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 Les ennemis de mes... et puis on s'en fout j'aime pas ta tronche, je te bute ◓ Ft. Liz

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Odette T. Carrow


I'd watch you bleeding if I wanted to laugh
Odette T. Carrow


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► date d'inscription : 12/09/2013
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MessageSujet: Les ennemis de mes... et puis on s'en fout j'aime pas ta tronche, je te bute ◓ Ft. Liz   Les ennemis de mes... et puis on s'en fout j'aime pas ta tronche, je te bute ◓ Ft. Liz EmptyVen 27 Sep - 10:16



Liz & Odette
©️ Never-Utopia - photobucket - deadlyberry

Le week-end, la fin de semaine, samedi, dimanche. Des mots qui n'avaient pas eu d'impact sur Odette depuis bien des années. Depuis sa sortie de Poudlard pour être parfaitement exacte. Débordée mais avant tout passionnée par son travail elle s'y était toujours dédié avec fervence. La notion de temps libre ne lui était désormais plus familière, mais l'avait-elle jamais été ? Même au temps de Poudlard, elle n'était pas de ceux qui se prélassaient à coté du lac ou qui décidaient de faire une partie de bataille explosive. Toutes ses actions avaient un but, une visée. Certes certaines d'entre elles étaient davantages agréables que d'autres mais il y voyait toujours l'utilité avant le plaisir. La réussite, voilà d'où elle tirait toute sa satisfaction. Rien n'égalait la joie qu'elle ressentait lorsqu'elle parvenait à gravir un nouvel échelon et si elle avait du pour se faire écraser un compétiteur, ce n'en était que plus jouissif. Fut un temps, elle avait besoin de reconnaissance, mais elle savait qu'il n'était pas du genre du Lord de donner des compliments. Elle était sa seule juge, et la crainte de décevoir son maître était présent chaque jour. Une angoisse qui la faisait redoubler d'efforts. Quatre années, cela faisait désormais quatre années qu'elle était parvenue au plus haut poste qui lui était donné d'accéder. Cette position faisait sa fierté et son bonheur et il était hors de question qu'elle lui échappe un jour. Elle s'était donc enfermée dans une bulle professionnelle ne se liait que très peu en dehors de son travail. Elle n'en avait pas besoin, elle avait des responsabilités à ne plus savoir qu'en faire, et elle jugeait les neuf dixièmes de ceux qui l'entouraient indignes de faire partie de son cercle privé. Il n'était donc pas étonnant que ses journées soient si similaires. Correspondances, meetings, déplacements politiques, problèmes de management. Elle ne faisait confiance qu'à elle-même et n'hésitait pas à mettre autant de charges que nécessaire sur ses épaules. Elle se retrouvait à transplaner une bonne douzaine de fois par jour afin de tout garder sous contrôle. Ou tout du moins c'est ce de quoi son quotidien était fait à l'époque des révoltes. Elle avait donc décidé de s'accorder pour la toute première fois deux journées en dehors du ministère afin de visiter ses chers parents.

Elle ignorait depuis combien de temps elle ne les avait ne serait-ce qu'aperçu. Elle les savait toujours actifs pour le compte du Lord mais n'avait jamais été amenée à les croiser. Quelques années probablement. Elle se souvenait de leur hibou de félicitations lors de sa nomination au poste d'assistante et leur désir de célébrer la nouvelle avec Ariane. Autant dire qu'elle avait décliné. Elle n'avait pas besoin de voir l'hypocrisie régnant sur le visage de son aînée. Elle avait bon espoir qu'un jour elle comprendrait où se trouvait sa place et la rejoindrait au ministère, elle savait cependant que ce ne serait dans l'immédiat et devinait qu'elle n'approuvait absolument pas l'enrollement prématuré de sa cadette chez les mangemorts. Du moins c'est ce qu'Odette aimait penser. Pour le moment, moins elle la voyait, mieux elle se portait. Il faudrait néanmoins qu'elle fasse avec ce soir. Elle devait se rendre chez ses géniteurs aux alentours de sept heures ce vendredi et souhaitait avoir une nouvelle garde-robe pour l'occasion. Elle pouvait bien se le permettre après tout. Avec un léger soupir, elle rassembla ses affaires, quitta les bureaux désormais désertés et transplana chez elle afin de saisir son bagage préparé au matin. Sans prendre la peine de s'attarder, elle se rendit au pré-au-lard de la même façon. Elle se pressa à l'entrée de la boutique ses talons claquant dans la rue ne sachant combien de temps cela allait lui prendre. Rien qu'à l'idée de devoir tomber sur son aînée, son estomac se retourna et lui donna envie de dégobiller le faible déjeuner qu'elle avait avalé des heures auparavant. Elle ne laissa cependant rien paraître, ne souhaitant pas afficher si aisément ses faiblesses. Et avec un peu de chance, elle serait absente pour une quelconque raison et elle aurait le plaisir de retrouver sa petite elfe de maison favorite. Ragaillardi par cette idée, elle essaya de pousser la porte, fermée. Elle pouvait néanmoins apercevoir de la lumière en son intérieur malgré les stores baissés et il était bien trop tôt pour que Gaichiffon ait fermé ses portes. Son sang ne fit qu'un tour, bien qu'elle passait son temps à se plaindre de sa soeur, du fait qu'elle les ait trahi, l'imaginer... Elle ne préféra pas s'attarder sur l'idée et dévérouilla la porte d'un coup de baguette.

Son regard se posa sur la petite vendeuse derrière le comptoir cédant aux requêtes de ce qui semblait être un homme sorcier. Soulagement, Ariane semblait être absente. Elle n'eut cependant pas le temps de se réjouir. En effet, seules quelques secondes furent nécessaire aux deux individus pour qu'ils ne remarquent sa présence. Sans l'ombre d'une hésitation, elle pointa son arme sur l'attaquant et effectua un Doloris non-formulé. Pauvre petite bête, il n'avait pas choisi le bon moment pour une attaque surprise dans la boutique. Sans aucune satisfaction elle le regarda se tortiller au sol, poussant de temps à autre quelques hurlements. Lasse elle finit par lever le sort et le saisit par les cheveux.

◓ Je ne veux même pas savoir les raisons qui t'ont poussé à t'introduire ici mais sache que tu es chanceux, je suis d'humeur clémente aujourd'hui. Je vais simplement me contenter de t”inculquer une bonne leçon. On va recommencer ce petit exercice si tu veux bien ? Et si tu ne veux pas et t'échappe, soit certain que je te retrouverai et que tu regretteras de ne pas être resté avec moi au jour d'aujourd'hui. Reprend ton souffle.◓

D'un geste sec, elle jeta le visage au sol, se tournant pour la première fois vers la vendeuse. Pourquoi agissait-elle de la sorte ? Pourquoi venait-elle de lui sauver la mise ? Elle n'était qu'une moins que rien, une larbin facilement remplaçable. Odette aurait pu tout aussi bien tourner les talons, mais non, elle avait décidé de s'impliquer jusqu'à la moëlle. Elle songea quelques instants à ses parents et se promis de leur fair part du petit imprévu qu'elle avait du affronter. Elle serait en retard, sans aucun doute. Tout ça pour elle. Incompréhensible. Elle lui jeta un regard hautain avant de s'addresser à elle.

◓ Eh bien. Tu comptes me dire ce qu'il te voulait à la prochaine lune ? Des gallions ? Des vêtements ? Forcément si tu restes sans voix tu auras bien du mal à te défendre. Si j'étais toi je répondrais ou je finirais par croire que vous étiez complices là-dedans. Quand est-ce que tu comptes te ramener ici ? Apporte une chaise qu'on le ligote et que je l'interroge. Allez on se remue ! ◓

Elle aurait pu l'éliminer sur le champ, après tout, elle était figure d'autorité et le sorcier s'était attaqué à un honnête commerce. Il était probable que la raison en soit futile, un sorte d'acte desespéré mais elle ne souhaitait pas écarte l'hypothèse qu'il en avait après la gérante, sa soeur. Et pour cela un interrogatoire était plus que de rigueur.

HJ : Odette a actuellement le dos tourné et ne voit donc pas le sorcier qu'elle pense inconscient, c'est volontaire, comme ça tu peux choisir la suite. Il peut se carapater, rester dans les vapes ou attaquer Odette qui est une cible facile (je te donne mon immense feu vert, j'aime qu'on maltraite mes personnages). J'espère que le tout te va Les ennemis de mes... et puis on s'en fout j'aime pas ta tronche, je te bute ◓ Ft. Liz 273358
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