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 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide

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A. Marloes Ferretti

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A. Marloes Ferretti


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MessageSujet: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 5:19



feretti
alissa marloes
On peut dire ce qu'on veut sur les zombies , mais eux au moins ils t'aiment pour ton cerveau et non pour ton physique

nom  Feretti, un nom typiquement italien que tu détestes, te ramenant toujours malgré toi vers la lâcheté de tes parents. prénom  ▽ Alissa, doux prénom choisit par ta mère, seules les personnes de ton passé en Italie te connaissent sous ce pseudonyme, mais tu l’as renié, comme le reste. Ici tu te fais appeler Marloes, lubie idiote de ton paternel qui a au moins l’utilité d’imposer un certain respect aux personnes que tu ne connais pas. âge  ▽ Dix-sept hivers. nature du sang  ▽ Sang-mêlé, mais ici personne ne le sait, ici ou ailleurs, c’est une tare que tu as toujours gardé caché. nationalité  ▽ Franco-italienne  année  ▽ Septième année camp  ▽ Officiellement impartiale, officieusement tu vas là où tu y trouve ton intérêt caractère  ▽ Persévérante ϟ Mesquine ϟ Frondeuse ϟ Complexée ϟ Stratège ϟ Pugnace ϟ Tenace ϟ Acerbe.avatar  ▽ charlotte baby free



le barème

ambitieux : •••••
romantique : •••••
sportif : ••••
généreux : ••••
franc : •••••
sérieux : •••••

le pourquoi tu comment

Choisir ou non au final qu’est-ce que ça change ? Comment savoir si le camp sélectionné sera le bon, comment savoir si au final on ne fait pas la plus grosse erreur de sa vie en choisissant celui-ci et pas un autre. Faire des choix, prendre le bon chemin, la vie ne se résume qu’à ça. Se stopper devant une fourche de possibilités et fermer les yeux en avançant à tâtons au risque de se prendre un mur, voir pire. Chaque personne trace sa vie comme elle l’entend ? Foutaise de grand-mère droguée à la morphine, seul le destin trace nos vies et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il aime nous pousser dans la merde. Nous faire prendre avec un malin plaisir des détours, des culs de sacs, des chemins qui ne mènent nulle part sauf vers sa grande amie la souffrance. Oui il aime ça nous voir trimer, pleurer, supplier, endurer les pires horreurs avant de nous accorder enfin la paix, une porte de sortie vers le bonheur quand tu n’as plus ni l’envie ni le courage de le savourer. Toi tu refuses. Tu refuses ce jeu malsain de la vie, tu refuses de jouer à la roulette russe simplement pour faire plaisir à telle ou telle personne, tu refuses de te retourner le cerveau à chaque fois pour savoir si ce chemin était le bon, si tu n’as pas fait ça pour les mauvaises raisons. Tu refuses tout simplement de choisir, cette guerre n’est pas la tienne. Ta guerre c’est ta vie, le simple fait de respirer dans ce monde est une guerre de tous les jours, alors non tu ne te rajouteras pas cette merde en plus sur tes épaules. Qu’ils s’entretuent, tu regarderas ça d’en haut en te racontant à quel point ils sont pathétiques. Toi tout ce qui t’intéresse c’est toi, ton bonheur, ton nombril. Tu vas là où tu y trouves de l’intérêt pour toi, obscurs, résistants, impartiaux, ça n’a pas de sens pour toi, tout ce que tu y vois c’est ton bénéfice personnel, tu iras avec les gagnants en prétextant que tu les soutenais depuis le début, simple, efficace et tes mains restent toujours propres, pourquoi chercher plus loin.



et toi dans tout ça? Yo yo wesh mes frères susu ça gaze ! moi c'est popopopopo Pauline, ou votre altesse, votre majesté, votre adorée à votre aise, sinon RAINBOWSHEEP pour les intimes. Malgré les apparences j'ai déjà 22 ans, je me fais vieille bientôt la ménopause JE SAIS. J'ai découvert ce forum un jour par hasard et ça a été la plus grosse erreur de ma vie alors toi OUI TOI cours avant qu'il ne soit trop tard COURS FOREST COUUUURS ! (ma présa est longue hein huhu), je suis étudiante en évènementiel et voilà on s'en tape de ma life en vrai. J'aime le vert couleur de l'espoiiiiiir et le marron couleur caca aussi. Quand à mon vis ma life il est pas terminé capish ?! alors zou file d'ici petit pervers naméoh. Et sinon je vous aimes ma bande de thons ♥.
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charlotte free - a. marloes feretti




Dernière édition par A. Marloes Ferretti le Mar 30 Juil - 23:28, édité 7 fois
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A. Marloes Ferretti

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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 5:19

vis ma vie

Mieux vaut être indifférent et digne que malheureux et pathétique


On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l’amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu’on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l’accident, on prend trop de coke, on frôle l’overdose. Ça fait peur aux parents, des gènes de banquiers, de PDG, d’hommes d’affaires, qui dégénèrent à ce point là, c’est quand même incroyable. Il y en a qui essaient de faire quelque chose, d’autres qui déclarent forfait. Il y en a qui ne sont jamais là, qui ne disent jamais rien, mais qui signent le chèque à la fin du moi. Et on les déteste, parce qu’ils donnent tant et si peu. Tant pour qu’on puisse se foutre en l’air, et si peu de ce qui compte vraiment. Et on finit par ne plus savoir ce qui compte, justement. Les limites s’estompent. On est comme un électron libre. On a une carte de crédit à la place du cerveau, un aspirateur à la place du nez, et rien à la place du cœur, on va en boîte plus qu’on ne va en cours, on a plus de maisons qu’on a de vrais amis, et deux cents numéros dans notre répertoire qu’on n’appelle jamais. On est la jeunesse dorée. Et on n’a pas le droit de s’en plaindre, parce qu’il paraît qu’on a tout pour être heureux. Et on crève, dans nos appartements trop grands, des moulures à la place du ciel, repus, bourrés de coke et d’antidépresseurs, et le sourire aux lèvres.

Palerme, Italie – Mai 2012

« Esci dalla mia casa specie di stronzo ! »* un cri, puis un autre. Un objet qui se fracasse contre le mur immaculé de votre salon. Tu penses que c’est du verre ou alors peut être le vase en cristal de la maman de ton père, tu ne sais pas. Tu ne vois rien, tu écoutes seulement. Tu as l’habitude maintenant des cris à répétition, de papa qui rentre trop tard le soir, puant une odeur âcre qui chaque fois te soulève le cœur, il ne marche jamais droit quand il rentre et souvent il écrase ton petit corps de son poids d’adulte. Au début tu ne comprenais pas pourquoi ta maman criait, pleurait, toi tu trouvais ça drôle de voir ton père si joyeux, si souriant, malgré cette odeur nauséabonde, tu attendais presque avec impatience qu’il rentre juste pour voir ses pieds se prendre dans le tapis en lin de l’entrée et s’écrouler de tout son long sur le sol. Oui c’était drôle. Mais maintenant ça ne l’est plus. Maintenant tu as peur, tu te recroquevilles sous ton lit, ignorant le mouton de poussière qui chatouille ton nez, tu fermes les yeux, fort fort et tu te bouche les oreilles en chantonnant aussi fort que tu peux pour couvrir ces cris, ces hurlements. Tu entends des bruits sourds mais tu les ignores aussi, essayant de les assimiler à d’autres choses. Un lapin qui saute par exemple, ou un chien plutôt au vu de la lourdeur de l’animal, tu n’essayes pas d’imaginer que ça pourrait être un corps qui tombe. Tu n’as que six ans, tout ça pour toi c’est lointain, pas réel, tu penses que tu peux t’échapper, t’enfuir juste en te bouchant les oreilles et en fermant les yeux, c’est magique, pathétique.

Palerme, Italie –  Décembre 2013

Papa est partit. Il a claqué la porte, comme ça, sans même un regard pour toi. Tu es bloquée, figée, atterrée, là sur le pas de la porte, ton regard azur encore rivé sur la porte fermée. Tes membres refusent le moindre mouvement comme ci ton cerveau leur refusait ce droit, ce pouvoir. Tu sais malgré ton jeune âge qu’une partie de toi, de ton avenir vient de passer le pas de cette porte, sans espoir de retour. Ta poitrine se compresse à t’en faire mal, les larmes salées et brûlantes te brouillant la vue mais tu refuses de les laisser couler sur tes joues diaphanes, tu serres les dents à t’en faire saigner les gencives. Il est partit. Il t’a abandonné comme ça, sans raison. Toi ça te concerne pas leur histoire de couple, toi tu t’en fiche qu’il aille voir une autre femme, qu’il baise la moitié de la ville, toi tu veux juste un père, ton père mais lui ne veut pas de toi. Lâche, salaud, enfoiré. Tu restes alors devant cette porte pendant des heures sans même en prendre conscience, c’est ton corps de gamine trop mince qui finit par te trahir, tes genoux se dérobant lentement mais surement sous ton poids. Tu ne cherches même pas à te retenir, touchant le sol dans un bruit sourd qui sonne comme le glas d’une sentence que tu n’as pas choisi. Tu n’as même pas eut ton mot à dire sous prétexte que tu es une enfant, pour eux être une demeurée s’apparente à la même chose. Tu ne peux pas comprendre, tu es trop jeune. Toujours le même refrain qui au final t’amène au même résultat, là assise sur le tapis, face à cette porte irrévocablement fermée, ton corps se mettant à trembler sous la force de tes sanglots trop longtemps refoulés.

Palerme, Italie  - Septembre 2015

Assise sous un arbre tu regardes avec adoration la poupée que tu as dans les mains. Un stéréotype que la société a décidé de donner aux femmes. Blonde, mince, le visage lisse et parfait, souriante, silencieuse. Tu voudrais ressembler à cela, tu voudrais que tout soit aussi simple que ça. Mais ça ne l’est pas, ça ne l’est plus depuis plusieurs mois. Tu grandis trop vite, jetée dans la fausse aux lions en étant à peine pubère. Un soupire las s’échappe de tes lèvres roses, tu es déjà fatiguée de cette vie, fatiguée de ne pas pouvoir aller jouer comme tous les enfants de ton âge au ballon parce que tu es différente, une sorte de tare que ta mère cache sans vergogne au reste du monde. Tes yeux se ferment doucement, un rayon filtrant à travers le feuillage, caressant doucement ton visage de poupée pourtant déjà si marqué par la fatigue et les carences. Alors c’est à cela que ta vie va ressembler maintenant ? C’est à cela que tu vas être condamnée simplement parce que tes parents n’ont pas été foutus de faire le bon choix pour toi. C’est tellement ironique comme situation que tu aurais presque envie d’en rire mais c’est finalement des larmes salées et coupantes qui inondent tes joues de porcelaine. Chaque jour tu viens ici pour laisser écouler ta peine, ta rage contre ce père lâche et cette mère pathétique pour ensuite te lever péniblement et rentrer dans cette maison sans vie, sans chaleur. Tu entends du bruit dans la cuisine et tu sais que c’est elle, il n’y a personne d’autre que vous deux ici alors tu y vas, même en sachant d’avance ce qu’il va se passer. Tu la regarde de dos laver une casserole, ses gestes sont lents, mécaniques, comme un semblant d’être humain à qui on a retiré toute envie de vivre. Déglutissant difficilement tu te rapproches de quelques pas d’enfant, tu as mal au ventre, au cœur aussi de la voir comme ça, de vous voir comme ça. Toi tu te rappelles de cette mère aimante, câline, qui aimait te raconter des histoires et te brosser les cheveux. « Mamma ? » tu oses à peine prononcer ce mot, il filtre à travers tes lèvres comme une complainte à peine avouée et tu le regrettes à la seconde même où tu vois son dos se raidir et le mouvement de ses mains se stopper. « Vai a giocare nella tua camera Alissa »** sa voix est froide, tranchante comme une feuille de papier. Puis elle recommence son manège avec sa casserole sans même t’adresser un regard. Ça fait maintenant deux ans que c’est comme cela, tu lui ressemble trop, ton visage, tes yeux, ta mère ne le supporte pas. Tout en toi lui rappelle l’homme qui l’a abandonné, qui l’a brisé. Tu es devenue un monstre, un secret dans un placard qu’elle ne veut plus jamais ouvrir et tu ne peux rien faire pour cela. Alors tu obéis et tu sors de cette cuisine en espérant qu’un jour elle sera de nouveau capable de te regarder en face sans éprouver cette rage dont tu n’es pas responsable.


*sors de ma maison espèce de salaud
**vas jouer dans ta chambre alissa


À nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin.


On vit... comme des cons. On mange, on dort, on baise, on sort. Encore et encore. Et encore... chaque jour est l’inconsciente répétition du précédent : on mange autre chose, on dort mieux, ou moins bien, on baise quelqu’un d’autre, on sort ailleurs. Mais c’est pareil, sans but, sans intérêt. On continue, on se fixe des objectifs factices. Pouvoir. Fric. Gosses. On se défonce à les réaliser. Soit on ne les réalise jamais et on est frustré pour l’éternité, soit on y parvient et on se rend compte qu’on s’en fout. Et puis on crève. Et la boucle est bouclée. Quand on se rend compte de ça, on a singulièrement envie de boucler la boucle immédiatement, pour ne pas lutter en vain, pour déjouer la fatalité, pour sortir du piège. Mais on a peur. De l’inconnu. Du pire. Et puis qu’on le veuille ou non, on attend toujours quelque chose. Sinon, on presserait sur la détente, on avalerait la plaquette de médocs, on appuierait sur la lame de rasoir jusqu’à ce que le sang gicle...

Paris, France – Août 2017

« Marloes descend tu as reçu une lettre qui va te plaire ! » tu restes malgré tout allongée sur ton lit, le regard rivé sur le plafond, tes pensées vagabondant ici et là dans les méandres de tes souvenirs. Tu ne sais même pas pourquoi tu es ici, tu ne voulais pas venir mais tu n’as pas eut le choix, une fois de plus. Ta mère ne supportait plus de t’avoir sous le même toit qu’elle, que tu lui rappelles sans cesse ses échecs simplement en existant, elle ne supportait pas ta ressemblance si troublante avec ton père alors elle t’a envoyé ici, sans même te demander ton avis. En vérité tu ne savais même pas que ta mère avait un frère et encore moins un sorcier. Tu n’as plus la force de rien à part capituler face à cet enchainement de merde sans nom. Elle t’a donc mis dans un avion sans aucun remord et envoyé en France où un homme bedonnant d’une quarantaine d’année t’as accueilli avec chaleur te serrant dans ses bras. Tu ne sais pas pourquoi mais sur le coup, tu as pensé que c’était terminé, que ta vie allait changer, que tu allais enfin goûter au bonheur que tu mérites. Grossière erreur. Dans un soupire tu te décides enfin à te lever de ton lit et à descendre pour rejoindre ton oncle dans le salon qui t’attends avec une lettre et un sourire gras. Un frisson court le long de ton échine mais tu n’en montres rien, attrapant du bout des doigts l’enveloppe, tournant ensuite le dos à l’homme pour l’ouvrir. Beauxbâtons. Tu n’es même pas surprise et en même temps tu sens un poids se retirer de ton ventre. Tu vas partir. Tu vas enfin partir et pouvoir être qui tu le souhaite, tu vas enfin pouvoir choisir sans qu’on le fasse pour toi. « Je suis fière de toi ma chérie. » tu sens ses mains se poser sur tes épaules puis descendre le long de tes bras, son corps plein de graisse se collant dans ton dos. Tu essayes de déglutir ta salive en vain alors que ton corps se raidit instantanément, l’envie de vomir te remontant dans la gorge. Il va recommencer, comme à chaque fois. Il ne s’en lassera jamais parce qu’il t’aime. C’est ce qu’il te répète tous les soirs en venant se glisser dans ta chambre, dans tes draps. La première fois tu n’as pas compris, pour toi ce genre de choses n’avaient aucun sens mais maintenant si. Mais il t’aime. Il est la seule personne qui t’a aimé depuis onze ans alors tu le laisse faire en espérant qu’il ne cessera jamais de t’aimer et de porter ce regard plein d’adoration sur toi. « Je monte dans ma chambre je vais commencer à faire ma valise… » Lentement, sans précipitation tu te décolles de lui avant de remonter dans son antre, fermant la porte pour t’y adosser, le souffle court, la sueur glissant le long de ta nuque, le dégoût te comprimant la poitrine. Tu dois lutter quelques minutes pour ne pas vomir et finalement tu regardes de nouveau cette lettre, ta porte de sortie. Beauxbâtons.


Beauxbâtons – 2021

« Dégage de mon chemin le microbe » ton regard froid et dur se pose sur le têtard en face de toi qui se décompose sur place en levant les yeux sur ton visage où un sourire malsain apparait progressivement.  « Je…pardon…j’ai…je suis désolée Marloes je ne voulais pas…tu… » « Fermes là et bouge. » Sans attendre une autre échappatoire, tu regardes cette sous merde passer un côté de toi, tu ne manques pas de décaler ton pied afin qu’il trébuche et s’étale de ton son long sur le sol pour le plus grand plaisir de tes amies qui se mettent à glousser comme des dindes. Toi tu te contentes de sourire méchamment avant de reprendre ton chemin. Cette école est devenue ta maison, ton royaume, elle t’a forgé et apprit à être plus forte. Tu te fous de savoir quelle immonde garce tu es devenue, que tes amis trainent avec toi plus par crainte que par réelle affection, tu aimes ce nouveau toi, faire tes choix. Tu as décidé d’être comme ça. Du moins c’est ce que tu veux te faire croire, tu as bien compris à quel point il peut être facile de façonner son image pour que les gens te respectent et t’aiment. Arrivée ici tu n’étais rien, maintenant tu es quelqu’un, tout le monde ici connait ton prénom, ton visage et même ton emploi du temps. Les professeurs t’adorent pour ta vivacité et ton sadisme, les élèves t’admirent autant qu’ils te craignent pour ton caractère sans faille. Sans faille, voilà une bien drôle d’idée qui le soir te fait sourire. Ces gens-là ne voient que ce qui les arrangent, ils ne savent rien. Ils te prennent pour une petite princesse de sang pur italienne, venant d’une famille riche et puissante, ils ne savent pas quels lâches sont en réalité tes géniteurs et quel pervers pédophile est ton oncle. Ils ne savent pas que sous tes airs de fille facile et aguicheuse, aucun homme de cette école n’a posé les mains sur toi, que toutes ces rumeurs de coucheries ne sont que des histoires véhiculées par des gamins dont les hormones sont en pleine ébullition. Ils ne savent pas que tout ceci n’est qu’une énorme mascarade dont même toi tu ne crois pas, étant plus épuisée à la fin de la journée d’avoir dû porter ce masque que par la journée de cours en elle-même.  Tu as développé une réelle phobie pour la solitude, t’entourant de personnes plus inutiles les unes que les autres simplement pour ne plus être seule, tu deviens celle que les autres attendent de toi simplement pour les garder, pour rebondir à chaque instant, tu es devenue maitre dans l’art de manipuler les gens mais surtout dans l’art de façonner ton image.

Poudlard – 2022

« Hey la nouvelle ! Sympa tes cheveux, tu as confondu ton shampoing avec une bombe de peinture ? » Le rire aigüe que lâche cette conne crispe tous tes membres, tu enfonces tes ongles dans la chair de tes paumes pour te retenir de simplement la gifler alors que tu tournes la tête vers elle en plissant les yeux. Tu aimerais répliquer et lui balancer ton venin en plein visage, lui faire mal avec tes mots autant qu’avec des lames de rasoirs mais tu ne peux pas, ton anglais n’est pas encore assez bon pour cela, si tu disais quelque chose, tu te ridiculiseras encore plus et ça t’énerve au plus haut point de devoir t’abaisser simplement à cause de la barrière de la langue. Ta camarade se met à glousser comme une débile la faisant étrangement ressembler à un dindon en route pour l’abattoir. « Ba alors on a perdu sa langue ? Ou bien tu es trop conne pour arriver à dire quelque chose. » Tes poings se serrent d’avantage et tu es presque sûr que tu perces ta chair avec tes ongles. « Ta gueule pouffiasse » bon ça au moins tu sais le dire et visiblement même une insulte aussi puéril fait mouche. Ça te fait sourire. Visiblement cette fille n’a pas l’habitude qu’on lui dise ce genre de chose. Étrangement elle te fait penser à toi à Beauxbâtons, menant son royaume d’une main de maitre en jouant les parfaites petites garces, même si toi tu as l’avantage d’être jolie ce qui n’est pas son cas. « Tu vas me payer ça la nouvelle, on n’est pas en France ici et tu vas apprendre à me respecter, tu n’as pas ta place dans cette école. » tu roules des yeux face à temps de cérémonie avant de passer à côté d’elle sans un regard pour aller t’exiler sous un arbre dans le parc. Au fond elle a raison, cette école n’est pas la tienne mais une fois de plus tu n’as pas eut le choix de venir ici. Ton oncle fidèle partisan a eut cette lubie de vouloir être plus près de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom et te voilà ici, loin de tes amis, de ta cour, de ta vie. Ici tu reviens au même stade qu’à tes onze ans, de bourreau tu passes à victime et ça te tue comme un poison qui te brûle les veines. Mais tu n’as pas dit ton dernier mot et tu comptes bien reprendre la place qui te revient de droit, tu en as déjà trop bavé pour redevenir elle que tu étais. Doucement tu sors ton livre d’anglais de ton sac et commence à lire, bien décidée à faire fermer sa gueule à cette conne la prochaine fois que tu la croises. A la nuit tombée tu te diriges comme tous les autres élèves vers la grande salle pour le repas, essayant d’ignorer ce climat froid, mais tu es contente de voir que le directeur ne se trouve pas sur l’estrade, surement occupé à tuer des moldus. En vérité tu t’en fou, du moment que tu ne croises pas son regard de serpent à te glacer le sang. Tu t’assois à la table de ta maison en regardant ton assiette pleine. Tu n’as pas faim. Comme à chaque fois. « Oups ! » à peine as-tu entendu ce mot qu’une sonnette d’alarme se déclenche dans ta tête mais c’est trop tard, tu n’as même pas le temps de tourner la tête qu’un bol plein de porridge vient s’écraser sur le haut de ton crâne, l’intégralité de son contenu dégoulinant sur toi. « Désolée la nouvelle, je suis d’une maladresse parfois ! ». Tu restes figée, tu sens la bouillie pâteuse glisser sur toi, dans ton cou, le long de ton dos, imbiber tes cheveux et salir ton visage. Tu restes là sans bouger bien trop choquée d’avoir à subir ça alors qu’avant c’était toi qui faisait ce genre de chose. Un éclat de rire général te fait finalement sortir de ta torpeur alors que tu finis par te lever, retirant le bol pour le jeter sur la table. Tu n’as même pas la force de frapper cette fille, tu ne veux pas t’abaisser à ça alors tu quittes simplement la grande salle sous ces rires de gros cons immature, des promesses de vengeance plus vicieuses les unes que les autres bouillonnant dans ton esprit alors que tu te diriges dans les toilettes des filles.

Pestant en italien tu tentes de retirer le plus gros du porridge de tes cheveux et de tes vêtements, ignorant les commentaires douteux de mimi geignarde. Tu croises alors ton regard dans le miroir, une grimace de dégoût déformant tes traits face à cette fille pleine de bouillie jaunâtre, les traits tirés par la fatigue, le stress, les joues amincies par le refus de s’alimenter. Tu fais peine à voir ma belle. Laissant échapper un soupire las, tu finis par ressortir pour aller dans le parc, ayant besoin d’air et de nicotine. « Marloes attends ! » tu connais très bien cette voix mais tu es trop énervée pour jouer à son petit jeu alors tu continues d’avancer, allumant ta clope d’une main tremblante. « Marloes aller fais pas la gueule, c’était qu’une blague de gamin rien de méchant ! Elle est pas intéressante cette fille. Regardes-moi. » Expirant la fumée opaque, tu finis par te tourner vers le jeune homme en face de toi. Nathanaël. Une des rares personnes dans cette école qui ne te regarde pas de haut, même si tu sais qu’au fond il fait ça dans un seul but, comme tous les hommes de cette planète. « Je m’en fiche. » tu tires une nouvelle fois sur ta cigarette et tu vas t’assoir contre un arbre, très vite rejoins par le gryffondor qui te regarde étrangement, te faisant lever un sourcil. « Il t’en reste un peu là. » tu vois bien qu’il se retient de rire et bizarrement ça te fait sourire alors que de son pouce il retire du porridge de ton menton avant de se pencher vers toi. Tu te laisses faire avec un certain plaisir, tu l’aimes bien, il est sympa même si sa réputation n’est plus à faire ici. Tu glisses tes mains dans ses cheveux et répond à son baiser avec entrain alors qu’il te fait basculer en arrière pour s’allonger sur toi. Tu sais ce qu’il veut, et quelque part tu en as envie aussi. Peut-être qu’avec lui ce sera différent, peut-être que finalement dans cette école ce sera différent, après tout tu n’as pas revu ton oncle depuis pas mal de temps, tu dois passer à autre chose, te laisser aller. Très vite tu sens ses mains glisser sur tes jambes, remonter ta jupe alors que tout ton corps se crispe, l’image de ton oncle au-dessus de toi surgissant comme une gifle en plein visage, une piqure de rappel du destin sur ce que tu as perdu. Ses mains sur toi, son souffle rauque sur ta nuque, son corps trop lourd sur le tien. C’est trop tu étouffes et sans prévenir tu reposes violemment Nathanaël « Ne me touche pas ! » tu n’as même pas consciente de la force et la violence avec lesquelles tu viens de le repousser, le regardant avec un dégoût certain sans faire attention à son air ahurie. Jamais tu n’avais franchis cette barrière avec un homme tout simplement parce que tu savais que ça arriverait. Sans un mot ni un regard pour lui, tu te lèves, récupère ton sac et retourne au château. Tu es en sueur, tremblante, à deux doigts de vomir tes tripes à même le carrelage des couloirs qui te mènent à ton dortoir mais tu tiens bon, tu attends d’être en sécurité dans la salle de bain fermée à double tour avant de te laisser aller, glissant contre le sol, cette image bien ancrée dans ton esprit qui te hantera toute ta vie. Tu détestes cette école.


Dernière édition par A. Marloes Ferretti le Mer 31 Juil - 1:16, édité 9 fois
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R. Ada Shaw

deadly ➵ the devil was once an angel
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 5:20

BABY CHARLOTTE.
preums CAULDWELL
REBIENVENUE YOU SEXY BEAST.
réserve moi tout pleins de liens MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 855253 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 273358 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 204902
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 5:20

bon bah deuz MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 594477
t'es moche comme toujours (mais tu le sais déjà hein), t'es lente, et j'espère que cette fiche tu la feras en moins de 3 mois quand même sinon ça va pas le faire MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 594477
re-bienvenue gros boudin qui pue (même si charlotte c'est une bonasse)MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 241369 :36:MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 855253



u know i love you :héhé:tu vas te marier avec mon prochain compte t'sais MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 594477
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Nathanaël K. Crickson

► Can't get it off my mind
Nathanaël K. Crickson


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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 5:23

REBIENVENUE MA BEAUTE MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 260743 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 136179
MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 273358 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 1705006449 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 204902
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 5:25

SHIT! quatrième CAULDWELL
Bienvenue à miss cheveux rose haha
Je l'aime déjà MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 241369
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 9:22

Re-re-(etc...)-bienvenue et hâte de lire ta fiche (qui promet déjà) MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 855253 rien que l'avatar MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 273358


Dernière édition par Madelyn Rosebury le Dim 16 Juin - 22:24, édité 1 fois
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Heaven A. Coleman

    boom clap ⚔ magic in your veins
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 9:36

COMME T'ES CANON PUTAIN.
Rebienvenue mon amour MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 241369 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 273358 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 260743
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 9:47

zom...bie aimer cerveaux MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 65218
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Fred Weasley

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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 11:20

Rebienvenue. MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 644995
Ton avatar déchire il est vraiment trop beau MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 548823
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Louis Weasley

    Loulou national
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyDim 16 Juin - 13:11


    Rererebienvenue & bonne continuation pour ta fiche MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 136179
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Albus S. Potter


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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyLun 17 Juin - 0:33

Rebienvenue poulette MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 260743 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 260743
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Juyne E. Wells

    Juynie Ҩ je suis un songe;
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyLun 17 Juin - 0:41

Mon dieu ! T'es trop canon quoi MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 273358
Je veux un lien de fou avec Samoumou MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 747403 et Juynie aussi MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 594477
Je te dis Bienvenue pour la forme ! Et j'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec ce personnage MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 241369
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyLun 17 Juin - 6:23

T BONNE MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 747403
Hey je veux mon hypérion quand même hein, parce que c'est pas avec miss cheveux rose que je vais faire des beybeys ... Quoique MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 594477
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Eden L. Walsh

belle, c'est un mot qu'on dirait inventé pour elle
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyLun 17 Juin - 6:24

Ok je t'aime rebienvenue chez toi MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 204902
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A. Marloes Ferretti

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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyLun 17 Juin - 7:11

J'aime ce petit concours sur ma fiche MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 395107


AMOUR + T'inquiète pour les liens c'est déjà prévu tmtc MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 747403
BOUDIN DE MON COEUR + Cherche pas je sais que tu m'aimes trop et que je suis trop bonne pour que tu me résistes très longtemps :leche:et ouai c'est mean to be tavu susu et non j'ai prévu 2 mois cette fois ci MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 594477
NATH + Merci beau gosse MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 273358
ADI + Moi aussi je t'aime déjà mon mignon MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 747403
MADDIE + Je vais essayer de pas te décevoir ma belle :owi:et oui elle est booooonne
HEAVY + Merci mon chaton MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 521104
LE MICROBE + Avoue que tu as kiffé ma petite blagounette ahah :mdr:et je savais que ta sale tronche cachait quelque chose...
FRED/BUBUS/LOUIS + Merci mes agneaux MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 241369
JUYNIE + Oh oui avec grand plaisir ça va faire des beaux bébés toussa MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 747403
MON LAPIN + Tu auras ton Hypérion dans 1 mois :109:et en attendant viens faire des bébés à ta BFF !! MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 241369
DIDI + Moi aussi ze t'aime MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 204902
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyMar 18 Juin - 1:21

On va faire de trop beaux bébés MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 880945 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 241369
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A. Marloes Ferretti

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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptySam 22 Juin - 11:36

OH OUI OH OUI OH OUI QUAND TU VEUX BABY MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 747403
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A. Marloes Ferretti

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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyMer 31 Juil - 1:29

Terminée MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 644995 (enfin MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 594477 )
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Dissendium

what's meant to be will always find a way
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyMer 31 Juil - 1:49

j'aime ta biatch MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 644995 mais on va pas s'entendre MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 594477

BIENVENUE CHEZ LES SERDAIGLE !


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Hermès A. Charleston

lost in a bottomless mess
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyMer 31 Juil - 2:02

Han cette fiche. MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 241369
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyMer 31 Juil - 2:15

Elle est trop bien ta fiche, Marloes a l'air géniale MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 273358 MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 273358
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Ariel V. Edelwiess

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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide EmptyMer 31 Juil - 3:18

je suis obligée de poster pour te dire bravo là. putain mais je te paye un verre même dès qu'on se voit. :36: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide 37955 http://img1.xooimage 
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MessageSujet: Re: MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide   MARLØES ∞ Your mouth is like a suicide Empty

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