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 Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas]

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MessageSujet: Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas]   Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] EmptySam 7 Avr - 5:23

Ilyas and Lys ϟ « Faut-il aimer pour compter... »



    Il était vrai, Lys était jalouse, enfaite c'est l'une des raisons du pourquoi elle déteste ses parasites que son père appel "enfants". C'est tout simplement désespérant, comment peut-on vivre avec de telles aberrations de la nature, elle ne veut pas d'eux ici ! Elle hurle mais personne ne l'écoute, ses gâterie son finis, plus rien, juste un peu d'amour qui ne console rien, mais cela on lui vole. Plus aucun rapporte avec eux, juste de la solitude, le désespoir... Lys avait toujours tout fait pour que son père soit fière d'elle et lui, il reporte son amour sur des enfants qu'il n'avait jamais voulu connaître...

    "Écoutez moi !!!"


    Rien, jamais rien, toujours de l'injustice, toujours du blanc, un silence insoutenable qui finit par éclater avec une toute autre discussion... Elle ne le pardonnerais jamais, ils venaient de déclarer la guerre, Lys ne lâcherait pas, elle veut retrouver sa place d'avant, l'amour que lui portait ses deux parents...


    Aujourd'hui, elle reprendrait son poste chez les résistants et essayerait bien d'obtenir des infos confidentielles, ça elle savait y faire. Elle savait déjà qui elle irait flatter, l'un des ami de Ilyas, son cher demi-frère tant aimé... Elle avait fait connaissance avec l'ami de son frère alors qu'elle c'était introduit dans son groupe avec son sourire en coin, qui elle le savait très bien, faisait de l'Effet aux gars. Lys c'était bien aperçue, que ce Stefen avait réagi au charme de la jeune Serdaigle. La partie était presque gagnée, maintenant elle devait entrer dans les bonnes grâces de cet obscur et tous ça sans que Ilyas n'intervienne, il ferait tout gâcher. Il avait déjà gâché l'un de ses plans et s'étant immiscé dans la drague de sa demi-soeur et avait fait en sorte de la ridiculiser, se qui avait d'ailleurs marché. Lys était partie et c'était vengée plus tard en se faisant passé pour sa petite amie devant la fille qu'il convoitait et avait dégouté cette fille. Oui ces méthodes n'étaient pas très diplomates mais elle en prenait un malin plaisir et adorait jouer avec les sentiments de son demi-frère.

    Elle était partie manger avec Alister, elle comptait manger des cochonneries histoire qu'elle soit plus dégouté parce qu'elle a mangé que parce qu'elle va faire. Elle engouffra bien trois pancakes avec une part de gelé ainsi qu'un énorme verre de jus de citrouille. Elle passa une serviette sur sa bouche et regarda Alister "Beurk... Heureusement que je n'ai pas à faire ça tout les jours... C'est répugnant...". Puis, après ses paroles et se tient la bouche, elle se leva de table et courra vers la sortie. Elle se réfugia dans les toilettes et s'enferma, puis se posta au-dessus d'une lunette de toilette et vomis tout ce qu'elle avait prit la peine de manger ce matin. Au moins, pas de soucis à ce faire, elle était vraiment dégoûté parce qu'elle venait de faire mais, pour séduire il fallait mieux pour elle qu'elle se lave la bouche... Elle sortie de la cabine de toilette et alla vers les lavabos et se rinça la bouche. Puis elle s'essuya le visage avec du papier qu'elle jeta dans une poubelle par la suite...

    Elle arpentait les couloirs à la recherche de cet obscure pour lui faire du gringue et pour ça tous les moyens sont permis, oh ça oui ! Elle s'arrêta dans un coin du couloir, elle avait perçu son prétendant. Elle se passa la main dans les cheveux pour se recoiffer et les mis après sur son visage pour enlever le dégoût qu'elle a a faire cela. Puis Lys commençait à s'approcher du jeune homme le sourire au lèvres et sa démarche assurée. Elle ne voulait pas y aller brusquement, il avait l'ai d'avoir un temps soit peu de cœur, même si quand tu es obscure tu ne peux pas en avoir... Elle s'arrêta et lui fit un petit signe de main en guise de bonjour et fit l'un de ses plus beau sourire. Lys se mordit la lèvre inférieur et déposa un baiser sur la joue du jeune homme. "Alors, c'est quoi tes plans pour la journée ?". Elle se passa la main dans les cheveux et s'appuya contre le mur contre lequel il avait mit sa main. Tout sourire elle rapprochait ses lèvres de celles du jeune obscur et juste au moment où leurs lèvres allaient se froller, l'incontournable arriva. Le beau Xander, inaccessible Xander, Xander quoi, traversa le couloir. Lys se recolla contre le mur et se mit la tête entre les mains. Décontenancée elle ne faisait que de se répéter : "Pourvu qu'il ne m’aie pas vue !"...

    Elle se ressaisie et décida d'aller au but, que de toute façon elle pouvait rêver pour accéder un jour dans les bonnes grâces de se beau serdaigle, mais non, oublions ça, c'est un sale petit prétentieux d'obscur. N'empêche au lit... Argh... Lys posa l'une de ses mains sur la hanche du jeune homme pour le rapprocher d'elle, puis Lys entoura le visage du vert délicatement et colla ses lèvres sur les siennes. Elle l'embrassa et se laissa tripoter par cet obscur répugnant... Elle détacha ses lèvres de celles du jeune homme et laissa apparaître ses dents blanches à souhait et allait se dégager du mur et lui proposer d'aller faire un tour dans le parc quand il lui sauta dessus en la plaquant contre le mur, et en passant ses mains sous sa chemise. Elle ne contesta pas, mais était tellement dégoûté que même le petit déjeuner gras qu'elle venait de s’empiffrer ne changea rien.

    Lys le repoussa un peu, elle ne voulait pas se donner un genre de mari couche toi là et voulait garder un aspect de charmeuse mais sérieuse, ce que ce garçon faisait envoler. "Désoler, c'est juste que... enfin... t'es... le pote de mon frère... enfin....". Il sourit "Je comprend, mais je suis sûr qu'il est d'accord et puis même si il ne l'était pas, ce n'est pas lui qui me donnera des ordres....". Elle se mordit la lèvre inférieur de nouveau et déposa un léger baiser sur les lèvres du jeune homme et enchaîna : "Et si on se contentait de parler, de mieux se connaître ?". Il acquiesça d'un petit geste de la tête et se posa contre le mur pour entamer la discutions, mais commença par remettre une mèche de cheveux rebelle de Lys derrière l'oreille de celle-ci tout en lui caressant la joue.
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MessageSujet: Re: Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas]   Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] EmptyDim 15 Avr - 7:05


Lys & Ilyas : Les demi-frères
❝ Le soleil d'hiver pénétra dans le dortoir des classes préparatoires de Gryffondor. Ses rayons vinrent chatouiller le beau visage du Lion qui dormait paisiblement. Il se redressa doucement pour ne pas réveiller la jeune femme qui se trouvait à coter de lui. Il se pencha et chercha quelque chose dans son sac. Il en resortit une cigarette et un briquet. Ilyas ne fumait pas souvent. En faite, il fumait seulement quand il avait passé une nuit en bonne compagnie ou pour calmer ses nerfs quand il s'était, encore une fois, chamaillé avec son "adorable" demi-soeur qu'il détestait de tout son coeur. Exagérait-il ? Non, pas vraiment. Il fallait dire qu'elle devenait de plus en plus insupportable. Ilyas avait commencé réellement à la détester quand Lys avait traité sa mère de sang-de-bourbe. Sujet sensible, personne n'avait le droit de parler de sa mère en mal. La jeune Serdaigle s'était attirée les foudres du Lion et elle allait en pâtir. Après avoir allumé sa cigarette, il observa la jeune femme près de lui. Elle était belle. Ses longs cheveux bruns descendaient en cascade sur son dos nu. Le problème était qu'il ne se rappelait plus de son prénom. Encore une soirée bien arrosée. Ilyas caressa le dos de la jeune femme en suivant la courbe de sa colonne. De cette manière, il la réveilla doucement. Il tira sur sa cigarette quand la brune se redressa à son tour. Elle lui sourit et s'avança pour l'embrasser. Ilyas savoura se baiser, mais tout d'un coup il eu peur que la jeune femme interprète mal tout ça. Il n'avait aucune envie d'une relation, sérieuse ou non. Il la repoussa doucement. « Il faut qu'on descende déjeuner, si on veut pas être en retard en cours tu crois pas ? » Un peu maladroit, mais il n'avait pas envie de blesser la jeune femme juste au sortie du lit. Malheureusement, celle-ci n'avait pas l'air de comprendre. « Tu sais cette nuit était sympa, mais ça n'ira pas plus loin. » lui dit-il en la regardant dans les yeux. « Je suis désolée. » La jeune fille avait les larmes aux yeux, mais elle se ressaisit vite. « Quand arriveras-tu à te caser ? Toutes les filles n'attendent que ça et tu ne t'en rend même pas compte. T'attends quoi au juste ? » Le lion la regarda, stupéfait. Et il savait qu'elle avait raison. C'était un coureur de jupon et il adorait ça, il s'avait que les filles attendaient plus le plus souvent. Le problème était qu'il n'avait aucune envie de se mettre en ménage encore une fois et d'avoir le coeur brisé. Il observa la brune enfiler sa robe de sorcière et quitter la chambre en lui lançant tout de même un dernier sourire.

Après s'être passé un coup d'eau sur la figure, Ilyas se dépêcha d'enfiler son uniforme. Après s'être regardé une dernière fois dans la glace (oh ! qu'il avait des cernes ! ) pour voir s'il était à peu près présentable, il marcha en direction de la salle commune. Il n'y trouva Demyan, son meilleur ami. Il devait déjà être dans la Grande Salle et Ilyas décida de l'y rejoindre pour déjeuner. Il descendit les marches quatre à quatre. Il n'était pas pressé. En effet, il n'avait pas cours en première heure, mais ce n'était pas forcément le cas de ses amis. Il était devant les portes de la salle du réfectoire quand il vit Lys passer devant lui, sans même le remarquer. Elle traînait avec Alister, un garçon qu'Ilyas ne connaissait pas personnellement. Tout ce qu'il savait c'était qu'il était dans la même maison que sa bien aimé demi-soeur et qu'il avait le même âge. Ilyas la laissa passer sans encombre, il n'allait quand même pas la martyriser juste avant le petit dej'. Se ne serait pas bon pour son pauvre estomac. Il entra à son tour dans la grande salle et se rendit à la table des Gryffondors. Il s'installa près de son meilleur ami et mit un pancake dans son assiette. Le jeune homme commença à raconter sa nuit en laissant couler du miel sur les petites crêpes. Du coin de l'oeil, il observa sa demi-soeur. Elle était entrain d'ingurgiter des tonnes de pancakes et autre aliment qu'il y avait sur la table. Il donna un coup de coude à un ami qui se trouvait près de lui. Il se nommait Stefen. Ilyas lui montra du doigt sa "soeur". « On dirait un ogre. » Le garçon regarda Ilyas bizarrement, mais le beau lion ne chercha pas à comprendre. Ils finirent de déjeuner dans le silence. Demyan partit en cours et Stefen prétexta un rendez-vous avec quelqu'un. Le jeune russe se retrouva donc seul. N'ayant rien à faire, il partit traîner dans les couloirs de Poudlard.

Ilyas marchait doucement dans les couloirs, ne sachant pas où aller. Il fit un groupe se former devant lui. En approchant, il remarqua que c'était des élèves de septième année et Serdaigle en plus. Ilyas chercha Benjamin des yeux et le trouva deux têtes plus loin. Quand il passa devant lui, il lança : « Salut, mon bichon ! » se retenant de rire en voyant les têtes que faisaient ses collègues. Il lança un clin d'oeil entendu à Ben. C'était leur petit jeu. Ils s'amusaient des réactions des autres quand le dragueur de ses femmes donnait un petit surnom mielleux au plus populaire des gays. Ilyas n'avait aucun préjugés sur les orientations sexuelles des autres, c'est pourquoi il n'y avait aucune raison pour qu'ils ne s'entendent pas. Ilyas continua son chemin sous le regard surpris de certains élèves. Il monta un étage et tout en marchant, il entendit du bruit un peu plus loin. Encore des élèves à batifoler dans les couloirs, Ilyas allait les surprendre. Il continua son chemin et fut choquer par l'image qu'il vit au détour du couloir. Les deux jeunes gens ne l'avaient pas encore vu. Il observa de loin Lys et Stefen s'embrasser. Il se mit contre le mur et croisa les bras. Il regarda Lys repousser l'obscur un petit peu, tout en restant proche de lui. « Désoler, c'est juste que... enfin... t'es... le pote de mon frère... enfin.... » Il s’empêcha de rire à sa remarque. Comme si elle se préoccupait de ce qu'il pensait et de ce qu'il pouvait ressentir. Il savait pertinemment que Lys prenait un malin plaisir à le faire passer pour un débile ou tout simplement à le faire tourner en bourrique. Il se souvint du dernier coup que la serdaigle lui avait fait. Elle s'était fait passer pour sa petite amie au près d'une fille qui intéressait Ilyas. Il l'avait au travers de la gorge et elle allait le payer. La vengeance est un plat qui se mange froid. Il fut encore plus surprit par les paroles de son "ami". « Je comprend, mais je suis sûr qu'il est d'accord et puis même si il ne l'était pas, ce n'est pas lui qui me donnera des ordres... » Alors comme ça, il en avait rien à faire de son avis ? Lys était quand même sa "soeur", même si il ne l'avait jamais voulu. Les deux jeunes gens ne l'avaient pas encore vu. Lys embrassa encore une fois Stefen, puis se mordit les lèvres. « Et si on se contentait de parler, de mieux se connaître ? » Voila où elle voulait en venir. Elle voulait mieux le "connaître". Bien sur. Elle voulait surtout connaître les plans des obscurs. Ilyas décida d'intervenir avant qu'il ne soit trop tard. Il ricana, assez fort pour que les deux personnes l'entendent. Le lion s'avança vers eux, tout en disant : « Alors Stefen, c'était donc elle ton fameux rendez-vous ? » dit-il avec un sourire pervers. Il jeta un regard vers sa demi-soeur. Il était vrai qu'elle était jolie, mais elle était tellement insupportable. « A mon avis, tu ne choisis pas bien ta compagnie » dit-il toujours en regardant Lys. « Rassures-moi, tu sais que c'est ma demi-soeur ? » Cette fois-ci, il s'était tourné vers le jeune homme. Stefen hocha la tête. Ils se regardaient droit dans les yeux. « Eh bien, je te conseillerais de ne plus l'approcher. C'est une vrai sangsue. Bon allez, maintenant casse toi ! » lui lança-t-il. Ilyas observa l'obscur partir. Ce dernier lança des regards en arrière. Avait-il peur pour Lys ? Le lion se demanda si il tenait réellement à elle. Si il savait qu'elle se servait de lui. Il secoua la tête, tout en rigolant. « On est plus que tous les deux, maintenant D'Aragon. » dit-il en la regardant. Il se mit contre le mur. Le combat de coq allait commencé. Il était seul dans le couloir maintenant. Il savait que Lys était préfète, mais ça ne changeait rien. Elle savait très bien que si elle lui enlevait des points pour mauvaise conduite envers elle, elle subirait encore plus qu'elle n'avait jamais subit. Entre les demi-frères tous les coups étaient permis, ou presque. « A l'avenir, ne dragues plus mes amis. C'est un conseil. Tu croyais vraiment que tu allais pouvoir lui tirer les vers du nez ? » Il rigola. C'était tellement absurde. « Dis-moi jusqu'où aurais-tu été prête à aller ? C'est juste par curiosité. » Ilyas avait un regard carnassier. Il allait la manger tout cru. ❞ © code de CJ.POMME'
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MessageSujet: Re: Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas]   Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] EmptyLun 16 Avr - 9:49


Ilyas et Lys
Marcovic et D'aragon
Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] 16.61
    Alors qu'elle c'était mise contre le mur et était en train de faire son sourire freedent et dévorait Stefen du regard, enfin elle cachait sa honte et laissait percevoir ça nature de garce. Oh ou elle en était une, et parfois un peu trop imbu d'elle même mais, elle disait que c'était pour la bonne cause. Si elle le pouvait elle irait se confesser pour sa conduite, parce qu'au fond, elle voulait seulement bien faire et rendre fier son père. Ce qui semblait mal partit, puisqu'il ne s’intéressait plus qu'à ses "nouveaux" enfants, qu'elle détestait par ailleurs. Et l'un d'eux ne pu qu'intervenir dans la drague intempestive de Lys. Ilyas, ra qu'est-ce qu'il était détestable, c'était l'un de ses gars qui se sentait trop beaux pour les autres et qui passe ses soirées au lit avec des filles différents tous les soires. Autant dire qu'il était superficiel mais, qu'était Lys ? Une prostitué ? Elle ne c'était pas posé la question pour elle, Lys trouvait ça normale, de coucher avec des gars pour des infos, enfin c'était vraiment au dernier recours.
    « Alors Stefen, c'était donc elle ton fameux rendez-vous ? », Lys sourit tout en tournant son visage vers Ilyas, qui arborait un sourire de perversité. Lys qui voulait bien montré à son demi-frère qu'elle n'était pas n'importe qui et qu'elle n'a pas peur de lui, elle déposa un doux baiser sur les lèvres de Stefen et passa son bras autour des hanches de celui-ci tout en narguant Ilyas qui les regardait. Celui-ci continua : « A mon avis, tu ne choisis pas bien ta compagnie », elle se mit à rire et à lancer un regard vainqueur à son demi-frère, pour lui faire passer le message qu'elle gagnerait, qu'elle avait Stefen, quoi qu'il puisse dire. Mais le rouge, ne s'arrêta pas pour autant de parler : « Rassures-moi, tu sais que c'est ma demi-soeur ? ». Lys lâcha le jeune homme et s'approcha de son demi-frère et une fois à quelques centimètres de lui elle dit : "Qui ne le sait pas... Ilyas, la jalousie te va mal, un cheveux blancs se laisse percevoir, attention je ne voudrais pas que tu me fasses honte." elle rigola et retourna près du rouge qu'elle draguait. Les demis-frères se regardaient droits dans les yeux et le lion enchaîna : « Eh bien, je te conseillerais de ne plus l'approcher. C'est une vrai sangsue. Bon allez, maintenant casse toi ! ».
    Tout en laissant partir l'obscur, elle ne pu s'empêcher de rigoler, ah Ilyas était tellement drôle quand il le voulait, c'était à se tordre. Alors qu'elle allait dire quelques choses, le rouge la coupa en rigolant et disant : « On est plus que tous les deux, maintenant D'Aragon. ».
    Alors qu'elle était elle aussi contre le mur, il se mit à côté et Lys recouvra son sérieux et replaça son insigne de préfète sur son gilet noir pour montrer à Ilyas qu'elle avait du pouvoir et qu'elle n'hésiterait pas à s'en servir. Elle ne dit rien, elle attendait juste les protestations de son demi-frère et ses mises en gardes, oh oui elle les connaissaient et ça la faisait rire, parce que pour elle rien ne la liait à Ilyas, ce n'était pas son frère et ça ne le serait jamais, oh ça non, bien qu'il envahisse sa maison ça ne lui donnait pas le titre de frère,oh grand jamais. « A l'avenir, ne dragues plus mes amis. C'est un conseil. Tu croyais vraiment que tu allais pouvoir lui tirer les vers du nez ? » Il rigola et Lys se décolla du mur s'en lâcher du regard Ilyas. « Dis-moi jusqu'où aurais-tu été prête à aller ? C'est juste par curiosité. », il l'a regardait à présent d'un regard tellement méchant que l'on aurait dit qu'il l'a mangerait sur place, crue qui plus est. Oh ça ne faisait pas peur à Lys, elle avait déjà eu à faire à se genre de regard qui était juste déroutant mais pas intimidant et elle s'enquit de répondre tout en souriant et en marchant autour de lui : "Oh tu le sais très bien, jusque où j'aurais été capable d'aller et tu ne me fais pas peur, tes conseils me passe par-dessus la tête, j'en ai que faire. Et toi ? Jusqu'où es-tu capable d'aller ?" elle s'arrêta devant lui et s'approcha jusqu'au point d'avoir ses lèvres à quelques centimètre de celles d'Ilyas. "Hein, que feras-tu de moi ?" dit-elle avec son sourire de séductrice. Elle posa sa main sur le torse de son frère, puis recula d'un coup en rigolant. "Que feras-tu pour m'empêcher de nuire ? Tu ne me tueras quand même pas ?! Tu aurais de sales problèmes si tu faisais ça. A moins que tu veuilles juste m'enfermer dans un placard comme tu me l'a déjà fait. Ou serais-tu condamner à m'avoir sur les bras et tu sais à quel point je peux être collante et qui plus est chiante." elle s'arrêta et sourit. "Mon pauvre." elle prit son regard de compassion, puis se remit à rire. Lys s'approcha de nouveau de lui et lui lança un regard pour le questionner. "Hein, que feras-tu ?" La Serdaigle se replaça près de son frère et tourna la tête vers lui et déposa un baiser sur la joue du Lion et dit : "Ah moi, ta sœur ? Hein ?", elle fit son regard de chien battu et attrapa le bras d'Ilyas avec ses mains et le colla à elle. Lys posa ensuite son menton sur l'épaule de son demi-frère et s'approcha ses lèvres des oreilles du Lion et lui chuchota. "Que suis-je ? Dit le que tu me déteste...". Elle n'attendait qu'une chose, un prétexte pou lui retirer des points. Elle le provoquait et finit par lui déposer un baiser à cheval sur sa joue gauche et ses lèvres. "En suis-je pour autant une pétasse ? Dit le ! Que suis-je ? Aller répond et ne dit pas que je te fais pitié, parce que ce n'est pas ce que je te demande.". Elle le lâcha et s'éloigna en ruminant. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait, elle avait perdue les pédales et était e train de foncer tout droit dans le mur sauf qu'elle n'avait pas attacher sa ceinture...
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MessageSujet: Re: Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas]   Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] EmptyMar 17 Avr - 20:50



Lys & Ilyas : Les demi-frères
❝ Ilyas regardait sa demi-soeur draguer son ami. C'était assez risible. Lys affichait son plus grand sourire pour le séduire. Elle mettait tout de son coté pour l'avoir dans sa poche. C'était sans compter sur Ilyas pour gâcher ses plans. C'était en quelque sorte son passe temps préféré. Il fallait dire que le lion et l'aiglon aimait beaucoup se pourrir la vie. Le jeune homme se rappela quand ça avait commencé. C'était quelques jours après son arrivé à Londres, Lys avait commencé à le chercher, critiquant sa mère. Quelque chose qu'elle regretta dès qu'elle reçut la main du lion sur sa belle figure. Il ne fallait pas attaquer sa famille, elle l'avait comprit désormais. Ce qui ne l'empêchait pas quelques fois d'enfoncer le clou. Elle se faisait rembarrer direct, Ilyas ne se laissait pas marcher sur les pieds. Loin de là ! Il avança jusqu'au amants, leur faisant une remarque avec un sourire pervers. Lys, quand à elle, avait tourné son regard vers son demi-frère. Ne laissant pas Stefen répondre, la jeune femme s'avança vers lui et l'embrassa devant Ilyas, quelque peu dégoûté par cette vision. Puis elle passa son bras autour des hanches du jeue homme. Elle voulait donc jouer à ce petit jeu ? Ca ne durerait pas longtemps ! Elle le narguait, imaginant qu'Ilyas ne dirait rien et laisserait son ami la bécoter. Elle rêvait un peu trop. Ilyas continua à parler, s'adressant encore à Stefen. Il lui disait son point de vu sur ses relations. Il entendit le rire de Lys résonner dans le couloir, tout en lui lançant un regard de vainqueur. Croyait-elle vraiment avoir gagner ? Elle se réjouissait bien trop vite. Ilyas était bien loin d'avoir terminer. Quand le lion demanda à Stefen si il se rappelait que cette sangsue, cette ogre comme il l'avait appelé devant lui, était sa demi-soeur. Lys réagit en premier, elle lâcha sa proie et s'approcha de son frère. Se plaçant à quelques centimètres de lui. « Qui ne le sait pas... Ilyas, la jalousie te va mal, un cheveux blanc se laisse percevoir, attention je ne voudrais pas que tu me fasses honte. » Lys ria encore une fois, puis elle repartit se positionner près du jeune homme de la même maison que le lion.« Jaloux ? De quoi ? De lui ? Parce que tu la dragues ? » répliqua-t-il en pointant le doigt vers Stefen.« Laisse moi rire. J'en ai rien à faire que tu dragues. C'est juste le pourquoi tu le fais. » Désormais, ils regardaient dans les yeux. Oui, Ilyas se doutait du pourquoi elle dragait ses amis car bizarrement ils étaient tous obscurs. Etant une résistante convaincue, elle ne pouvait que faire ça pour avoir des informations sur le clan d'Ilyas. Il était bien décidé à ne pas la laisser faire, il protégerait son clan de sa demi-soeur coûte que coûte. Il continua à parler et pria Stefen de partir. Lys ne fit rien pour le retenir, elle rigolait tout simplement. Ilyas avait l'impression qu'elle se moquait de lui, mais pas pour longtemps ça c'était sûre.

Avant qu'elle n'est pu dire quelque chose, Ilyas la coupa. Il n'était plus que tout les deux. Ils allaient s'amuser. Elle était contre le mur et Ilyas s'y installa lui aussi, lui faisant face. Il la vit changer d'expression, elle retrouva quelque peu son sérieux. Puis la serdaigle sortit son insigne de préfète, Ilyas prenait ça comme une menace. Bien sur, il savait que la jeuen femme était une préfète, mais ce n'est pas ça qui l'arrêterais, bien au contraire ! Ilyas retint son rire. Elle était quelque peu pathétique. « Tu crois que ton rang de préfet me fait peur ? Sérieusement ? » Un grand sourire moqueur se lisait sur ses lèvres. « C'est que tu me connais mal, Lys. Tu sais en dehors de ses murs, tu n'es plus rien. Seulement, une petite fille. » enchaîna-t-il. « Et puis ce n'est pas ce petit insigne qui va m'empêcher de te pourrir la vie. Je te manquerais trop. » dit-il, en lui faisant un clin d'oeil. Leur petit guerre s'étendait au delà des murs de Poudlard, à la maison s'était la même chose. Et Lys avait intérêt à faire attention à ses fesses si elle continuait comme ça. Les vacances dernières, elle avait eu une semaine de répit car Willfrid, son ami d'enfance, lui avait rendu visite. Ilyas et Will cachaient leur amitié et le sujet de Lys était souvent un conflit entre eux. Le jeune russe avait donc fait un effort cette semaine là. Ilyas continua à parler, lui conseillant de ne plus trop s'approcher de ses amis. Sur ses paroles, Lys s'était décollé du mur et lui faisait face. Il fini en lui demandant jusqu'où elle aurait été capable d'aller, tout en lui lançant un regard méchant. Il aimait lui faire peur. Elle n'avait pas l'air déstabilisé, en tout cas elle ne laissait rien paraître. Elle s'avança en souriant et marcha près du jeune homme. « Oh tu le sais très bien, jusqu'où j'aurais été capable d'aller et tu ne me fais pas peur. Tes conseils me passent par-dessus la tête, je n'en ai que faire. Et toi ? Jusqu'où es-tu capable d'aller ? » L'aiglon s'était arrêté devant lui et elle s'approchait dangereusement de lui, s'arrêtant à quelques centimètres de ses lèvres. Elle voulait l'intimider ? Bien. Voyons-voir comment la petite D'Aragon se débrouille. Il la laissa continuer, la regardant dans les yeux. « Hein, que feras-tu de moi ?» Elle avait son éternel sourire de séductrice. Elle posa ses mains sur son torse, doucement, presque sensuellement. Essayait-elle de la draguer ? Puis elle recula brusquement, tout en rigolant. Ilyas l'observait avec un sourire en coin, moqueur, presque imperceptible. « Que ferais-tu pour m'empêcher de nuire ? Tu ne me tuerais quand même pas ?! Tu aurais de sales problèmes si tu faisais ça. A moins que tu veuilles juste m'enfermer dans un placard comme tu me l'a déjà fait. Ou serais-tu condamner à m'avoir sur les bras et tu sais à quel point je peux être collante et qui plus est chiante. » Elle s'arrêta nette, tout sourire. Ilyas ne pipa pas un mot, il la laissa continuer. Elle était tellement marrante, mieux valait la laisser continuer pour mieux l'abattre plus tard. En ce moment, elle devait se sentir supérieur. Qu'elle en profite, ça n'allait pas durer. « Mon pauvre. » Elle lui lança un regard plein de compassion, mais ça sonnait faux. Puis elle rigola. Son rire commençait à devenir insupportable aux oreilles d'Ilyas. Il ferma les yeux pour ne pas exploser. Quand il les rouvrit, Lys s'était approchée de lui. Elle le regardait tout en le questionnant encore une fois : « Hein, que feras-tu ? » Elle se plaça face à lui et soudain, elle déposa un baiser sur la joue du jeune homme. Ce dernier fut surpris. Qu'est-ce-qu'il lui prenait ? Elle ne lui laissa même pas le temps de réagir. « Ah moi, ta sœur ? Hein ? » Sa soeur ? Depuis quand elle se considérait comme sa soeur ? Ils avaient le même père, mais ce n'est pas pour autant qu'Ilyas la considérait réellement comme sa soeur. Il la regarda avec son aire de chien battu. Il leva un sourcil, voulait-elle vraiment sa compassion ? Elle pouvait toujours rêver. Elle attrapa le bras droit d'Ilyas avec ses deux mains. Qu'allait-elle encore faire ? Il sentit son corps se coller au sien. Situation de plus en plus étrange, mais il ne dit rien pour le moment même si il avait très envie de l'envoyer valser. L'oiseau bleu posa son menton sur l'épaule du lion. Puis elle continua, approchant sa bouche de l'oreille du jeune homme. « Que suis-je ? Dit le que tu me déteste... » lui chuchota-t-elle. Elle le poussait à bout. Elle faisait tout pour qu'il craque. Sans lui laisser le temps, elle déposa un baiser à cheval entre ses lèvres et sa joue. Ilyas bouillonnait. Elle avait franchit les limites et elle ne s'en tirerait pas comme ça. Elle voulait jouer, il allait jouer. Mais il ne lui ferait pas plaisir en l'insultant ou tapant comme elle le voulait pour lui retirer des points. Lys continue à parler.« En suis-je pour autant une pétasse ? Dit le ! Que suis-je ? Aller répond et ne dit pas que je te fais pitié, parce que ce n'est pas ce que je te demande. » Elle le lâcha et recula, laissant un espace vitale entre-eux deux.

Ilyas se redressa. C'était à son tour de jouer avec elle. Il croisa les bras sur son torse. Il la regarda dans les yeux. Il se passa la langue sur les lèvres, avant de lui montrer son plus beau sourire de carnassier. Lys l'avait chercher, il la trouverait. « Tu sais ce que tu viens de faire là... C'est à la limite de l'inceste. » lui dit-il avec une petite grimace. « Imagines que j'aille le répéter à quelqu'un. Ça pourrait nuire à ta réputation. Se serait dommage quand même. » lui dit-il. Il lui fit une petite moue compatissante. « Et n'essayes pas d'inverser les rôles surtout. Personne ne te croirait. C'est ta parole contre la mienne et il faut mieux ne passe se frotter à moi. » lui dit-il avec un clin d'oeil. Ilyas se rapprocha à son tour dangereusement de Lys. Il lui sourit. Il la fini reculer jusqu'à ce qu'elle touche le mur de l'autre coté du couloir. Il plaça ses mains sur ce même mur de chaque coté de la serdaigle. « L’oisillon s'est amusé à se frotter au lion... » commença-t-il. Puis il se pencha et il plaça à son tour ses lèvres près de son oreille : « Es-tu sur de vouloir jouer à ce petit jeu ? » lui susurra-t-il « Parce que je suis très fort. » Il se recula et regarda l'insigne qui prouvait qu'elle était préfète. Il le prit du bout des doigts. Il sourit. Puis il entendit des pas, quelqu'un s'avançait dans le couloir. Ilyas tourna la tête vers cette personne. C'était un première année. Ilyas recula un peu et le laissa passer. Le petit baissa la tête voyant des plus grands que lui. Il lança un regard vers Ilyas, méfiant. Ce dernier donna un coup de tête vers la droit pour lui dire de déguerpir. Il n'allait pas lui faire du mal comme le croyait ce première année. Pour l'instant, il s'occupait de sa demi-soeur. Justement, il releva la tête vers cette dernière. Il recula encore un peu, et s'appuya sur le mur face à Lys. « Ah, oui. Tiens, je vais répondre à tes questions. » lui dit-il. « Alors dans un premier temps, je vais te dire pour qui je te prends. Pour moi tu es une peste, garce et une pétasse comme tu l'as dit. Ça ne fait aucun doute. » lui répondit-il sans aucun scrupule. Elle voulait savoir ce qu'il pensait d'elle et bien c'était fait. « Et en effet, je te déteste. Tout comme toi, tu me déteste. Et je dois quand même ajouter que tu me fais pitié. » rajouta-t-il avec un sourire narquois. Elle lui avait poser une autre question. Qu'allait-il faire d'elle ? A croire qu'elle le craignait tellement. « Et pour ton autre question, il est bien sur improbable que je te tue. Je ne ruinerais pas ma vie pour toi, loin de là. » Il haussa les épaules. Si il la tuait, il était certain de partir à Azkaban et ce petit séjour n'était pas dans ces plans. « Et puis, ce ne serait pas drôle. Je préfère te cuisiner à petit feu et t'enfermer dans encore pleins d'autre placard. » ajouta-t-il en rigolant. Il se décolla du mur et se tint au milieu du couloir.« Je m’ennuierais à la maison aussi sans personne à embêter. Je dois quand même avouer que t'es quelqu'un d'insupportable que j'ai déjà penser à t'abandonner quelque part, mais NOTRE papa ne serait pas très content. Je ne voudrais pas le décevoir. Tu comprends ce que je veux dire, n'est-ce pas. » dit-il, son sourire s'élargissant encore plus. Point sensible pour Lys qui se croyait abandonner par son père. Il attendait la réaction de l'aigle.❞ © code de CJ.POMME'
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MessageSujet: Re: Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas]   Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] EmptyMer 18 Avr - 7:15

Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] 18.25

    Elle ne savais pas vraiment ce qu'elle faisait mais était bien sûr d'une chose, c'était qu'elle n'aurait jamais du faire quoi que ce soit. Lys ne regrettait tout de même pas, on ne récolte rien sans rien, bien au contraire de se qu'il disait, qu'elle était chiante et collante, il était aussi fourbe à son égard et n'hésitait à la remettre dans le "droit chemin" et Lys n'ayant pas l'habitude qu'on empiète sa plate bande pour tous mettre en désordre l'énervait au plus au point. Elle devait l'avouer elle n'avait pas toujours fais preuve de diplomatie et pas non plus de limite mais ça on ne lui avait jamais apprit, la vie en collectivité elle ne l'avait jamais vécue autre qu'à Poudlard au paravent. Elle avait toujours été seule et le centre du monde de ses parents et voilà qu'eux, les Marcovic débarque et mettent la pagaille dans sa tête. Comment réagir ? Montrer sa peur, sa faiblesse ? Que faire à part se montrer forte et méchante ? Ah, derrière tous ses gestes qu'elle fait peut-être ce cache l'envie d'apprendre. Elle n'avait eu d'autre exemple que son père ou sa mère durant toute son enfance, peut-être voulait-elle tester la fiabilité des Marcovic et l'envie de ressembler et s'attacher à d'autre personne. Ou veut-elle tout simplement marquer son territoire n'embête juste pour embêter, juste pas ennuie et mépris. Tout ce qu'on sait c'est qu'elle n'est pas du genre à se faire marcher sur les pieds et Ilyas avait beau trois ans de plus qu'elle, elle n'en était pas moins intimidé ni désavantagé, parce que c'est notre envie que passe par dessus tout le reste pour réussir et non l'âge ou l'expérience.
    Elle pouvait paraître peste ou dévergondée, mais tous ce qu'elle voulait faire, 'était une place à Poudlard parce qu'elle n'avait pas comme son cher demi-frère une réputation et coureur de jupon et des histoires de coucheries, parce que ça, elle entendait et savait. Peut-être lui ressemblait-elle en faisant ça, enfin elle c'était comme elle le disait, pour ne pas culpabiliser, c'était pour la bonne cause. Lys voulait se mettre à part, autre que ses conquêtes elle ne faisait rien qui pourrait nuire à son image, enfaite elle ne voulait pas faire mal, juste se faire une place et elle n'a trouvé que la résistance, parce qu'il n'y avait plus que ça qui la reliait directement à son père. Qui lui semblait trop captivé par la venue de ses "bâtards". Elle l'avouait, elle était jalouse et mettait ça sur le dos des autres, parce qu'enfaite, peut-être qu'elle n'était pas aussi forte qu'elle pouvait le prétendre, peut-être était-elle une guimauve ? Qui sait...
    Maintenant qu'il venait de lui piquer son insigne qu'elle avait fièrement attacher à sa chemise, parce que ça au moins ça montrait qu'elle n'était pas rien, enfin plus que que ce que Ilyas persistait à dire et à croire. Mais ça il ne pouvait pas comprendre, parce que tous lui réussissait, mais elle ne s'abaisserait pas à ce genre d'intimidation et surtout de provocation. Oh ça non. Tout comme elle ne s'abaisserait pas à enlever des points juste parce qu'il la taquine et s'amuse à la provoquer. Non, elle montrerait qu'elle plus intelligente que ça. « Tu crois que ton rang de préfet me fait peur ? Sérieusement ? C'est que tu me connais mal, Lys. Tu sais en dehors de ses murs, tu n'es plus rien. Seulement, une petite fille. Et puis ce n'est pas ce petit insigne qui va m'empêcher de te pourrir la vie. Je te manquerais trop. ». Il venait de toucher un point qui faisait mal, c'est donc ainsi qu'elle lui arracha l'insigne des mains tout en le défiant du regarde et en s'éloignant. Puis une fois, être replacé de telle sorte qu'elle puisse le regarder droit dans les yeux et dire : "Je ne crois rien, juste que je suis préfète et que tu aurais tords de me chercher." marquant une petite pause. " Que cette petite fille comme tu dis, reste la même au château comme chez elle et que tu ne l'affecteras pas plus, tu pourrais juste me montrer que je ne suis rien en disant ça, que je suis insignifiante. Et crois le ou non mais tu ne me manqueras pas, désoler de te l'apprendre, mais tu empiètes sur mon espace vitale.".
    Puis après avoir perdus littéralement les pédales, elle savais qu'Ilyas la remettrait à sa place comme il avait l'habitude de faire. Comme il le faisait toujours et le ferait toujours. « Tu sais ce que tu viens de faire là... C'est à la limite de l'inceste. Imagines que j'aille le répéter à quelqu'un. Ça pourrait nuire à ta réputation. Se serait dommage quand même. Et n'essayes pas d'inverser les rôles surtout. Personne ne te croirait. C'est ta parole contre la mienne et il faut mieux ne passe se frotter à moi. » . Quel beau parleur, il savait y faire pour menacer, mais ça ne se passerait pas comme ça, certainement pas, elle ne s'écraserait pas, non et ferait-elle peut-être n'importe quoi, mais elle tenait à avoir toujours le dernier mot, quitte à se faire humilier et ça elle savait qu'il en était capable. Elle ne réagissait pas à ses affront, ne contentant juste de soupirer et se tenait au milieu du couloir.
    Maintenant c'était à son tour de la provoquer, ce qu'il fit en s'approchent d'elle tout en arborant l'un de ses sourire démoniaque qu'elle ne connaissait que trop bien. Lys recula à force qu'il se rapprochait d'elle et il finit par la faire s'appuyer contre le mur et encercla la jeune fille en posant ses mains de chaque côtés d'elle sur le mur. Elle n'avait qu'une envie, rétorquer que se qu'il faisait était aussi inceste mais c'était normale, Monsieur était permis de tout faire bien sûr, c'est connu. « L’oisillon s'est amusé à se frotter au lion... » dit-il se qui fit rire Lys, elle était plié mais vu qu'il disait ça avec sérieux elle se replaça correctement sur le mur et regarda avec un grand sourire son demi-frère. Il rapprocha ses lèvres des oreilles de Lys et lui chuchota : « Es-tu sur de vouloir jouer à ce petit jeu ? Parce que je suis très fort. ». Il recula et elle sourit, elle voulait se reprendre en main et riposter parce qu'elle aussi était très forte à ce jeu, c'est l'un des points communs qu'ils ont aussi, ils n'abandonnent pas. Ilyas regarda l'insigne de la jeune femme et sourit, il réparait un coup bas, ça c'était obligé, il jetait un regard désoler et tellement méchant. Elle avait appris à lire tous les regards qu'il lançait et était plutôt forte pour les déchiffrer, Lys n'en n'était pas peu fière.
    Un élève de première brisa la tension qu'il y avait, elle aurait aimé que celui-ci arrive plus tôt et passe quand Ilyas avait les bras autour d'elle et son petit sourire satisfait, les bruits se rependent vites... Alors que le gamin qui baissait les yeux au sol par l'intimidation que lui procurait la Serdaigle et le Gryffondor, il jeta un regard vers le lion qui l'envoya promenait d'un coup de tête pour le faire partir. Ilyas c'était reconcentrée sur Lys et avait reculé pour s'adosser au mur parallèle à celui où Lys se trouvait. Elle était tout ouïe et se demandait à quel coup bas s'abaisserait-il. « Ah, oui. Tiens, je vais répondre à tes questions. Alors dans un premier temps, je vais te dire pour qui je te prends. Pour moi tu es une peste, garce et une pétasse comme tu l'as dit. Ça ne fait aucun doute. Et en effet, je te déteste. Tout comme toi, tu me déteste. Et je dois quand même ajouter que tu me fais pitié. » Ça au moins c'était dit, elle ne s'en vexa pas et en sourit même, maintenant elle avait les idées fixés. Ce qui la fit rire c'est qu'il lui dit ça de but en blanc, mais sincère qui plus est et maintenant elle savait à quoi s'attendre. Tout de même ça lui faisait quelques choses, parce que contrairement à ce qu'elle pouvait montrer elle ne s'enfichait pas de l'avis des autres sur elle et là, bien qu'elle l'avait forcé à dire ça, elle est resta un peu perplexe et blessé mais le cache par son légendaire sourire moqueur et regard vide. Lui aussi souriait, fier de sa réponse et il ne s'arrêta pas là, oui, la journée s'annonçait longue. « Et pour ton autre question, il est bien sur improbable que je te tue. Je ne ruinerais pas ma vie pour toi, loin de là. Et puis, ce ne serait pas drôle. Je préfère te cuisiner à petit feu et t'enfermer dans encore pleins d'autre placard. »
    Ah voilà dont ses plans, bien sur qu'il ne la tuerait pas, elle avait émis cette hypothèse par pure provocation. Lui ça ne le faisait pas rire, il s'en détacha donc du mur et pris place au milieu du couloir. « Je m’ennuierais à la maison aussi sans personne à embêter. Je dois quand même avouer que t'es quelqu'un d'insupportable que j'ai déjà penser à t'abandonner quelque part, mais NOTRE papa ne serait pas très content. Je ne voudrais pas le décevoir. Tu comprends ce que je veux dire, n'est-ce pas. » Il souriait fier de sa réplique, qui ne fit par rire Lys, qui au contraire s'approcha de lui en courant. Désormais elle ne souriait plus, elle en avait pas de quoi, elle avait juste envie de le tuer sur place, de le déchiqueter en pièce. "MON père, il restera le mien, tu n'es rien, juste qu'un bâtard qu'il a abandonné ! Pourquoi es-tu l'as, hein ? Parce que mon père avait pitié et s'en sentait obligé, pour tous ce qu'il fait d'ailleurs. Tu n'es rien et restera à jamais rien ! Tu m'entends ?! C'est MON père, le mien !". Elle rigola et commença a lui tourner au tour, pour se détendre elle le provoqua en le touchant. Tout en passant autour de lui, elle laissa sa main se balader sur son dos, son son bras... Lys s'arrêta de nouveau devant lui et continua, cette fois sur un ton raisonnable : "Il a abandonné ta mère, tu t'en souviens, c'est pour ça que tu n'as pas eu de père, parce que ma mère à fait l'unanimité sur la tienne, ce qui prouve que tu n'est rien. Mais maintenant que la tienne est morte et que la mienne non, je suis en de meilleurs positions." Elle s'éloigna en rigolant.
    Puis elle se tourna de nouveau vers lui en lui lançant un regard faussement compatissant et le dévisagea à présent de son regard d'Amazone avec le sourire en coin et fit bougé l'un de ses sourcil en soupirant et elle dit : "Oh que je suis sûr de vouloir jouer à ce petit jeu. Le lion est-il d'attaque." dit-elle pour se moquer clairement de lui. Ça lui avait tellement faire rire qu'il ai utilisé ça pour l'intimider, au contraire, ça avait provoqué un fou rire chez l'"Aigle". Elle n'arrivait plus à s'arrêter, à peine elle se calmait que c'était repartit pour un tour. "A t'es trop drôle toi !". Puis soudain elle recouvrit tout son sérieux, elle n'avait pas oublié l'affront qu'il lui avait envoyé en incluant son père dans la conversation, ça ne lui avait pas du tout plus et elle n'hésiterait pas à se moquer de la mère d'Ilyas étant donné qu'elle était une née-moldue, ce qui est sérieusement une blague, un obscur fils d'une sang-de-bourbe. Comment peut-on rejoindre se clan alors que toutes leurs valeurs sont basé sur l'extermination des inférieurs, dit le sang-mêlé et sang-de-bourbe, voir même les cracmoles. Ce n'est pas comme à l'église où tu es pardonné, là c'est comme une marque que tu gardes à vie. Elle jouerait avec ça, c'est certain. C'est d'ailleurs maintenant qu'elle le lancerait, histoire d'oublier l'histoire de son père. "Les obscures te considèrent-ils vraiment comme un ami ou juste comme un moins que rien ? Tu te sent pas un peu tâche dans ce clan de sang-pur ? T'es en train de revendiquer ton droit de pouvoir être sorcier, ainsi que ta pauvre mère. Tu te souviens, celle qui t'as engendrée, celle qui n'était rien d'autre qu'une sang-de-bourbe. Oh oui je sais que tu n'aimes pas que je dises ça, ce qui montres que tu l'aimes, tu sais ta mère. Alors, as-tu vraiment des amis ? T'es qu'un pantin qui peut aider cette cause mais tu finira comme ta mère, mort et ça j'espère que tu le sais." dit-elle en prenant une petite voix douce et moqueuse. Lys savait qu'elle venait de signer son arrêt de mort et ça l'en fit que sourire et vit le regard se noircir de son demi-frère et elle s'empressa d'ajouter : " Oh oui je sais, tu vas me dire que je suis morte, mais désoler je n'ai pas écrit que je vais te laisser ma vie sur mon testament, c'est bête, ma mère, mangemort qui plus est ne deviendra pas la tienne? C'est bête n'est-ce pas..." Là elle était sûr qu'il ne restera pas calme et qu'il faudrait mieux pour elle qu'elle s'enfuit en courant mais elle ne bougea pas et attendait les coups qu'il lui enverrais, ils feront surement mal et elle le méritait. Ça finirait comme toujours dans un bain de sang.


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MessageSujet: Re: Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas]   Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] EmptyMer 18 Avr - 20:59



Lys & Ilyas : Les demi-frères
❝ Cette journée là, Ilyas n'avait pas particulièrement l'intention d'embêter Lys. La preuve le matin même, il l'avait laissée rentrer dans la Grande Salle sans encombre pour le petit déjeuner. Si il n'était pas tomber sur la Serdaigle et Stefen dans les couloirs, il ne l'aurait surement pas provoquer. Ilyas n'avait pas envie de laisser un de ses collègues obscurs dans les bras de sa sangsue de demi-soeur, car Ilyas savait la raison pour laquelle il faisait ça. Elle cherchait des renseignements sur le groupe de la rose noire et le Lion était bien décidé à ne pas la laisser faire. C'était pour cette raison qu'il se mit au travers de la tentative de drague de Lys ce matin-là. Après que Stefen soit parti, Lys agrafa son insigne sur sa poitrine. Ce qui provoqua un sourire chez le rouge. Il s'était avancé et lui avait prit tout en lui précisant que son rang ne signifiait rien pour lui, qu'il n'avait pas peur. Ce n'était pas ce petit objet qui allait l'empêcher de l'embêter. La réaction de la bleu l'amusa. Il avait donc touché un point sensible. Elle lui arracha l'insigne des mains et lui lança un regard de défi. L'oisillon recula jusqu'à pouvoir le regarder dans les yeux sans lever la tête, petite précaution qui amusa Ilyas. Elle ne voulait pas se sentir inférieur. Il aurait certainement fait pareil. Elle ouvrit la bouche pour répliquer. « Je ne crois rien, juste que je suis préfète et que tu aurais tords de me chercher. » Pause. Ilyas sourit à sa remarque.« Que cette petite fille comme tu dis, reste la même au château comme chez elle et que tu ne l'affecteras pas plus, tu pourrais juste me montrer que je ne suis rien en disant ça, que je suis insignifiante. Et crois le ou non mais tu ne me manqueras pas, désoler de te l'apprendre, mais tu empiètes sur mon espace vitale. » Ilyas laissa échapper un rire. Il la regarda dans les yeux et lui répondit : « Tu te fous de moi là ? J'empiete sur ton espace vitale ? Et puis quoi encore ! C'est qui qui me colle comme un pot de colle à la maison. T'as peur de quoi ? Que je fasse cramer la maison ? » Il se pencha vers elle. « Peut être que je ne te manquerais pas, mais tu t'ennuierais beaucoup en tout cas. » Il lui fit un clin d'oeil entendu.

Lys dépassa complètement les bornes, aguichant son demi-frère sans aucune gêne. Elle l'avait même embrassé, geste qu'Ilyas n'appréciait pas particulièrement. Oui, il aimait embrassé les femmes, beaucoup même, mais pas Lys. C'était quelque chose qu'il n'avait jamais envisagé. Embrassé sa demi-soeur et puis quoi encore ! Quand elle eu fini son petit manège, Ilyas décida de la remettre à sa place. Elle s'était bien amusé, mais le petit jeu allait prendre fin. I lui fit remarquer que son geste, son bisou à cheval sur ses lèvres et sa joue avait été à la limite de l'inceste. Il commença tout d'abord par la menacer. Il allait mettre en péril la réputation de sa demi-soeur si elle continuait comme ça. Elle allait subir la conséquence de ses actes sans aucun doute. Il l'entendit soupirer. Elle ne protestait pas. Première manche gagner. Il la regardait, elle se tenait au milieu du couloir. C'était maintenant à son tour de la provoquer. Il s'était rapproché d'elle, comme l'avait fait la jeune fille avant lui. Il avait prit son apparence sérieuse tant dis que sa demi-soeur sourit à l'une de ses remarques. Elle trouvait cela amusant ? Qu'elle attende avant de rire. Ilyas n'avait pas fini. Pendant cette interaction, un première année arriva et Ilyas lui intima vivement de partir. La suite n'allait peut être pas être très belle à voir. Il lui dit ce qu'il pensait d'elle, sans aucun scrupule. Au moins, il était clair et ne cachait pas ses sentiments. Ils se détestaient depuis le début et ça n'allait surement pas changer du jour au lendemain. Elle ne laissa rien transparaître comme si tout ça ne lui faisait pas mal, mais au fond Ilyas se doutait que ça ne lui plaisait pas. Il admira son sang froid, il aurait surement fait pareil si elle lui avait dit ça en face. Elle affichait un sourire moqueur, mais son regard était vide. Ilyas se détacha du mur et se fit au milieu du couloir. Il regarda Lys droit dans les yeux et lui lança, avec un sourire : « Je dois quand même avouer que t'es quelqu'un d'insupportable que j'ai déjà penser à t'abandonner quelque part, mais NOTRE papa ne serait pas très content. Je ne voudrais pas le décevoir. Tu comprends ce que je veux dire, n'est-ce pas. » Il avait lâcher la bombe et la réaction de Lys ne tarda pas à arriver.

Elle traversa la distance qui les séparait en courant. Elle avait l'air d'une furie. Ilyas n'avait pas peur loin de là. Il l'avait déjà vu plein de fois en colère, mais là il fallait avouer que c'était la première fois qui la voyait dans un tel état. Si un regard pouvait tuer, Ilyas n'aurait pu été de ce monde. « MON père, il restera le mien, tu n'es rien, juste qu'un bâtard qu'il a abandonné ! Pourquoi es-tu l'as, hein ? Parce que mon père avait pitié et s'en sentait obligé, pour tous ce qu'il fait d'ailleurs. Tu n'es rien et restera à jamais rien ! Tu m'entends ?! C'est MON père, le mien ! » Elle lâchait toute la colère qu'il avait envers lui et ce n'était que le début, Ilyas le savait. Elle rigola, mais le jeune homme ne voyait pas ce qu'il y avait de drôle. Il la toisa, ne montrant pas son incompréhension face à la réaction de la bleu.« Tu sais par la loi de la génétique, c'est notre père à tous les deux, même si je me serais bien passé de t'avoir dans mon arbre généalogique. Et je dois t'avouer que j'en ai rien à faire de sa pitié et de la tienne aussi d'ailleurs. J'aurais été beaucoup mieux en Russie. » lui rétorqua-t-il. Elle tourna autour de lui et laissa traîner ses doigts sur son torse, ses bras, son dos. Après avoir fait le tour d'Ilyas, elle s'arrêta devant lui et reprit son petit discours d''enfant unique pourri gâté. « Il a abandonné ta mère, tu t'en souviens, c'est pour ça que tu n'as pas eu de père, parce que ma mère à fait l'unanimité sur la tienne, ce qui prouve que tu n'est rien. Mais maintenant que la tienne est morte et que la mienne non, je suis en de meilleurs positions. » Ilyas la fusilla du regard tant dis que Lys s'éloignait en rigolant. Sa mère n'avait rien avoir là-dedans.« De quel droit tu parles de ma mère ? » dit-il en pointant le doigt vers elle. Il avait des éclairs dans les yeux. « Mais ton père ne t'a pas dit qu'il était obligé de se marier à ta mère ? Sans ça tu ne serais surement pas de ce monde au contraire de moi. Sans ce mariage, il n'aurait pas abandonner ma mère. » lui répondit-il méchamment.

Elle se retourna, se faisant face encore une fois. Elle afficha un regard faussement compatissant et un sourire pitoyable qui donne à Ilyas l'envie de vomir. Il n'allait plus être gentil maintenant. Oh, non ! Elle lui lança un regard de sauvage, tout en soupirant, puis reprit la parole. « Oh que je suis sûr de vouloir jouer à ce petit jeu. Le lion est-il d'attaque ? » Lys se moquait de lui. Il en avait totalement conscience. Elle était prise d'un fou rire.« Tu n'imagines même pas à quel point. » chuchota-t-il, plus pour lui même que pour la serdaigle. Il avait toujours ce regard méchant. Sa demi-soeur continua à parler, lui disant qu'il était drôle. Elle n'avait pas pris sa remarque au sérieux, tant pis pour elle. Tout d'un coup, elle retrouva son sérieux et lança une remarque à Ilyas. « Les obscures te considèrent-ils vraiment comme un ami ou juste comme un moins que rien ? Tu te sent pas un peu tâche dans ce clan de sang-pur ? T'es en train de revendiquer ton droit de pouvoir être sorcier, ainsi que ta pauvre mère. Tu te souviens, celle qui t'as engendrée, celle qui n'était rien d'autre qu'une sang-de-bourbe. Oh oui je sais que tu n'aimes pas que je dises ça, ce qui montres que tu l'aimes, tu sais ta mère. Alors, as-tu vraiment des amis ? T'es qu'un pantin qui peut aider cette cause mais tu finira comme ta mère, mort et ça j'espère que tu le sais. » Elle avait dit sur un ton mielleux et moqueur en même temps. Elle aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant d'oser l'ouvrir. Ilyas serra les dents, contenant sa rage. Elle n'avait aucun droit de parler comme ça de sa mère, aucun. Il serra les points se retenant de les lui envoyer dans la figure. Oh oui, il avait une furieuse envie de défigurer cette jolie gueule d'ange. Il se retint, attendant le bon moment pour frapper car il savait qu'elle n'avait pas fini et il attendit la suite. « Oh oui je sais, tu vas me dire que je suis morte, mais désoler je n'ai pas écrit que je vais te laisser ma vie sur mon testament, c'est bête, ma mère, mangemort qui plus est ne deviendra pas la tienne... C'est bête n'est-ce pas ? » Les mots de trop, il bouillonnait de l'intérieur et dans quelques secondes, il allait exploser.

Il s'avança vers Lys, ne lui laissant pas le temps de réagir. Puis, sa main vola et s'abattit sur la joue de la Serdaigle qui était désormais rouge, s'en suivit des jurons en russe. Tout à fait comme la première fois qu'elle avait mis les mots "mère" et "sang-de-bourde" dans la même phrase. Ça ne lui avait pas servit de leçon ? Il faut croire que non. Il lui lança un regard noir, surement le plus noir qu'elle n'avait jamais vu. « C'est bon, t'as fini ? Ça te plait de salir la mémoire de ma mère comme ça ? La première fois que tu l'as critiquée ne t'as pas servi de leçon ? Il faut croire que non, hein. » lui cracha-t-il au visage. Il la maudissait. Oh oui ! Il ne l'avait jamais autant détesté qu'a ce moment. Il n'avait plus aucune envie de sourire ou de rire. Les larmes lui montaient presque aux yeux, mais ça il ne le montrerait pas à Lys. Jamais ! Elle serait tellement contente. « Même si je suis chez les obscurs, je n'ai aucun préjugé sur la valeur du sang, comme beaucoup de mes compagnons ou de mes amis. Car oui, j'ai des amis contrairement à ce que tu penses. La valeur du sang importe peu pour beaucoup de personne, au contraire de toi à ce que je vois. » Il avait envie de lui cracher à la figure, mais il se retint. En plus de ne pas être élégant, se n'était pas très hygiénique. La claque qu'il lui avait devait bien lui suffire, sinon il n'hésiterait pas lui en redonner une. Il savait qu'il ne fallait pas taper les filles, il s'y tenait. Il l'avait seulement deux fois et toujours avec la même personne : sa demi-soeur. C'était une privilégié. « Pour rien au monde, je ne voudrais changer de mère car oui, je l'aimais du plus profond de mon coeur. Et tiens en parlant de mère. Comme tu l'as dit la tienne est bien mangemorte, non ? Elle doit avoir honte d'avoir son unique fille dans la résistance, même si elle ne te le montre pas. » Depuis que Lys avait commencé à s'attaquer à sa mère, tous les coups étaient permis. Ilyas ne se gênerait plus désormais, c'était lys qui avait débuté après tout. « Comment réagirait-elle si je lui avouait que sa fille se prostitue pour avoir des renseignement sur le clan adverse ? Parce que c'est bien ce que tu fais, non ? Eh oui, j'en ai entendu parler. Tu sais mes oreilles traînent un petit peu partout. Tu serais allé jusqu'à là aussi avec Stefen, n'est-ce pas ? » Ilyas savait que Lys ne supportait pas se terme. Elle pensait qu'elle faisait ça pour la bonne cause. Ilyas avouait franchement que lui-même était un coureur de jupon, mais il faisait ça pas plaisir et non dans l'obligation d'obtenir quelque chose. Et puis, il n’obligeait personne à passer la nuit avec lui. Il ne forçait jamais une fille qui ne voulait pas, ce n'était pas son genre. « Alors, mademoiselle D'Aragon, voyez-vous, le lion est toujours d'attaque. И удача, чтобы проводить его.* » Quand il était énervé, le jeune homme parlait dans sa langue natale. Il la regard de haut en bas, puis secoua la tête en affichant une moue de dégoût. ❞ © code de CJ.POMME' et image Retrotrend


* bonne chance pour le retenir
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MessageSujet: Re: Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas]   Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] EmptySam 5 Mai - 2:45

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« Tu sais par la loi de la génétique, c'est notre père à tous les deux, même si je me serais bien passé de t'avoir dans mon arbre généalogique. Et je dois t'avouer que j'en ai rien à faire de sa pitié et de la tienne aussi d'ailleurs. J'aurais été beaucoup mieux en Russie. » Lys rigola à ces propos, quand bien même son père était lié par la génétique aux jumeaux Marcovic, il n'en était pas moins leur père. La définition de père était l'homme qui les élevait, qui prenait soin d'eux à chaque minutes, qui rigolait et les prenait dans les bras pour faire l'avion et de donner à manger. Ils n'avaient pas eu ça, du moins pas avec Ky D'aragon et Lys le savait, elle elle avait eu droit à tous ça et, pour ça elle était fille unique de Ky D'aragon et le resterait à jamais. Ilyas et Blythe n'étaient de que des erreurs de la nature qui ont été abandonné à leur triste de sort de leur « père », un père qui ne voulait pas d'eux, un père qui avait ses propres problèmes et qui a une toute autre vie qui l'attendait, et certainement une meilleure. Une vis tracée par son paternel au goût démesuré de la folie et du titre qu'il pouvait en tirer ainsi que l'argent qu'il pouvait se faire. Malheureusement, le dote avait été révolu, sinon il en aurait tiré un bon prit de son fils. Comment vendre l'âme de son fils pour quelques pièces d'or.
Lys cherchait la petite bête en abordant le sujet de la défunte mère de gryffondor, elle savait qu'il se mettrait dans tous ses états et qu'il était capable de tous dans ses moments là. La serdaigle avait peut-être un peu trop insisté mais elle n'avait pas peur de se pouvait lui faire Ilyas, parce que quoi qu'il fasse ça lui retomberait dessus, elle s'en chargerait personnellement. Et puis, lui même avait commencé cette conversation en sachant très bien comme attiser la colère de Lys en parlant de Ky D'aragon comme le père naturel des Marconvic tout autant que Lys. L'aigle avait beau avoit trois ans de moins que son demi-frère, elle n'était pas le moins du monde intimidé, elle n'avait ps l'habitude de se faire marcher sur les pieds et étant un enfant gâtée elle avait l'habitude de tout avoir, et même si à présent elle devait partagée, Lys ne laissait jamais tomber ses caprices. Son caprice présent était celui de voir Ilyas se soumettre à la bonne raison qu'elle avait. Mais pour l'instant au lieu de ça, il se contentait de l'insulter et de cracher en quelques sorte sur son nom.
Le lion la fusillait du regard. « De quel droit tu parles de ma mère ? » dit-il en pointant le doigt vers elle. Lys remarquait et savait très bien qu'elle avait abordée un sujet blessant et quand bien même il n'en restait pas indifférant et oserait porter la main sur elle, elle jouerait à son jeu de provocation pur et dur et ne comptait pas abandonné au premier coup au coeur qu'il lui envoyait le sourire aux lèvres. « Mais ton père ne t'a pas dit qu'il était obligé de se marier à ta mère ? Sans ça tu ne serais sûrement pas de ce monde au contraire de moi. Sans ce mariage, il n'aurait pas abandonner ma mère. » La jeune fille souriait, qu'est-ce qu'il ne faut pas dire pour avoir le dernier mot. Peut-être était-ce vrai mais en tout cas c'était du passé et seul les deux concernés pouvaient délivrer le faux du vrai mais au grand déplaisir de certaines l'une d'entre eux avait succombé à la mort, laissant ses deux orphelins à l'homme auquel elle s'était voué toute sa vie et qu'il n'était jamais revenu pour prendre de quelconques nouvelles. «Mon père à ses secrets et tous ce que j'en sais c'est qu'il a préféré vivre avec ma mère plutôt que de vous retrouver. Là était son destin et il ne le regrette pas. C'était certes un mariage arrangé mais des plus offrants, parce que quoi qu'il se passe il ne se serait jamais lié à ta défunte mère, il ne faut pas rêvé, il n'aurait tout de même pas voulu cracher sur le nom de sa famille. Moi, je suis au moins le fruit de la passion pure et dure, une passion qui a surmonté douleur et désaccord. Mon père ayant encore des sentiments pour ta mère mais ils ont tous été noyés par l'amour qu'il porte pour ma mère et rien à présent pourrait les changer, même pas toi et ta sœur. Vous n'avez rien à faire chez moi et ma famille. »
Puis après un silence de plomb qui s'était installé, Lys qui avait sauté sur ses grands cheveux avait répliqué sans plus attendre : « Oh que je suis sûr de vouloir jouer à ce petit jeu. Le lion est-il d'attaque ? » tout en rigolant montrant qu'elle n'avait pas peur, bien au contraire. Lys avait continué d'argumenter prouvant qu'elle n'avait aps peur de se lancer dans cette lutte, elle n'avait pas l'intention de se soumettre alors, que les raisons pour lesquelles elle se bat dignement ne répondent pas au débitage incessant de son demi-frère voulant lui aussi avoir raison, ils se battaient tous deux pour une cause n'ayant aucun intérêt mais, leur ego en prendrait un coup si ils s'arrêtaient là et ne se cherchait pas des noises. Ceux-ci prouve bien qu'ils sont tous deux issus du même père, donc du même sang, et Lys désapprouve ça bien qu'elle sait qu'elle ne peut rien changer, a son grand désespoir.
Ilyas avait les poings serré et la rage se lisait sur son visage, il fulminait et ses dents claquaient légèrement, mais Lys continuait à tromper cette rage en tournant autour de lui, sereine, peut-être un peu trop mais sans perdre son sang froid. « Oh oui je sais, tu vas me dire que je suis morte, mais désoler je n'ai pas écrit que je vais te laisser ma vie sur mon testament, c'est bête, ma mère, mangemort qui plus est ne deviendra pas la tienne... C'est bête n'est-ce pas ? » Le gryffondor avait cette fois fait un pas elle savais qu'elle en avait trop dit mais, elle ne pouvait pas s'empêcher de le provoquer et dans sourire, oh oui il rigola, d'un rire pervers empli de force. Le jeune homme ne fulminait que plus et il ne faudrait pas s'étonner si, là maintenant il lui mettrait une gifle ou autre violence corporelle. Lys c'était arrêté et cette fois c'était à Ilyas de répondre. C'était comme un battle sauf que cette fois tous y était permis, la violence y compris, des dégâts seront fais mais la justice n'en sera que vainqueur. Lys voyait la fureur qui c'était dangereusement emparé du lion, celui-ci s'approchait les poings toujours fermés, c'est ainsi qu'il les déplia et la claqua contre la joue de la jeune serdaigle qui tourna la tête par la force de la claque. Lys posait ses deux mains sur sa joue qui était devenue rouge par la pression de la main de son demi-frère sur sa peau. Elle avait quelques peu mal mais tout ce qu'elle avait envie de faire c'était de lui cracher aux pieds, mais elle n'en fit rien. Le jeune homme commença à lancer des mots en russes, elle n'en compris rien mais se doutait que ce n'était pas des gentillesses, bien au contraire. « C'est bon, t'as fini ? Ça te plait de salir la mémoire de ma mère comme ça ? La première fois que tu l'as critiquée ne t'as pas servi de leçon ? Il faut croire que non, hein. » Elle se contentait de rigoler, et tout en enlevant ses mains de sa joue elle ajouta « Tu appelles ça une leçon ? Je ne vois que de la lâcheté, taper une plus jeune que soit, je ne pense pas que ce soit conventionnel, mon cher demi-frère. » Elle restait forte et avait elle aussi serré les poings mais elle n'avait l'intention de s'en servir pour faire quoi que ce soit, ce n'était pas son type de vengeance, elle préférait injurier, ne voulant pas causer tords au nouveau poste au-quelle elle appartenait, un poste d'ordre et de justice : les préfets. Ilyas continua dans sa foulé, il était plus que jamais en colère et comptait bien rabaisser et la réduire à néant mais elle n'était pas prête à se laisser abattre, plutôt dire jamais.« Même si je suis chez les obscurs, je n'ai aucun préjugé sur la valeur du sang, comme beaucoup de mes compagnons ou de mes amis. Car oui, j'ai des amis contrairement à ce que tu penses. La valeur du sang importe peu pour beaucoup de personne, au contraire de toi à ce que je vois. » Elle continua à rigoler en voyant l’insouciance de son demi-frère, comment pouvait-il penser que chez les obscurs ils s'en foutaient du sang, que tu sois pur ou mêlé, il a juste rêvé, la mission des obscurs c'est de rendre justice ce qui n'est que foutaise, ils se battent pour qu'il n'y ai que les sang-pur dignes de ce nom qui soient sorciers. Qu'est-ce qu'il pouvait être naïve, mais heureusement pour le sauvé il était plutôt mignon, il fallait l'avouer. Lys n'en dit rien, elle voyait bien qu'il n'avait pas finit et qu'il essayerait de lui montrer qu'elle n'est rien, juste qu'une moins que rien, mais depuis toujours elle s'était fait une bulle où elle y était protégée. « Pour rien au monde, je ne voudrais changer de mère car oui, je l'aimais du plus profond de mon cœur. Et tiens en parlant de mère. Comme tu l'as dit la tienne est bien mangemorte, non ? Elle doit avoir honte d'avoir son unique fille dans la résistance, même si elle ne te le montre pas. Comment réagirait-elle si je lui avouait que sa fille se prostitue pour avoir des renseignement sur le clan adverse ? Parce que c'est bien ce que tu fais, non ? Eh oui, j'en ai entendu parler. Tu sais mes oreilles traînent un petit peu partout. Tu serais allé jusqu'à là aussi avec Stefen, n'est-ce pas ? » Lys sentit blessé, il l'a traitait clairement de prostitué, il savait très bien qu'elle détestait ce terme et qu'elle n'en était pas une, elle usait juste de ses atouts pour avoir quelques petits renseignements, et contrairement à ce qu'il pourrait le croire elle ne l'avait jamais fait jusqu'au bout. Elle été jeune et comme toute personne elle avait peur de se que cela aurait pu entrainer, alors, oui elle échangeait quelques baisers et des caresses dont elle n'était pas fière mais les coucheries elle n'y avait encore jamais vraiment goûté, elle c'était juste arrêté aux préliminaires et déclamait à chaque fois qu'il était tard et qu'il était temps pour elle d'aller s'instruire ou des trucs dans ce genre. Lys ne disait rien parce qu'il avait touché un point très sensible. « Alors, mademoiselle D'Aragon, voyez-vous, le lion est toujours d'attaque. И удача, чтобы проводить его. » Il la regard de haut en bas, puis secoua la tête en affichant du dégoût. Lys s'était mise à trembler et se passa les mains sur le visage, la douleur de sa joue avait refait surface et cette fois elle se concentra et dit : « Ma mère respecte mes idéaux tout comme elle respecte ceux de mon père. On c'est juré de ne pas mêlé vie de famille et ambition.... Elle est ma mère et se fiche de se que je suis, parce qu'elle je suis sienne, je suis de son sang... Elle m'aime et j'en suis sûre ! Tu n'oseras pas lui dire, tu ne lui diras rien parce que oui, elle serait mécontente mais elle n'y pourrait rien et pour ta gouverne je ne me PROSTITUE pas ! Je me contente de draguer et d'échanger quelques baisers et ça ne va jamais plus loin, et puis, qui crois-tu qu'elle croira, hein ? Sa fille unique ou le fils bâtard de son mari ? Je n'ai pas de mal à dire qu'elle me croira moi, parce que tu n'es rien à ses yeux contrairement à moi ! » elle s'arrêta là et triturait ses mains dans tous les sens parce qu'elle se sentait mal mais il attendait qu'une chose, qu'elle lui envoie sa main dans sa figure ce qu'elle fit, mais elle ne s'arrêta pas là, elle lui cracha aux pieds « Tu n'as rien à me dire ! Ilyas Marcovic vous n'êtes rien et je te détruirais jusqu'à ta mort ! Tes propos injurieux ne sont que tentatives échoués parce que ça ne m’atteins pas, ça m’atteins plus ! Quoi que tu dises quoi que tu fasses, ça te joueras un tour et se retournera contre toi ! » Elle le défiait du regard, il était plus grand qu'elle, mais elle n'en fut pas plus déstabilisé.



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MessageSujet: Re: Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas]   Faut-il aimer pour compter... [PV : Ilyas] EmptyVen 18 Mai - 23:48



Lys & Ilyas : Les demi-frères
❝ Ilyas savait ce qu'il fallait dire pour faire sortir Lys de ses gongs. Placés "notre", tout en insistant bien sur ce mot, et "père" dans la même phrase et c'était dans la poche. A parti de là commença un débat qui revenait souvent : l'appartenance d'Ilyas et Blythe dans la famille de Ky. Ilyas n'avait aucune envie de faire partie de sa famille, encore moins d'avoir une place dans son coeur. Qui le voudrais ? Son soit-disant père l'avait abandonné et ne s'était pas préoccupé de lui et de sa jumelle avant la mort de leur mère chérie. Malgré lui, Ilyas en avait quelque peu souffert. Vivre sans figure paternelle avait été dur pour lui, il avait seulement été entouré de filles. Mais ceci il ne l’avouerait jamais à lys, même pas sur son lit de mort. Au contraire, il faisait tout pour la renier, lui dire qu'il se porterait bien si Ky l'avait laissé en Russie. Il se serait bien passer de savoir que Lys faisait en quelque sorte partie de son arbre généalogique. Qu'il y ai un moldu dans son arbre de la gênait pas, mais avoir Lys n'était pas du tout pareil. Il la détestait pour ce qu'elle était : une peste arrogante et résistante. Et au fond, il la détestait car elle avait eu un père au contraire des enfants Marcovic. Ça non plus, il ne lui dirait jamais il était bien trop fière. Il y avait juste une chose qu'il ne cachait pas : son amour pour sa mère. C'est pourquoi Lys joua sur ce point, elle savait qu'Ilyas n'aimerait pas ceci. ❞ © code de CJ.POMME' et image Retrotrend


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