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 MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre

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Dissendium

what's meant to be will always find a way
Dissendium


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MessageSujet: MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre   MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre EmptyVen 21 Déc - 5:53

SUJET MINI INTRIGUE
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participants
◙ Zofia B. Vladmirova
◙ Dalia A. Harrison
◙ Juyne E. Wells
◙ Fred Weasley
◙ Benjamin Geolia

Situation initiale :

Citation :
Juyne, Zofia et Dalia ou le trio maléfique. Partout où elles passent tout trépassent. Elles ont une vie dé dépravé : toujours en train de fumer une cigarette, des bouteilles dans le sac, leurs vêtements très courts et déchirés un peu partout. Elles crient, rôtent, pètent en public et disent des insanités. Elles sont un peu les exclus de Poudlard car trop vulgaires et rebelles mais elles cultivent leurs différences. Fred et Benjamin sont les petits anges de Poudlard, ils sont irréprochables et forment la police de la bienséance et des bonnes manières. La scène commence alors que le trio ravage un couloir comme à leur habitude quand Fred et Benjamin leur tombent dessus, la confrontation commence alors.

L'ordre est ainsi déterminé : Juyne – Benjamin – Dalia – Fred - Zofia
Si ce dernier ne vous plait pas, vous êtes libre de modifier. N'oubliez pas qu'il s'agit d'une réalité parallèle alors jouez le jeu à fond, ça n'en sera que plus drôle. Ce sujet est un sujet d'intrigue, mais avant tout votre RP donc vous en faites ce que vous voulez !

Les RPs devront faire entre 500 et 800 mots, afin de permettre de répondre avec rapidité. Si l'un des joueurs ne répond pas après 4 jours, le joueur suivant dans l'ordre peut prendre son tour.

N'oubliez pas qu'un PNJ peut intervenir à tout moment pour chambouler votre RP ...
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Juyne E. Wells

    Juynie Ҩ je suis un songe;
Juyne E. Wells


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MessageSujet: Re: MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre   MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre EmptyVen 21 Déc - 22:34

Sex, drogue and rock and roll
Juyne la magnifique, la terreur rousse, était assise sur les escaliers menant au hall en compagnie d'un charmant jeune homme du nom de Marlon. Ils s'embrassaient à pleine bouche, ne s'arrêtant que pour prendre leur respiration. La Poufsouffle passa la main dans les cheveux du beau brun, les ébouriffant. La jeune femme mordit la lèvre du garçon qui laissa échapper un petit gémissement de plaisir ce qui provoqua un large sourire chez la jeune femme. Ils reprirent de plus belle leur jeu de langue. La main du faux résistant était sur sa cuisse la caressant à travers le fin collant troué qu'elle portait. Il montait doucement vers son entre-jambe, mais avant qu'il n'aille plus loin, la jeune femme l'arrêta. « Laissons-en un peu pour ce soir, mon chou. » lui dit-elle avec un sourire plus qu'entendu. Le jeune homme protesta, mais Juyne resta sur ses positions. C'était elle qui menait dans la relation et ça n'allait pas changer aujourd'hui. Si elle avait dit pas maintenant, se serait plus tard. De quel droit avait-il le droit de s'opposer à la grande Juyne ? Aucun. Elle embrassa une dernière fois puis descendit vers son cou, où apparut quelques minutes plus tard un magnifique suçon. Elle se relva avec un air coquin et un sourire pervers. Elle porta sa main à sa bouche et lui envoya un bisous. Puis elle se tourna, ses cheveux légèrement ondulés suivant son mouvement. Elle s'éloigna du jeune homme avec une ondulation très provocatrice des hanches. Certains jeunes hommes boutonneux se retournaient sur son passage bouche bé, ce qui provoqua un grand sourire entendu chez la jeune femme. Elle laissa échapper un petit rire tout en jetant sa tête vers l'arrière, laissant ces même garçons abasourdis.

La poufsouffle était à la recherche de ses amies, Dalia et Zofia. Toutes les trois, elles se considéraient les reines de Poudlard. Elles savaient très bien qu'elles n'étaient pas appréciées de tout le monde à cause de leur comportement très provocateur. Mais elles étaient crains par la plupart des élèves ce qui leur suffisaient amplement. La rousse sortit une cigarette d'une de ses mini-poches. Quelques minutes, elle trouve ses amies dans un coin du couloir du septième étage. Elle s'approcha d'elles, puis elle les embrassa chacune sur les joues, sa cigarette toujours à la main. « Alors les biatchs. » oui, oui même entre elles, elles s'appelaient comme ça. C'était un surnom très affectif selon elles. « On va faire un petit tour histoire de voir s'il n'y a pas quelqu'un à victimiser par là ? » leur demanda-t-elle avec un sourire pervers et machiavélique. Les jeunes femmes lui répondirent positivement et sautèrent sur leurs pieds. Tout en marchant, la rousse fini sa cigarette et enfourna un chewing-gum dans sa bouche à la couleur rouge pétante. En relevant la tête, elle aperçut un groupe de première année. Elle donna un coup de hanche à Dalia et lui montra le petit groupe d'un coup de tête. Elles s'échangèrent un regard entendu, puis un sourire machiavélique apparut sur les trois bouches. Elles se dirigèrent doucement vers les petits serdaigles. Ses derniers se tournèrent vers elles d'un air apeuré. Tout le monde craignait que les trois princesses leur tombent dessus. Quand elles étaient ensembles, personne ne s'en sortait. Juyne eu à peine le temps d'ouvrir la bouche que quelqu'un lui tapota l'épaule.« Qui ose me toucher ? » dit-elle en criant à moitié. Elle ne supportait pas que certaine personne prenne cette liberté ! Elle se tourna et fit face à Benjamin Geolia. Elle le regarda de haut en bas. Un nouveau sourire naquit sur ses lèvres. Elle mâcha de façon très vulgaire son chewing-gum tout en le regardant dans les yeux. Sans jeter un coup d'oeil à coté, elle se doutait qu'il était accompagné de Fred Weasley, son acolyte. Les chefs de l'ordre était dans la place. "Attention à nos fesse" pensa Juyne avec un petit rire intérieure. "ou vice versa. Ils s'attaquent au trio à leur risque et péril. "
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Benjamin L. Geolia

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Benjamin L. Geolia


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MessageSujet: Re: MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre   MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre EmptyDim 23 Déc - 1:12


Contre la saleté,
il y a M. Propre !

Ft. Dalia, Fred, Juyne et Zofia
C'était un magnifique jour pour se lever, un magnifique jour pour parcourir le château et un magnifique jour pour faire régner l'ordre dans Poudlard. Comme les gens se tenaient bien dans les couloirs, comme ils étaient souriants, comme leurs tenues étaient correctes et propres ! Benjamin était aux anges lorsqu'il retrouva Fred, son acolyte de toujours, dans la grande salle. Quelques années auparavant ils avaient été chargés d'une tâche, celle de veiller à ce que la bienséance soit respectée par tous et que les bonnes manières priment avant le reste. Benjamin se donnait beaucoup de mal pour que cela soit le cas, il avait un sens des responsabilités extrêmement développé et une rigueur implacable, et c'était finalement les raisons qui avaient dû motiver les chefs à le nommer, lui, à ce poste.
Il était évident qu'il représentait parfaitement la bonne éducation quand on le voyait traverser le couloir de sa démarche droite et guindée, la tête haute, le col immaculé et le pantalon sans un pli. Chacun de ses geste était large et précis, ses mots étaient soigneusement choisis et il avait ce don pour ne jamais se laisser dépasser par les événements. Si quelque chose l'agaçait, il savait comment le faire savoir avec une extrême politesse. Rares étaient les instants où son sourire s'effaçait de son visage, et si c'était le cas, gare à vos fesses !
Alors qu'ils déambulaient dans les couloirs de l'immense école, Benjamin et Fred croisèrent une demoiselle dont la jupe laissait apparaître les genoux, désolé par cette vision, Benjamin s'empressa de lancer un sort sur le vêtement qui se rallongea jusqu'à caresser les orteils de l'élève qui avait outrepassé les règles. Devançant son indignation, il lança : « J'enlève vingt points à votre maison mademoiselle, nous ne sommes pas dans une école de strip-tease mais de magie, s'il vous prend l'envie de dévoiler votre corps, prenez le premier magicobus pour le quartier des sorcières aux mœurs légères, mais ne demeurez pas ici. » Son sourire doucereux s'élargit sur son visage et il détourna les yeux sans plus de façons, en chemin vers d'autres hypothétiques trouble-fêtes.
Cela ne faisait aucun doute, rien ne procurait plus de plaisir à Benjamin que de corriger les manques à la bienséance des élèves de Poudlard, il aimait se dire qu'il vivait dans un micro système de politesse et de bonnes manières. Il aimait encore plus se dire que c'était en grande partie grâce à lui.

Pendant leur ronde, Fred et Benjamin ne rencontrèrent personne qui ne soit vraiment un grand problème, un ou deux chewing-gum mâché de façon un peu trop ostentatoire, des coiffures un peu trop mal maîtrisées, mais aucun délit majeur, tout avait été vite réglé grâce à un ou deux sortilège simple. Mais il était vrai que les deux collègues n'avaient pas encore croisé le trio infernal que formaient Dalia, Juyne et Zofia, le plus dur restait donc à venir car il était à parier que les trois harpies se trouvaient quelque part dans le château à faire les milles et uns plus grands actes de dépravation possibles. Benjamin et Fred représentaient l'ordre et par conséquent, la plupart du temps ils n'éprouvaient aucune difficulté à se faire obéir, excepté quand on en venaient à elles... Elles étaient rebelles, intenables, de vraies furies. Et bien entendu, ce furent elles qu'ils retrouvèrent au septième étage dans un couloir en train de martyriser de pauvres élèves de première années.
Leurs tenues étaient pitoyables, Benjamin fût tout à coup rempli d'une pitié qu'elles ne pourraient de toute façon jamais comprendre. Elles étaient dépenaillées, peut-être saoules, et elles parlaient fort, si fort. Les deux compères rejoignirent le groupe de hors-la-loi qui terrorisait les pauvres première années et alors que Juyne Wells s’apprêtait à commencer à les embêter, Benjamin prit son plus grand sourire et tapa de deux doigts sur l'épaule nue (oh mon dieu ses épaules étaient nues) de la Poufsouffle. « Qui ose me toucher ! » hurla-t-elle d'une voix porcine en se retournant vers le Serdaigle. « Rassure-toi, je me demande moi-même comment j'ai pu. » lui répondit-il. La dépravée le regarda de haut en bas puis se mit à sourire d'un sourire extrêmement vulgaire, mâchant tant et si bien son chewing-gum qu'on aurait dit qu'elle cherchait à faire de la mousse avec sa bouche. Écœurant. Cela ne fit que redoubler le sourire du préfet. « Mesdemoiselles, de toute évidence nous avons un problème. » et il sortit son petit carnet de sa poche pour commencer à lister les différents délits que rassembleraient le château entier mais qu'arrivaient à cumuler les trois filles à elles seules.
© Belzébuth


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Dalia A. Harrison

WONDERDALIA prepare for trouble...
Dalia A. Harrison


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MessageSujet: Re: MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre   MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre EmptyDim 23 Déc - 9:11

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Adossée à un muret dans le parc Dalia profitait de l'air qui s'engouffrait dans son décolleté avant de retrouver ses compères alias Juyne et Zofia. Tout ce qui lui manquait là tout de suite c'était de quoi s'en griller une. Apercevant un élève de sixième année un peu plus loin elle l'approcha d'une démarche chaloupée et lui demande plutôt gentiment une cigarette. Après un coup d'œil vers sa poitrine le jeune homme accepta sans broncher d'en sacrifier une pour les beaux yeux de la demoiselle. Toutefois il se trompait lourdement s'il pensait qu'elle s'arrêterait là. Elle siffla entre ses dents avant de le regarder droit dans les yeux. « Files ton paquet. » Il la regarda choqué, mais voulant croire qu'elle plaisantait. Le pauvre ignorait clairement à qui il avait à faire. Voyant qu'elle ne riait pas il s'alarma. « T'es folle! Tu sais à quel point c'est dur de les faire rentrer à Poudlard? » Les boucles brunes de la jeune fille furent secouées par l'éclat de rire qui s'échappa de ses lèvres. Bien sûr qu'elle savait, c'était bien pour ça qu'elle préférait priver ce charmant jeune homme de son bien plutôt que d'entamer la jolie réserve qu'elle possédait sous son lit. « Fais pas ta pute. » Elle se rapprocha de lui et posa une main sur son torse, un air aiguicheur sur le visage. « Sois gentil et la prochaine fois qu'on se croise je te montrerai mon tatouage le plus secret. » Rapidement les yeux de l'élève descendirent sur le corps de Dalia qui ne broncha pas. Vu le regard qu'elle lui avait lancé, il n'était pas difficile de deviner où ce fameux tatouage pouvait se trouver et peu de garçons auraient refusé d'avoir accès à cet endroit. Comme hypnotisé par elle, il lui tendit son paquet et le briquet avec. Elle sourit, lui tapota le crâne comme elle l'aurait fait à un chien et s'éloigna vers le château.

Quelques minutes plus tard elle retrouvait Zofia dans un recoin du septième étage, attendant Juyne, Dalia profita du temps qu'elle avait pour se rouler quelque chose d'assez différent du tabac qu'elle avait eu un peu plus tôt. Elle n'eut pas le temps d'allumer son joint que la rouquine du trio débarquait. « Alors les biatchs. On va faire un petit tour histoire de voir s'il n'y a pas quelqu'un à victimiser par là ? » Un sourire mauvais sur les lèvres la plus jeune du groupe l'approuva et elles se mirent en route. Dalia se remaquilla sur le chemin, trouvant que ses yeux vert foncés n'étaient pas suffisamment mis en valeur par la tonne de crayon qu'elle avait déjà mis et que sa bouche n'était pas assez foncée. Un coup de hanche de Juyne lui fit remarquer un groupe de petit Serdaigle dont elles ne feraient qu'une bouchée. Elles n'eurent toutefois le temps de rien faire qu'un duo était apparu derrière elle. Le duo des "relous de service" comme les appelait pas si affectueusement que ça Dalia. Alors que Juyne s'offusquait que l'un d'entre eux l'ai touchée, une main sur la hanche elle les regarda d'un air provoquant. « Rassure-toi, je me demande moi-même comment j'ai pu. » L'italienne leva les yeux au ciel. Les premières années avaient filé profitant de la diversion exercée par Benjamin et Fred. Tant pis, le duo prendrait pour les bébés qu'ils avaient sauvé. « Mesdemoiselles, de toute évidence nous avons un problème. » Le sourire de Dalia s'agrandit. Ils allaient encore leur dire que ça n'allait pas du tout, qu'elles exagéraient, que leur tenue, leur attitude, tout chez elles n'allaient pas. Quoi? Son t-shirt dépassant à peine sa culotte porté avec des collants effilés de correspondait pas à une tenue considérée comme appropriée pour le serdaigle et le poufsouffle? Elle en était fort confuse, c'est vrai c'était pas comme si elle faisait ce qu'elle voulait de son corps..Benjamin avait sortit son petit carnet ridicule ou il notait apparemment tous les "délits" que commettaient les gens à Poudlard. Elle retint un rire en se demandant combien de carnets elles avaient rempli à elles seules. Comme indifférente à la situation, elle sortit de sa botte le paquet de cigarette gentiment offert et en portant une à ses lèvres elle l'alluma sans un regard vers le duo. Elle tira une bouffée et s'approcha de Fred. Soufflant lentement sa fumée dans son visage elle esquissa un sourire. « Quel genre de problème mon chou? » demanda-t-elle innocemment à Benjamin à qui elle tournait le dos.
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Fred Weasley

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MessageSujet: Re: MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre   MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre EmptyMar 25 Déc - 11:56

Fred était le plus sage élève de tout Poudlard. Septième année mais pas la moindre heure de retenue, punition ou même remarque à son actif. Il s’était même donné pour mission avec un ami de tout faire rentrer dans l’ordre et qu’il n’y ait aucun débordement en tout genre dans le château. Ils faisaient des rondes, tout le temps, en tout lieu. C’était leur façon de procéder. Benjamin enlevait les points et ils corrigeaient tous les travers à grand coup de sortilèges. Les cheveux s’attachaient, les chewing-gums sortaient des bouches, les jupes étaient rallongées, les pantalons remontés et recousus.

Souvent les problèmes étaient vite réglés, même très vite. Il faut dire qu’ils n’étaient pas craints mais qu’on leur obéissait. Ils étaient les soldats de l’ordre, ils étaient au service du bien être du château et de tous les habitants de poudlard. En même temps, qui avait envie de voir un caleçon dépasser ou bien presque la culotte d’une fille tellement sa jupe était courte. Pour Fred ‘court’ était lorsque celle-ci arrivait au dessus du genou, même un tout petit peu. Il ne fallait pas le choquer. D’ailleurs, il était toujours parfait, des vêtements nickels, repassé, des cheveux bien peignés, des copies parfaites, rien à lui reproché excepté pour certains son trop plein d’ordre et le fait qu’il était justement trop parfait.

Au cours d’un petit tour de vérification qui se passait à peu près sans problème, ils tombèrent sur elles trois. Elles c’étaient les pires de Poudlard, elles ne respectaient aucune règle, étaient répugnantes tant elles étaient vulgaires et constituaient le problème majeur du duo. Elles trois, c’étaient Juyne, Zofia et Dalia, trois jeunes filles d’une vulgarité qui n’avait aucun égal dans le château et depuis des années. Ils devaient faire quelque chose contre ça, c’était leur devoir. Fred suivit le serdaigle en silence et fut presque choqué lorsqu’il osa lui toucher l’épaule pour lui parler. Celle-ci était dénudée, ce qui était une première règle non respectée. Mais il y en avait bien d’autre vu leur tenue…

Il commença par regarder son acolyte intervenir. Il s’en sortirait bien il le savait. Il le vit sortir le carnet. Ce carnet, c’était la chose la plus importante qui existait. Tous les délits de tout le monde y étaient consignés. Ils en avaient déjà plusieurs à leur actif, même beaucoup déjà rien qu’avec ses trois là. « Rassure-toi, je me demande moi-même comment j'ai pu. » Fred fut rassuré. Il n’aurait plus manqué qu’il soit content de toucher cette jeune fille, enfin, si on pouvait appeler ça de cette façon là. Si ça avait été le cas, c’en était fini de leur entraide et partenariat. « Mesdemoiselles, de toute évidence nous avons un problème. » Oh ça oui, ils en avaient un, et pas qu’un petit. Fred se demandait quand ils allaient enfin réussir à les changer, à les rendre normales, à les faire rentrer dans la normalité, l’ordre. Elles étaient un gros défi mais ils y arriveraient. Ça ne pouvait pas rester dans cet état là.

Il regarda la plus jeune du trio maléfique sortir un paquet de cigarette de sa chaussure. Comment pouvait-elle les suivre ? Elle n’était qu’en quatrième année bon sang ! Fumer, boire… Ce n’était pas de son âge. Elle envoya alors toute la fumée de la cigarette qu’elle venait d’allumer dans le visage du poufsouffle. « Quel genre de problème mon chou ? » Elle répondait à Benjamin mais il avait été visé par son nuage de fumée. Il se mit à tousser, dérangé par l’odeur et la fumée qui était plus que désagréable il fallait le dire.

« Et bien ça pour commencer… » Il avait répondu à la place de son ami. D’un joli sortilège aguamenti, il éteint la cigarette de la jeune fille. Il s’en moquait de comment elle réagirait. De toute façon, il avait le règlement de son coté. Il était interdit de fumer à Poudlard surtout dans un bâtiment et en plus c’était pas bien. Pas bien, il y avait pas mal d’autre chose de pas bien chez elles, mais ils n’allaient pas toutes les sortir, ils n’en auraient jamais fini. De toute façon, tout allait être sur le carnet. « Et puis, relève ta jupe, là, c’est atroce ! » Ca l’était, vraiment pour lui. Il avait du mal à la regarder tellement elle était basse. Il était outré. Comment pouvait-on oser montrer le haut de ses sous-vêtements ainsi ?


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MessageSujet: Re: MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre   MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre EmptyLun 7 Jan - 4:51


Fuck i'm fabulous

Cet après-midi là, Dalia retrouva Zofia, au septième étage. Toutes les deux à Gryffondor, elles étaient assez proches. Elles attendaient Juyne, la troisième fille de la bande. Sans Juyne, le trio maléfique n’était pas complet. En attendant, Dalia en profita pour rouler un joint et Zofia pour se remaquiller un peu. Ses yeux étaient si noirs qu’elle avait un regard de biche, la couleur de ses yeux ressortait à merveille. Elle était tellement belle. La Gryffondor sortit un élastique de son sac et attacha ses cheveux en une haute queue de cheval. C’était comme ça qu’elle se préférait et sans ses cheveux sur ses épaules, on pouvait beaucoup mieux admirer son décolleté. Certaines détachaient un ou deux boutons de leurs chemises, Zofia elle en détachait trois ou quatre selon le jour. « Alors les biatchs. » La voix de Juyne retentit à leurs oreilles. Enfin Juyne était arrivée. Elle leur fit un bisou sur la joue à chacune, fumant tranquillement sa cigarette au milieu du couloir. Zofia lui sourit. « On va faire un petit tour histoire de voir s'il n'y a pas quelqu'un à victimiser par là ? » Justement, les filles finirent par trouver un groupe de première année à Serdaigle. C’était parfait, elles allaient bien s’amuser. Zofia sortit de sa poche une petite fiole de whisky pur feu et en but quelques gorgées, puis la rangea bien au chaud dans son sac. Elle en avait toujours une comme ça sur elle. « Qui ose me toucher ? » Zofia se retourna vers son amie quand elle entendit ça et c’est là qu’elle vit les deux élèves qui se prenaient pour des flics les aborder. « Rassure-toi, je me demande moi-même comment j'ai pu. » Un sourire mauvais se glissa sur les lèvres de Zofia, persuadée que quand il serait seul, Benjamin ne se gênerait pas pour se toucher en repensant à Juyne, même s’il avait l’air gay. Si elle était un mec, elle ne pourrait pas résister à une fille comme ça. « Mesdemoiselles, de toute évidence nous avons un problème. » dit le Serdaigle en sortant son petit carnet qu’elles avaient vues tant de fois. Dalia ne se gêna pas pour allumer une cigarette devant Benjamin et pour recracher la fumée au visage de l’autre élève du duo infernal. « Quel genre de problème mon chou? » lui demanda-t-elle.

« Et bien ça pour commencer… » Enfin, le blond se mit à parler. C’est à ce moment là que Zofia le remarqua. Il était plutôt mignon pour un blondinet, on dirait qu’il était encore habillé et coiffé par sa maman. Elle avait bien envie de passer sa main dans ses cheveux pour voir s’il allait se mettre à pleurer parce qu’il aurait une mèche de travers. Fred jeta un sort à la cigarette de Dalia pour l’étreinte. Ce mec ne manquait pas de culot. Ils n’avaient pas fini de souffrir avec les trois demoiselles. « Et puis, relève ta jupe, là, c’est atroce ! » dit-il à Dalia. Zofia s’avança vers Fred, un sourire aux lèvres. « Comme ça ? » dit-elle tout en soulevant sa jupe et en montrant sans aucune gêne ses sous-vêtements noirs et sexys au Poufsouffle. Ce n’était pas de sa faute, il lui avait dit de relever sa jupe, elle lui avait donc obéit à la place de Dalia. Une fois qu’il eut une bonne vue, elle baissa à nouveau le bout de vêtement et s’approcha de lui. C’est alors qu’elle passa une main dans ses cheveux tout en se collant un peu à lui pour le chauffer. Si elle ne lui faisait aucun effet, il devait être soit vraiment coincé, soit gay, de toute évidence. Zofia était une bombe. Elle n’avait plus qu’à attendre pour voir si sa théorie était exacte et s’il allait pleurer parce qu’elle l’avait décoiffé. Totalement gay comme attitude. « J’parie que t’as jamais trempé ton biscuit… » dit-elle tout en posant vulgairement son autre main sur l’entrejambe de Fred.
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Juyne E. Wells

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MessageSujet: Re: MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre   MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre EmptyMer 9 Jan - 3:00

Sex, drogue and rock and roll
Benjamin venait de sortir son petit carnet. « Mesdemoiselles, de toute évidence nous avons un problème. » Toujours le même petit carnet. La rousse se trouvait face au jeune homme, elle laissa échapper un petit rictus. Elle le regarda avec des yeux mielleux du genre " Tu n'oserais tout de même pas mettre un petit mot à mon attention dans ton petit carnet". C'est alors que son amie Dalia prit la parole. Elle jeta un coup d'oeil dans sa direction tout en mâchant d'une façon toujours vulgaire son chewing-gum. Elle laissa échapper un petit ricanement quand elle vit Dalia cracher sa fumé à la figure de ce Poufsouffle. Elle demanda alors des éclaircissement sur ce qu'il leur arriverait. Tout en toussant, ce dernier prit la parole : « Et bien ça pour commencer… » Il pointa sa baguette vers Dalia. Il n'allait tout de même oser l'attaquer ? Juyne se tourna vers lui, prête à défendre son amie en cas de besoin. Au lieu de l'attaquer, il lança un jet d'eau sur sa cigarette. Juyne se doutait que Dalia ne réagirait surement pas gentiment après ça. Le jeune Weasley lança une deuxième remarque par rapport à la jupe de son amie. Elle jeta un coup d'oeil vers la tenue qu'il pointait du doigt. Juyne la trouvait très bien, tout à fait fashion et de quoi plaire au garçon. Avant qu'elle n'est pu dire un mot, Zofia prit la parole tout en s'avançant vers les gendarmes improvisés. « Comme ça ? » lui demanda-t-elle. Elle avait posé sa main sur sa cuisse tout en levant de plus en plus sa jupe. Juyne réprima un sourire. Elle était forte, très forte. En quelques secondes, elle révélait aux jeunes hommes ses sous vêtements. Si ça, ça ne les excitait pas... elles ne connaissaient plus les hommes alors. Elle observa son amie faire son petit jeu. Elle se frotta contre le jeune homme aux couleurs jaune et noir. « J’parie que t’as jamais trempé ton biscuit… » dit-elle tout en posant sa main sur l'entre jambe du jeune homme. Elle se tourna vers Benjamin, elle mâcha encore une fois son chewing gum tout en s'approchant du serdaigle. « Sois pas jaloux mon chou, vas y en avoir un peu pour toi aussi... » Elle s'était coller à lui. Elle ondula un petit peu le bassin. La rousse caressa la joue du jeune homme avec son nez, puis remonta l'arrête de sa joue jusqu'à son oreille. Arrivée à destination, elle lui mordilla le lobe, tout en laissant échapper un souffle chaud dans son cou. Puis elle lui chuchota au creux de l'oreille : « T'excites pas trop, mon chou ! » Elle se retira du jeune homme tout en lui prenant des mains son petit carnet. Avant qu'il ne puisse protester, la jeune femme l'ouvrit. Elle parcourut les lignes du carnet à la recherche des petits mots qu'il avait mit les concernant. Elle trouva enfin : le trio de pestes. Oh ce n'était pas très gentils ce petit surnom, dit donc... Elle lut en quatrième vitesse les mots et voulut en faire part à ses amies. « Les filles, écoutez ça ! » dit-elle. Benjamin s'était avancée vers elle. Avec ses talons, elle le dépassait de quelques centimètres. Elle leva alors le bras essayant de mettre son carnet hors de porté un petit moment. « Tenues indécentes, non permit par le règlement. Nous ne sommes pas dans école pour subir un strip-tease. » Elle lança une mine choquée à ses amies.
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Benjamin L. Geolia

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MessageSujet: Re: MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre   MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre EmptyLun 21 Jan - 7:52


Contre la saleté,
il y a M. Propre !

Ft. Dalia, Fred, Juyne et Zofia
La politesse de ces filles n'avaient d'égal que les centimètres carrés de tissus qui recouvraient leurs corps : vraiment pas grand chose. Leurs manières affligeantes et leurs verbes grossiers n'étaient qu'un ajout risible à leurs tenues déplorables et leurs démarches vulgaires, mais le pire, c'était bien cette façon qu'elles avaient toutes les trois de ne pas se préoccuper une seule seconde de ce qu'elles infligeaient aux gens qui étaient obligés de supporter leur manque d'éducation. Et à ce moment-même, elles étaient des plus impolies, pire, elles étaient franchement indécentes avec les deux garçons aux louables pensées. Tandis que l'une d'elle se dénudait progressivement face au pauvre Fred et qu'une autre commençait à le toucher de façon tout à fait perverse, Juyne, la dernière, s'avançait d'une démarche aguicheuse vers Benjamin. Si elle pensait vraiment le séduire, elle était à côté de la plaque. Premièrement Benjamin n'aimait pas les femmes, et deuxièmement il se gardait pour l'homme avec lequel il partagerait un jour sa vie. Fred brandit sa baguette et éteignit la cigarette que Dalia venait d'allumer dans un but uniquement provocateur. Stoppant du même coup les relents de fumée que Benjamin avait perçu quelque secondes avant. « Merci. » pensa-t-il. Mais la Poufsouffle le ressortit immédiatement de ses pensées en collant son ignoble postérieur sur lui. Il retint un cri d'étonnement et leva les mains comme si on le menaçait d'une arme, fermant les yeux dans une expression de dégoût. « Sois pas jaloux mon chou, vas y en avoir un peu pour toi aussi... » dit la harpie tandis qu'elle se trémoussait collé à son bassin. « Très peu pour moi. » cracha Benjamin outré. La jaune et noire continua son petit jeu et ne s'arrêta qu'après avoir posé sa langue visqueuse sur l'oreille d'un préfet totalement halluciné. Profitant de son ébahissement elle prit dans ses mains toujours en l'air le petit calepin des délits et l'ouvrit pour lire tout haut les annotations qui y étaient notées. « Les filles, écoutez ça ! "Tenues indécentes, non permises par le règlement. Nous ne sommes pas dans une école pour subir un strip-tease". » récita-t-elle alors que Benjamin tentait de récupérer SON carnet dans les mains de cette odieuse créature qui le maintenait hors de portée (elle était un peu plus grande que lui, malheureusement.) « Ça suffit rends-moi ça maintenant, on a assez joué, et vous n'êtes vraiment pas dans une bonne position pour nous faire tourner en bourrique mesdemoiselles, alors cessez immédiatement et peut-être que l'on fera un geste pour vous éviter la pire sanction, d'accord ? » dit-il d'une voix sèche et catégorique, le sourire à nouveau sur ses lèvres. Et là-dessus il sortit sa baguette et formula silencieusement un accio pour récupérer sa propriété. Le carnet en mains il prit une grande bouffée d'air et lissa les plis de son pull, pour récupérer une allure digne de ce nom. Il fit un pas en arrière, comme l'exigeaient les règles de bienséance qui visaient à accorder à chacun son espace intime, sa propre bulle, puis planta son expression doucereuse dans les yeux de Juyne, de Dalia, puis de Zofia, chacune leur tour, sans ciller.
© Belzébuth


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MessageSujet: Re: MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre   MI7 ► contre la saleté, il y a monsieur propre EmptyLun 21 Jan - 8:48

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Le visage du bleu était rouge après la petite tentative de séduction de la Poufssoufle, mais il avait bien vite retrouvé ses esprits. « Bah quoi ? Tu veux pas qu’on lise les notes que tu nous mets mon chou ? » lança la plus jeunes des trois filles en lançant un clin d’œil appuyé à son aîné qui ne daigna même pas lui répondre. « Tu vas me faire un plaisir de t’habiller correctement, sauf si tu veux te retrouver enceinte à seize ans » Fred lança un regard dégoûté aux trois filles, mais seule Zofia eut l’audace de répondre à cette dernière remarque. « Je suis sûre que tu serais pas contre une petite partie de jambe en l’air avec une de nous trois pourtant. Vous avec les trois » Faisant claquer sa langue contre son palais, elle s’approcha du jaune et noir, mais la voix de Benjamin la stoppa dans son mouvement. « Garde tes réponses toutes faites pour les autres. » Les trois filles leur lancèrent un regard noir. Ils n’étaient pas aussi faciles à déstabiliser que les autres garçons de l’école. « Et maintenant, vous allez suivre le règlement » Levant leurs baguettes en même temps, ils pointèrent à tour de rôle les trois filles. Le chewing-gum de Juyne s’échappa de sa bouche pour aller se coller sur un mur, la jupe de Zofia se baissa de plusieurs centimètres tandis que ses bas remontaient sur ses jambes, cachant une bonne partie de peau, et la chemise de Dalia se reboutonna jusqu’en haut de son cou tandis que ses cheveux s’attachait en une parfaite queue de cheval. Un sourire satisfait se dessina sur les lèvres des deux garçons tandis que les trois filles se regardaient en poussant des cris. « Je crois que c’est beaucoup mieux comme ça » prononça Fred en rangea sa baguette avant de tourner les talons en compagnie de Benjamin. Les deux amis se sourirent, satisfaits, tandis que les filles hurlaient de rage dans leur dos.

► FIN DE LA MI, merci à tous d’avoir participé !
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