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 TOOLERMAN ► Le sang se lave avec des larmes et non avec du sang.

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MessageSujet: TOOLERMAN ► Le sang se lave avec des larmes et non avec du sang.    TOOLERMAN ► Le sang se lave avec des larmes et non avec du sang.  EmptyDim 27 Jan - 9:28


∞ Clint & April
L'amour est une rose,
chaque pétale une illusion,
chaque épine une réalité.



April marcha dans le couloir perdu dans ses pensées, sa dernière rencontre avec Clint l’ayant laissée complètement ailleurs. Elle avait l’impression d’être une de ces lycéenne amoureuse complètement culcul et ça l’empêchait de sourire niaisement en se rappelant des paroles du mangemort et ce qu’ils avaient fait ensuite sur la plage. Elle ne savait toujours pas comment ça avait pu déraper autant entre eux deux surtout quand on connaît leurs sales caractères et leurs légers problèmes mentaux mais finalement elle n’était plus autant affolée qu’avant, cette discussion lui avait ouvert les yeux et du coup elle se sentait mieux. Elle ne se sentait plus prise au piège, elle avait comprit que de toute façon les affres de l’amour resteront toujours un sujet inconnu pour elle mais au moins maintenant tout était clair avec Clint et savoir que ses craintes et ses sentiments étaient partagés, ça l’avait soulagé d’un poids. La jeune femme fut sortit de ses pensées en voyant une troupe d’élève agglutinés comme des insectes devant les portes de la grande salle, certains chuchotaient, d’autre s’exclamaient bruyamment mais ce qui était certain c’est que quelque chose devant cette salle interpellait tout les élèves de l’école et que la tension était palpable. April crut même voir une élève de troisième année se mettre à pleurer comme un bébé. Fronçant les sourcils et n’appréciant pas trop ne pas être au courant de choses comme ça, la mangemort de fraya un chemin, ou plutôt les élèves l’a laissèrent passer comme ci elle souffrait d’une maladie contagieuse, privilège d’être aussi craint par les élèves dans cette école. Se retenant de sourire sadique, la brune aperçut alors un cadre avec une lettre dedans, elle reconnaissait déjà l’écriture et la façon de faire de Voldemort. Pourquoi ce con n’avait même pas informé le personnel qu’il mettait une nouvelle consigne en place ? Lâchant un soupire, April arriva suffisamment près pour enfant lire ce que ce taré avait écrit.

« Élèves, membres du personnels,

Les choses vont dorénavant changer. Mes avertissements et mes menaces n’ayant aboutit à rien, je me vois dans l’obligation de sévir et je pense avoir été suffisamment laxiste jusque là. Pour commencer, plus aucun élèves de cette école ne sera autorisé à se rendre à Pré-au-lard, qu’ils soient accompagné ou non d’un adulte. Considérez cela comme une quarantaine, plus aucun élève ne quittera l’établissement sans mon consentement direct. Chers membres du personnel, vous serez vous aussi priés de rester dans l’enceinte du château, et vous ne pourrez vous rendre a l’extérieur de l’école qu’en étant accompagné d’un membre du ministère qui se portera garant de vos actions. De plus, nous accueillerons dès aujourd’hui plusieurs mangemorts travaillant au ministère qui resteront avec nous un temps encore indéterminé. Je vous conseille de les accueillir tous et toutes avec respect et courtoisie. Vous vous demandez sans doute pourquoi tant de restriction et de nouvelles règles, dans ma grande générosité je vais bien évidemment vous répondre. Nous avons un traite qui marche dans nos rangs. Je sais de source sûre qu’il s’agit d’un membre du personnel de l’école. Je suis donc dans l’obligation de sévir afin que ce traite mérite son châtiment. Je demanderai donc la coopération de tous et toutes. Pour cela, chacun d’entre vous recevra une lettre, à la réception de celle ci, vous devrez vous rendre dans les cachots de l’école où vous serez simplement interrogé par les soins d’un des mangemorts. Si vous coopérez et ne tentez rien de stupide, tout se passera bien et le traite sera vite retrouvé et sévèrement puni tout comme les personnes qui tenteront de le ou la cacher. »

Directeur de Poudlard,
Le Seigneur des Ténèbres, Voldemort.


Putain de merde quoi ! Pardon ! Qui comment il…le cerveau d’April sembla se mettre sur pause tandis qu’elle buguait sur les mots écrit sur le parchemin. Elle sentait son visage se vider de son sang alors qu’elle relisait encore et encore ces lignes qui sonnaient comme une sentence à laquelle elle ne pouvait pas échapper. Non pas ça c’était trop tôt ! Elle n’était pas assez préparée, elle n’avait même pas encore établit de vendetta sur les mangemorts, après tout sa présence ici avait été également dans ce but et là elle allait mourir dans d’affreuses souffrances sans même avoir réussit à faire quelque. Oh bordel et Clint. Après toutes ces semaines de galère et de silence, ils s’avouaient enfin leurs sentiments juste avant qu’il ne découvre qui elle est, il allait la tuer, vraiment. Non mais à quoi elle pensait ? Clint ? April réveille toi c’est un mangemort et pas le plus tendre de tous, tu savais à quoi t’en tenir ma vieille en t’entichant de ce mec alors merde assume, s’il t’attaque, tu le butes point. Même si après tu dois en devenir plus folle que tu ne l’es déjà. April ne sut pas combien de temps elle resta devant l’écrito, figée, écœurée, elle était même presque sûre de trembler quand elle se retourna violemment, poussant les élèves pour courir le plus vite possible vers son appartement. Arrivée devant la porte, elle la défonça presque pour entrer et se rua dans les toilettes où elle vomit ses tripes dans cette excès de peur et de déception. Bordel comment il avait pu savoir ça, qui lui avait, comment. April avait prit soin de tout nettoyer derrière elle, il n’y avait rien dans sa tête et elle avait même effacé la mémoire de son seul acolyte de l’école. Si ça se trouve il ne s’agit pas d’elle mais de Camélia mais quoi qu’il en soit, si elle se fait chopper c’est terminé et elle ne sera pas la seule à tomber. La jeune femme resta tremblante et en sueur au dessus des toilettes, son ventre se contractant à intervalle régulier sans que rien ne sorte plus de son estomac vide. Lentement, avec précaution, elle se redressa et alla s’asperger le visage d’eau froide avant de se laver les dents. Elle ne devait surtout rien montrer, ne pas flancher sinon elle se vendrait toute seule et elle n’avait pas enduré tout ça pour ça. Une lumière l’a fit sursauter et elle reconnu sans mal le patronus du Lord, lui glaçant le sang. Mais merde qu’il l’a lâche ou alors qu’il vienne l’achever de suite plutôt que de jouer avec ses nerfs ! Mais le patronus lui annonça seulement d’une voix sifflante et cassante que tout le personnel de Poudlard doit se rendre dans son bureau immédiatement. Oh non. Déglutissant avec difficulté, April regarda le patronus s’évaporer avant de se regarder dans le miroir. Elle était pâle, le visage encore mouillé et ses yeux respiraient la peur. Elle devait se reprendre et vite. S’essuyant le visage en vitesse, elle attrapa un tube de fond de teint que Camélia lui avait forcé d’acheter et s’en appliqua un peu avant de mettre du blush, déjà le rendu n’avait plus rien à voir même si elle n’aimait pas cette sensation de porter du maquillage sur la peau. Elle respira ensuite plusieurs fois pour tenter de se calmer et de refouler ses émotions avant de rouvrir lentement ses yeux bleus. Ça fera l’affaire. Ne prenant pas la peine de prendre sa veste en cuir, la belle claqua la porte de son appartement et traversa les couloirs d’un pas décidé, ne laissant plus rien paraître marchant d’un pas raide. Elle croisa en chemin des mangemorts ce qui l’a fit froncer les sourcils mais elle ne s’arrêta pas pour autant, continuant jusqu’au escalier qui menait au bureau du Lord. Connaissant le tour par cœur, elle grimpa les marches et donna le mot de passe à la gargouille avant de finir de monter les marches, arrivant devant le bureau de Voldemort où la porte était ouverte, un silence de mort à l’intérieur. Prenant son courage à deux mains, elle entra et vit que pratiquement tout le monde était là, y comprit Clint. Elle marque une mini pause en croisant son regard avant d’aller se poster à côté des autres professeurs et pions devant le bureau de la face de serpent qui ne daignait même pas les regarder, caressant son serpent dégueulasse en regardant par la fenêtre. Batard. April ne laissa rien paraître et tourna un moment la tête pour voir qui était présent et donc qui il manquait. Elle croisa le regard d’Andrews qui lui adressa un sourire lubrique l’a faisant frissonner de dégoût, puis Parker qui l’a regarda à son tour sans bouger d’un cil, Camélia qui même si elle ne montrait rien semblait aussi tendue qu’elle, Oli qu’elle n’avait jamais vu aussi fermé, William, Grace, les pions arrivèrent à ce moment là, Taylor lui adressant un regard noir qu’elle lui rendit et Eros qui lui adressa un signe de tête avec un sourire en coin.

Apparemment tout le monde était là puisque la porte se ferma dans un claquement violent comme par magie. « Je pense que vous savez pourquoi vous êtes ici. » la voix glaciale du Lord brisa le silence, la tension était palpable, chacun avaient les muscles tendus et April serra la mâchoire en fixant la silhouette du Lord. Sa question n’appelait aucune réponse, c’était purement rhétorique et personne ne prit le risque de répondre à haute voix. Lentement Voldemort se retourna pour poser son regard persan sur chacun des visages des membres du personnel. Son regard était transperçant, comme s’il arrivait à lire au plus profond de votre âme, qu’il vous sondait et était capable de vous retirer toutes traces de bonheur. Quand son regard s’arrêta sur April, cette dernière baissa la tête comme tous les autres, personne n’étant assez fou pour le défier du regard. Elle le sentait fouiller dans sa tête l’a faisant serrer les poings au point de s’enfoncer les ongles dans la paume de ses mains. En l’entendant ricaner, April se risqua à relever furtivement les yeux et elle vit les yeux bleus du Lord passer d’elle à Clint en une fraction de seconde. Bon ça c’est fait. La jeune femme le sentit ensuite quitter son esprit lui permettant de se remettre à respirer normalement. « Ne pensez pas que ce petit test va vous innocentez mes agneaux. Il y a traite dans nos rangs, je le sais de source sûr et j’ai bien l’intention de le trouvez afin qu’il me rende des comptes. Je ne suis pas content, pas du tout même, je pensais qu’on était une famille et l’un de vous m’a trahit alors que j’ai toujours été bon avec vous. » Quel taré. April se retint de grimacer ou simplement d’éclater de rire, regardant la silhouette du mage se déplacer derrière son bureau, parlant d’une voix presque douce et déçue. Ce mec était très fort pour arriver à foutre les fois à n’importe qui en parlant simplement de sa voix la plus sympathique. Le regard azur de la jeune femme fut attiré par le gros serpent qui ondula sur le sol vers eux, slalomant entre leurs jambes. Elle pouvait sentir sa peau froide se frotter contre ses bottes et l’envie de planter son talon dans sa tête lui effleura l’esprit mais elle n’est pas cinglée ni suicidaire alors elle tenta de l’ignorer. « J’espère que vous m’aiderez à le retrouver, je ne veux pas que cet incident brise notre grande famille et je tuerais quiconque tentera de le cacher. En attendant vous allez devoir me prouver chacun votre loyauté et j’ai déjà ma petite idée de la façon dont on va procéder. » Un sourire sadique s’étira sur la fente qui servait de lèvres au Lord, le sang d’April se glaça en imaginant le genre de procédé que Voldemort allait vouloir utilisé, ça n’annonçait rien de bon. « Mais nous verrons ça plus tard. Je tenais surtout à vous présentez vos nouveaux collègues de travail. Ils vont maintenant vivre avec nous afin de nous aider à trouver ce traitre et comme les élèves vous passerez un interrogatoire avec eux. Je vous dirai l’heure et le lieu en temps voulu. Vous pouvez disposer. » Une scène se joua dans l’esprit de la jeune femme qui eut du mal à déglutir sa salive en restant un moment interdite. Un interrogatoire signifiait torture, est-ce que Voldemort serait assez sadique pour ordonner que ce soit Clint qui lui fasse subir le sien en connaissance de cause ? Secouant la tête pour se sortir cette image de la tête, la belle tourna les talons à son tour, croisant une nouvelle fois le regard du mangemort avant de sortir du bureau au moment où elle entendait Voldemort demander à Clint et Parker de rester. La jeune femme ne s’attarda pas, elle avait besoin d’air, cette sensation d’étouffer devenait insupportable et elle devait sortir avant de recommencer à vomir partout. N’adressant même pas un regard aux autres membres du personnel, elle se dirigea vers le parc, savourant l’air frais sur sa peau simplement couverte d’un jean et d’un chemisier gris, elle traversa la pelouse d’un pas décidé pour aller s’isoler dans sa cabane. Déverrouillant la porte avec sa baguette, elle soupira doucement en pénétrant dans son antre. Cette cabane n’avait rien de très chaleureux, elle n’était même pas fonctionnelle ou autre mais elle adorait venir ici, ça l’a coupait du monde.

« Alors c’est là que tu te caches. » cette voix l’a fit se figer sur place alors que sa peau fut parcourut de frissons de purs dégoûts. Oh pas lui. Se tournant lentement en fronçant les sourcils, Alterman dévisagea Andrews qui se tenait dans l’encadrement de la porte, un sourire pervers aux lèvres. « Qu’est-ce que tu fous là Andrews ? » ce dernier lâcha un rire aussi gras que lui tendit qu’il pénétra à son tour dans la cabane, refermant, la porte derrière lui. En entendant le bruit du verrou, April sortit instinctivement sa baguette pour la pointer sur le gros. Le mangemort leva les mains en signe de paix sans se défaire de son sourire de taré. Ce n’était vraiment pas le soir, la main du professeur tremblait tellement elle se retenait de le buter ici sans ménagement. « Du calme Alterman je venais juste te parler. » et moi je suis la réincarnation de Dumbledore pauvre con. Plissant les yeux, la jeune femme ne bougea pas, restant au milieu de la pièce en fixant froidement le gros lard. « Si tu viens juste me parler pourquoi tu as fermé la porte abrutit. Ouvres là où je te fais passer à travers même si ça me ferait chier. C’est du chêne véritable. » Mais au lieu de ça Andrews ricana et s’approcha jusqu'à ce que sa grosse poitrine touche le bout de la baguette comme pour la mettre au défis de lui lancer un sort. « Tu semblais nerveuse dans le bureau… » Arquant un sourcil, April ne pt s’empêcher de sourire en coin. « Sérieusement Andrews tu as faillit te chier dessus la dernière fois que le Lord t’as passé un savon alors ne l’a ramène pas trop tu… » Sans que rien ne le prévoit, Andrews attrapa la baguette de la brune pour la lui arracher des mains tandis qu’il lui tordait le poignet dans un crac écœurant lui arrachant un gémissement de douleur. Sans réaliser comment, elle se retrouva le dos collé contre le torse du mangemort, son poignet cassé tordu dans son dos et le gros bras potelé d’Andrews pressant sur sa gorge. Autant avec une baguette elle avait ses chances, autant physiquement elle ne faisait pas le poids. Son poignet lui faisait affreusement mal mais elle se retint de le montrer, essayant de se dégager de sa prise en serrant les dents, sentant son souffle chaud et écoeurant sur sa joue. « Il est si simple de détourner ton attention Alterman…arrête de jouer les saintes ni touches j’ai vu comment tu me regardais… » Avec horreur elle sentit le bassin de ce gros porc se presser contre ses fesses et elle se retint de simplement lui vomir dessus de dégoût. « Arrête de te faire des films Andrews, le seul sentiment que je pourrais ressentir à ton égard c’est du dégoût…non mais sérieusement regarde toi, tu n’as rien pour toi, même avec un bâton je refuserai de te toucher maintenant lâches moi avant d’aggraver ton cas… » Mais une nouvelle fois il se mit à agir avec une vitesse et une force qu’elle n’aurait pas soupçonné. Elle sentit sa tête partir en avant alors que son front entra violemment en contact avec les briques des murs, la douleur raisonna dans son crâne jusque dans sa mâchoire alors qu’il lui tira la tête en arrière en l’agrippant par les cheveux. Elle était complètement sonnée et n’opposait plus aucune résistance bien qu’un gémissement de douleur franchit la barrière de ses lèvres, sentant un liquide chaud et visqueux couler sur sa tempe. Elle allait le massacrer. « J’aime les femmes de caractères qui me résistent mais ne me pousse pas trop quand même ma jolie je ne voudrais pas défigurer un aussi beau visage… » Il l’a retourna face à elle en la cognant une nouvelle fois contre le mur, cette fois ce fut son dos qui endura le choc de cette grosse brute alors que le souffle commençait à lui manquer et que sa vision devenait brouillé par le choc violent qu’elle avait reçut à la tête. Malgré tout elle laissa échapper un rire sans joie. « Alors c’est comme ça que tu arrives à te taper des nanas ? Tu les frappes jusqu'à l’inconscience et après tu abuses d’elle ? Ça ne m’étonne même pas, tu es pathétique… » April devina qu’elle venait de toucher une corde sensible quand la grosse main du mangemort vint encercler sa gorge et l’a serra avec force, l’a faisant suffoquer alors qu’elle tenta de lui faire lâcher prise en vain. L’air commençant à manquer, elle remarqua à peine qu’il glissa sa main en haut de son chemisier et qu’il tira dessus faisant sauter les boutons et arrachant une partie du tissu fin, elle se sentit décoller du mur et son corps entra violemment en contact avec quelque chose qui se brisa sous la force de son poids avant qu’elle ne retombe lourdement sur le sol en toussant, l’oxygène rentrant dans son poumon l’a brulant. Reprenant peu à peu ses esprits en restant au sol, elle réalisa qu’il venait de l’envoyer contre son placard en bois les morceaux jonchant le sol. Elle tenta de se relever en se mettant à quatre patte avec une main, toussant toujours violemment et à bout de force, la douleur de son crâne devenant insupportable, brouillant sa vision alors qu’elle entendait Andrews s’approcher d’elle en ricanant alors que d’un coup la porte de la cabane explosa dans un souffle d’une violence inouïe.

LA SUITE PAR ICI

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MessageSujet: Re: TOOLERMAN ► Le sang se lave avec des larmes et non avec du sang.    TOOLERMAN ► Le sang se lave avec des larmes et non avec du sang.  EmptyDim 27 Jan - 11:30


april et clint
et quand il aura crevé, son enfer aura un gout de paradis tellement il aura dérouillé sin.city


Un traître. Le mot était tombé comme un couperet au sein des rangs du Lord. Il y a un traître à Poudlard. Un membre de l’Ordre qui ose se faire passer pour un des leurs, un membre de l’Ordre qui avait réussi à tous les duper. Clint se souvenait encore de l’atmosphère qui régnait dans le bureau du Lord lorsqu’il était venu lui annoncer la nouvelle en compagnie de deux autres Mangemorts. Ils avaient découvert cette information après une mission. Un des opposants au régime leur avait dévoilé cette information capitale avant qu’il ne tombe sous les faisceaux de lumière verte des trois hommes. Trois hommes qui avaient dû se rendre au château pour annoncer cette lourde nouvelle à leur maître. Maître qui avait laissé exploser sa rage dans son bureau. Clint se souvenait encore de la peur qu’il avait ressentie lorsque la magie de son maître avait envahi la pièce, lui glaçant le sang. Il avait eu peur de se faire abattre pour avoir osé prononcer une telle infamie. Il avait vu tellement de corps tomber dans ce bureau qu’il s’était dit que cette fois-ci c’était son tour. Mais ça n’avait pas été le cas. Ils étaient ressortis tous les trois vivants de cette entrevue. Mais à quel prix ? Aujourd’hui, ils avaient tous la plaie de s’être fait berné de la sorte qui suintait sur eux. Ils devaient trouver ce traitre et l’abattre, c’était une question d’honneur. Et le Lord leur avait laissé la chance, à eux membres du Ministère, de se rendre à Poudlard pour interroger élèves et adultes. Ils avaient le champ libre, tous les moyens étaient bons pour trouver la vérité et la laisser éclater au grand jour. Parce que c’était le seul moyen de laver cet affront. Et Clint, comme tous les autres Mangemorts qui avaient été mis au courant, était bien déterminé à aller au bout de sa mission, qu’importent les victimes et les dommages collatéraux. Il faut payer sa traîtrise, et ils allaient faire payer ce traître. C’était aujourd’hui que l’annonce avait été faite. Deux jours après qu’ils aient découvert la nouvelle, le Lord avait pris les choses en main. Tous les habitants du château devaient être au courant à l’heure qu’il était. Et Clint devait se rendre au château en compagnie des autres Mangemorts mandatés. Une réunion au sommet, avec tout le personnel. Leurs suspects. Quelqu’un toqua à la porte et Clint redressa la tête. Cela faisait déjà dix bonnes minutes qu’il était assis, son paquet de cigarette à portée de main, attendant que Parker daigne arriver pour qu’ils partent tous les deux en direction de Poudlard. Se levant, le Mangemort écrasa le mégot de sa dernière cigarette dans le cendrier et se dirigea vers la porte avant de l’ouvrir. L’air sombre, Parker entra dans l’appartement et les deux hommes se contentèrent de se saluer sans même échanger un mot de plus. Ils savaient tous les deux ce qui les attendait et cela les empêchait sans doute de parler de quoi que ce soit. Attrapant sa veste et sa baguette, Clint fit un signe de tête à son collègue pour lui montrer qu’il était prêt et les deux hommes transplanèrent. Quelques secondes plus tard ils étaient dans le parc du château. Désert. Avançant à travers le vent qui soufflait fort ce matin-là, les deux hommes ne parlèrent pas plus, se contentant d’avancer en silence vers la réunion qui allait montrer le ton de cette mission. Ils arrivèrent bientôt dans le hall du château où un groupe d’élèves étaient agglutiné contre un mur. Le mur des annonces. Ils devaient être en train de lire la nouvelle, et les commentaires fusaient, provoquant un brouhaha qui fit mal à la tête de Clint. Lançant un regard noir aux élèves qui l’observait comme s’il s’agissait d’une créature étrange, Clint commença à prendre les escaliers en compagnie de Parker pour se rendre dans le bureau de Voldemort qui devait déjà les attendre. Les deux employés du Ministère y furent bientôt arrivés et lorsqu’ils poussèrent la porte, ils reconnurent quelques têtes familières qu’ils saluèrent sans bruit. Clint croisa le regard de Jeremiah, collègue Oubliator, et lui lança un sourire sans joie ainsi qu’un regard dénué d’expression. Ce n’était pas le grand amour avec cet homme, mais aujourd’hui il avait d’autres choses à penser que la jalousie maladive de ce jeune premier qui pensait avoir toutes les qualités du monde. Allant se placer contre l’un des murs du bureau en compagnie de Jeremiah et de Parker, Clint observa le Lord qui regardait par la fenêtre sans dire un mot. Ce qui était sans doute mieux. La porte s’ouvrit de nouveau et une espèce de chose difforme entra dans la pièce en se dodelinant comme un poulet. A peine Andrews fut-il entré que Clint se sentit prit d’une envie de lui fracasser la tête contre le mur, mais ce n’était sans doute pas le lieu ni le moment pour le faire. Au moins, il vit avec satisfaction la tête du gros porc se baisser et son sourire disparaître lorsqu’il croisa le regard de Clint. Il semblait avoir compris la leçon de la dernière fois, c’était déjà une grande avancée pour cet être répugnant. Les minutes défilèrent sans qu’aucun bruit ne vienne troubler l’ambiance pesant qui s’installait dans le bureau, puis la porte s’ouvrit de nouveau, laissant apparaître les premiers professeurs qui semblaient ne pas être très heureux d’être convoqués pour se faire frapper sur les doigts. Fallait pas laisser filtrer un traître bande de nuls. Les membres du personnel allèrent s’aligner devant le mur opposé à ceux des membres du Ministère et le silence retomba une minute ou deux, chacun se jaugeant du regard sans dire un mot. Les yeux de Clint se posèrent sur chacun des membres du personnel puis il reporta son attention sur un point du mur, attendant que les retardataires arrivent. La porte s’ouvrit une nouvelle fois, laissant cette fois-ci apparaître une silhouette que le Mangemort connaissait plutôt bien. Lorsqu’il croisa le regard d’April, il vit qu’elle n’était pas très heureuse d’être ici mais il ne bougea pas, restant impassible. Ce n’était pas vraiment le moment de se la jouer romantique et d’aller la réconforter. Quoique, ça pourrait être drôle. Non pas vraiment. Reportant son attention sur le mur, les pensées de l’irlandais furent remplacées par les souvenirs de sa dernière entrevue avec la brune. Ils s’étaient avoué des choses qu’il n’aurait jamais cru pouvoir dire un jour. Genre jamais. Mais ça avait été le cas et il fallait bien avouer que d’un côté ça lui faisait un peu peur. Non pas qu’il regrettait parce qu’après tout il aurait très bien pût tourner les talons, ça ne tenait qu’à lui. Mais ça lui faisait peur. Parce qu’il ne savait pas à quoi s’attendre, il ne savait pas dans quoi il s’engageait. Et puis, après leurs deux caractères de merde, ils étaient toujours en train de s’engueuler. Alors de là à être ensemble. Ils allaient finir par se tuer, y avait pas d’autre solution. Mais bon, c’était le risque à prendre et c’était ce qu’il avait choisi, alors autant assumer ses actes jusqu’au bout et voir où tout ça les mènerait. De toute manière, l’irlandais n’eut pas le temps de penser davantage à ses problèmes sentimentaux puisque la porte se rouvrit de nouveau, laissant passer les derniers membres du personnel. Clint reconnu Taylor à laquelle il adressa un pâle sourire et les autres ne lui disaient absolument rien alors il se contenta de les regarder légèrement avant de détourner de nouveau les yeux. Apparemment tout le monde était présent puisque bientôt, la voix glacée et glaçante du Lord s’éleva dans les airs. C’est partit. « Je pense que vous savez pourquoi vous êtes ici. » Euh non, y avait de la lumière alors je suis entré parce que je pensais que c’était une soirée. Sans blague. Voldemort se retourna alors lentement, son regard se posant sur chacun des membres du personnel présent dans la pièce, ignorant complètement les membres du Ministère. Tant mieux. Clint observait le Lord fouiller dans la tête de ses sbires, repensant à l’horrible sensation que cela faisait lorsqu’on fouinait dans son cerveau pour l’avoir assez vécu avec cette garce de Huthgan. Par contre, ce à quoi il ne s’attendait pas c’est le petit ricanement qui s’éleva de la bouche du Lord lorsqu’il sonda l’esprit d’April. Les yeux perçants de son maître se posèrent sur Clint qui ne comprenait pas avant de tilter. Ah bah bravo. Très fort. ? Très très fort. Non sérieusement il n’avait pas le droit de fouiller cette partie-là des esprits, c’est la partie intime. Y a plus aucun respect de la vie privée de nos jours je vous dis. « Ne pensez pas que ce petit test va vous innocentez mes agneaux. Il y a traite dans nos rangs, je le sais de source sûr et j’ai bien l’intention de le trouvez afin qu’il me rende des comptes. Je ne suis pas content, pas du tout même, je pensais qu’on était une famille et l’un de vous m’a trahit alors que j’ai toujours été bon avec vous. » Ouais bah la famille elle connait même pas ma date d’anniversaire alors chut. Et puis, être apparenté à un porc comme Andrews, non merci, faut pas déconner non plus. Clint entendit un sifflement qui lui fit baisser les yeux et vit que le serpent du Lord se glissait sur le sol du bureau pendant que son maître parlait. Il se dirigea vers les membres du personnel, frôlant leurs jambes. Sympa la soirée. « J’espère que vous m’aiderez à le retrouver, je ne veux pas que cet incident brise notre grande famille et je tuerais quiconque tentera de le cacher. En attendant vous allez devoir me prouver chacun votre loyauté et j’ai déjà ma petite idée de la façon dont on va procéder. » T’inquiète moi je vais le trouver ton traître. Clint O’Toole, pourfendeur de traîtres. « Mais nous verrons ça plus tard. Je tenais surtout à vous présentez vos nouveaux collègues de travail. Ils vont maintenant vivre avec nous afin de nous aider à trouver ce traitre et comme les élèves vous passerez un interrogatoire avec eux. Je vous dirai l’heure et le lieu en temps voulu. Vous pouvez disposer. » Salut les gars, c’est moi qui vais vous torturer pour que vous me disiez tout ce que vous voulez savoir. Sinon ça va ? Mais de toute manière il se foutait un peu de devoir torturer des collègues. Bon, ok torturer April était sans doute une mauvaise idée. Au pire il se ferait porter malade. Ouais ça c’est une bonne idée. Parker le fera à sa place, parce que Parker au moins il risquait pas de la tuer, pas comme d’autres tarés. Mais de toute manière le problème n’était pas là. Des bruissements d’étoffe ramenèrent Clint sur terre et il vit que tout le monde se dirigeait vers la porte. Il croisa le regard d’April qui semblait ne pas vraiment aimer la situation, et après tout il pouvait la comprendre. Ce n’était pas lui qui était suspecté d’être un traître. Amorçant un geste vers la porte à son tour, il entendit la voix de Voldemort l’appeler lui ainsi que Parker. La classe. Se dirigeant donc vers le bureau en compagnie du brun, il attendit que la porte claque derrière lui avant de respirer plus librement. A moins que Voldemort ne veuille le tuer ? Non.

Le Lord se retourna vers les deux Mangemorts, un sourire sadique sur le visage. « Je sais que vous êtes de bons éléments. » C’est tout ? Sérieusement ? « Je vous fais confiance à tous les deux pour mettre vos relations de côtés. Je ne veux pas que de stupides sentiments se mettent en travers de votre mission » Le Mangemort sentit le regard insistant du Lord sur lui mais il ne leva pas la tête, se contentant de la hocher d’un air grave. Il n’avait pas besoin qu’on lui dise. Après tout, même s’il entretenait certaines relations plus ou moins personnelles avec certains membres du personnel – qu’elles soient positives ou négatives – cela ne l’empêcherait pas de mettre la main sur ce traître et de le ramener aux pieds du Lord afin qu’il lui fasse payer ce qu’il a osé faire. « Je vous fais confiance à vous. Mais tâchez de rappeler ça aux autres. Je ne supporterais pas que mes Mangemorts soient faibles à ce point » Ils devaient encore jouer à la nounou, à croire que ça devenait une manie pour eux deux. Mais les ordres sont les ordres, encore et toujours. Le Lord se retourna vers la fenêtre, marquant la fin de la discussion, et les deux hommes en profitèrent pour sortir à leur tour du bureau. Arrivés dans le couloir, ils inspirèrent l’air frais qui contrastait avec l’atmosphère pesante qui régnait dans la pièce. Ils se lancèrent un regard grave avant de commencer à marcher. Ce n’est qu’arrivés au premier étage qu’ils commencèrent enfin à parler. « Tu penses qu’on va le trouver ? » Clint lança un regard à Parker qui haussa les épaules comme pour justifier sa question. « C’est que, je me dis que si ce con à réussit à passer les tests et les contrôles, c’est qu’il soit pas être si con que ça. » Parker et sa déduction à deux balles. Parfois c’était lourd. « Ouais, je veux bien le croire. Mais t’oublies qu’on a aussi des membres intelligents de notre côté, et je pense pas qu’il parviendra à nous échapper. Pas cette fois » Lançant un regard à son collègue, Parker sembla quelque peu convaincu mais pas tant que ça, ce qui énerva légèrement l’irlandais. Ils arrivaient dans le parc, et Clint sortit une clope avant de tendre le paquet à Parker qui en attrapa une. Il alluma sa cigarette et tendit le briquet à son collègue avant de le ranger dans sa veste. « Je t’assure que ce traître ne va pas bien dormir. On est tous sur les nerfs, on a le droit de douter. Mais on va l’avoir, c’est sûr. » « Ouais t’as raison. C’est juste que parfois je me dis qu’on connait pas vraiment les gens. Je connais la plupart des Mangemorts de cette école, et pas une seule fois j’ai douté d’eux. Et ça fait peur de se dire qu’ils se foutent de ta gueule depuis le début » Clint inspira la fumée de sa cigarette mais il sentit sa mâchoire se crisper. Jasper n’avait pas tort. Pas du tout même. Il en connaissait des membres de cette école, et même si ils n’en aimaient pas certains, il n’avait jamais douté d’eux. Même Oli, qui était complètement fou. Alors à qui s’en tenir ? Et si April appartenait à ce lot ? Si April lui mentait depuis le début ? Si c’était elle la traîtresse ? Elle lui aurait mentit. Et sur quoi d’autres ? Trop de questions sans réponses. Ce con de Parker venait immiscer un doute énorme chez le Mangemort qui essaya de ne rien montrer. Parce que s’il apprenait que c’était April la traîtresse, il douterait de tout ce qu’elle avait pût lui dire. Elle l’utilisait peut-être ? Qu’ne savait-il ? Mais non, ce n’était pas possible, il avait déjà vu April en mission et elle ne pouvait pas appartenir à l’Ordre. Pas en tuant des enfants ou des exilés. Non. Il devait se rassurer, le traître était autre part. « On va prendre un verre ? J’ai envie de me changer les idées avant la jou- » Mais Parker n’eut pas le temps de finir sa phrase puisqu’un bruit sourd suivit d’un cri étouffé parvint aux oreilles des deux Mangemorts. Se retournant comme un seul homme, ils posèrent leurs yeux sur la cabane en bois. Les deux collègues se lancèrent un regard sombre avant de sortir leur baguette et de s’approcher de ladite cabane. Des bruits de bataille s’échappait de l'habitation, et le sang de Clint ne fit qu’un tour lorsqu’il réalisa que c’était le lieu de travail d’April. Et donc que c’était sans doute elle qui se trouvait à l’intérieur.

Posant sa main sur la poignée de porte, Parker tenta de l’ouvrir mais la porte résista avec vigueur. Le brun se retourna vers son collègue, et il n’eut même pas le temps de faire remarquer ce qui était évident que Clint le poussait déjà sur le côté. Il leva sa baguette et deux secondes plus tard la porte sortait de ses gonds et allait s’écraser à l’intérieur de la cabane dans un bruit sourd. Parker à ses côtés, le Mangemort mit un pied à l’intérieur de la pièce mais se stoppa net lorsqu’il vit le spectacle qui était en train de se dérouler juste sous ses yeux. April était dans un coin de la pièce au beau milieu de débris de bois, son chemisier à moitié déchiré, tandis que le gros porc s’était figé, au beau milieu de la pièce. Ses yeux porcins fixèrent à tour de rôle les deux nouveaux venus et dans un geste rapide il sortit sa baguette de sa robe. Mais c’était trop tard. Sa baguette lui échappa des mains avant même qu’il n’ait eu le temps de prononcer une quelconque formule. Il était mort. L’irlandais sentit son sang chauffer dans ses veines. Il allait le tuer. L’écraser comme on écrase un insecte dégoûtant en grimaçant. Il allait le tuer, et lui faire regretter d’avoir touché April. Andrews jeta un regard vers la porte et Clint le vit avancer, comme s’il pensait pouvoir fuir. En plus d’être moche il est con. Deux secondes plus tard, l’irlandais s’était avancé au beau milieu de la pièce et attrapait l’autre Mangemort par le col de sa veste. Ses bras le soulevèrent un peu du sol, la colère et la rage l’aidant à soutenir ce poids lourd. Collant cette immondice contre le mur, il vit Andrews grimacer. « Aller O’Toole je rigole lache-moi » Un rire noir sortit de la gorge de Clint qui se contenta de décoller le gros du mur pour mieux le cogner une seconde fois contre lui. Une nouvelle grimace traversa les traits d’Andrews. « Je pensais vraiment que t’avais compris espèce de gros porc. Mais apparemment non. Et tu sais quoi, y a rien qui me retient pour te buter, ici et maintenant » La peur défigura les traits d’Andrews tandis que Clint le lâchait et qu’il tombait sur le sol. Reculant d’un pas, l’irlandais l’observa ramer sur le sol comme pour fuir mais lui asséna un coup de pied dans la tête pour qu’il arrête de bouger. Il était aveuglé par la rage et le dégoût. Il ne savait même pas où était April, si elle était encore envie. Il ne savait pas ce que Parker faisait. La seule chose qui comptait pour le moment c’était de tuer cette pourriture. « Aller O’Toole c’est bon, je la toucherais plus, arrête » Supplier. C’était trop tard pour ça maintenant. « Clint … » La voix de Parker lui parvint aux oreilles, mais c’était trop tard. L’irlandais leva la baguette, la laissa en l’air quelques secondes le temps de lire la peur et l’horreur dans les yeux d’Andrews, puis il laissa filer un faisceau de lumière verte qui alla s’abattre en plein dans la poitrine du gros. Son corps flasque sembla briller d’un halo morbide tandis que ses yeux roulaient dans leurs orbites. Puis plus rien. Il était mort. Il ne restait plus que le bruit de la respiration haletante de Clint et d’autres bruits qu’il ne parvenait pas à distinguer. Enfin, il se retourna et lança un regard à Parker qui était en train de s’occuper d’April, assis dans un coin de la pièce. Son collègue leva les yeux vers lui et lui lança un regard réprobateur, comme une maman gronde son gamin. « Clint putain, on se retrouve avec un cadavre sur les bras là » Haussant les épaules, l’irlandais s’avança vers April, tapant dans les morceaux de bois qui jonchaient le sol. Arrivé à la hauteur des deux Mangemorts, il s’agenouilla à son tour. « On a qu’à l’enterrer quelque part, ou le donner à bouffer à n’importe quelle bête. Elle aura de quoi manger pour longtemps avec la viande qu’il se trimbale » Parker leva les yeux au ciel mais ne put s’empêcher de sourire à la remarque de son collègue. Se relevant, il épousseta sa veste avant de regarder Clint. « Bon, je m’en occupe, charge toi d’elle pendant que je nettoie tes conneries. Vraiment buter des Mangemorts. Bon ok il était con mais quand même » C’est en marmonnant ces phrases – et bien d’autres – que Parker leva sa baguette et la pointa sur le corps d’Andrews. Deux secondes plus tard le corps lévitait dans les airs. « Putain j’espère que je vais tenir jusqu’à la forêt, c’est plus lourd qu’une plume cette merde » Quel débile. Clint regarda Parker sortir, suivit du cadavre d’Andrews, le laissant seul avec une April à moitié morte. Bon, et il fait quoi maintenant. Y a pas marqué médicomage sur sa gueule quoi. Posant sa baguette sur le sol, il attrapa le bras de la brune et le posa sur son épaule pour la soulever et aller l’assoir contre le mur. « T’en a pas marre d’être toujours blessée à chaque fois qu’on se voit ? » Appelez le Clint le comique. Mais en même temps, il ne voyait pas trop ce qu’il y avait à dire. A part qu’Andrews était un gros porc, mais ça c’était bien connu.
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MessageSujet: Re: TOOLERMAN ► Le sang se lave avec des larmes et non avec du sang.    TOOLERMAN ► Le sang se lave avec des larmes et non avec du sang.  EmptyMar 29 Jan - 11:16


∞ Clint & April
L'amour est une rose,
chaque pétale une illusion,
chaque épine une réalité.



La vie est une chienne. Non sérieusement. Autant par moment la vie peut être vraiment un cadeau tellement qu’on a parfois du mal à réaliser que certaines choses nous arrivent à nous, on se demande ce qu’on a bien fait de si spéciale pour que ce soit nous et pas un autre, autant la vie peut vraiment se montrer comme la dernière des putes et s’allier à son grand ami le destin pour faire de notre vie un enfer sur terre. Là entre autre, ils avaient décidé de se liguer contre April et ce n’était pas peu dire. Bon certes elle ne pouvait pas trop se permettre de se poser la question pourquoi parce que ce serait se foutre de la gueule du monde. Elle est mangemort, bon certes juste espionne mais mangemort quand même. Elle tue de sang froid des membres des deux camps et bien sûr pendant ses missions pour Voldemort elle ne sourcille même pas en pointant sa baguette sur des gosses, des familles entières, certes elle évite de faire durer le plaisir mais elle n’est pas contre un peu de torture quand c’est nécessaire. Bref vous l’avez comprit April ce n’est pas mère Theresa qui va secourir les pauvres et les orphelins, elle serait plus du genre à les buter pour qu’ils arrêtent de chouiner. Mais quand même, jusqu'à maintenant même si elle enchainait des merdes, jamais ça n’avait atteint ce niveau. Là elle nageait carrément dans une piscine de merde en buvant la tasse. Sympa comme image. Pourtant tout semblait bien partit. Avec Clint elle avait enfin mit les choses au clair, les soulageant d’un point énorme, elle se sentait presque…heureuse même si sa mission trainait en longueur et elle se surprenait de plus en plus à vouloir débarquer comme ça dans le bureau de la face de raie qui lui sert de Directeur pour le buter. Mais bon il faut être réaliste quand même, autant attaquer un éléphant en étant un moustique. Au mieux une petite piqure qui gratte, au pire elle finit écrasé sans scrupule et bouffé par son gros serpent. Donc elle se retenait mais mine de rien elle avait réussit à se faire une place dans cette vie fictive. Elle avait réussit un exploit personnel en parvenant à se faire quelques amis…enfin amis qu’elle tuera sans remord si c’est nécessaire mais amis quand même et elle avait ce qui semble être une relation amoureuse continue avec un homme certes taré mais un homme quand même ce qui relevait là carrément du miracle. Alors oui elle n’est pas parfaite, elle est limite schizophrène, à moitié amnésique, elle finira surement morte ou enfermée dans un asile à se demander qui elle est mais elle ne méritait pas ça, sérieusement elle méritait un peu mieux quand même. Déjà que la terreur qu’elle avait ressentit à l’annonce de Voldemort avait été violente. Jamais auparavant elle n’avait ressentit ça, une peur qui vous vrille les tripes tellement fort que c’est impossible de ne pas simplement vomir. On a la gorge en feu, le cuir chevelue qui picote et cette impression que notre visage se vide de son sang. Mais une fois de plus elle avait quand même réussit à s’en sortir haut la main. Bon ok maintenant Voldemort savait qu’elle s’envoyait en l’air avec Clint sur les plages en Ecosse et un peu partout en fait mais rien de dramatique. Elle avait juste voulu souffler, prendre l’air et maintenant elle allait crever ici, tuer par un espèce d’attardé aussi moche que bête qui allait en prime la souiller avec sa graisse. Pitié au moins qu’il fasse ça quand elle sera déjà morte ou inconsciente sinon elle allait lui vomir une nouvelle fois dessus. Elle savait qu’Andrews était un malade, elle l’avait su dès la première fois où elle l’avait rencontré lors d’une mission et en la voyant il avait eut ce petit air lubrique qui ne l’avait jamais quitté depuis comme s’il était le seul à savoir une chose que le reste du monde ignore. Surement son intelligence ou son sex-appeal. Mais elle ne le pensait pas capable d’aller jusque là avec elle. Il avait déjà essayé, à maintes reprises, mais elle avait toujours réussit à le remettre à sa place plus ou moins avec délicatesse en l’envoyant valser sur divers objets mais cette fois ci, il ne jouait plus.

April réalisait en cet instant qu’elle avait été stupide. Elle s’était crue capable de le repousser malgré qu’il soit son ainé alors qu’en réalité il n’avait fait que jouer pour la tester, ce n’étaient que des échauffements rien de plus, mais maintenant il passait aux choses sérieuses et dans cette cabane recluse de tout et sans sa baguette, Alterman était foutue, elle le savait. Personne n’allait l’entendre, personne n’allait penser à venir ici à cette heure ci, personne, aucuns élèves ou adultes ne s’aventuraient comme ça si près de la forêt sans raison sauf Camélia mais elle était partit avec Oli après la réunion. Donc oui, elle allait mourir et se faire agresser sexuellement, peut être pas dans ce sens là même si elle l’espérait un peu comme une dernière volonté. Ah il est beau le mangemort redoutable, April rêvait de tuer le Lord ou au moins de lui mettre des bâtons dans les roues et elle allait finalement crever dans cette cabane sans que personne ne le sache, tuée par un psychopathe violeur en manque de sensations. Chouette mort. Malgré tout, la jeune femme ne pouvait s’empêcher de continuer encore et encore de pousser à bout l’autre gros tas, elle le repoussait dans ses limites juste pour voir sa rage briller dans ses yeux, qu’elle ai au moins la satisfaction de le blesser et peut être qu’avec un peu de chance il baisserai sa garde mais c’était sans compter sur les réflexes primaires de cette grosse brute qui s’empressa de lui fracasser le crâne contre le mur après lui avoir cassé le poignet pour ensuite l’envoyer voler avec force avec son meuble en bois, l’a laissant blessée, à bout de souffle et surtout démunie. April détestait cette sensation. Vulnérable. Elle avait envie de vomir ce mot. Elle n’était pas faible, elle ne le sera jamais et pourtant en cet instant en étant meurtrie, le chemisier arraché laissant voir aux yeux de ce gros porc son soutien gorge, elle ne pouvait se sentir autrement et à mesure qu’elle l’entendait s’approcher d’elle en riant, elle avait cette furieuse envie de ramper sur le sol pour aller se cacher dans un trou ou de lui éclater sa sale gueule sur le béton du sol jusqu’à ce que sa cervelle repeigne les murs. Mais là elle n’en avait pas la force, elle l’imaginait déjà poser ses mains sur elle, le poids de son énorme corps sur le sien, elle pouvait presque déjà sentir son souffle chaud, saccadé et puant sur son visage alors qu’il lui prendrait le reste de fierté et de dignité qu’elle avait. Il allait la salir, la briser comme jamais personne n’était parvenu à le faire. Pire que toutes les souffrances, les tortures, les blessures et les pertes qu’elle a connues au cours de sa courte existence. La mort lui semblera alors être une douce délivrance parce qu’elle ne pourra plus jamais vivre avec ce souvenir bien ancré dans son esprit, elle le savait. Jamais elle ne supportera un tel affront sur sa personne, jamais elle ne supportera ce sentiment de saleté permanente même en se grattant la peau à sang, elle aura toujours son odeur imprégné dans ses narines, la nuit elle pourra sentir encore ses mains potelées la fouillant de la plus intime des façons. Merde. Qu’il l’a bute tout de suite mais qu’il ne lui fasse pas subir ça. April ne put contenir un léger gémissement en essayer de se redresser malgré son poignet cassé et surement plusieurs côtes foulées ou cassées. Elle avait presque envie de le supplier qu’il l’a tue, le supplier qu’il ne l’a touche pas mais en croisant son regard elle sut que supplier allait être vain, comme toutes les familles qui l’avaient supplié elle de les épargner avant qu’elle ne regarde les corps tomber un à un sur le sol sans même broncher ou trembler. Elle se résigna alors en déglutissant sa salive, essayant de se préparer un minimum à ce qui l’attendait même si on n’est jamais vraiment préparé à ce genre de chose. Fermant doucement les yeux en entendant les gros pas d’Andrews s’arrêter juste à côté d’elle, elle sursauta alors quand un grand fracas brisa le silence glauque de la pièce, la porte en chêne venant alors s’écraser lourdement contre le seul dans un souffle d’une grande violence.

April ne saura jamais expliquer le sentiment qui l’a envahit au moment où elle vit rentrer Clint et Parker dans la cabane. Du saoulagement ? De la peur ? De la haine ? De la honte ? Elle était partagée entre soupirer de plaisir ou se mettre à chialer comme une gamine qu’on venait de prendre en faute. Parce qu’elle le voyait comme ça quelque part. Elle affichait une image d’elle faible et sans défense. Sans même la toucher, Andrews avait quand même réussit à la salir. Ce dernier fut autant surprit que la demoiselle et April baissa la tête honteuse pour regarder le sol jonché de débris de bois et de poussière. Elle ne vit pas le gros avancer en même temps que Clint qui le souleva. Elle entendait juste les deux hommes parler mais elle ne regarda pas. Une main se posa alors dans son dos et elle sursauta en relevant finalement le visage, croisant le regard bleu et perçant de Parker qui s’était accroupie près d’elle au niveau de son visage. Il lui adressa un léger sourire qu’elle ne put déchiffrer et il lui souleva légèrement la tête en glissant sa main sous son menton afin de regarder sa blessure au front, décollant les cheveux qui s’y était collés. Il ne montra rien, inspectant juste comme un professionnel même si elle se doutait qu’il n’allait rien faire, il n’était pas médicomage mais mangemort après tout. « Tu penses que tu peux marcher ? » Il lui parlait doucement, un peu comme s’il s’adressait à une gamine ou une bête sauvage ce qui fit grimacer la brune. Cette dernière hocha simplement la tête et se redressa un peu mais refoula un gémissement de douleur en serrant la mâchoire, une douleur aigüe lui vrillant les côtes tandis que sa tête se mettait furieusement à marteler et à tourner, tellement qu’elle avait de vomir. Elle porta une main au niveau de ses côtes et Parker sembla remarquer alors son poignet qui l’inspecta comme pour sa blessure à la tête avant de soupirer. « Aller O’Toole c’est bon, je la toucherais plus, arrête » April se figea et son sang se glaça en entendant ces paroles. Elle se sentait encore plus diminué, plus faible. Elle réalisait qu’elle avait eut besoin que Clint et Parker débarquent pour la sauver sans quoi elle se serait surement faite agresser et tuer. Elle jouait le parfait petit rôle de la jouvencelle en détresse et c’était écœurant, honteux. Elle avait l’impression d’être un os que se disputaient Clint et Andrews vu la façon dont il parlait d’elle ce gros porc. Si seulement elle avait encore sa baguette, si seulement, elle l’aurait fait souffrir des heures et des heures justes pour qu’il l’ait supplie à son tour. Réalisant que c’est ce qu’elle voulait, elle tourna la tête vers les deux hommes, mais c’est le moment que choisit Clint pour laisser filtrer ce faisceau de lumière verte tellement significatif des mangemort avant que le corps lourd d’Andrews ne retombe mollement sur le sol, les yeux révulsés. Il l’avait tué. Non pourquoi il avait fait ça ! Comment elle allait laver son honneur maintenant ! Comment elle allait parvenir à se regarder dans un miroir…devant cette fatalité sans réponse, April détourna rageusement les yeux alors que Clint venait près d’elle en trois pas, s’agenouillant à son tour à ses côtés. Elle laissa les deux hommes débattre sur la marche à suivre et l’impulsivité du mangemort en essayant de refouler des sentiments qui l’a faisait bouillir de l’intérieur. Elle avait envie de hurler, de pleurer, de se frapper, de frapper Clint, de se cacher, de disparaître, de se laver, de vomir, elle ne savait même plus quoi penser, des images de ce qui venaient de se passer et de ce qui auraient pu se passer se mélangeant dans sa tête, tête qui allait surement exploser avec le choc qu’elle venait de prendre. April réalisa que Parker avait quitté la cabane avec le gros quand elle sentit le bras de Clint l’a soulevé un peu pour l’asseoir dos contre le mur, l’a faisant serrer une nouvelle fois la mâchoire, le souffle saccadée par la douleur. Elle n’osa pas le regarder et fixa un point invisible devant elle l’air absent. « T’en a pas marre d’être toujours blessée à chaque fois qu’on se voit ? » Dans d’autres circonstances surement qu’elle aurait rit, surement qu’elle lui aurait balancé une nouvelle vacherie dans la tronche et que ça serait partit en dispute avant que ça ne termine dans un lit, ou sous la douche ou peu importe du moment qu’ils ne portent plus de fringues. Ça fonctionnait comme ça, toujours. Et pourtant là, elle ne dit rien. Pas une vanne, pas un ta gueule bien sentit, rien, elle ne le regarda même pas laissant un silence lourd s’installer dans la cabane. Elle ferma doucement les yeux en appuyant l’arrière de son crâne contre le mur en essayant de contrôler sa respiration étrangement sifflante, elle voulait oublier. Elle voulait se lever, partir, brûler cette cabane qui autrefois avait été un endroit où elle venait se reposer, se réfugier et qui maintenant serait juste une scène de crime dans laquelle elle avait joué le rôle de la victime. Ecœurant.

Un léger courant d’air l’a fit violemment frissonner et elle rouvrir les yeux en se souvenant que son chemisier avait été arraché. Baissant les yeux elle vit avec horreur que son corps avait subit les chocs contre la commode. Des égratignures mais surtout des hématomes en devenir. Elle allait être belle demain. Ignorant la douleur de son poignet, elle tenta de refermer les pans déchirés de sa chemise pour cacher sa poitrine mise à nue, jamais elle ne s’était sentie autant dégradée et sale. Elle vit ses mains trembler et serra la mâchoire pour tenter d’apaiser le tremblement mais elle ne pouvait s’enlever du crâne tout ça. Tout ce qui aurait pu se passer, tout ce qu’elle aurait pu faire si elle avait été un peu moins sur le moment, si elle avait réfléchit. Tant de si qui lui tournaient dans la tête à la rendre folle. « Je veux partir d’ici. » ce fut les seuls mots qu’elle parvint à dire, sa voix lui paraissant étonnamment assurée malgré le tremblement de ses mains et la bile qui lui montait dans la gorge. Elle avait une boule dans la poitrine qui menaçait à tout moment d’exploser, cette boule qui annonce la crise de larmes de nerfs et de colère qu’on veut retenir et qui nous brûle de l’intérieur. Elle s’était résignée. Elle avait accepté. Elle n’allait rien faire. Quand Clint et Parker sont arrivés, elle avait baissé les bras tout simplement même en sachant ce qui allait suivre et après ça veut jouer les filles fortes. Pathétique. Arrêtant d’essayer de fermer son chemisier, April regarda d’un air absent ses mains et ses avants bras nus, elle se voyait sale, se sentait sale, elle avait l’impression de puer l’odeur de porc quand il s’était frotté à elle pour lui faire sentir ce qu’il voulait. Merlin si Clint et Parker étaient arrivés ce serait-ce que quelques minutes plus tard. « Enfoiré ! » April lâcha ça sans même se contrôler mais pas un seul instant elle ne regarda Clint, la tête toujours baissée. Elle ne voulait pas aggraver son cas, elle ne voulait pas qu’il lise ce dégout, cette honte dans ses yeux, déjà qu’il devait la prendre pour la dernière des faibles maintenant. « Tu n’avais pas le droit de le tuer Clint…c’était à moi de le faire ! Parce que je fais comment maintenant ! Hein dis-moi ! » Elle retourna ses mains comme pour lui montrer une saleté inexistante sur elle que elle seule pouvait voir et sentir mais sa voix se brisait au fur et à mesure qu’elle disait ces paroles insensées et complètement folles. « C’était à moi de le tuer, je devais le faire parce que maintenant je vais vivre avec ça, je vais vivre avec cette…crasse, j’ai l’impression de le sentir sur moi, son odeur, ses…mains…je devais le tuer pour laver mon honneur à défaut de mon corps qui….putain… » sans même s’en rendre compte au fur et mesure de sa tirade elle commença à se frotter les mains et les avants bras, d’abord avec la paume de ses mains, puis avec les ongles, marquant sa peau de griffure à vif et allant presque jusqu’à se faire saigner mais elle ne s’arrêta pas, ne se souciant même plus de passer pour une cinglée aux yeux de Clint, de se faire mal ou d’aggraver l’état de son poignet, elle voulait juste que cette odeur, cette souillure s’en aille, elle ne le supportait plus.


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