendre un sac pour se servir. Tu ne sais pas pourquoi, mais tu es intriguée car cet homme. Cet homme mystérieux dont tu n'as pas vu le visage. Tu l'observais encore, de loin, quand il mit sa main dans le bocal de chocogrenouilles. Ces mêmes chocogrenouilles se retrouvèrent dans sa poche quelques secondes plus tard. Tes sens étaient alors en alerte. Tu jetas un coup d'oeil à ta collègue pour voir si elle avait aperçut le voleur. Fort heureusement, cette dernière était occupée à renseigner une maman. Tant mieux. Tu savais que ta coéquipière faisait partie des mangemorts et que celle-ci n'aurait pas hésité une seule seconde à dénoncer le jeune homme au mangemort. Mais toi, tu n'étais pas comme ça. Loin de là. Toi, tu étais une gentille. Et vu son air détaché quand il avait plongé sa main dans le bocal, peu être qu'il ne l'avait pas fait exprès. Peu être qu'il était atteint de la même maladie que toi, peu être qu'il était cleptomane. Tu quittas la caisse et t'approcha doucement de lui. Tu ne voulais pas éveiller les soupçons. Arrivé à sa portée, tu saisis le bras du jeune homme. Tu le sentis se raidir. « Chut. » dis-tu doucement. Tu espérais qu'il n'allait pas prendre peur et s'enfuir comme... comme un voleur. La réserve était juste à coté. Tu le tira gentiment vers celle-ci. Tu ouvris la porte en un coup de baguette magique. Cette dernière était plongée dans le noir. Tu passas le jeune homme dont tu ne connaissais pas le nom devant toi. Tu posas ta main sur son dos et guida dans un coin de la réserve pour ne pas être surpris par ta collègue. « Tu es fou de faire ça. » Tu te doutais qu'il allait faire mine de ne rien comprendre, du moins si il avait intentionnellement volé ses bonbons. Sinon, il n'allait pas savoir de quoi tu parlais. Tu repris la baguette magique qui se trouvait dans la poche de ton jean. Tu la mis à la hauteur de ton visage. « Lumos. » murmuras-tu. La baguette magique éclairait seulement ton visage pour le moment. Tu voulais lui montrer que tu étais là pour l'aider, qu'il n'avait aucun raison d'avoir peur de toi. « Si tu étais tombé sur ma collègue, elle t'aurait tout de suite dénoncé aux mangemorts qui patrouillent dans Pré-au-lard. » Tu ne voulais pas lui faire peur. De toute façon, tout le monde avait déjà assez peur de ses mangemorts qui vadrouillaient de ci de là. Tu n'osas pas porter la lumière vers son visage, du moins pas pour le moment. Tu ne voulais pas qu'il prenne peur. Tu essayas de scruter son visage dans l'obscurité. En vain.

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MessageSujet: Re: Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT   Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT EmptyDim 1 Sep - 12:04

La tempête menace et alors vous vous demanderez comment vous avez cru pouvoir vivre la grande vie et laisser vivoter le reste d'entre nous.
TAGADA ♡
Il y a du monde, il n'y a pas de raison pour que quelqu'un te voit, ça serait vraiment un coup de malchance. Bon, d'accord, être un fuyard n'est pas forcément un signe de chance, mais quand même. Il ne faut pas abuser. Tu essayes de garder un air détacher, histoire de ne pas trop attirer l'attention sur toi. Ça fait un long moment que tu n'as pas eu l'occasion de goûter aux bonnes sucreries d'Honeyduke et tu te régales déjà rien qu'à l'idée de pouvoir ragoûter à ça. Camelote risqué de sauter de joie quand elle verra ce que tu lui as ramené et certainement éclaté de rire quand tu lui expliqueras comment tu as réussi à te les procurer. Elle risque même d'être déçue de ne pas être venu avec toi. Bon, tu sais très bien que voler ce n'est pas bien et si ta mère était là elle t'aurait certainement tapé sur les doigts en te faisant les gros yeux. Mais elle n'était pas là et franchement, là, tu avais faim et tu voulais manger du chocolat. Ce n'était pas un crime quand même.

Tu t'apprêtes à sortir du magasin, profitant d'un petit groupe pour te glisser dehors discrètement. Du moins c'est ce que tu avais prévu, jusqu'au moment où tu sens quelqu'un derrière toi. Tu n'as pas le temps de réagir que déjà la personne attrape ton bras. L'espace d'un instant tes yeux s'écarquillent. Les pires scénarios te passent déjà devant les yeux. Tu t'attends au pire. Pourtant un micro souriait reste accroché à tes lèvres. Quelque chose d'ironique. Tu t'imagines la tête de tout le monde s'ils apprennent que tu as réussi à rester en cavale pendant tout ce temps et que finalement tu te sera fait prendre parce que tu as piqué des chocogrenouilles. Pathétique. Tu vois déjà les gros titres des journaux et ça te rend malade. T'aimerais bien attraper ta baguette et jeter un sort à la personne qui ose te tenir le bras, mais il y a trop de monde dans la boutique et tu risquerais d'attirer encore plus l'attention sur toi, surtout que tu ne veux pas tourner la tête pour voir qui est à côté de toi. Tant que tu peux garder l'anonymat, tu préfères la garder, c'est peut-être la seule chose qui te sauve pour le moment.

La personne te demande de te taire et là bizarrement t'aimerais bien répondre quelque chose, mais ton bon sens te fait taire, tu avances, te demandant bien où est-ce que l'on t'emmène. Tu gardes un air plus ou moins détaché pour ne pas attirer l'attention davantage, la tête toujours un peu baissée, histoire qu'une mère de famille ne te reconnaisse pas en passant à côté de moi. Tu finis par entrer dans la réserve. Bizarre, un mange mort ne t'aurait pas attiré là, tu as peut-être une chance de t'en sortir finalement. Tu es bien content que la lumière reste éteinte.

Quand l'inconnu parles, tu te rend comptes que c'est une femme. Un numéro de charme pourrait te permettre de sortir de là sans trop de casse. Encore faut-il qu''elle soit sensible à ton charme et dans le noir, ce n'est pas facile de lui faire les yeux doux. Elle te dit que tu es fou. Elle n'a pas tort. Il faut être totalement taré pour risquer sa liberté pour une poignée de grenouilles en chocolat. Il faut être fou aussi pour essayer de fuir tout les mange morts du pays, alors que toute ta famille est recherchée. Il faut être fou pour imaginer pouvoir rentrer dans Azkaban pour faire sortir Teddy, Victoire et tous ceux qui sont enfermés là-bas pour leurs idéaux. Oui, c'est définitif, tu es définitivement fou à lier. Pourtant, tu optes pour l'innocence. Tu ouvres de grands yeux, même si tu doutes qu'elle puisse voir quelque chose dans cette obscurité.

« Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. »

C'était simple, mais tu t'es efforcé d'être le plus naturel possible. Il n'y a pas de raison qu'elle ne te croit pas. En tout cas, elle n'a pas l'air vraiment hostile. C'est déjà un bon début. Un réflexe te pousses à faire un pas en arrière lorsque tu entends son lumos. Tu ne veux décidément pas qu'elle voie ton visage et tu penses que c'est pour ça qu'elle a allumé sa baguette. Cependant, ce n'est pas ton visage qu'elle éclaire, mais le sien. Tu lèves un sourcil, ne comprenant pas ce qu'elle veut faire. Finalement c'est son visage que tu vois se dessiner sous la lumière blanche de sa baguette magique. Tu prends un instant pour la détailler, sans trop même y réfléchir. Une habitude. Elle n'a vraiment pas l'air méchante, bien au contraire, un air doux est posé sur son visage. Pourtant elle t'a quand même ramené ici. Ce n'est pas le moment de baiser la garde, on ne sait jamais. Les mange morts aussi savent bien cacher leur jeu.

La jeune femme t'explique que si c'était sa collègue qui t'avait pris la main dans le sac, ou plutôt dans le bocal cette fois-ci, elle t'aurait immédiatement dénoncé aux encapuchonnés. Ça te fait grimacer. Ces mecs te dégoûtent et tu n'as absolument pas envie de tomber entre leurs mains. Tu es peut-être fou, mais tu tiens à la vie quand même. Tu scrutes son visage, dans l'espoir d'y voir une réponse. A-t-elle l'intention de te dénoncer aussi ? C'est peut-être pour ça qu'elle t'a ramené dans cette pièce exiguë. Tu n'as aucun moyen de t'échapper. Il ne serait pas difficile pour elle, de t'enfermer ici et d'appeler un mangemort qui doit se balader dans la rue en attendant de pouvoir martyriser quelqu'un. Il se ferait un plaisir de te torturer un petit peu avant de te ramener à Azkaban.

« Et vous avez l'intention de le faire ? »

Tu dis ça sans trop y réfléchir. Si elle te dit oui, au moins tu seras fixé. Et tu n'auras plus qu'a trouvé un plan pour sortir le temps qu'elle aille chercher ton bourreau. Ton cerveau y travaille déjà. Ça t'apprendra à aller te balader dans Pré-au lard, la prochaine fois tu te contenteras de Londres. Oui, parce que tu n'as pas l'intention de te faire attraper. Tu restes toujours en retrait. Tant que tu ne sais pas si elle a l'intention de te dénoncer ou pas, tu ne veux pas qu'elle voie ton visage. Tu restes donc tapis dans l'ombre prête à bondir sur la première occasion de t'enfuir. Tu te donnes l'impression d'être un fauve, prêt à sauter sur ta proie et à lui arracher la jugulaire. Bon, là tu vas éviter quand même, parce que'voir du sang sur ta veste ce n'est peut-être pas le meilleur moyen de passer inaperçu.



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Méryt-Ahmès J. Calloway

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MessageSujet: Re: Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT   Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT EmptyVen 6 Sep - 22:25




James & Méryt

«  Hakuna Matata,
ça veut dire "pas de soucis" ! »



Voir tous ses gens te donnaient le sourire. Savoir que ton travail pouvait procurer du bonheur te rendait plus qu'heureuse. Enfin ce n'était pas réellement ton travail qui les rendait heureux, mais plutôt la tonne de friandises que tu gardais rien que pour eux, pour leurs beaux yeux, pour leur petit ventre. Donc indirectement, tu les rendais heureux. Et toi, ça te plaisait. Mais quand tu vis ce jeune homme pioché dans le bocal et mettre le contenue de ce qu'il avait dans la main dans sa poche. Tu paniquas. Les bonbons étaient trop chers ? Non, vous étiez moins chers que ces magasins moldus. Tu te souvenais, enfant, dépenser tout ton argent de poche dans ses magasin. Et encore tu n'avais pas beaucoup de bonbons. Tu trouvais ça triste. Tout enfant devrait pouvoir au moins avoir un bon kilo avec quelques gallions ou livres pour les moldus. C'était la "nourriture" la plus extraordinaire du monde. C'est pour ça que les prix n'étaient pas excessif à Honeyducke. C'est vrai que c'était encore un peu cher, mias vous ne pouviez trop baisser non plus. Des fois, ils étaient vrais que tu avais rajouté quelques bonbons dans un sachet, gratuitement. Par gentillesse. Tu étais gentille, trop gentille peu être. Enfin pas tout le temps, quand il le fallait tu savais te faire respecter. Tu fus donc légèrement attrister de voir que l'homme était à ce point désespérer pour voler. Enfin si il l'avait fait intentionnellement. Toi, tu le faisais aussi des fois, sans t'en rendre compte. Tu volais un peu de tout, mais surtout des bijoux. Tu ne sais pas pourquoi, mais c'était surtout ces objets qui t'attiraient. Irrévocablement, tu ne pouvais t'empêcher de les voler. Le pire, c'était que la plupart du temps, tu ne te rendais pas compte de ce que tu faisais. Peu être que c'était pareil pour ce jeune homme. Soudain tu pris peur. Enfin tu avais peur pour lui. Peur que ta collègue l'est vu aussi. Peur qu'elle le dénonce. Peur qu'il lui arrive quelque chose de mauvais alors qu'il ne l'était peu être pas lui même. Toi, tu voulais lui laisser sa chance. Tu étais certaine qu'il n'était pas mauvais. Que si il l'avait fait intentionnellement, c'était parce qu'il avait une bonne raison. Une très très bonne raison.

C'est pourquoi, quelques minutes plus tard, tu le saisis par le bras. Tu ne voyais toujours pas son visage, mais à son attitude, tu devinais son désarrois. Il se croyait surement perdu, que les mangemorts lui étaient tombé dessus. Avant qu'il n'est pu réagir, et profitant de l’effet "de surprise", tu le guidas vers la porte qui se trouvait non loin. La réserve. L'endroit idéal. Personne ne vous verrais ici. De plus, ta collègue y allait très peu quand il y avait autant de monde. Tu espérais juste qu'il ne ferait pas de scandale avant que vous n'atteigniez le but que tu t'étais fixé. Il t'arriverait quelque chose aussi sinon. Vouloir cacher un voleur à la sécurité. Tu irais peu être à Azkaban non ? Tu essayas de chasser cette horrible idée de ta tête. Tu peux accepter tout pour faire avancer la résistance, mais peu être pas ça. Pas cette prison. Non, non. Tu prias donc Merlin pour ne pas qu'il crie au loup. Tu fais tout ton possible pour ne pas attirer l'attention. Tu vois que le jeune homme fait pareil. Et tu en es heureuse. Tu lui en ais même reconnaissante. Une fois la porte fermée, tu lui adresses la parole. Tes premières paroles ne sont pas des plus chaleureuses, mais tu ne te voyais pas commencer autrement cette... "entrevue". Tu entends alors, pour la première fois, la voix du voleur. « Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. » Tu étais un peu sceptique. Tu pris un long moment de réflexion. Tu ne répondis pas tout de suite. Tu ne savais pas si tu devais le croire ou non. Tu n'étais pas naïve, tu savais que les gens étaient loin d'être tous bons comme Kenneth, Pan, Helia ou Tobias. Mais tu avais toujours cette lueur d'espoir que les gens le deviennent. Que tout notre monde le deviennent. Tu essayas de lire ses traits dans la pénombre, mais c'était peine perdu. Le noir était trop sombre, trop épais. Tu abandonnas vite. Tu décides alors d'allumer ta baguette. Pas pour le voir, du moins pas tout de suite. Tu veux lui montrer ton visage. De cette manière, tu veux lui montrer que tu es de son coté et que tu ne le veux pas de mal. Tu espère que de cette manière le jeune homme aura plus confiance et n'essayera pas de te duper. Tu as beau être intelligente, tu n'arrives pas à voir quand quelqu'un te dupe. A part quand tu connais un minimum la personne et son comportement. Mais là, tu ne connais rien du jeune homme qui se tient dans cette pièce avec toi. Strictement rien.

Quand tu mets la lumière sous ton visage, tu sens ses yeux te scruter, te détailler. Comme si il essayait de voir au fond de toi. Du moins tu as cette impression. Il devait surement essayer de voir si il devait avoir confiance en toi, l'inconnue qui l'avait enfermé dans cette pièce sombre remplit de sucrerie où personne ne risquerait de vous voir ou vous entendre. Tu reprends alors la parole. Lui parlant de ta chère collègue qui elle n'aurait pas hésiter une seconde à le dénoncer dès qu'elle aurait découvert le petit manège du jeune homme. Maintenant, tu risquais le même sort.Tu en étais consciente. Tu risquait de te faire prendre pour sauver un inconnu, mais c'était plus fort que toi. Tu voulais le sauver, le protéger. C'était dans ta nature. Tu ne pouvais pas changer. Le silence pris alors place. Tu aurais bien envie de pencher ta baguette magique vers l'homme qui se tient devant toi pour découvrir son visage, mais tu te retiens. Il se montrera quand il en aura envie. Du moins, avant que ta curiosité ne prenne le dessus. Tu respiras doucement. Tu ne t'étais pas rendu compte, mais ton coeur s'était emballé et tu respirais vite. Tout ça parce que tu prenais des risques. Tu entendis alors une nouvelle fois sa voix. «  Et vous avez l'intention de le faire ? » Il avouait donc en partie son crime. Il l'avait fait tout seul, sans que tu ai besoin de l'y forcer encore et encore. C'était un bon point d'une certaine manière. Peu être que cela prouvait qu'il commençait à te faire un minimum confiance. C'est alors que tu assimilas toute la question, tous ses sens. Il croyait que tu faisais partie des mangemorts ? Que tu étais une adepte de la magie noire ? Tu faillis t'étrangler à cette pensée. Toi dans les ordres des encapuchonnés noirs ? Jamais de la vie. Mais à l'agonie, tu ne les rejoindrais jamais.

Tu fronças les sourcils. Il fallait que tu répondes rapidement. Ce que tu faisais toujours. Tu parlais toujours sans réfléchir. La bavarde en toi allait ressortir d'ici peu. « Tu avoues donc... » Tu te rapprochas de lui. Tu baissas ta baguette. Tu n'éclairas que ses jambes. Tu pouvais voir une bosse dans la poche de sa veste. Tu n'avais pas eu d'hallucination. Il avait bien volé. Les bonbons se trouvaient bien dans sa poche. Tu te rapprochas encore un peu. Tu tendis la main et la mit dans la poche de sa veste. Tu sortis une chocogrenouille. « Des chocogrenouilles. Tu aurais pu prendre des bonbons moins gros, qui se remarquent moins dans ta poche non ? » un sourire apparaît sur ton visage. Tu essayais de le détendre. De lui montrer que tu ne lui en voulais pas, mais que tu craignais pour sa sécurité même si tu ne le connaissais pas. Tu t'éloignas un peu. Tu ne voulais pas le mette mal à l'aise non plus. Il ne fallait pas qu'il croit maintenant que tu allais lui sauter dessus dans cette remise, dans le noir. Ce n'était pas ton style. Du tout. Tu fis donc deux trois pas en arrière. Tu avais toujours la chocogrenouille dans les mains. Puis sur un coup de tête, tu la coupes en deux. Les deux parts ne sont pas équitables. Tu tends au jeune homme le plus gros morceau. Il a l'air d'hésiter, mais le prend finalement. Un nouveau sourire naît sur tes lèvres. En repensant à ses paroles, tu remarques qu'il t'a vouvoyé. Soudain tu prends un coup de vieux. « On se tutoie, ça te dit ? Non parce que j'ai l'impression d 'être vieille sinon... » Tu te mordis l'intérieur de la bouche. Il allait te prendre pour quelqu'un de bizarre. Première rencontre, ça fait à peine dix minutes et tu lui proposes de te tutoyer. En même temps, toi tu l'as bien fait quand tu lui parlais. Tu pouvais bien lui proposer de faire pareil non ? Au pire des cas, il refuserait. Tu te sentirais bête et tu t'obligerais à lui dire "vous" toi aussi. Même si tu n'aimais pas particulièrement ça. Mais tu te forcerais, tant pis. « Et non, je n'ai pas l'intention de te dénoncer. Sinon je l'aurais déjà fait. » Tu rigolas. Un petit rire cristallin. Pour toi, ta réaction n'avait rien de bizarre. Tu réagissais souvent de cette manière. C'était dans ta nature. « Mais pourquoi voler ? Tu aurais pu venir me voir, je t'aurais fait un prix ou autre. Je me serais arranger. A moins que tu n'ais pas fait exprès de voler ? Je connais la cleptomanie, tu sais... Je comprendrais, si c'est ça. » Et tu comprendrais plus que bien. Tu n'aimais pas cette partie de toi. Ta cleptomanie. C'est ce que tu détestait le plus chez toi, car le plus souvent tu volais les personnes auxquelles tu tenais le plus. Ça te rendait triste. Très triste. Mais tu ne voulais pas que les autres s’apitoient sur ton sort, qu'ils sachent ta "maladie", alors peu le savait, mais quelque fois tu te faisais prendre la main dans le sac. Comme ce jeune homme.
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MessageSujet: Re: Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT   Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT EmptyMar 10 Sep - 6:54

La tempête menace et alors vous vous demanderez comment vous avez cru pouvoir vivre la grande vie et laisser vivoter le reste d'entre nous.
TAGADA ♡
Elle avait l'air trop gentille pour être sincère, c'est l'idée que tu t'es fait en voyant son petit sourire sur son visage grâce à la lueur de sa baguette. La gentillesse et la bienveillance avaient disparues de ce pays quand Voldemort avait prit le pouvoir. C’était triste à dire, mais tu savais que tu avais raison, c'est l'une des raisons pour laquelle tu te planques comme un pariât. Voldemorve et ses sbires avaient réussis à corrompre l'esprit de tes contemporains. La délation est devenu chose commune. Alors rien que pour ça tu reste méfiant. Tu n'as pas vraiment le droit de baisser la garde, non seulement pour toi, mais aussi pour tout ceux qui compte sur toi. Lily serait déçue de savoir que tu t'es fait prendre juste parce que tu as fondu devant un joli petit sourire d'une vendeuse de sucreries.

La voilà qui se met à  parler de dénonciation, ce qui assure ta théorie. Elle te fait croire que c'est elle la gentille, contrairement à sa collègue pour t'endormir et une fois que tu lui aura tendu les bras en bon bisounours, un encapuchonné te tombera sur le coin du nez – avantage que tu as sur Voldemort d'ailleurs – Vigilance constante te disait ton père, qui tenait ce mantra d'un vieil auror. Ça t'as déjà sauvé la vie à plusieurs reprises alors pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Tu lui poses clairement la question. Tu as un avantage sur elle – non pas le nez cette fois – tu peux voir son visage, tu peux donc lire sur ses traits et savoir si elle te ment.

Seulement, elle préfère t'accuser directement plutôt que de répondre à ta question. Avouer ? Toi ? Et puis quoi encore. Tu ne fais que reprendre ce qu'elle a dit

« C'est vous qui parlez de dénonciation, j'en conclus donc que vous avez quelque chose à me reprocher. » réponds-tu de la façon la plus naturelle du monde.

Tu n'es pas un débutant dans le mensonge, ça ne te poses donc aucun problème de l'embrouiller. Elle reprend la parole, essayant d'être drôle, du moins c'est l'impression que ça te donnais. Tu hausses les épaules, que ce soit ça ou autre chose ça revient au même. Tu continues de la jauger, restant bien dans l'obscurité, tant que tu n'es pas sûr de la personne qui est en face de toi il est hors de questions que tu dévoile ton identité. Tu te raidis légèrement quand elle s'approche et que tu vois sa main se glisser dans sa poche, tu dois te retenir pour ne pas dégainer ta baguette à ce moment-là. Tu te dis que ça ferait trop de bruit si tu décidais de t'échapper maintenant. Tu devais attendre, alors tu te contente de répondre.

« J'aime bien les grenouilles. »

C'est bête comme remarque, mais des fois tes réponses ne sont pas forcément compréhensible, mais tu le vis plutôt bien, puis bon, peut-être qu'elle chercherait un code là-dedans ou quelque chose du même genre, ce qui te laisserais du temps pour réfléchir à un moyen de te sortir de là sans risquer de te retrouver à partager une cellule avec Ted à Azkaban. Tu es bien content de la voir se reculer. Ce n'est pas le temps de faire des galipettes dans la remise, tu as des choses plus importantes à faire... bon c'est peut-être ta dernière chance d'en faire avant Azkaban, ouais, parce que les détraqueurs ce n'est pas vraiment ton truc... beurk. Tu grimaces légèrement à cette idée, mais elle n'a sûrement rien vu, étant donné que ton visage est toujours plongé dans l'obscurité. Tu lève un sourcil quand tu vois qu'elle coupe un chocogrenouille. Qu'est-ce qui lui arrive ? Elle te le tends. Tu mets un moment à l'observer avant de le prendre, après tout, il ne pouvait pas être empoisonner, puisqu'il était dans ta poche cinq secondes auparavant. Oula elle va vite la demoiselle, à peine partagez vous une chocogrenouille qu'elle veut déjà que tu la tutoie. Ça te fais sourire, mais tu ne réponds pas, tu préfère hausser les épaules à nouveau. Si elle veut être tutoyer, elle le sera, ça ne change pas grand chose pour toi.

Finalement, elle décide de répondre à ta question, celle au sujet de la dénonciation. Elle t'assure qu'elle ne le fera pas. Tu ne sais toujours pas si tu peux lui faire confiance ou pas, elle à l'air sympathique, mais tu es bien placé pour savoir que parfois les apparences sont trompeuses. Tu réfléchis un instant avant de reprendre la parole.

« Qu'est-ce qui me prouve que tu ne le feras pas ? »

Pourquoi se mettait-elle à rire, comme ça, sans raison ? Maintenant, elle te demande pourquoi tu voles, tu te vois mal lui dire que c'est parce que tu es en cavale et que tu n'as pas pensé à prendre tes gallions avant de te mettre à courir dans la forêt la dernière fois. Elle te parle de cleptomanie et l'espace d'un instant, tu te demandes si tu ne pourrais pas jouer avec ça. Après tout elle ne te connaît pas et tu pourrais très bien être cleptomane. Cependant, tu oublies vite l'idée, apparemment elle connaît bien le problème et tu n'en sais pas assez sur ce problème pour en jouer. Puis si elle s'aperçoit que tu te paie sa tête, ça risque de la mettre de mauvaise humeur et ce n'est pas ce que tu cherches. Il te faut quand même trouvé une excuse.

« Je ne sais pas, elles m'appelaient, je n'ai pas pu résister. » dis-tu avec un petit rictus gêné.

Ce n'est pas un mensonge, tu as vraiment été pris d'une pulsion, ensuite elle peut prendre ce que tu as dis comme elle le veut, ce n'est plus ton problème. D'ailleurs tu croques dans le morceau qu'elle t'a donné, le chocolat fondant dans ta bouche, c'est vraiment une sensation énorme et ça devrait être interdit de priver un être humain de ce genre de choses.




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Méryt-Ahmès J. Calloway

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MessageSujet: Re: Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT   Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT EmptyJeu 3 Oct - 22:03




James & Méryt

«  Hakuna Matata,
ça veut dire "pas de soucis" ! »


Tu ne sais pas ce qui t'as pris. Pourquoi tu t'es enfermée dans cette réserver avec cet inconnu qui avait volé des chocogrenouilles, mais tu l'avais fait. Tu ne pouvais revenir en arrière. Et puis d'un certain coté, tu voulais l'aider. Tu ne voulais pas qu'il se fasse prendre. Ce n'était pas ton but. Il n'avait pas l'air bien méchant. De toute façon pour toi, personne n'était méchant du moment qu'il ne portait pas la marque des ténèbres. Mais comment pouvais-tu savoir que lui ne la portait pas ? Il ne t'avait pas montré son poignée. Peu être que c'était un mangemort ? Et peu être que c'était lui qui t'avait tendu un piège ? Qui sait. Ce jeune homme pouvait très bien faire partie de ces adeptes de la magie noire, habillé en civil, pour évaluer la fidélité des commerçants envers le Lord. Peu être que tu étais tombée dans le piège après tout ? En voulant aider un malheureux, tu allais peu être te faire avoir. Avec son allure de clochard, tu t'étais peu être laisser berner. Avec la lueur de ta baguette, tu essayas de le distinguer. Non il n'avait pas une allure de mangemort. Il n'avait pas l'air bien méchant. Mais il ne fallait pas que se fier aux apparences. Elles étaient parfois trompeuses et toi, tu te faisais avoir quelques fois. Mais si il fallait se méfier de tout le monde, tu n'avais pas fini. Au pire, tu finirais à Azkaban. Oui au pire. Mais qu'est ce que tu racontes ! C'était horrible, de là tu ne pourrais rien faire. Rien du tout même. Tu ne pourrais aider personne de là bas, pas ce malheureux, ni ta famille, ni même tes amis. Tu ne pourrais rien du tout pour personne. Ton attention revint vers le jeune homme quand il prit une nouvelle fois la parole. « C'est vous qui parlez de dénonciation, j'en conclus donc que vous avez quelque chose à me reprocher.  » hum bien oui, c'était bien pour ça que vous étiez ici. Tu lui reprochais d'avoir essayer de voler, même inconsciemment, ces bonbons. Tu essayas de le regarder malgré le noir. Tu aurais voulu tendre ta baguette magique vers lui, distinguer ses traits, son visage. Mais tu ne pouvais pas, du moins pas tout de suite. Il fallait que tu attendes. « Reprocher... C'est pour ça qu'on est là oui. Mais peu être pas reprocher. Je veux juste qu'on s'explique. » Après quoi tu décidas de le dérider. Enfin tu essayas. Seul ton rire remplit la pièce, cette réserve. Il semblait difficile à convaincre. Il n'allait pas croire facilement que tu ne faisais pas partit du clan adverse. Tu allais essayer de lui faire prendre confiance petit à petit. Mais tu n'allais pas y aller trop doucement non plus. Vous n'aviez pas toute la journée. Ta collègue ne devait pas se rendre compte de ton absence. Du moins, cette absence ne devait pas être trop longue. Tu pouvais prétexter que tu t'étais sentie mal et que tu avais eu besoin de te reposer. Ça pouvait passer. Tu  te penchas vers lui et portas ta main à sa poche pour voir ce qu'il avait voler. Tu y découvris des chocogrenouilles. Le type de bonbons qui ne passait pas inaperçue Tu le lui fis remarquer. De toute façon, tu n'avais pas ta langue dans ta poche.« J'aime bien les grenouilles. » Tu affichas un sourire. Réponse simple, clair et efficace. Et il avait bien raison, les chocogrenouilles c'était ce qu'il y avait de meilleur. « Ce sont mes bonbons préférés aussi. » dis-tu tranquillement. Tu en profitas pour te reculer. Il ne fallait pas qu'il prenne peur, qu'il se fasse des films. Ce n'était pas le moment qu'il s'échappe, qu'il prenne ses jambes à son cou. Tu observas la chocogrenouille que tu tenais entre les mains. Tu décidas de la couper en deux et tu lui tendis le plus gros morceau. Il en avait plus besoin que toi. Après tout, c'est bien pour ça qu'il avait volé non ? Parce qu'il était dans le besoin ? Enfin, c'est pour ça que les gens volaient normalement. Enfin ceux qui volaient.  

Tu lui assuras que tu ne le dénoncerais Ce n'était pas dans tes habitudes et tu n'allais pas changer maintenant. Il prit quelques instants avant de répondre. Il semblait réfléchir à tes paroles. Il reprit la parole : « Qu'est-ce qui me prouve que tu ne le feras pas ?  » Bonne question. Tu ne savais pas quoi répondre à tout ça. Il t'en avais collé une. Toi qui savais toujours quoi à répondre, qui trouvais souvent une réplique. Tu étais sur le cul. Enfin non, tu n'était pas tombée sur les fesses à proprement parlé, mais tu mis du temps à trouver quoi répondre. Tu eus un temps de réflexion un peu long. Comment pouvais-tu lui prouver que tu étais digne de confiance et que tu n'allais pas l'envoyer dans le premier regroupement de mangemorts venus. « Comment tu veux que je te le prouve ? Je t'offre ses chocogrenouilles et je te laisse filer par la porte arrière et tu n'entends plus jamais parler de moi ? » C'était peu être la solution en effet. Il partait, tu ne le reverrais plus. Tu te porterais peu être très bien comme ça et lui aussi par la même occasion. Tu l'imaginas regarder partout autour de lui, cherchant cette porte dont tu lui avais parlé. « Si tu cherches la porte, tu ne la trouveras pas. Seuls les commerçants de la boutique savent où elle est. Je t'y conduirais. » C'était bien une preuve de loyauté non ? Tu lui promettais de l'aider à sortir sans se faire remarquer. Si ça ne lui suffisait pas, tu ne savais plus quoi faire par la barbe de merlin ! « Tu sais, on est dans le même bateau. Si tu te fais prendre, je me fais prendre aussi. Je ne t'ai pas conduis à eux directement. Au contraire, je t'ai caché. J'irais moi aussi à Azkhaban.  » Ouah Méryt, tu avais un don pour rassurer les gens dis donc. C'était fou, du grand art, du grand Méryt tout ça. Mais tu disais la vérité. Tu transgressais les lois toi aussi en ce moment présent. Le Lord voulait que tous les voleurs se fassent prendre. Manquerait plus que ce voleur soit en fuite et qu'on le recherche dans tout le pays. Tu rigolas intérieurement à cette pensée. C'est alors que tu réalisas que si c'était exact et que tu protégeais un fugitive et que tu te faisais prendre, tu allais prendre cher. Très cher. Plus que quelques années à Azkhaban, ma fille. Mais tu décides de ne pas le questionner là-dessus, pas tout de suite du moins. Plus tard peu être. « Je ne sais pas, elles m'appelaient, je n'ai pas pu résister.  » On aurait dit les paroles d'un gamin. Tu souris à cette image. Elle contrastait avec l'homme que tu t'imaginais derrière ce mur noir qui t'empêchait de voir son visage. Tout le monde avait une part enfantine en lui et ça te rappelait que tu pouvais ne pas être la seule à encore à voir cette partie enfantine en toi. Même si toi, cette part enfantine était quasi omniprésente. Mais tu le vivais bien, c'était toi. Ça t'allais bien. Tu n'allais pas te changer. Et dans ce monde remplit de noirceur, il fallait bien quelques personnes pour lui donner quelques éclats de pureté. « Bon c'est pardonné. Je connais les pouvoirs que peuvent avoir les bonbons sur les gens. Je dois vivre tous les jours avec l'envie irrésistible de tous les manger. » dis-tu avec un petit rire. C'est vrai tu connaissais plutôt bien cette sensation. Tu la vivait presque tous les jours et tu devais te faire violence pour ne pas manger les bonbons et vider toute la boutique de ses sucreries. Tu serais déjà morte étouffée si tu l'avais fait. Tu redevins sérieuse. « Dis, pourquoi tu te caches comme ça ? Tu es un phénix ? Un phénix en mission ? » Tu espérais qu'il n'était pas un mangemort, sinon tu allais prendre cher, très cher. La vérité était un vilain défaut tout de même.
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MessageSujet: Re: Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT   Haribo c'est beau la vie ▲ JAMIT EmptySam 8 Fév - 23:12

La tempête menace et alors vous vous demanderez comment vous avez cru pouvoir vivre la grande vie et laisser vivoter le reste d'entre nous.
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Parfois tu as vraiment des idées étranges, mais tu n'y peut rien, tu agis trop souvent sans peser le pour et le contre. Pourtant, tu sais très bien que tu devrais, dans ta situation tu devrais éviter de prendre le moindre risque. À la limite, si tu étais sain d'esprit tu te serais enfermé dans un endroit clos et tu aurais attendu que les choses se tassent. Mais c'est bien connu, les Potter sont loin d'être sain d'esprit et tu ne déroges pas à la règle. Déjà ton grand-père était un grand malade, amoureux d'une rousse – ouais, parce que vous avez vraiment quelque chose avec les rousses, ce n'est pas pour rien que les Potter sont aussi proches des Weasley – toi t'es aussi barge que tout le reste de ta famille. Ce que tu viens de faire le prouver. Voler un pauvre chocogrenouille alors que tu es en cavale. N'importe quoi. Franchement, tu aurais l'air bien fin si la femme qui se trouvait devant toi et qui t'avais prit la main dans le sac décidait de te livrer aux encapuchonnés. Comment tu expliquerais à Victoire que t'es venu lui tenir compagnie parce que t'avais envie de chocolat. Imbécile de Potter. La femme qui se dresse devant toi n'a pas l'air méchante, toutefois, tu as appris à te méfier des inconnus, les mangemorts sont habiles et ils savent manipuler les apparences, les fourbes. De toute façon, quoiqu'il arrive t'es pris au piège, là dans cette réserve tu ne peux pas fuir, l'air de rien, si tu voulais sortir de là contre son gré tu allais devoir faire du grabuge et hors de questions d'attirer un peu plus l'attention sur toi. Elle se recule alors qu'elle t'avoue que les chocogrenouilles étaient aussi ses bonbons préférés. Ça te fais une belle jambe, mais tu ne vas pas lui sortir ça comme ça, tu te contente de lui adresser une sorte de petit sourire, même si t'es presque sûr que dans la pénombre elle ne pourra pas le voir. Tant pis, c'est le geste qui compte.

Tu es méfiant, normal dans ta situation. Tu ne peux décemment pas lui faire confiance aveuglément, il en va de ta liberté et de celle de tes compagnons. Parce que tu ne devais pas oublier que tu n'était pas seul dans cette histoire, si tu te fais prendre, comment pourras-tu protéger le secret de tes amis ? Elle te propose de te laisser passer par derrière pour partir plus vite, en gage de sa bonne foi. Tu réfléchis, c'est peut-être un piège, peut-être que des mangemorts t'attendent déjà derrière cette dite porte et qu'ils n'espèrent qu'une chose, que t'en sorte le sourire aux  lèvres. Elle t'expliques que c'est une porte caché. Un peu louche quand même. Tu arques un sourcil, pesant toujours cette idée dans ton esprit. Ça t'apprendra à revenir ici. Alors que tu allais rétorqué elle déclare quelque chose qui n'est pas tout à fait faux. Elle te dis qu'elle aussi est dans la mouise si elle se fait découvrir en présence d'un fugitif. C'est vrai que ta compagnie n'est plus trop recherchée ces derniers temps, ta belle gueule ne suffit plus à faire oublier la dangerosité de ta situation. Il n'y a que Juyne qui est prête à prendre le risque et elle est encore à Poudlard, alors tu te sens un peu seul parfois. « Sauf si vous êtes de mèches avec les mangemorts, là vous risquez d'avoir un joli cadeau. » quoique t'es pas sûr que les mangemorts traitent bien les collabo.  Quoique, tu n'es pas sûr qu'ils traitent qui que ce soit bien d'une certaine façon. Bon, il y a peut-être un peu de mauvaise foi dans ce que tu avances. Ton ego a prit un coup de s'être fait prendre comme ça aussi bêtement.

La brune a l'air de vraiment tout faire pour essayer de te mettre à l'aise, c'en était presque touchant. À croire que la proximité de cette petite pièce crée des liens, puisque tu pouvais presque commencer à croire ce qu'elle te racontait. Puis bon, les bonbons ç a a toujours été une sorte de point faible chez toi, un vrai gosse. Et puis quand t'es privé de tout en exil les choses les plus insignifiantes en temps normal deviennent presque vital. Les bonbons en font parti. Le sucre c'est bon pour se remettre d'une semaine de cavale. Elle te comprend, c'est vrai que ça ne doit pas être simple de résister à l'appel des sucreries toute la journée, toi t'en serais incapable. Cependant tu ne lui fais pas de compliments sur sa volonté, non ça serait trop facile et tu n'es pas encore certain de pouvoir lui faire confiance. Tu reviens sur tes gardes quand elle te demande la raison pour laquelle tu te caches de la sorte. Comme si elle ne savait pas. Tu as tellement l'habitude de voir ton visage placardé au mur que tu ne peux pas imaginé qu'un seul sorcier anglais ne reconnaisse pas ton visage. D'ailleurs, la photo qu'ils ont prise de toi n'est pas mal du tout, au moins on te voit partout sous un bon jour, c'est déjà ça de prit, même si finalement tu préférais ne pas voir ta tronche affichait un peu partout. Tu as ta pudeur quand même, allons. À cette idée un petit sourire en coin se dessine sur ton visage. Sourire que tu perds vite quand tu entends le mot « Phénix » comment était-elle au courant de ça la petite vendeuse de bonbons ? À nouveau tu arques un sourcil, essayant de percer l'obscurité pour pouvoir lire sur son visage. Était-ce un piège pour te forcer à avouer que tu faisais partie de cette organisation ou était-ce simplement une sympathisante ? Comment savoir. Tu ne peux pas dévoiler toutes tes cartes comme ça, d'un seul coup, tu risques de prendre cher si tu te trompes sur sa petite personne. « Comment connaissez-vous les phénix ? » demande-tu intrigué. « Et puis si j'étais vraiment en mission, pourquoi je vous le dirais à vous ? » et merde, boulette, parfois tu donnes vraiment l'impression que ton cerveau n'est pas relié à ta bouche. C'est pathétique. Bon, maintenant les dés sont jetés. Soit tu finis la journée à Azkaban, soit tu t'en sors indemne. Qui prend les paris ?





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