La famille Barrington a toujours soutenu les positions de Voldemort, d’aussi loin que l’on peut s’en souvenir. Du moins dans les discours. Dans les actes, on ne peut pas vraiment dire qu’ils aient été ce qu’il y a de plus entreprenants. Il y a certainement une sorte de quête du confort dans leurs positions : il est nettement plus facile d’approuver le pouvoir actuel que de tenter de le changer, et les Barrington n’ont jamais particulièrement eu d’affinités avec la gente Moldu, ce qui rendit leur statut d’Obscur plutôt facile à maintenir. Mais Enat n’est pas de cette trempe-là. Enat s’est engagée et, tout en continuant à gentiment s’échapper de la chape familiale, elle tente bien de le montrer à la moindre occasion. Techniquement, elle n’a donc pas vraiment eu à choisir son camp : elle y est née et n’a jamais envisagé de le quitter. Mais c’est bien elle, cette fois, qui a choisi de vivre son engagement pleinement, quitte à mettre sa vie nettement plus en danger qu’elle ne l’aurait été si elle avait simplement suivi le molle mouvance Barrington…
et toi dans tout ça? Je m'appelle Mathilde, j'ai dix-neuf ans, je viens de Suisse et j'habite actuellement en Angleterre, tout près de Londres. Je connais Dissendium parce que j'y ai déjà vécu... J'ai lâchement abandonné mon personnage d'Andy Borthwick (d'ailleurs, je redoute un peu le lancer de tomates après vous avoir lâchés aussi abruptement...) pour des raisons de désorganisation profonde, ayant fraîchement terminé mon lycée ! comme ça, c'est dit. Mais ces joyeusetés sont désormais derrière moi et j'ai à présent une méga tonne de temps libre. Ecrire me manquait, l'univers d'HP aussi, Dissendium et ses membres encore plus (:41:) : me revoici ! argenté indispensable pour être validé. il faut aussi indiquer combien de mots fait ton vis ma vie . Il en fait 1461.
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Lorde - Enat Barrington
vis ma vie
I. You’re a shark and I’m swimming
« Enat ma chérie, tu ne descends pas dire bonjour ? »
Les valises de Margaret Barrington venaient à peine d’être embarquées par les elfes de maison. Sa voix étrangement haut-perchée, comme à chaque fois qu’elle avait à se faire pardonner auprès de sa fille, résonna dans l’immense hall gris de leur manoir.
Entourée par ses trois autres filles, les petites sœurs d’Enat, la grande dame brune qu’était Margaret scrutait l’immense escalier, à la recherche de son aînée. Sans persister bien longtemps, elle reporta son attention sur Saoirse, Juliette et Mady. Les trois blondinettes étaient surexcitées à l’idée de revoir leur mère, après trois semaines d’absence. Initialement, ces trois semaines auraient dû être des jours, mais comme toujours avec Margaret, le plaisir passe avant tout et elle avait allégrement rallongé son séjour en France de quelques semaines, laissant ses trois plus jeunes filles à la charge de leur grande sœur.
A l’étage, dans sa grande chambre aux murs vert, Enat était allongée sur le ventre, les pieds dépassant à l’arrière de son lit. Dans son pyjama gris, le regard éteint, elle n’arrivait pas à se résoudre à se lever. Ces trois semaines avaient été éprouvantes. A quatorze ans, prendre soin de ses trois sœurs lui coûtait toujours énormément d’énergie. Elle avait dû annuler ses vacances avec deux de ses amies pour s’occuper de sa famille « car c’est ce qui passe avant tout, tu devrais finir par le savoir, Enat ». Mais cela ne lui importait plus vraiment. Au bout de quatorze ans de relation, elle avait fini par s’habituer à la légèreté de sa mère. A vrai dire, elle ne lui en avait encore jamais voulu, jusqu’à présent. Même si elle aurait facilement eu d’autres plans lorsqu’elle rentrait de Poudlard pour les vacances, elle aurait fait n’importe quoi pour satisfaire Margaret.
Cette dernière, durant toute la vie d’Enat, s’était débrouillée pour toujours laisser une immense marge de progression à sa fille. Rien n’était jamais assez bon et pourtant, « je sais que tu es capable de tellement mieux, ma chérie ». Heureusement pour elle, très malheureusement pour Enat, le caractère de la mignonne petite brune s’était avéré relativement faible et surtout, très influençable et Enat était désormais une adolescente terriblement en manque d’affection et quasi sans amour propre. Le pire pour Enat étant que sa mère était parfaitement au courant de ce triste trait de caractère, quand elle-même n’en avait pas la moindre idée. L’amour que Margaret portait à sa première fille était malsain : elle avait constamment besoin de s’assurer qu’Enat tenait à elle. Pouvoir avoir confiance en le fait qu’elle l’aimerait toujours. Cette mauvaise relation trahissait surtout une incommensurable absence de confiance en soi de la part de Margaret, mais personne ne pourrait jamais le lui faire avouer.
Cependant, aujourd’hui était un jour différent. En ce dimanche de décembre, Enat ressentait, pour la première fois, une très légère colère envers sa mère. Elle désirait des excuses, quant à cette absence prolongée. Enat était épuisée, elle n’avait pas pu se reposer quand bien même ces trois semaines composaient ses vacances de Noël. Pour la première fois, son dévouement à sa famille avait atteint une sorte de limite, dont elle n’avait même pas eu conscience jusqu’à ce jour. Elle ne céderait pas, cette fois.
C’est donc un peu plus décidée que ce à quoi elle avait habitué sa famille que la jeune fille descendit les escaliers de pierre qui la menaient au hall d’entrée. Elle se planta, les bras croisés, à quelques petits mètres de sa mère et de ses sœurs. Margaret leva les yeux et vit qu’Enat ne souriait pas. Sans se laisser le moins du monde déconcerter par cette attitude, pourtant inhabituelle, un immense sourire éclaircit son visage de quarantenaire et elle s’empara d’une caisse que les elfes avaient laissée à ses pieds.
« Enfin, te voilà ! Je suis teeeeellement heureuse de vous revoir. J’espère que tout s’est bien passé durant mon absence… en attendant, je t’ai ramené un petit quelque chose de Paris. »
La mince volonté d’Enat avait déjà pris un coup à la vue de sa mère entourée de Saoirse, Mady et Juliette, trépignant de joie. Elle ne pouvait pas casser cet instant de bonheur, il appartenait à ses sœurs… Elle venait d’en prendre un deuxième lorsque sa mère n’avait pas daigné réagir à son évidente mauvaise humeur. Et c’était une troisième épreuve qui s’imposa à elle lorsque Margaret lui présenta son cadeau : du fond de la caisse, terrorisé par les bruits alentours, un petit chaton noir la dévorait du regard. Sans trop savoir quoi dire, elle s’empara délicatement du caisson. Relevant la tête, elle adressa un sourire timide à sa mère, qui une fois de plus, avait amadoué sa fille. Le tour de force prit fin avec succès lorsqu’elle attira Enat contre elle, afin de la prendre dans ses bras. La frêle brunette avait perdu la mince bataille qu’elle avait tenté de lancer. Elle ne pouvait plus rien dire d’autre qu’un « merci, je t’aime, Maman », quand bien même, quelques minutes auparavant, elle était décidée à obtenir ce merci. Et non pas à le lui offrir. Mais elle avait décidé, ou on lui avait imposé, une fois de plus, d'ignorer cette petite voix qui s'évertuait à faire résonner dans sa tête "qu'est-ce que tu es faible ..!".
II. Throw me in a landfill, don't think about the consequences...
« Enat, Je préfère être franc : cette lettre n’est pas celle que tu espérais lire… »
Au fur et à mesure qu’elle s’éloignait de la Grande Salle et de son vacarme, la lecture de la lettre qu’elle venait juste de recevoir devenait de plus en plus laborieuse. Non pas que la lumière manquait ; les couloirs qu’Enat traversait à grand pas étaient illuminés par la pâle lumière cendrée qui transperçait les immenses fenêtres du château.. Enat déchiffrait, tout en marchant, cette écriture maladroite qui lui faisait tourner la tête. L’effroi lui glaçait les poumons à mesure qu’elle dévorait ces deux pages de parchemin blanc cassé. Une crainte grandissante lui consumait l’estomac.
« … contrairement à ce que tu m’as dit, je ne pense pas que tu y sois pour quoi que ce soit. Mais ça ne marchera pas, nous sommes trop semblables… »
Enat avait reçu son courrier, comme tous les autres élèves, au déjeuner. Mais elle avait été la seule à bondir après l’avoir ouvert et la seule encore à se précipiter en dehors du hall, sans vraiment regarder devant elle. Deux mois. Deux mois d’attente dans l’incertitude. Et voilà que tout se précipitait, en l’espace de quelques minutes. Il avait suffi à la jeune femme de lire son prénom pour reconnaître les « E » atrophiés d’Eliott.
« … tu me l’as dit, je suis incroyablement important dans ta vie. Et c’est ce qui nous bloque. Tu m’as laissé prendre trop de place, tu t’effaces, Enat… »
Cette fois, elle s’était arrêtée. Plantée devant la Grande Porte. Forcément. Il fallait que quand, pour une fois dans sa vie, elle se sente bien avec un homme, celui-ci s’en aille. La suite de la lettre était confuse dans son esprit, comme si elle ne pouvait plus comprendre ce qu’elle lisait. Mais le reproche était le même tout au long de la lettre : trop faible. Eliott ne souhaitait pas la déséquilibrer plus qu’elle ne l’était déjà, ce qui avait la capacité de la faire sourire amèrement… *Y-a-t-il encore franchement quelque chose à sauver ?*. Il tentait aussi d’aborder le sujet de la famille Barrington. Le brave Serdaigle espérait qu’Enat aurait « l’entourage nécessaire » pour réussir à se retrouver, car d’après lui, elle était perdue. Presque un acte de charité, tout bien réfléchi.
La jeune femme laissa son dos glisser contre le mur et sans vraiment y prêter attention, se retrouva affalée sur le sol. Elle avait donc réussi à faire fuir la première personne qui semblait l’avoir vraiment aimée. A trop chercher son attention, elle était parvenue à la perdre.
Elle ne pouvait pas pleurer, et pourtant qu’est-ce qu’elle l’aurait souhaité. Le jeune couple vivait une période de « pause » depuis une dizaine de semaines maintenant et Enat n’avait rien pu laisser échapper pendant cette longue interruption de leur relation. C’était Eliott qui avait demandé une halte. Ou plutôt non, Enat avait obtenu qu’ils prennent « du temps pour réfléchir » après qu’Eliott ait annoncé vouloir tout arrêter. Une fois encore, elle avait choisi de supplier et d’effacer toute trace d’orgueil plutôt que de se retrouver seule à nouveau.
Angoissée à l’idée de l’issue de cette situation, elle était désormais fixée. Et pourtant, rien ne sortait. Pas un cri, pas une larme. Juste un splendide regard pervenche qui se perdait dans le gris lointain.
CRÉDITS GIF ; TUMBLR. ICONS ; MORIARTY ET EYLIKA. CODE APPARTENANT AU FORUM DISSENDIUM
Dernière édition par Enat Barrington le Lun 18 Nov - 10:51, édité 8 fois
Stefan K. Durden
if i had a heart i could love you
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► date d'inscription : 15/03/2013 ► parchemins : 1553
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Lun 21 Oct - 19:47
tu commences à me saouler maintenant, on te jetterait des tomates parce que tu as une vie sociale ? parce que tu as bossé pour avoir ton bac ? parce que tu as préféré le temps IRL au temps URL ? donc arrête de t'excuser REVIENS et FINI TA FICHE qu'on puisse rp ok ?
BIENVENUE ma toute belle et j'ai hâte de lire ta fiche, de faire plein de rp avec toi, d'avoir des liens avec tous mes comptes.
Louis Weasley
Loulou national
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► date d'inscription : 01/11/2011 ► parchemins : 3103
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Lun 21 Oct - 22:10
ANDY Rebienvenue parmi nous & bonne continuation pour ta fiche :)
Anjelica M. d'Alvarez
Moi Je, capricieuse et médisante MODO
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► date d'inscription : 06/09/2013 ► parchemins : 1562
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 2:54
Re-Bienvenue visiblement ^^ Bonne rédaction
Odette T. Carrow
I'd watch you bleeding if I wanted to laugh
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► date d'inscription : 12/09/2013 ► parchemins : 875
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 3:10
Re-bienvenue en ce cas. Bon courage pour cette fiche :53:
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 4:00
Merci, merci, merci ! c't'en cours :)
Lucy Weasley
victory needs sacrifice ∞ ∆DMIN
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► date d'inscription : 18/04/2010 ► parchemins : 5756
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 4:52
Rebienvenue, ça fait plaisir de te revoir sur le forum ! Et bien sûr que ton retour ne pose aucun problème :) Bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de lire tout ça
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 5:07
REBIENVENUE ça fait bien plaisir dis donc bon courage pour cette fiche en tous cas
Roxanne H. Weasley
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► date d'inscription : 24/10/2012 ► parchemins : 3316
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 5:26
Stefan K. Durden a écrit:
tu commences à me saouler maintenant, on te jetterait des tomates parce que tu as une vie sociale ? parce que tu as bossé pour avoir ton bac ? parce que tu as préféré le temps IRL au temps URL ?
bah ouais un peu mon neveu :tss:c'est honteux, ignoble, une hérésie, un crime de lèse-majesté d'avoir une vie sociale. je sais même pas comment tu oses paraître devant nous de la sorte brefouille, hélo a tout dit, rebienvenue, j'ai hâte de voir ce que va donner ton personnage et j'exige des liens, des rps, de l'amour, de la vénération, bref comme d'hab
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 6:23
Oh merci
Liens, amour, vénération et RPs : ça m'va.
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 7:36
HAN ANDYYY :36: dis moi oui chéri okjesors.
ça fait super plaisir de te revoir ici et en plus sous les traits d'une charmante demoiselle même si Andy était loin d'être dégueu
Enfin bref rebienvenue à toi et tu connais la suite, liens, rps toussa toussa
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 10:37
Re-bienvenue à toi donc. :'D
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 12:14
Merci ! :76:
J'ai posté une première partie... je pensais en faire trois, j'essaierai de ne pas faire trop long..!
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 22 Oct - 20:15
coucouuu la compatriote. On chante l'hymne aussi? Bienvenue :heart:
Naranja L. d'Alvarez
Guerra, caza, y amores, por un placer, mil dolores ❀ Modo
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► date d'inscription : 25/06/2012 ► parchemins : 3968
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mer 23 Oct - 0:56
Rebienvenue
Stefan K. Durden
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► date d'inscription : 15/03/2013 ► parchemins : 1553
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mer 23 Oct - 1:02
la suiiiiiiite. (j'ai déjà adoptée Enat, elle est trop mignonne )
R. Ada Shaw
deadly ➵ the devil was once an angel
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► date d'inscription : 24/05/2013 ► parchemins : 1035
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mer 23 Oct - 4:23
rebienvenueeee petit chat. j'aime beaucoup ton avatar, les photos, toussa.
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mer 23 Oct - 4:33
Oh merci (et toi tu as Jack Harris comme gif, je t'adopte mais DIRECT).
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mer 23 Oct - 5:15
Bienvenuuue
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Ven 25 Oct - 22:17
Enat Barrington a écrit:
Oh merci (et toi tu as Jack Harris comme gif, je t'adopte mais DIRECT).
Ouais pace que Jack Harries c'est moooi Bienvenue
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Sam 26 Oct - 0:47
ReBienvenue
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Sam 26 Oct - 0:52
Jude A. Hemingway a écrit:
Enat Barrington a écrit:
Oh merci (et toi tu as Jack Harris comme gif, je t'adopte mais DIRECT).
Ouais pace que Jack Harries c'est moooi Bienvenue
je vous adopte tous
merci beaucoup ! Je poste la fin de ma fiche demain je pense.
Stefan K. Durden
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► date d'inscription : 15/03/2013 ► parchemins : 1553
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Sam 26 Oct - 3:36
moi moi tu m'adoptes.
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Mar 12 Nov - 11:10
(pour la mise à jour : j'ai bientôt fini, je poste le tout cette semaine !)
Roxanne H. Weasley
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► date d'inscription : 24/10/2012 ► parchemins : 3316
Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée) Dim 17 Nov - 0:07
ta fiche est terminée, pas terminée, des nouvelles?
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Sujet: Re: Enat, ça veut dire "petit feu" (terminée)