Ce fût un mardi du mois de juin, le ciel était sombre et menaçant, un orage s'apprêtait à s'effondrer sur un petit village d'Irlande, un jeune femme au regard plus qu'arrogant, elle était en cloque, une cigarette à la main, un jeune homme à l'autre traversaient le village pour rejoindre un petit cottage. La femme portait une simple robe noire, ses cheveux bruns ondulés étaient attachés en un chignon sur le derrière de son crâne, elle avait mis du rouge à lèvre et elle avait des petites bottines noirs, sur son visage se laissait paraître un sentiment de dégoût. L'homme qui était à ses côtés, un sourire forcé ornait son visage d'ange, il avait un petit costume des plus chics avec la cravate assortit et de petites chaussures pointus, son regard était rivé sur le gros ventre de sa femme et gardait le silence.
Le couple était assez réputé dans le monde de la sorcellerie, Stella et Damian Fitzbern, les descendants de deux familles de sang-pur, un mariage épouvantable entre une manipulatrice et un homme atteint de la cupidité, quel mariage affreux, enfin cela ils le savaient, seul la descendance et l'argent intéressaient ses deux personnes qui étaient déjà pas mal riche avec ce mariage arrangé, en voulaient encore plus. Ils rentrèrent dans la petite maison, un petit elfe répondant au nom de Fredy était en train de faire les tâches ménagères, il préparait à manger dans la cuisine miteuse. Stella s'affalait sur le canapé et regardait le plafond de bois qui se détériorait de plus en plus et ne put pas s'empêcher de soupirer et crier de sa voix hargneuse « Fredy, combien de fois faudra-t-il te le répétez, j'avais demandé à ce que tu répares le plafond, un jour il va nous tomber sur la tête, on va moins rire, surtout toi ! » L'elfe qui était accouru à l'ordre de sa maîtresse la regarda et d'un geste de soumission il baissa la tête et il répondit tout bas « Oui, Maîtresse ! », l'elfe partit moitié en courant à la tâche qu'il était en train d'entreprendre. Stella divaguait dans son esprit en se tenant le ventre, quant à Damian, assit sur une chaise à son bureau, surplombant une mine épouvantable une plume à la main posa sa tête sur ses mains et essayait de penser à l'avenir...
Une heure après, tout était normale, un silence pesant s'engouffrait dans la petite maison et soudain, des cris retentissaient, Stella avait des affreuses douleurs au ventre, elle avait perdue les eaux, l'enfant voulait sortir aujourd'hui, bien qu'il avait été dit qu'il devait arriver cinq plus tard. Damian accourait vers sa femme et l'emmena dans le lit conjugale où l'elfe prit la relève et s'occupa de tous. M. Fitzbern ne voulant pas voir l'accouchement de sa femme retourna se terrer dans une petite pièce sombre qui lui servait de bureau. Ce n'est qu'au bout d'une heure, que Fredy vint chercher l'homme pour lui montrer celui qui pourra et devra honorer le nom des Fitzbern. C'était un petit garçon bien dodu qui n'arrêtait pas de geindre, Damian le détestait déjà... Il n'avait jamais aimé les enfants à vrai dire, il ne les comprenait pas et détestait leurs hurlements aiguës à tan percer les tympans, ça doit bien faire du 70 décibel.
La mère c'était endormi, le bébé placé dans un petit berceau emmitouflé dans une serviette. Quand au père, il alla dans le salon s'allonger dans le canapé. Le lendemain, Damian avait des oreillers sur les oreilles pour ne plus entendre ces cris incessents. Stella qui elle n'a juste pour elle un instinct de survit et non maternel fit de même en se bouchant les oreilles et elle appela l'elfe pour qu'il se charge du petit, puis soudain : « Il s'appellera Maxens ! » s'écria la mère du petit, le père voulait lui donner un prénom Irlandais, le prénom même de son père « Non, Alistair lui conviendra mieux. Maxens ça fait poussoufle, les nuls... ». La mère se résigna à accepter ce prénom, bien qu'elle ne soit pas pour autant soumise, peut-être même bien au contraire...
Il se passa un an, le petit Alistair Maxens Fitzbern avait déjà la tête d'un bon Serpentard. Damian n'aimant gère l'enfant, il n'était donc presque jamais à la maison, préférant rester au travail ou se saouler dans un pub pour oublier tout ça. Oui, il voulait un descendant, pas un enfant mais, le fait de se voir papa et changer les couches du bambin pleurnichard le répugnait au plus au point. Stella n'était pas vraiment une bonne mère non plus, elle fumait sans arrêt près de l'enfant sans s'en soucier. Alistair lui ne ronchonnait pas, en même temps un enfant d'un an ne s'exprime qu'en pleurant ce qui n'est pas toujours compréhensible.

Des ananas dansent la polka dans le jardin de Perlin pinpin

Le temps passait, Mme Fitzbern était toujours insouciante et M. Fitzbern toujours absent. Ce fût une enfance rêvée, enviée... Alistair qui lui fût bercer depuis sa tendre enfance dans la magie adorait jeter de simples petits sorts sur les chats qui avaient la chance de mettre la patte dans la moindre parcelle de leur jardin. C'est alors, qu'il fit la plus grosse bêtise de sa vie, cela on peut le dire, il avait alors sept ans quand il piqua la baguette de sa mère qui comme d'habitude lui disait « Fait pas si, fait pas ça ! », elle le grondait sans arrêt, et il jeta sans le faire exprès un sort sur la petite maison qui s'effondrait... Stella fût ravie, non pas que son fils aie cassé la maison, mais plutôt qu'il aie des pouvoirs magiques...
Enfin, le jour tan attendu, l'emménagement dans ce palace, cette immense demeure qui comportait bien cinquante pièces. Maxens choisit la plus belle, la plus spacieuse et fit son petit nid. Il passait ses journées à lire, dormir et jouer au ballon, un ballon offert par son oncle. Il se prenait pour un joueur de Quidditch sur sa branche d'arbre morte. Il trouvait cela amusant, enfin c'était l'une des seules choses qu'il avait le droit de faire à part respirer bien sûr. Il ne savait pas d'ailleurs ce que c'était de travailler, ses parents lui avaient épargné cette, comme ils diraient  «chose débile qui ne sert à rien ». Oui, ça peut être géniale, mais ce n'est pas un cadeau, Stella à toujours trouvé cela inutile, comme les enfants, elle s'est toujours posé la question : « Pourquoi les enfants ne naissaient pas adultes... », enfin une question de plus dans sa petite tête ratatinée de femme arrogante, imbue de pouvoir et de plus une vraie garce qui ne pense qu'à elle, oui, cela elle l'était, sa petite personne passe avant tous.
C'était un lundi si je me souviens bien, il pleuvait à tous rompre, tous les livres se trouvant dans la chambre d'Alistair avaient tous été lu ou parcouru, plus rien à faire. Ayant vu son père crier à plusieurs reprises sur l'elfe, Max alla dans la cuisine et dit : « Toi ! Tu as mal lavé ma chambre et j'en ai marre que tu chantes ou sifflote ! » puis, fier de lui il alla dans le salon ou sa mère lisait le journal sorciers, Max souriait la tête haute, tout en regardant sa mère comme si elle était insignifiante, ce qui déclencha l'hilarité de celle-ci qui replongea son nez dans son journal. Puis, l'enfant voulait attirer pour une fois l'attention de sa mère, il courait de partout en poussant des petits cris stridents. Stella qui n'appréciaient gère dit : « Arrête de crier, tu me déconcentres ! Sale gosse ! » elle sortie sa baguette de sa poche et lui lança un petrificus totalus et d'un sourire narquois elle se remit à lire. Le jeune homme se réveilla grâce à l'elfe, sa mère avait disparue du salon et lui, se trouvait par-terre au milieu du salon avec un mal de crâne pas possible. C'est ici que son antipathie pour sa mère né, mais ça restait sa mère, il était comme obligé de l'aimer, il trouvait d'ailleurs toujours un truc pour la pardonner de ses mauvais gestes puis, sa mère eu raison de lui, il devint le Serpentard en excellence, se vantant de son sang-pur, gardant la tête haute, imperturbable, imbu de lui-même, démarche assurée, bref vous voyez, la totale.
Il était rentré à Poudlard comme convenu, ayant choisi ses spécialités et ayant atterrit comme voulu dans la maison des Serpentard. Honorant sa famille et vivant sa vie de séducteurs impassible qui ne se prive pas du bonheur, sa mère lui avait d'ailleurs souvent répété de vivre sa vie Carpe Diem, ce qu'il comptait bien faire. Il a brisé d'ailleurs plusieurs coeurs comme ça, mais ça ce n'est pas important, il charme d'abord la prétendue puis, l'embrasse, lui dit qui l'aime, obtient ce qu'il veut d'elle puis fait comme si elle n'existait pas, et répète ce petit manège encore et encore... Bien que toutes les filles le connaissent et le trouvent répugnant, elles ne peuvent s'empêcher de succomber à son charme et finissaient toutes dans son lit. Oh oui, il avait perdu sa virginité tôt, peut-être bien à treize ans, il ne s'en vantait gère et préférait garder ça pour lui mais, il gardait toujours un petit souvenir de ses conquêtes, il avait un petit tableau dans sa chambre notant la fille. Oui, il est nul, mais ça, qui ne le sait pas... Max, ne s'en privait tout de même pas, c'est un jeu mais, il l'aime, il ne peut s'en passer, sa nature fougueuse reprend toujours le dessus.

Cap de m'aimer...

Puis, fût venu le jour qu'il attendait depuis bien longtemps, le divorce de ses parents. Pour la fortune ce fut le conflit du siècle entre les parents de Max, toujours les mêmes disputent, mais cette fois c'était la fin, Stella avait gagné, elle avait réussi à bien pourrir la vie de son mari et de le déposséder d'une bonne partie de sa fortune. Son père n'était qu'un moins que rien, lâche et répugnant, c'est pourquoi Max décida d'aller vivre avec sa mère, qui se remaria vite fait, oui elle avait trouvé son égal masculin, deux personnes aussi égoïstes et méchantes... Mais, ce qui l'attirait le plus c'était la jeune fille qui devint sa demie-soeur, une magnifique petite blonde aux yeux bleus, il fut d'ailleurs sous le charme.. Mais il tombait sous le charme de toutes les filles qui croisaient son chemin, mais elle, elle avait quelques choses de différents, quelque chose qui la rendait authentique, qui la rendait plus belle qu'elle ne l'était déjà. Il ne savait pas d'ailleurs ce qu'était ce sentiment de chamboulement, mais une chose était sûre, il ne la voulait pas comme soeur mais, cela il ne le dirait jamais, il pensait que ce sentiment fou le quitterait bien un jour...
C'était un matin pendant les vacances, il devait être à peut près neuf heures, Max venait de se réveiller et de s'habiller pour descendre dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner. Il entra dans la pièce et dit d'une voix respectueuse « Mère, M. O'Brien, bien le bonjour ! » puis il se tourna vers Billie qui ne décocha pas même un petit sourire, il dit tout de même avec gaité « Billie ! ». Puis, il alla s'asseoir autour de la table pour manger tout en souriant bêtement. Puis, il suivi Billie qui remontait dans sa chambre, il souriait toujours et entra carrément dans la chambre de celle-ci et dit : « Alors, comment va ma demoiselle adorée aujourd'hui ? » Étant donné qu'elle ne répondait pas, il reprit en disant : « Billie, je t'ai jamais avoué... je t'aime ! » et il se barra en courant et en rigolant. Oui, vous direz quelle  puérilité  mais, ce n'est que banalité dans la demeure des O'Brien. Max rigolait mais, ce qu'il ne voulait pas s'avouer était que c'était vrai et préférait lui pourrir la vie, soit en cassant ses coups, soit en lui parlant et en lui rappelant qu'elle a un frère, enfin un demi-frère, mais, ce qu'il préférait le plus était les bombabouses mit dans son sac ou bien des bonbons aux jus de chaussettes, brefs il adorait l'embêter...
Il était maintenant en septième année, sa dernière année de cours et il comptait bien en profiter. Il est intelligent, ne l'oublions pas, il a passé et réussi ses Buses les doigts dans le nez et s'apprête à avoir ses Aspics et devenir un grand sorcier, comme sa mère l'a toujours voulu. Mais ne croyez pas qu'il deviendra un fervent serviteur de Lord Voldemort, il préfère juste si frotter, il tient à sa vie et ne préfère pas prendre trop de risque...

Avec grand plaisir

Merci !

Oh... mais certainement !!
Merci !

XD il y en aura pour tout le monde, enfin je crois...
J'dis ça, j'dis rien....

XD c'est marrant les disputes de filles... et j'aime le danger...

Merci !

Ou on peut faire comme ça... ^^

Merci !
C'est aussi une option acceptable...

Merci !
N'aies crainte, je ne suis fuirais pas devant tant charme... et de demande...

Merci ^^

J'ai envie de dire, mais qu'est-ce que la fidélité ?...
Adrian XD j'ai jamais essayé, y'a bien une première fois à tous....

Genre ... à chaque personne tu vas dire ça ? En fait, je remarque qu'à part Win (qui est un mec) et moi (qui suis une amour et qui vous le laisse) le staff c'est que des raccro... dès que ya un nouveau mec (beau cela va s'en dire) ...

BIENVENUUE SUR D.

XD Merci !

Carpe Diem ma chère amie (ou pas), toujours profiter du jour présent ! Et oui, t'elle est ma devise...

Bienvenue M'Sieur je fais tomber les filles ! :61: Bonne chance pour ta fiche !

Merci, Lily !

Bien sûr, un super lien pour une super fille (c'est ça...)

Bienvenue sur D., beau jeune homme qui fait tourner les têtes des filles (et gars : Adrian )
Au passage, moi aussi je veux bien un lien quand tu seras validé

Merci !
Ce sera avec grand plaisir, Juyne !

Merci à vous deux !!

Oui, j'ai adoré le perso !!
Je me hâte de finir l'histoire !

Merci !

Je jouerais alors avec bonheur ton Tristan... !
(Iseult Tristan.. non bon okay je me tais...)

XD Un lien, ma chère, c'est obligé dans ce cas !

Désoler du double poste ! Mais c'était juste pour dire que je pense avoir fini l'histoire !
Je m'excuse déjà au près de Billie pour les quelques éléments pas mit ! Et à mes lecteurs XD pour les fautes... --'

XD Bon ba au boulot... Oui, je suis très nul en orthographe, enfin bon faut que j'y remédie de suite ! Je corrige ce soir, ce que je peux !

Bon, ba je crois avoir corriger les plus grosses du moins, enfin je l'espère !

Youpi !!!
Euh... Merci XD

Oh oui, vivement un rp !!