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 you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)

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N. Blake Cauldwell

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MessageSujet: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptyJeu 19 Avr - 4:42

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Allongée sur son lit, par-dessus la couette, Blake jugea qu'il était plus que temps de se lever. Elle avait suffisamment fait semblant de dormir comme ça et n'y tenait plus, il fallait qu'elle se rende à l'infirmerie, il en allait de sa santé mentale. Elle sauta hors de son lit à baldaquin dont elle referma les rideaux, précaution un peu inutile visant à faire croire à ses camarades qu'elle était encore là pour ne pas qu'elles se posent trop de questions. Elle enfila la première paire de chaussures qui lui tomba sous la main et sortit en vitesse du dortoir. En rentrant à l'aube, Blake n'était pas directement allée rejoindre son lit, mais avait plutôt filé sous la douche. Elle avait voulu se laver des tracas de cette soirée, se nettoyer au sens propre comme au figuré. En effet elle avait quelque marques de sang qu'elle n'avait même pas remarqué, mais qui lui étaient apparues une fois sous l'eau chaude, sur ses bras et ses mains. Ces traces lui venaient de la blessure de Pete évidemment, Pete qui avait du rester à l'infirmerie pour se faire soigner et dormir aussi puisqu'il avait perdu connaissance à peine avaient-ils franchit le seuil de l'infirmerie la veille au milieu de la nuit. Ils n'avaient apparemment pas été les seuls à faire une mauvaise rencontre ce soir là puisque d'autres élèves étaient-là réveillés, demandant à ce qu'on s'occupe d'eux. Parmi eux des têtes connues, comme d'autres un peu moins. Mais tout ce qui importait à ce moment là c'était Pete. Albus et elle étaient restés à ses côtés malgré son inconscience, attendant qu'il se réveille, jusqu'à ce que Victoire ne les chasse gentiment de l'infirmerie pour qu'ils dorment un peu. Inutile de préciser que Blake en avait été tout bonnement incapable. C'était déjà à contre cœur qu'elle avait du lâcher la main du préfet pour rejoindre son dortoir, mais alors dormir c'était tout bonnement impensable. Elle n'avait pu penser à autre chose qu'à Pete et à peine trois heures après être revenue dans la tour des Gryffondors, voilà qu'elle en sortait pour retourner à l'infirmerie. Elle-même s'en était sortie indemne, enfin sauf pour ce qui était de sa robe qu'elle avait du déchirer. Il était tôt, même si le soleil était déjà levé et puisque c'était le week-end, peu de gens étaient réveillés. Surtout après les évènements de la nuit précédente. Tout le château devait se reposer. La jeune fille ignorait encore qui était le loup-garou qu'ils avaient croisé et ne s'était, pour être honnête, pas encore penchée sur la question. Plus tard, quand elle se serait assurée de l'état de son amant, elle pourrait faire agir ses neurones pour faire autre chose que de s'inquiéter et alors peut-être saurait elle réunir les divers indices à sa disposition. Mais nul doute que dès que tous seraient réveillés, les rumeurs et les hypothèses sur l'identité du loup iraient bon nombre. Le travail de réflexion lui serait donc sûrement pré-mâché. Peut-être aurait-elle dû, comme son meilleur ami l'avait fait pour Lily, aller vérifier que son frère allait bien. Mais elle le savait insuffisamment téméraire pour avoir fait quoique ce soit de dangereux après avoir entendu un loup dans l'école. Et puis, elle ne l'avait pas vu à l'infirmerie, c'était une preuve suffisante, à tous les coups il était tranquillement endormis dans son dortoir et ne découvrirait les horreurs de la veille qu'une fois sa grasse matinée terminée.

Elle descendit de nombreux escaliers avant d'enfin arriver au premier étage et de traverser les couloirs jusqu'à arriver aux portes de l'infirmerie. Elle les poussa sans attendre et entra en refermant derrière elle sans bruit. Des yeux elle chercha le lit de son bien aimé et lorsque ses prunelles tombèrent enfin sur lui, elles croisèrent ses yeux, ouverts. Elle sautillait presque sur place, lorsqu'elle s'écria. « Oh mon dieu Pete ! Pete ! Tu es réveillé ! Tu t'es évanouis pratiquement au moment où nous sommes arrivé ici à l'infirmerie. Je suis restée toute la nuit bien sûr, mais Victoire m'a forcé à aller me reposer ce matin, désolée. » Il n'y avait pas grand monde à l'infirmerie, juste quelques autres lits occupés, entourés de rideaux blancs. Mais quelques « chut » se firent entendre dès qu'elle eût ouvert la bouche. Aussitôt le rouge monta aux joues de Blake, c'est vrai qu'elle aurait pu être plus discrète. Mais tant pis, elle était trop heureuse de voir ces yeux d'un si marron si profond, enfin se poser sur elle. Était-il heureux de la voir ou bien se souvenant clairement de la nuit passée était-il en colère ? De loin elle ne pouvait pas être bien sûre. Elle courut presque jusqu'au lit où était allongé le jeune homme. Elle avait des cernes sous les yeux parce qu'elle avait été incapable de suivre le conseil de l'infirmière et de réellement dormir, mais elle s'en fichait du moment qu'elle pouvait le voir, peu importait ce à quoi elle ressemblait. « Bubus aussi était là évidemment, mais il a voulu aller vérifier si Lily allait bien. Comment tu te sens ? » fit-elle une fois arrivé à sa hauteur. « Tu te souviens de ce qu'il s'est passé hier ? Victoire a dit que tu allais t'en sortir parfaitement bien, tu m'as fait super peur quand même. » Elle se mordit la lèvre. Des yeux elle dévisageait presque Pete, observant avec minutie chaque parcelle de sa peau comme pour vérifier qu'il n'avait d'autre cicatrice que celle de son flanc. Elle fit un geste pour s'asseoir sur une chaise non loin du lit, mais même juste un petit mètre était beaucoup plus qu'elle ne pouvait en supporter. Elle posa donc une fesse sur le lit de Pete en faisant toutefois attention à ne pas le déranger. Malgré son très fort sentiment de culpabilité par rapport à son état, elle était tellement ravie de le voir éveillé qu'elle ne pouvait s'empêcher de lui sourire. Elle n'avait jamais complètement craint pour sa vie, mais tout de même elle était extrêmement soulagée de le voir ouvrir les yeux. « Oh ! Et ne t'en fais pas. Nous n'étions apparemment pas les seuls à être dehors, alors nous ne devrions pas avoir trop de problèmes. Mais, oh ! Pete je suis tellement, tellement désolée. Je sais que c'est complètement de ma faute. J'ai complètement merdé. Je n'aurais jamais du vous dire de venir avec moi..en fait je n'aurais pas du y aller du tout. C'était stupide et dangereux. Je te promets que je serais plus prudente la prochaine fois. Je suis désolée que tu sois celui qui souffre de mon erreur. Ca aurait du être moi à ta place dans ce lit. Olala en fait j'aurais du me jeter devant toi, mais j'ai pas eu le temps, j'ai pas réagit assez vite, je pensais que le sortilège durerait plus longtemps et je...T'es fâché ? Hein dis moi ? Non parce que tu devrais hein ! Tiens vas-y frappe moi ! » Et l'air tout à fait sérieuse et déterminée elle tendit une main vers Pete pour recevoir son coup. Elle était sincère, elle le méritait parfaitement après avoir agit comme elle avait agit. Elle les avait tous mis en danger et pour quoi ? Pour partir à l'aventure comme d'habitude. Pour courir après un loup-garou plutôt que de rester dans la sécurité de leur salle commune. En fait elle n'avait pas besoin d'Albus pour faire n'importe quoi, non elle s'en sortait très bien toute seule. Et elle faisait peut-être même pire puisqu'elle elle réfléchissait parfois avant de foncer, mais sa réflexion ne l'empêchait pas de passer outre le danger et les défauts évidents de ses plans. Elle se sentait affreusement mal qu'il ai fallut que son petit-ami soit blessé pour qu'elle s'en rende compte, aussi elle méritait tout châtiment qu'il voudrait lui donner. Et je dis bien tout, car à le voir ainsi allongé sur son lit blanc, le flanc enserré dans des bandages elle était dans l'incapacité de lui refuser quoique ce soit. Et puis si Pete voulait bien la frapper elle se sentirait moins coupable de le prendre dans ses bras après puisqu'au moins il aurait pu se venger – même si bien sûr comparé à sa blessure au flanc ce ne serait rien. En effet vue l'inquiétude immense dont elle avait été victime, elle mourrait d'envie de le serrer contre elle et de l'embrasser sans jamais avoir à le lâcher, surtout qu'elle n'aurait pas à vérifier qu'on ne les observait pas vu que les seuls autres patients étaient cachés derrière leurs rideaux immaculés.
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Pete K. Levingston

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MessageSujet: Re: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptySam 28 Avr - 12:40

you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) Tumblr_lywa6maGxS1rozxz4o4_250 you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) Tumblr_m02q3fr9IG1qe3h7co1_250

Des fois la vie elle était contre vous, elle avait décidé de vous pourrir l'existence chaque jour que Dieu faisait en admettant qu'il existait. Pete ne savait pas ce qu'il avait fait à la vie mais celle-ci était vénère contre lui, ça devait être ça parce qu'il ne pouvait sinon pas expliquer toutes les m*rdes qui lui tombaient dessus. Sérieusement il avait hérité du titre de « mec le plus malchanceux » du monde avec tous les suffrages, vote à l'unanimité, personne ne pouvait rivaliser. Même Cosette elle avait une vie de rêve : porter des sceaux d'eau dans la neige c'était de la gnognotte à côté de ce que lui traversait. Ouais Hugo avait du s'inspirer de sa vie intérieur ou en tout cas rêver de sa vie actuelle et l'édulcorer pour écrire les Misérables et aussi pour que ça corresponde avec son temps. Il devrait demander des indemnités pour cette exploitation indirecte de sa vie... Bon ok j'arrête mon délire puisque ça fait rire personne. Enfin bref le pauvre était cloué dans un lit de l'infirmerie à moitié plongé dans un rêve à moitié réveillé. Il était un peu dans un état comateux le jeune Levingston. Il rêvait de lapins qui chantent une chanson en japonais alors autant dire qu'il n'y comprenait absolument rien et les lapins en question faisaient une danse bizarre que Pete copiait derrière eux. Ah il avait l'air de prendre son pied dans son rêve. Soudain un des lapins s'approcha de lui avec un marteau en chamallow avec un sourire diabolique avant de lui susurrer « Il est temps de se réveiller. » Pete sursauta dans son lit à la recherche du lapin qui l'avait sauvagement attaqué pour lui donner une bonne râclée. Personne ne lui donnait un coup de marteau dans les dents... Surtout s'il était en marshmallow non mais oh. Mais ce fourbe avait disparu, ce lâche il avait peur du combat. Bon en même temps c'était compréhensible, Pete était bâti non pas en V mais en H croisé en V. Oh oui c'était compliqué mais enfin bref il était bien foutu, c'est ce qu'il fallait comprendre. Finalement il finit par se calmer et constater que durant sa courte nuit, il avait transpiré abondamment car son lit était pratiquement trempé. C'était pas super cela mais bon il ne pouvait pas faire grand chose. En tout cas vu au silence qui régnait dans l'infirmerie, tout le monde devait encore dormir. Il hésitait à se rendormir mais il avait l'impression que maintenant qu'il était réveillé, retourné dans les bras de Morphée serait impossible. Il se contenta alors de remonter un peu les couvertures et de patienter, attendre un je-ne-sais-quoi. C'est alors que des bruits se firent entendre et trente secondes plus tard Blake était devant ses yeux.

Elle ne mit pas bien longtemps avant de le réveiller pour de bon. « Oh mon dieu Pete ! Pete ! Tu es réveillé ! Tu t'es évanouis pratiquement au moment où nous sommes arrivé ici à l'infirmerie. Je suis restée toute la nuit bien sûr, mais Victoire m'a forcé à aller me reposer ce matin, désolée. » Elle était mignonne sa copine. Ça faisait bizarre de le dire, encore. C'est vrai, il était très heureux que Blake soit enfin sa copine mais après tout ce temps il avait encore du mal à prendre pleinement conscience surtout que c'était seulement officieux vu qu'il avait toujours son boulet alias sa fiancée. En tout cas la voir lui faisait beaucoup de bien surtout que ce loup avait contrecarré leurs plans. Non mais c'est vrai ils avaient prévu un rendez-vous super romantique, se retrouver enfin que tous les deux et ces moments étaient rares. Mais non il y avait fallu qu'un loup garou se pointe. Quand on vous dit qu'il est maudit c'est pas une blague... Enfin elle se rapprocha de nouveau de lui avant d'ajouter : « Bubus aussi était là évidemment, mais il a voulu aller vérifier si Lily allait bien. Comment tu te sens ? » Il reconnaissait bien là son meilleur ami et il préférait que ce dernier soit plutôt auprès de sa petite sœur qu'auprès de lui. Déjà parce qu'il était seul avec Blake et qu'en plus il n'avait pas besoin que tout le monde s'inquiète pour lui, il était un grand gaillard. Il était robuste et avait vécu pire. De toute manière, s'était toujours qui se prenait les trucs dans la tronche alors il était habitué. Personne ne devrait plus s'étonnait qu'il soit blessé, il pouvait définitivement réservé un lit à l'infirmerie et l’aménager à sa guise pour se sentir comme chez lui. Il se ferait livrer aussi de quoi se détendre et le tour serait joué. Finalement il n'avait pas besoin de beaucoup de choses pour être bien. Souvenez-vous : voyager léger. Bon bien sûr il inviterait Blake autant de fois qu'elle voudrait mais il la protégeait alors elle n'avait pas besoin de fréquenter l'infirmerie pour ses propres besoins (a). Voyant l'inquiétude dans ses yeux il lui répondit en essayant de sourire : « Je vais bien, Victoire fait des miracles. Je vais sûrement rester ici quelques jours mais je suis fort comme un lion. C'est pas une petite griffure qui va me mettre au tapis. » C'était peut-être pas convaincant mais c'était vrai qu'il se sentait beaucoup mieux que la veille même s'il n'avait pas de souvenirs très précis, tout était assez vague. Il ne se souvenait pas par exemple d'avoir parlé de vouloir coucher avec Blake à son meilleur ami Adrian alors qu'elle était présente. Non mais à croire que la mémoire faisait bien les choses...

« Oh ! Et ne t'en fais pas. Nous n'étions apparemment pas les seuls à être dehors, alors nous ne devrions pas avoir trop de problèmes. Mais, oh ! Pete je suis tellement, tellement désolée. Je sais que c'est complètement de ma faute. J'ai complètement merdé. Je n'aurais jamais du vous dire de venir avec moi..en fait je n'aurais pas du y aller du tout. C'était stupide et dangereux. Je te promets que je serais plus prudente la prochaine fois. Je suis désolée que tu sois celui qui souffre de mon erreur. Ça aurait du être moi à ta place dans ce lit. Olala en fait j'aurais du me jeter devant toi, mais j'ai pas eu le temps, j'ai pas réagit assez vite, je pensais que le sortilège durerait plus longtemps et je...T'es fâché ? Hein dis moi ? Non parce que tu devrais hein ! Tiens vas-y frappe moi ! » Pete se retint de rire tellement elle était ridicule. Pensait-elle vraiment qu'il pourrait la frapper ? Jamais de sa vie il ne la frapperait, plutôt mourir mais néanmoins ça lui faisait plaisir qu'elle reconnaisse qu'elle aurait du l'écouter. A chaque fois il avait raison mais ses amis ne l'écoutaient enfin Blake et Albus, du coup s'était lui qui se prenait les coups. Vous parlez d'amis, ils vous envoient limite à l’abattoir ! C'était légèrement exagéré mais des fois il va fallait jouer sur la culpabilité de ses amis pour gagner de l'affection surtout quand sa meilleure amie responsable était aussi sa petite amie. Enfin Pete lui répondit. « Blake c'est ridicule, tu te rends compte que si s'était toi qui avait été attaquée par le loup, je serais dans un pire état que je ne le suis actuellement. » Il fit une pause avant de prendre la main. Il ne savait pas si elle croyait qu'il allait le frapper mais dans sa tête c'était loin d'être le cas. Il le répétait encore mais jamais de sa vie il n'oserait la frappait, quand on aime quelqu'un on ne peut lui faire du mal... Enfin physiquement parce que Pete savait qu'il avait déjà fait souffrir Blake alors qu'il l'aimait. Ça le tuait d'ailleurs mais que pouvait-il faire ? Même dans le passé, il n'aurait rien changé pour ne pas perdre le présent. Enfin la jeune Levingston qui avait donc la main de sa bien aimée dans la sienne ajouta : « Et si tu crois que je pourrais te frapper un jour alors tu es folle et je ne suis pas fâché contre moi même si je dois avouer que ça ne me plaît que tu n'en fasses qu'à ta tête tout comme Albus. Mais que puis-je faire à part partir avec toi pour veiller sur toi ? Mais c'est sûr que si m'écoutais plus ça m'éviterait quelques soucis. » Il porta alors sa main à ses lèvres et y déposa un petit baiser avant de la reposer sur le lit et de reprendre la parole. « Je suis bien trop amoureux de toi pour être énervé. » Il attira alors son visage près du sien pour capturer ses lèvres et lui offrir un baiser au départ tout en douceur pour devenir beaucoup plus passionné et fougueux. Retrouver les lèvres de Blake était un bonheur et un plaisir assez mal descriptible pour Pete. Elle faisait sa joie, ses peines parfois aussi mais il ne pourrait jamais s'habituer à son absence. Oh il se souvient de sa profonde tristesse et son désarroi pendant le temps où Blake et lui avaient pris leur distance suite à la révélation de leurs sentiments et face à l'impossibilité de leur couple. Il était rentré chez ses parents et il avait passé des journées à se morfondre. Bien sûr il n'était pas seule, les sœurs Bunrrow habitant à côté de chez lui, elles passaient tout le temps le voir mais ce n'était pas la même chose. Elles ne pouvaient combler l'absence de Blake surtout quand il savait qu'elle souffrait autant que lui. Ah il s'en était voulu d'être celui qu'il était pendant cette période-là. Mais heureusement ce n'était que du passé, enfin presque mais maintenant ils étaient ensemble et c'est ce qui comptait le plus.

Il rompit alors le baiser pas parce qu'il en avait envie mais ils manquaient de souffle tous deux et puis toute chose avait une faim. Comme il ne se souvenait pas trop de leur escapade, il était curieux de savoir ce qui s'était passé et c'est pourquoi il demanda à Blake : « Donc dis-moi quels ont été mes exploits de cette nuit ? »
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N. Blake Cauldwell

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MessageSujet: Re: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptyDim 29 Avr - 5:50

you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) 311061tumblrm35xp7LbZ01qefqbao2250you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) Tumblr_m1nwpigJQ11qa5j50o1_250

« Blake c'est ridicule, tu te rends compte que si s'était toi qui avait été attaquée par le loup, je serais dans un pire état que je ne le suis actuellement. » Blake ne put s'empêcher de sourire à ces mots, un peu déçue cependant qu'il ne fasse pas ce qu'elle lui avait demandé. Pourquoi au lieu de la frapper afin qu'elle se sente moins coupable, lui disait-il quelque chose d'aussi adorable ? Enfin aussi adorable que faux. Insinuer que la voir à sa place dans ce lit l'aurait mis dans un état pire que celui dans lequel il était, était selon elle un peu exagéré. D'abord elle au moins aurait mérité d'être blessée et ensuite....non en fait il avait sûrement raison, après tout elle-même avait avoué qu'elle aurait préférée être blessée et qu'il s'en sorte indemne. Lui aussi l'aimait il semblait donc normal qu'ils pensent la même chose. Mais tout de même l'entendre de sa bouche à lui lui paraissait trop beau pour être vrai. Il fit alors un geste vers sa main. Ah ! Peut-être qu'il allait – enfin – le lui donner ce coup. En réalité il la prit tout simplement dans la sienne. La jeune fille fronça les sourcils ne s'étant pas attendu à une telle réaction. Il ne lui en voulait vraiment pas ? C'était pas possible. « Et si tu crois que je pourrais te frapper un jour alors tu es folle et je ne suis pas fâché contre toi même si je dois avouer que ça ne me plaît que tu n'en fasses qu'à ta tête tout comme Albus. Mais que puis-je faire à part partir avec toi pour veiller sur toi ? Mais c'est sûr que si m'écoutais plus ça m'éviterait quelques soucis. » Elle ne put retenir un petit rire. En effet elle était folle, mais folle de lui. C'était vrai qu'elle avait tendance à oublier que finalement ils ressentaient tous les deux la même chose. Elle-même n'aurait jamais levé la main sur lui – sauf pour rire – et ce, même s'il le lui avait demandé. C'était étrange qu'elle trouve surprenant qu'il en fasse de même. Et puis il était tellement gentil, à vouloir veiller sur elle parfois malgré elle d'ailleurs. Chaque fois elle lui mettait des bâtons dans les roues lorsqu'il voulait la protéger en se mettant encore plus en danger et la plupart du temps c'était lui qui s'en sortait le plus mal. Ca lui paraissait tellement injuste. Et pourtant elle ne pouvait s'empêcher d'être ce qu'elle était et de continuer à suivre Albus et à n'en faire qu'à sa tête et Pete de son côté semblait incapable de pas être toujours derrière elle. Même si ce jour-là elle s'en plaignait il fallait qu'elle avoue qu'elle n'en attendait pas moins de lui. Il porta alors sa main à ses lèvres. Ce simple contact entraîna un frisson qui lui parcouru le corps tout entier. Jamais elle ne pourrait y prendre vraiment l'habitude. À chaque fois elle ressentait les choses comme si c'était la première fois et cherchait à les vivre comme si se serait également la dernière. Le fait qu'il puisse ne serait-ce que lui embrasser le dos de la main lui paraissait tellement incroyable. Le fait qu'ils soient l'un pour l'autre ce qu'ils étaient à ce jour était digne de ses plus grands rêves devenus réalité. « Je suis bien trop amoureux de toi pour être énervé. » C'était pas quelque chose de nouveau, ni une surprise totale. Alors pourquoi ça lui faisait autant plaisir qu'il lui dise cela ? Qu'il rappelle ses sentiments, apparemment aussi fort que les siens ? Chaque fois qu'il lui disait ce genre de choses, et ça n'arrivait pas si souvent que ça, elle était ravie. À croire qu'elle avait en fait peur qu'au bout d'un moment ce ne soit plus vrai et qu'elle avait besoin d'être rassurée. Peut-être que c'était ça en fait. Elle avait été tellement surprise d'apprendre qu'il l'aimait en retour que si un jour il lui annonçait que ce n'était plus le cas elle le croirait sans hésitation. Chaque rappel était donc bon à prendre. De plus elle ne l'avait encore jamais, du moins lui semblait-il, entendu employer ce mot là « amoureux ». Il ne lui avait jamais réellement dit « je t'aime » non plus, mais c'était tout comme. L'entendre pour de vrai ça lui faisait quand même beaucoup d'effet. Blake n'eut le temps de rien faire, pas même de répondre, car il l'attira vers lui pour lui offrir un baiser dont elle avait rêvé depuis la veille. En effet si le loup garou ne s'était pas manifesté, les deux Gryffondors auraient pu profiter de leur rendez-vous galant comme il se devait. Au lieu de ça c'était à l'infirmerie qu'ils échangeaient ce baiser alors qu'elle se sentait toujours aussi coupable. Les paroles du jeune homme au lieu de la rassurer avaient surtout servit à la faire culpabiliser un peu plus puisqu'elle se rendait compte à quel point il pouvait être incroyable et à quel point elle ne le méritait absolument pas. À quel point c'était injuste que par sa faute il se retrouve dans cet état. Elle aurait mille fois préféré qu'il lui en veuille. Cela ne l'empêcha cependant absolument pas de profiter de la douceur puis de la fougue du contact, presque euphorique de retrouver son Pete. Elle le voyait tous les jours, mais ils ne pouvaient pas se tenir par la main et encore moins s'embrasser en public. Il fallait qu'ils soient discrets et les moments où ils pouvaient se retrouver de cette manière étaient assez rares, malheureusement pour elle. Elle s'estimait heureuse de l'avoir retrouvé puisque c'était déjà mieux que la période pendant laquelle elle les évitait lui et Albus, mais elle n'était pas tout à fait satisfaite. Cela étant, parce que ces moments ne se présentaient pas si fréquemment, elle en profitait d'autant plus.

Ce n'est qu'une fois qu'ils furent tous deux à bout de souffle que Pete rompit le baiser. La jeune fille se redressa et son ravissement se traduit par un magnifique sourire qui naquit sur ses jolies lèvres tandis que d'une main elle dégageait le front de son petit-ami de quelques mèches de cheveux collées par la sueur. C'était étrange pour elle de l'appeler ainsi, de dire qu'ils sortaient ensemble, qu'ils formaient un couple à part entière. Elle réalisait encore mal la chose et l'utilisation de ces mots ne lui était pas encore familière. Pourtant c'était bien ce qu'ils étaient, aussi irréel que ça puisse lui paraître. « Donc dis-moi quels ont été mes exploits de cette nuit ? » Ses sourcils se froncèrent et elle scruta le visage du jeune homme. Il ne se souvenait donc pas de ce qu'il c'était passé ? Du tout ? Une légère moue se forma sur ses lèvres, signe qu'elle réfléchissait. Rassembler ses souvenirs ne serait pas difficile. La seule chose c'était de savoir comment les formuler et de décider s'il fallait vraiment tout mentionner. Elle voulait être honnête, donc la réponse était oui, mais elle n'avait pas besoin d'entrer dans les détails. « Bon..alors tu te souviens quand même qu'on avait rendez-vous hier soir ? Quand tu es descendu dans la salle commune, Adrian était encore là et avant qu'il parte on a entendu le loup. On a tous les deux voulu voir de quoi il ressortait, mais c'est moi qui ai proposé d'aller à la tour d'astronomie. Évidemment tu as voulu m'en dissuader, mais je suis partie quand même et vous m'avez suivis. Là haut il n'y avait rien et j'ai eu beau scruter le parc j'ai rien vu du tout. Tu proposais d'aller chercher un prof pendant qu'Adrian me ramenait dans salle commune, mais on a refusé et c'est à peu près à ce moment là que le loup est arrivé. J'ai jeté un sort pour le ligoter et on a essayé de s'enfuir, mais il s'est libéré et t'a griffé. Cela dit on l'a quand même semé. » Elle marqua une pause, d'abord pour reprendre son souffle et ensuite pour lui laisser le temps d'assimiler ce qu'elle avait déclaré à toute vitesse. Sa main n'avait toujours pas bougé du front de Pete et elle la fit glisser jusqu'à sa joue pour la caresser avec tendresse. « Ce n'est qu'à ce moment là qu'on s'est vraiment rendu compte de l'ampleur des dégâts. Toi tu as été très fort et courageux (comme d'habitude), mais il fallait qu'on t'emmène à l'infirmerie car malgré ce que tu disais tu étais très mal en point. On s'est donc mis en route. Tu devais avoir de la fièvre parce que tu t'es alors mis à délirer. J'ai essayé de te..« réveiller », mais ça n'a pas trop marché alors..je t'ai un peu...disons...donné une claque ? Je suis désolée j'ai paniqué, j'aurais pas du ! Quoique ça a un peu marché parce que ça t'a à moitié fait reprendre tes esprits et on a pu se remettre à avancer. En fait tu as beaucoup parlé, d'abord comme si on était pas là et puis tu t'es rendu compte qu'Adrian était présent. En fait je sais pas trop si tu savais que c'était lui parce que tu lui parlais comme...comme tu parlerais à un vrai ami..un ami masculin j'entends..un très bon ami j'imagine vu ce que tu lui disais..Albus peut-être ? Enfin je sais pas..J'en étais où ? Ah oui ! Donc tu lui parlais et tu vois tu savais pas que j'étais là et y a une ou deux choses qui m'ont...irritée donc j'ai un peu, crié. J'ai vraiment pas été sympa en fait– si tu veux l'offre pour me frapper tiens toujours. Donc c'est là qu'Albus a débarqué contre toute attente. Il est rentré dans Adrian et je crois que c'est à ce moment-là que t'as totalement reprit conscience. Donc Bubus et Adrian se sont disputés et c'est toi qui les a calmé et qui nous a tous remit sur le droit chemin. Là je t'ai fait un garrot un peu inutile, évidemment il y a eu du blabla et on est enfin arrivé à l'infirmerie où on s'est rendus compte que n'étions pas les seules victimes de la soirée. » Elle souffla ayant enfin terminé de résumer leurs péripéties. Elle avait tellement parlé en si peu de temps qu'elle aurait bien eu besoin d'un verre d'eau. Au lieu de ça elle se releva et s'installa de manière à pouvoir poser sa tête sur le torse de Pete, la joue presque tout contre son cœur, pouvant presque entendre son battement régulier malgré les couvertures. Elle était moitié allongée sur le lit – et sur lui -, les jambes pendant dans le vide. Elle ne remarqua même pas que les draps étaient pratiquement trempés. « Ca ne te dérange pas ? » Elle pouvait se le permettre, personne ne les observait et comme il le lui arrivait souvent elle n'avait pas réfléchit avant d'agir, elle avait juste eu envie de le faire. Mais elle ne voulait pas risquer de faire mal au jeune homme en appuyant sur sa blessure, c'était donc surtout dans le but de vérifier que ce n'était pas le cas qu'elle posait la question. Néanmoins elle la posait aussi se demandant réellement si ça ne l'embêtait pas trop qu'elle se repose ainsi sur lui. Elle avait comme besoin d'être en contact direct avec lui, pour une fois qu'elle pouvait le faire. « Des questions Monsieur Levingston ? » lança-t-elle à la manière d'un professeur qui venait de faire son cours et attendait des remarques sur sa leçon. Elle espérait que Pete ne s'interrogerait pas trop sur la partie concernant les propos qu'il avait adressé à Adrian pensant qu'elle n'était pas présente. Vu la manière dont elle avait présenté les choses expliquant ce moment-là presque en détails sans cependant entrer dans le vif du sujet c'était très possible qu'il se demande de quoi il ressortait. Si c'était le cas, elle lui répondrait évidemment, mais c'était plus simple qu'il s'en abstienne. Surtout que de toute évidence, elle serait gênée et ça pouvait ruiner le moment. D'un autre côté cependant, elle se disait que ce ne serait peut-être pas plus mal qu'ils finissent pas en parler car elle-même avait deux ou trois questions à lui poser au sujet de ce qu'il avait dit. Comme par exemple le « quand même » qu'il avait utilisé après l'avoir complimentée sur son physique ou comme surtout le fait qu'il avait l'air de ne pas pouvoir attendre de coucher avec elle. Elle n'avait simplement pas envie de lancer elle la discussion.
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Pete K. Levingston

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MessageSujet: Re: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptyMar 15 Mai - 10:30

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« Bon..alors tu te souviens quand même qu'on avait rendez-vous hier soir ? Quand tu es descendu dans la salle commune, Adrian était encore là et avant qu'il parte on a entendu le loup. On a tous les deux voulu voir de quoi il ressortait, mais c'est moi qui ai proposé d'aller à la tour d'astronomie. Évidemment tu as voulu m'en dissuader, mais je suis partie quand même et vous m'avez suivis. Là haut il n'y avait rien et j'ai eu beau scruter le parc j'ai rien vu du tout. Tu proposais d'aller chercher un prof pendant qu'Adrian me ramenait dans salle commune, mais on a refusé et c'est à peu près à ce moment là que le loup est arrivé. J'ai jeté un sort pour le ligoter et on a essayé de s'enfuir, mais il s'est libéré et t'a griffé. Cela dit on l'a quand même semé. » Elle parlait drôlement vite et Pete avait un peu de mal à la suivre, autant dire qu'il apprécia sa pause durant laquelle les informations pouvaient monter jusqu'à son cerveau. Arrivées là, ses neurones essayaient de les connecter ensemble de manière à ce que tout ça ait du sens, ce qui était loin d'être simple, ça non ! Mais le plus important était qu'il avait à peu près cerné la situation dans sa globalité : ça avait été la merde pour lui. Aucune autorité sur sa petite amie et l'un de ses camarades de maison alors qu'il est préfet et attaque par un loup alors qu'ils étaient trois, pourquoi lui ? Et on a même pas parlé du fait qu'il n'a même pas pu avoir son rendez-vous. Ouais encore une fois je vous le dis, il est maudit !! « Ce n'est qu'à ce moment là qu'on s'est vraiment rendu compte de l'ampleur des dégâts. Toi tu as été très fort et courageux (comme d'habitude), mais il fallait qu'on t'emmène à l'infirmerie car malgré ce que tu disais tu étais très mal en point. On s'est donc mis en route. Tu devais avoir de la fièvre parce que tu t'es alors mis à délirer. J'ai essayé de te..« réveiller », mais ça n'a pas trop marché alors..je t'ai un peu...disons...donné une claque ? Je suis désolée j'ai paniqué, j'aurais pas du ! Quoique ça a un peu marché parce que ça t'a à moitié fait reprendre tes esprits et on a pu se remettre à avancer. En fait tu as beaucoup parlé, d'abord comme si on était pas là et puis tu t'es rendu compte qu'Adrian était présent. En fait je sais pas trop si tu savais que c'était lui parce que tu lui parlais comme...comme tu parlerais à un vrai ami..un ami masculin j'entends..un très bon ami j'imagine vu ce que tu lui disais..Albus peut-être ? Enfin je sais pas..J'en étais où ? Ah oui ! Donc tu lui parlais et tu vois tu savais pas que j'étais là et y a une ou deux choses qui m'ont...irritée donc j'ai un peu, crié. J'ai vraiment pas été sympa en fait– si tu veux l'offre pour me frapper tiens toujours. Donc c'est là qu'Albus a débarqué contre toute attente. Il est rentré dans Adrian et je crois que c'est à ce moment-là que t'as totalement reprit conscience. Donc Bubus et Adrian se sont disputés et c'est toi qui les a calmé et qui nous a tous remit sur le droit chemin. Là je t'ai fait un garrot un peu inutile, évidemment il y a eu du blabla et on est enfin arrivé à l'infirmerie où on s'est rendus compte que n'étions pas les seules victimes de la soirée. » Elle lui avait donné une claque, première nouvelle ! Elle n'était guère gentille avec lui décidément. Pete avait toujours aimé son tempérament mais il la trouvait sévère pour le coup bien qu'ils ne se souviennent de pas grand chose c'est-à-dire pratiquement rien. Certes il pouvait comprendre le fait qu'elle panique mais bon était-ce sincèrement une mesure nécessaire que de lui donner une gifle ? La panique n'excusait pas tout... mais l'amour pouvait le faire. Parler avec un ami masculin mais qu'est-ce qu'elle voulait dire par-là ? Il ne comprenait pas où elle voulait en venir, de quoi pourrait-il parler en particulier avec un ami masculin ? De mécanique ? Ce n'était pas forcément son genre, il avait bien une petite idée mais les filles n'étaient plus son sujet préférée depuis déjà quelques temps allez savoir pourquoi... En plus pour que ça l'irrite c'est étrange. Pete était décidé à en savoir plus, qui ne le serait pas à sa place ? Pete se souvient avoir vu Albus durant la nuit, il ne se rappelle pas vraiment comment exactement mais il revoit bien le visage de son meilleur. C'était sûrement du au fait qu'ils étaient meilleurs amis et que c'était quelqu'un de très important pour le jeune Levingston. L'amitié était pour lui une notion primordiale. Sans amis on ne faisait pas grand chose dans la vie à ses yeux.

Blake vint alors poser sa tête sur son torse, en plein au dessus de son cœur ce qui ne pouvait laisser le jeune homme insensible bien que cela ne changea en rien son rythme cardiaque pour la bonne et simple raison que le fait de la savoir si proche de lui était plutôt quelque chose de relaxant et de plaisant plutôt que quelque chose de comment dire, inhabituel et stressant. Il aimait beaucoup cette situation qui était bien trop rare au jour d'aujourd'hui. Ils étaient ensemble, en tant que couple comprenons-nous bien, depuis certes relativement peu de temps mais leurs moments de couple étaient encore plus rares et c'était loin d'être réjouissant. « Ça ne te dérange pas ? » Il ne put s'empêcher de sourire. Il lui arrivait souvent de dire des sottises tout de même, déjà tout à l'heure avec le fait qu'il pourrait ne serait-ce qu'envisager de la frapper et maintenant qu'elle puisse le déranger en se blottissant contre lui. Drôle de fille, si elle savait le nombre de filles qui voudraient être à sa place... Enfin on dit ça, on dit rien. « Tu plaisantes, t'es pas plus lourde qu'une plume et puis j'aime bien. » Pete ou le mec qui a toujours su parler aux femmes. ed]« Des questions Monsieur Levingston ? » Le jeune homme ne put s'empêcher de rire un peu ce qui lui fit un peu mal, douleur qui se traduit par une grimace chez lui mais il encaissa plutôt bien le choc. Après tout, Victoire et Ted avaient fait du beau boulot, il n'avait presque plus rien ce qui n'était pas le cas de bon nombre de personnes présentes ici. Enfin bref pour en revenir à la demande de Blake, Pete avait en effet une question à propos de ce qu'elle avait évoqué vaguement à propos de ce qu'il aurait dit à Adrian. Sa curiosité était trop forte pour qu'il ne demande pas d’éclaircissements. En même temps elle devait bien se douter qu'en présentant les choses sous cet angle qu'il voudrait en savoir plus. Pete n'était pas quelqu'un qui aimait les mystères mais il aimait être mystérieux pour les autres par contre, chercher le problème. Disons que sa vie était bien assez compliquée pour qu'il cherche à pouvoir la contrôler au maximum et cela passait par la mystère. « Et ben en faite je me demande bien de quoi j'ai pu parlé avec Adrian et je veux pas rester dans l'ignorance parce que j'ai comme l'impression que j'ai pas manqué une occasion pour me rendre ridicule. » Il n'en doutait pas une seconde, c'était sûrement pour cela que Blake ne voulait pas trop lui dire en faite. « En plus ça m'inquiète puisque ça t'as irrité. Je me demande bien ce que j'ai pu dire. » Il était inquiet oui et non puisqu'après tout ils étaient en couple maintenant et il devait être capable d'être complètement transparent aux yeux de Blake.
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N. Blake Cauldwell

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MessageSujet: Re: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptySam 19 Mai - 8:31



Blake se sentait bien. Juste bien, blottie ainsi contre lui. Évidemment elle aurait souhaité qu'il n'ait pas eu besoin d'être blessé de cette manière pour que cela puisse arriver. Mais à ce moment-là elle souhaitait surtout rester là pour toujours, qu'il l'entoure de ses bras et la serre. Tout était presque parfait. Le fait qu'il lui dise qu'il était amoureux, le fait qu'elle soit rassurée car il allait mieux et sa tendresse si surprenante. Elle l'aimait tant qu'elle ne pouvait croire qu'elle avait ne serait-ce que le droit d'être sur lui de cette manière. Il était sans aucun doute la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée. « Tu plaisantes, t'es pas plus lourde qu'une plume et puis j'aime bien. » Évidemment cette phrase la conforta dans son idée. Appréciait-il le contact autant qu'elle ? Peut-être. C'était tout de même dur à croire. Tout aurait dû rester ainsi et Blake aurait certainement finit par s'endormir apaisée. Mais elle se sentit forcée sans trop le vouloir de lui demander s'il avait des questions. Pete fut d'abord secoué d'un rire qui la fit se redresser un peu. Elle releva la tête pour contempler ses traits tandis que les lèvres de Pete étaient toujours étirés par son éclat. Il ne mit pas longtemps à se calmer et elle reposa alors sa tête la calant bien contre lui. Y avait pas à dire c'était le meilleur oreiller du monde. Il allait sans dire que celui-ci lui était totalement réservée à elle seulement. « Et ben en faite je me demande bien de quoi j'ai pu parlé avec Adrian et je veux pas rester dans l'ignorance parce que j'ai comme l'impression que j'ai pas manqué une occasion pour me rendre ridicule. » Bien sûr qu'il allait lui demander cela. Elle l'avait vu venir dès qu'elle avait ne serait-ce que pensé à lui expliquer les évènements de la soirée précédente. Impossible d'y couper et vu la manière dont elle avait présenté les choses...Étrangement pourtant, elle ne se tendit pas plus qu'elle aurait du. Elle se sentait plus confortable qu'elle ne l'aurait cru. Il était à ses yeux clair qu'elle devait lui répondre la vérité, lui expliquer tout. Elle avait aussi à lui poser la question qui lui occupait l'esprit. Mais chaque chose en son temps. Elle fut elle-même tentée par un éclat de rire. Sous certains angles, oui le préfet c'était rendu assez ridicule. C'est vrai qu'avec du recul c'était l'impression qui pouvait ressortir de la situation. D'ailleurs Blake aurait bien aimé que ça puisse se limiter à ça. Simplement quelque chose de stupide qu'il avait dit. C'était pourtant un peu plus compliqué. « En plus ça m'inquiète puisque ça t'as irrité. Je me demande bien ce que j'ai pu dire. » La jeune fille esquissa un sourire. Il était tellement...adorable. Il avait peur d'avoir dit des bêtises..et c'était un peu le cas, mais finalement elle ne lui en voulait pas. Comment aurait-elle pu ? Ce n'était pas de sa faute s'il l'avait embarrassée devant Adrian. Il n'était pas lui même à ce moment là. Pour mieux parler et lui raconter l'histoire en pouvant étudier sa réaction, elle se redressa. Alors qu'elle posait une main sur son torse pour se relever elle sentit l'humidité de sa couche. « Pete ! Tes draps sont pratiquement trempés pourquoi tu ne me l'as pas dit ? » fit-elle choquée. Elle tira sa baguette de sa botte en cuir et la pointa sur la literie du jeune homme. Elle prit le temps de réfléchir quelques instants. Elle gagner du temps ? Nooon pas du tout. Voyons elle voulait juste lui rendre service. Bien sûr si au passage ça pouvait lui servir à réfléchir à la manière de formuler sa réponse et bien ce n'était que du bonus. Retrouvant rapidement la formule du sortilège de séchage elle la murmura lançant le sort sur la couverture ainsi que le drap de son petit-ami. Puis elle lui adressa un sourire rassurant et posa le bout de sa baguette sur un bout de peau nue sur son cou avant de réaliser l'incantation encore une fois. « Voilà qui est mieux, non ? » Sans raison apparente elle se jeta sur lui pour le prendre dans ses bras. Voilà les vieilles habitudes revenaient comme toujours. En même temps elle avait le droit maintenant, plus besoin de devoir se dire que mince si elle lui prenait la main à ce moment là ça serait bizarre et après faudrait qu'elle explique. Non désormais – du moins en privé – elle pouvait faire ce qu'elle voulait. Et c'était tout à fait normal quoiqu'il arrive parce qu'ils étaient ensemble. Le visage enfoui dans sa nuque elle n'avait pas très envie du tout de s'en dégager. Elle voulait se raccrocher à cet instant où tout - ou presque - allait bien. Où aucun sujet qui fâche n'avait été abordé et où aucun malaise n'existait. Juste du bonheur à l'état pur. « Je suis tellement contente que tu ailles bien ! » murmura-t-elle, les lèvres tout près de son oreille. Elle déposa un petit baiser juste derrière celle-ci et les lèvres toujours sur sa peau descendit délicatement jusqu'à son cou. Bon assez gagné de temps comme ça. Elle se releva à nouveau.


« Eh bien, tout d'abord tu as dis que j'étais...canon ou quelque chose comme ça. D'ailleurs tu as ajouté « quand même » et je me demande ce que ça peut bien vouloir dire ? » Elle lui sourit, légèrement amusée. Bien sûr elle n'était pas vexée. Sa fierté n'était pas blessée par ces mots, mais tout de même elle s'était demandée pourquoi il les avait utilisé, ce qu'il avait voulu dire et maintenant semblait être l'opportunité parfaite pour poser la question et peut-être avoir quelques réponses. Bien que, il ne se souvienne probablement pas de ce qu'il avait pu penser à ce moment-là. Inutile donc de s'attarder plus sur cette histoire-là peut intéressante par rapport à la suite. Ce n'était qu'une manière de retarder l'entrée dans le vif du sujet. Mais ça y est elle avait – plus ou moins – trouvé ses mots. « Tu..euh..tu as aussi dit que tu..te demandais si tu devrais, tu sais, accélérer les choses et sauter le pas avec moi ou pas. » Elle aurait pu s'arrêter là. Le laisser réagir, probablement penser que c'était une erreur. Ou tout du moins elle espérait qu'il comprenait pourquoi elle avait trouvé ça indécent. Mais elle n'avait pas envie de laisser les choses ainsi. Elle ne voulait pas en revenir toujours au même point – quoi qu'en fait ils n'en parlaient pas beaucoup voire même pas du tout. Non elle voulait lui montrer qu'elle était à l'aise et qu'elle pouvait lui expliquer mieux ce qu'elle ressentait. « C'était assez gênant pour moi. Je veux dire, ça l'aurait été pour toi aussi si tu avais été toi-même à ce moment là. Et de toute évidence ce n'était pas le cas. Hum..Adrian n'a rien dit ce qui était sympa. Tu sais, peut-être que j'ai réagis de manière un peu excessive. Mais...ouais, je n'étais pas très confortable avec tout ça, je veux dire, Adrian est un très bon ami et je lui raconte beaucoup de choses, c'est juste que c'est plutôt quelque chose que je veux garder entre nous. Tu vois ? Mais évidemment je ne t'en tiens pas rigueur, après tout tu hallucinais. Mais...écoute Pete..je ne peux m'empêcher de penser que c'est quelque chose que tu penses réellement ? Dis le moi s'il te plaît. Je sais que j'ai montré que je n'étais pas très à l'aise sur ce terrain là, mais je crois vraiment que nous devrions parler de ça. » Voilà elle avait enfin dit ce qu'elle voulait. La veille elle n'avait pas du tout apprécié les propos de Pete. Mais c'était surtout parce qu'elle était pratiquement convaincu que justement il n'avait pas dit ça simplement parce qu'il hallucinait. Non il le pensait réellement, or elle aurait voulu qu'il le lui dise. Étant donné la façon dont elle-même avait agit jusque-là il était pourtant compréhensible qu'il n'en ai rien fait pensant qu'elle ne voulait pas aborder le sujet et ne voulant sûrement pas avoir l'air de la presser. Mais en réalité elle ne l'aurait pas pris mal. Non, elle préférait qu'il lui dise clairement les choses. En plus si elle voulait pouvoir finir par lui donner ce qu'il paraissait ne pas pouvoir attendre d'avoir, il fallait qu'ils entament le sujet et qu'elle puisse se libérer des doutes qui la prenaient. « Je propose qu'on se promette d'être sincère, ok ? Je veux que tu me dises ce que tu penses vraiment, n'essaie pas de préserver mes sentiments, on s'en fiche, je peux encaisser et je m'énerverais pas c'est promis ! » Maintenant qu'elle avait ouvert la porte aux confessions, elle sentait aussi que c'était un peu à son tour d'en faire. Et puis elle ressentait le besoin de clarifier certaines petites choses. Elle avait enfin eu le courage d'aborder le sujet, il fallait qu'elle en profite. « Pete, j'ai le sentiment qu'il faut que je te dises quelque chose. Ce n'était pas une question d'être prête ou pas. Parce que je le suis. En revanche j'ai peur. Parce que tu es spécial, tu représentes tellement à mes yeux que je ne veux pas avoir à te perdre, jamais. » Allait-elle trop loin ? Ici « jamais s'opposait au « toujours » qu'elle imaginait pour eux, alors qu'ils n'avaient que seize ans. Mais étant donné ce qu'elle ressentait pour lui elle trouvait que c'était le mot juste. Du moins de son côté à elle. Elle ne pouvait imaginer son futur avec quiconque d'autre que lui. Pete pouvait faire beaucoup mieux, mais pas elle. Et de toute façon elle ne voulait que lui. « Je suis terrifiée à l'idée de te donner ce que tu souhaites et après devenir comme n'importe laquelle de ses autres filles avec qui tu as couché. Pire qu'elles en fait, parce que je n'ai aucune expérience. J'ai peur que tu ne me trouves plus d'intérêt par la suite. Que ce ne soit alors pas le début, mais plutôt la fin de quelque chose. » Elle détourna les yeux. C'était pas évident à dire et c'était la première fois qu'elle le formulait à haute voix. Elle l'avait elle-même appelé à être honnête, mais elle se disait que peut-être elle l'avait trop été. Comment allait-il prendre la chose ? Allait-il ne serait-ce que la comprendre ? La trouver ridicule ? Elle n'avait pas l'impression de l'être, mais c'était normal puisqu'il s'agissait d'elle, à ses yeux elle avait raison de se faire du soucis. La vérité c'était qu'elle jalousait clairement les exs de Pete que physiquement comme mentalement elle se jugeait moins bien qu'elles et qu'elle ne comprenait pas pourquoi il l'avait choisie. À ses yeux coucher avec lui ne rendrait la comparaison que plus évidente et elle risquait de le perdre pour de bon.
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Pete K. Levingston

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MessageSujet: Re: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptyVen 8 Juin - 12:22

you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) Ashleygreenevava you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) A_lgrimes16

Pete était beaucoup plus romantique et sensible à ce que pouvait ressentir Blae qu'on ne pouvait l'imaginer aux premiers regards. Il s'étonnait lui-même d'être si, comment dire devenu attachant. C'est vrai, c'est toujours lui qui était considéré comme le moi sympa parmi ses proches et ça lui était égal. En faite il était même enchanté de ce rôle car comme ça il n'avait pas à être gentil avec tout le monde. Non mais parce qu'il n'était pas sympathique de nature. Il avait des gènes de mangemort, il ne faut pas l'oublier. Il aimait beaucoup être seul et avait du mal à supporter un bon nombre de gens. On disait de lui qu'il était froid et cassant et c'était le cas, il n'était pas sympa. Chacun sa personnalité. « Pete ! Tes draps sont pratiquement trempés pourquoi tu ne me l'as pas dit ? » Ah oui c'est vrai qu'il avait omis ce petit détail mais c'était pas non plus très important, il allait survivre. Mais enfin il n'eut pas le temps de faire quoique ce soit car déjà sa petite amie se mettait au travail pour sécher ses draps, n'était-elle pas attentionnée ? Ou alors était-ce juste pour noyer le poisson et ne pas répondre à ces questions. Pete préféra lui laisser le bénéfice du doute, de manière il n'avait pas la tête à « se chamailler » avec elle et la pousser dans ses retranchements. Non il préférait définitivement passer du temps avec elle en toute sérénité. « Voilà qui est mieux, non ? » Elle se jeta alors sur lui et le prit dans ses bras. Pete fut en quelque sorte surpris dans un premier temps, c'est vrai ce n'était pas un geste habituel car ils ne formaient pas un couple normal. Ils n'étaient pas tout le temps enlacés, inséparables, en train de s'embrasser à chaque coin de Poudlard. Non eux c'était plutôt genre regards en coin que personne ne voit, petits mots glissés en faisant bien attention qu'il ne soit lu que par les yeux de sa moitié. Bref ils étaient tels des criminels, toujours obligés de se cacher. Mais c'était un avant goût de sa vie future et celle qui serait celle de Blake à l'évidence, il serait un criminel s'il voulait être libre. Ses parents avaient accroché un boulet à sa cheville et s'en libérer était loin d'être simple. Le pire dans tout ça c'est que ni Pete ni sa fiancée commise d'office ne voulait de ce mariage, il n'y a que leurs parents. Normalement les parents ne doivent pas faire le bonheur de leurs enfants ? On peut pas dire que ça soit le cas là... Enfin la voix de Blake le ramena à la réalité : « Je suis tellement contente que tu ailles bien ! » S'en suivit alors un baiser près de son oreille puis Blake descendit au niveau de son cou, elle jouait avec le feu... Non parce qu'il était peut-être blessé mais loin d'être invalide dans le sens où pour certaines choses il était prêt à n'importe quel moment. Surtout lorsqu'elle se montrait si entreprenante. Doit-on vous rappeler un autre rp où on évoquait huit long mois... Non je pense que tout le monde s'en souvient encore, notamment à cause d'abricots il paraît. Pourtant c'est bon les abricots.

« Eh bien, tout d'abord tu as dis que j'étais...canon ou quelque chose comme ça. D'ailleurs tu as ajouté « quand même » et je me demande ce que ça peut bien vouloir dire ? » Bon et bien ça commençat bien, non ? Jusque là il n'avait pas dit de connerie, c'est vrai canon c'était un réel compliment et le « quand même » c'était une façon de parler, ça n'avait rien de dépréciatif. Blake savait très bien qu'il la trouvait divine, elle n'avait pas besoin de faire celle qui avait des doutes là-dessus. Certes il avait connu beaucoup de filles mais Blake c'était différent... Blake était la femme de sa vie il en était persuadé. Ils s'étaient cherchés longtemps, s'étaient tournés autour un bon bout de temps et même après s'être trouvés les choses n'étaient pas simples. Tout cela montrait bien la puissance de leur amour et le fait qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. De toute manière Pete n'était pas prêt à abandonner, à lâcher l'affaire. « Tu..euh..tu as aussi dit que tu..te demandais si tu devrais, tu sais, accélérer les choses et sauter le pas avec moi ou pas. » Oh non là ça commençait à sentir le roussi et ça devenait légèrement gênant. Blake et lui n'avaient jamais vraiment évoquer ce sujet enfin si mais très vaguement seulement il y pensait de plus en plus parce que d'un côté c'était un manque pour. C'est vrai il en avait envie parce que Blake était la fille qu'il aime. C'était normal après tout. « C'était assez gênant pour moi. Je veux dire, ça l'aurait été pour toi aussi si tu avais été toi-même à ce moment là. Et de toute évidence ce n'était pas le cas. Hum..Adrian n'a rien dit ce qui était sympa. Tu sais, peut-être que j'ai réagis de manière un peu excessive. Mais...ouais, je n'étais pas très confortable avec tout ça, je veux dire, Adrian est un très bon ami et je lui raconte beaucoup de choses, c'est juste que c'est plutôt quelque chose que je veux garder entre nous. Tu vois ? Mais évidemment je ne t'en tiens pas rigueur, après tout tu hallucinais. Mais...écoute Pete..je ne peux m'empêcher de penser que c'est quelque chose que tu penses réellement ? Dis le moi s'il te plaît. Je sais que j'ai montré que je n'étais pas très à l'aise sur ce terrain là, mais je crois vraiment que nous devrions parler de ça. » Au moins avec cette histoire ils étaient un peu obligés de s'aventurer sur ce terrain là mais il est vrai que c'était vraiment gênant qu'ils en aient parlé devant Adrian. Pete n'avait rien de spécial contre Tymers mais disons qu'ils n'étaient juste pas potes, ils étaient camarades de dortoir et c'était tout. « Je propose qu'on se promette d'être sincère, ok ? Je veux que tu me dises ce que tu penses vraiment, n'essaie pas de préserver mes sentiments, on s'en fiche, je peux encaisser et je m'énerverais pas c'est promis ! » Pete l'écoutait attentivement, bien sûr qu'il avait envie d'être totalement sincère et s'il n'avait rien dit c'était par amour et soucis pour elle. Il savait que Blake n'était pas à l'aise là-dessus, elle n'avait pas la même expérience que lui et comme il l'avait déjà dit, il pouvait faire l'effort d'attendre pour elle. « Pete, j'ai le sentiment qu'il faut que je te dises quelque chose. Ce n'était pas une question d'être prête ou pas. Parce que je le suis. En revanche j'ai peur. Parce que tu es spécial, tu représentes tellement à mes yeux que je ne veux pas avoir à te perdre, jamais. » S'il avait du mal avec les sentiments, l'attachement et compagnie, on peut dire qu'il aurait pris ses jambes à son cou. Non mais parce que ce que lui disait Blake c'était fort tout de même. Lui aussi ne voulait pas la perdre, or chaque jour ou du moins surtout la période qui suivait Poudlard lui faisait très peur parce qu'il ne savait pas jusqu'où irait l'emprise de ses parents sur lui et donc comment ça allait affecter sa relation avec Blake. Il n'était pas sûr de pouvoir être totalement autonome. Bien sûr il gardait la tête haute, faisait croire que tout irait bien, qu'il gérait la situation mais la vérité c'est qu'il ne gérait pas grand chose. Mais à chaque temps son problème. Il aurait voulu répondre quelque chose mais Blake ne lui en laissa pas le temps. « Je suis terrifiée à l'idée de te donner ce que tu souhaites et après devenir comme n'importe laquelle de ses autres filles avec qui tu as couché. Pire qu'elles en fait, parce que je n'ai aucune expérience. J'ai peur que tu ne me trouves plus d'intérêt par la suite. Que ce ne soit alors pas le début, mais plutôt la fin de quelque chose. » Pete n'avait aucune envie de se moquer mais il trouvait cela ridicule, comment pouvait-elle se rabaisser à ce point ? Jamais il ne pourrait ne plus avoir d'intérêt pour elle. Comment pouvait-elle imaginer une telle chose ? C'était horrible.
Pete mit du temps pour répondre car il cherchait ses mots, ceux qui sauraient le mieux rassurer sa bien aimée. Il voyait bien que c'était un sujet sensible et qui la déstabilisait au plus au point. « Blake... » Il n'avait dit que son nom ce qui ne faisait pas avancer beaucoup les choses mais au moins c'était un début. « Il est vrai que j'ai couché avec un bon nombre de filles, la plupart je ne les aimais pas quand aux autres... Roh, Blake pourquoi te poses-tu toutes ses questions ? Je veux dire avec ces filles c'était totalement différent pour la bonne et simple raison que je n'éprouvais pas autant de sentiments que j'en ai pour toi. » Il fit une pause avant d'ajouter : « Je t'aime tellement Blake et oui j'ai envie qu'on couche ensemble tous les deux mais j'attendrais le temps qu'il faudra parce que justement je t'aime. Bien sûr je ne te cache pas que ça me coûte d'attendre mais je le fais pour toi. » Nouvelle pause avant de poursuivre : « Je ne peux pas renier mon passé Blake, Je ne sais pas ce que tu attends de moi à propos de ça, tu veux que je te fasse une liste ? Une chronologie ? Si tu as des questions, pose-les et j'y répondrais ! »
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N. Blake Cauldwell

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MessageSujet: Re: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptyDim 10 Juin - 11:17

Pete s'était tu, tout le temps du discours de Blake. Elle ne savait pas si c'était vraiment bon ou mauvais signe. À priori ça voulait dire qu'il l'écoutait, mais si ça se trouve elle parlait tellement qu'il était en fait en train de penser à autre chose. Auquel cas se serait vraiment dommage parce qu'elle était vraiment en train de se mettre à nu et c'était moyennement son genre, il y avait très peu de chance pour qu'elle lui redise la même chose un jour. Surtout la partie concernant ses craintes, en prononçant les paroles, elle sentait qu'il y avait des chances pour qu'il se moque d'elle. Est-ce qu'elle était ridicule ? Pourtant, elle ne faisait que dire la vérité. Ce qu'elle ressentait vraiment, mais il aurait très certainement du mal à le comprendre. Une fois qu'elle eut finit, il y eu quelques instants de silence. Instants durant lesquels la jeune fille garda les yeux obstinément fixé sur le sol de l'infirmerie comme si elle cherchait à repérer la moindre fissure sur le plancher. Elle commençait déjà à regretter ses propos. Elle pensait que dire la vérité était ce qu'il y avait de mieux, que de toute façon si elle voulait un jour que ça marche il fallait bien qu'elle lui parle. Mais et si ce n'était pas le cas ? Et si au contraire elle aggravait les choses ? Si le fait de paraître si peu sûre d'elle, montrait d'autant plus à Pete à quel point elle était différente de ses exs. « Blake... » Elle sursauta presque. Elle commençait à s'habituer au silence et l'entendre prononcer son nom la sortait de ses pensées. Au moins elle allait être fixée. Elle releva la tête et le regard, mais n'osa pas plonger ses prunelles dans les siennes. « Il est vrai que j'ai couché avec un bon nombre de filles, la plupart je ne les aimais pas quand aux autres... Roh, Blake pourquoi te poses-tu toutes ses questions ? Je veux dire avec ces filles c'était totalement différent pour la bonne et simple raison que je n'éprouvais pas autant de sentiments que j'en ai pour toi. » Une petite moue se forma sur ses lèvres. Déjà si elle avait eu le moindre doute quant à la quantité de filles qu'avait connu Pete, elle était désormais fixée. Mais bon il n'y avait jamais eut de doute à avoir, il ne s'était jamais caché de ses conquêtes et il semblait clair qu'avec la plupart il était allé plus loin qu'il n'était encore allé avec elle. Ensuite il abordait le fait qu'il avait plus sentiments pour elle que pour les autres. C'était sensé être une bonne chose et oui elle lui faisait confiance et voulait le croire, mais en un sens elle ne pouvait s'empêcher de se dire qu'il avait du dire ça aux autres aussi. C'était stupide, si elle commençait à penser ça, elle ne pourrait jamais vraiment lui faire confiance. Évidemment que c'était ne serait-ce qu'un peu différent, puisqu'elle était sa meilleure amie avant tout et à priori il n'était jamais sortie avec une autre de ses meilleures amies. Ou du moins ils n'étaient pas amis avant. Le ressentis qu'elle eut était qu'il n'avait pas compris. Mais comment aurait-il pu. Il se demandait pourquoi elle se posait tant de questions, elle s'y était attendue. C'est vrai qu'à moins d'être vécu, ce qu'elle ressentait était difficile à capter. Leurs situations étaient tellement différentes. Pete n'avait à se sentir menacé par strictement personne, lui. Et puis aussi il fallait dire que quand il s'agissait de leur relation, elle avait un véritable don pour compliquer les choses. « Je t'aime tellement Blake et oui j'ai envie qu'on couche ensemble tous les deux mais j'attendrais le temps qu'il faudra parce que justement je t'aime. Bien sûr je ne te cache pas que ça me coûte d'attendre mais je le fais pour toi.  » Elle ne put s'empêcher d'esquisser un sourire timide à ses premiers mots. Elle n'avait pas envie de douter, pas du tout, mais c'était plus fort qu'elle. En ce qui concernait la suite eh bien...il était sincère, c'était ce qu'elle lui avait demandé et elle ne pouvait pas lui en vouloir. D'ailleurs au contraire, elle lui en était reconnaissante. Lentement, elle leva les yeux vers son visage pour l'observer tandis qu'il parlait. Machinalement elle faisait jouer un bout de draps entre ses doigts. Ce qui était étrange et ce que son comportement ne montrait sûrement pas suffisamment, c'était qu'elle aussi en avait envie. Autant qu'une fille de son âge pouvait vouloir son petit-ami. Et quel petit-ami elle avait d'ailleurs. Elle éprouvait une grande attirance physique pour lui et elle-même avait envie de dissiper ses craintes pour pouvoir enfin se donner à lui. D'ailleurs ce qu'elle ne disait pas c'était que parfois, elle avait envie de cesser de se poser ses petites questions énervantes et simplement laisser aller le cours des choses. À vrai dire, si Pete avait tenté quoique ce soit avec elle, sans en avoir parlé avant, elle l'aurait probablement laisser faire. Mais lui attendait son feu vert et pour le donner elle devait réfléchir et bref c'était un cercle vicieux. « Je ne peux pas renier mon passé Blake, Je ne sais pas ce que tu attends de moi à propos de ça, tu veux que je te fasse une liste ? Une chronologie ? Si tu as des questions, pose-les et j'y répondrais !  » Cette fois il parut avoir finit de parler. Elle ne répondit pas immédiatement. En fait, il soulevait un problème intéressant, elle-même ne savait pas trop à quoi elle s'attendait. Pourquoi avait-elle parlé déjà ? Pour essayer de se débarrasser de ses doutes et de ses craintes. Ca avait vachement marché... Disons qu'elle était peut-être un peu moins jalouse mais...Enfin de toute façon, elle pouvait pas s'attendre à un miracle. Il avait dit tout ce qu'il pouvait dire et forcément son opinion à elle n'en était pas changée. Pas tout de suite du moins. En revanche, il était tellement mignon, il avait l'air de réellement se soucier de son bien être qu'elle commençait à se demander si finalement elle n'en faisait pas un peu trop. Elle prit le temps de réfléchir à ses propositions. D'abord elle avait eu envie de rire, voyons elle n'avait pas besoin de connaître la liste complète de ses conquêtes. Un jour elle serait prête à l'entendre, mais dans un certain temps et avec quelques bouteilles à portée de main pour faire passer le coup. « Je sais pas je.. » Ca commençait mal, si c'était pour dire ça, autant se taire. Elle chercha ses mots, se sondant pour réussir à mettre le doigts sur les zones d'ombres qu'elle voulait éclaircir. Mais la vraie question était surtout de savoir si elle était prête à entendre les réponses à ses interrogations. « Je pense pas que ça puisse faire la différence en fait mais...bon je vais te demander ce qu'il me passe par la tête. Du coup en échange tu pourras me demander ce que tu veux. » Elle était sincère, même si elle ne voyait pas vraiment ce qu'il pouvait vouloir lui demander. Elle proposait, au cas où, peu convaincue. Sa première question était prête. Elle prit une grande inspiration parce qu'elle était délicate, pas spécialement à poser, mais la réponse quelle qu'elle soit ne lui plairait pas. « "Un bon nombre" c'est combien exactement ? » Elle avait le pressentiment dérangeant qu'il ne serait si ça se trouve, même pas apte à lui répondre. Il n'avait sûrement pas compté et le calcul mental serait très certainement trop long à faire. Elle avait déjà l'impression de s'éloigner de lui alors que parler était sensé les rapprocher. Sa question était stupide, elle en avait conscience, mais elle avait eu l'occasion de la poser, alors elle l'avait fait. Et puis c'était dans sa nature d'être curieuse après tout. Elle le fixa, la tête un peu penchée sur le côté l'air de réfléchir. Est-ce qu'elle pouvait se reposer sur lui à nouveau, là, tout de suite ? Elle opta pour une action irréfléchie et s'installa à nouveau la tête sur son buste, s'allongea cette fois néanmoins entièrement sur le lit, en essayant de prendre le moins de place possible. Inconsciemment, elle le faisait pour tenter de lui montrer que malgré tout ça, il n'y avait pas de malaise entre eux. Elle essayait aussi de s'en convaincre. Mais à vrai dire, rien que le fait d'être blottie contre lui, la calmait et elle se posait soudain beaucoup moins de question. C'est presque détendue, et sur le ton de la conversation qu'elle demanda alors. « Pete ? Avec qui as-tu eu ta première fois ? » Elle se mordit la lèvre, mais ne changea pas de position. Oui elle voulait vraiment savoir. Aucune réponse ne pourrait lui faire plaisir, mais elle voulait en avoir une tout de même. Rien ne pourrait lui faire passer l'envie d'être avec lui. Pourtant elle se sentit forcée d'ajouter précipitamment. « Enfin..si c'est trop indiscret je peux comprendre hein. » Bon c'était pas tout à fait vrai, mais il n'avait pas besoin de le savoir. Techniquement rien n'aurait du être trop indiscret entre eux, ils étaient ensemble et de tels secrets ne devraient pas exister entre eux. Mais elle se voyait mal le forcer à lui dire quoi que ce soit. Du bout du doigt elle dessinait des petits cercles sur l'un des avant bras de Pete, en tentant de dissimuler son impatience.
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Pete K. Levingston

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MessageSujet: Re: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptySam 23 Juin - 4:01

Lewell
« on a dépassé le stade où on trouvait les défauts de l'autre mignons et adorables. »


Pete s'était laissé aller dans un moment d'expression de ses sentiments les plus profonds dans l'histoire de calmer toutes les craintes que pouvaient avoir sa petite amie. Toutes ses craintes qui à l'évidence la tourmentaient et Pete assistait à ce spectacle comme impuissant ne sachant pas ce qu'il devait faire dans cette histoire. Et en vérité il n'avait pas spécialement envie qu'elle lui demande pleins de détails. Le temps où il était un vrai coureur de jupons n'était pas la période de sa vie qu'il préférait. En réalité, certes il avait pris pas mal de plaisir pendant cette époque, il avait connu beaucoup de filles, plus différentes les unes que les autres. Mais ce qu'il n'aimait pas son attitude c'est qu'il avait traité un bon nombre de ces filles comme des bouche-trous, un moyen de saouler comme un ivrogne le fait avec la boisson dans le seul but de moins souffrir. Bien sûr il avait tout de même était correct avec ces filles si on enlevait le fait qu'il ne les aimait pas, en tout cas pas d'un amour complet. Il avait eu des sentiments pour certaines d'entre elles, des fois ces relations avaient tellement été passionnelles qu'elles en avaient été pimentées et parfois douloureuse. Comme exemple on pouvait citer sa relation houleuse avec la demoiselle Edelwiess. La demoiselle lui avait fait perdre la tête ou en tout cas bien tourner. Ça ne s'était pas bien terminer car il l'avait prise de cours en cassant avec elle avant elle. Et puis pendant qu'ils étaient ensemble leurs disputes servaient de spectacle à tout Poudlard. Depuis ils continuaient à se disputer et d'une certaine manière, Pete aimait ça parce que c'était... Distrayant, il aimait bien la faire sortir de ses gonds. Ça n'allait pas plus loin que ça. Son amour était réservé à Blake. « Je sais pas je.. » Qu'est-ce qu'elle ne savait pas ? Ce qu'elle voulait exactement savoir ? Ce qu'elle attendait de lui ? Si elle ne lui donnait pas plus d'indications il ne pourrait rien faire du tout. Certes réponde de but en blanc n'était pas forcément très facile mais c'était le moment où jamais pour qu'elle exprime toutes ses craintes. « Je pense pas que ça puisse faire la différence en fait mais...bon je vais te demander ce qu'il me passe par la tête. Du coup en échange tu pourras me demander ce que tu veux. » Si elle voulait bien qu'il n'avait pas spécialement des choses à lui demander, après tout il savait tout, non ? Du plus loin qu'il s'en souvienne Blake n'avait jamais collectionné les conquêtes mais après peut-être qu'elle lui cachait des choses. Non, elle n'était pas comme ça. Il n'avait même pas à avoir de doutes. C'était lui le cachottier dans l'histoire, celui qui accumulait les conquêtes et compagnie. Les rôles n'avaient pas à être inversés. « Un bon nombre" c'est combien exactement ? » Pete fit la grimace. Certes il lui avait proposé de lui dire combien mais était-ce vraiment une bonne idée ? Il était persuadé que ce n'était pas bon pour elle, pour eux qu'il soit tout à fait honnête vu les craintes qu'elle avait. C'est pour cela qu'il commença par dire : « Blake, t'es sûre que tu veux vraiment savoir ça ? » Elle ne répondit pas, au contraire elle vint s'allonger tout contre lui. Il prit ce geste comme étant la marque d'insistance de la part de la jeune femme. Elle voulait savoir alors il devait lui dire apparemment, il n'avait pas d'autres choix. Comment annoncer cela ? Ce n'est pas qu'il avait honte, non il avait toujours assumé ses actes ou presque mais encore une fois il savait que ça n'allait pas plaire à Blake. Il dit alors d'une voix assez timide. « Une dizaine. » Au moins c'était dit, elle ne pourrait plus faire comme si elle n'était pas exactement au courant. Enfin il espérait bien qu'elle ne pousserait pas la perversité jusqu'à lui demander le nom des demoiselles en question.

Il attendait la moindre réaction de sa part mais rien ne vint,elle resta silencieuse. Ce qui l'étonna encore plus c'est le ton détaché qu'elle utilisa pour lui poser cette nouvelle question : « Pete ? Avec qui as-tu eu ta première fois ? » La première fois, c'est alors ce que voulait savoir Blake. Sa première fois avait été bien, très bien même, dans le calme avec beaucoup de tendresse. C'était avec sa meilleure amie Violette, il y a déjà quelques années. Elle et lui n'ont jamais vraiment été amoureux, si peut-être quand il était enfant il avait un gros coup de cœur pour Violette la magnifique, elle était si belle, si fraîche et si sûre d'elle. Comment ne pas avoir un coup de cœur pour cette fille ? Mais Violette était sa meilleure, ils pouvaient tout se dire et aujourd'hui il n'y avait pas de sentiments amoureux entre eux, ils étaient juste sur la même longueur d'onde, enfin la plupart du temps. Non parce que Violette avait cette sensitivité féminine que lui n'avait pas et c'est pourquoi elle l'avait souvent reproché ses actes ces dernières années avec les filles. D'autres avaient compris. « Enfin..si c'est trop indiscret je peux comprendre hein. » Il sentit alors ses doigts sur son avant bras, ça lui donnait presque des frissons mais pas au point qu'il ne reste pas maître de lui-même. Ce n'était pas indiscret, non de toute manière il aurait bien fallu qu'à un moment où un autre ils en parlent. Et puis il l'avait déjà dit mais il n'avait pas honte de sa première fois, bien au contraire. Il en gardait un excellent souvenir et il n'aurait pu rêver mieux, non parce que quand ils le feraient Blake et lui et bien il pourrait la mettre à l'aise puisque déjà expérimenté et les choses se feraient plus facilement alors que sinon ils auraient été maladroits alors certes c'était mignon, adorable mais pour Blake il voulait être parfait. Il voulait que sa première fois soit inoubliable, de manière à ce que même s'il arrivait un jour où ils se quittent, elle en garde un bon souvenir. Qu'elle garde un bon souvenir de lui c'était sûrement ce qui comptait le plus à ses yeux. C'est donc pourquoi il lui répondit sur un ton banal et détaché comme si c'était une conversation tout à fait banale. « Ma première c'était avec Violette, c'était il y a déjà quelques temps, pendant les vacances. Je sais pas comment on en est venu à coucher ensemble. On discutait dans mon jardin, adossés contre un arbre, regardant les étoiles et je sais pas, on l'a juste fait, on en avait juste envie j'imagine. » Il fit une pause attendant une réaction de Blake, il ne savait pas comment elle allait réagir. Des fois il ne savait pas qui se tramait dans sa tête, elle pouvait être tellement un mystère quelques fois et pourtant il la connaissait tellement. Mais c'était sûrement l'amour qui faisait qu'il se perdait. On était tout de suite moins confiant quand on craignait de perdre la personne qu'on aimait le plus.

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N. Blake Cauldwell

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MessageSujet: Re: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptyDim 24 Juin - 11:12

« Une dizaine. » C'est la voix timide avec laquelle Pete avait prononcé ces mots qui surprit d'abord Blake. Apparemment il se rendait bien compte de l'effet que cette information pouvait avoir sur elle. Cependant, elle s'étonna elle-même de son manque de réaction. Pour tout dire, elle était presque...soulagée. C'est vrai que Pete n'avait que seize ans et qu'un chiffre beaucoup plus gros aurait été surprenant, mais elle avait eut peur. Il fallait avouer qu'il jouissait d'une certaine réputation en matière de conquêtes. Elle s'était bien sûr douté, qu'il n'avait pas forcément couché avec chacune d'entre elle, mais elle craignait qu'il lui annonce un nombre beaucoup plus conséquent. Résultat elle ne fit pas de commentaire, ne se tendit même pas et resta tranquillement installée. Elle lui posa sa seconde question. Celle-là pouvait faire plus mal, s'il fallait prendre des gants pour lui donner une réponse c'était bien pour celle-ci. Mais, elle était détendue lorsqu'elle la posa. Sachant qu'il pouvait ne pas apprécier qu'elle lui demande de cette manière avec qui il avait eut sa première fois, elle voulut rattraper le coup en lui affirmant que ce n'était pas grave s'il considérait que c'était trop indiscret pour répondre. Machinalement elle se mit à dessiner du doigt sur son avant bras, il ne lui vint pas une seconde à l'esprit que ce pouvait être une manière de l'amadouer. Non c'était un geste purement instinctif. Bon, en réalité il était la marque de son impatience, mais ça il ne pouvait pas le deviner. Pourquoi voulait-elle tant savoir qui avait eut l'honneur de le dépuceler? En fait elle avait l'idée un peu folle que ça pourrait l'aider à passer outre ses craintes. Plus elle en savait et mieux c'était. Et puis elle se croyait suffisamment forte pour pouvoir entendre la réponse. Bizarrement c'est sur un ton cette fois très banal et posé qu'il avoua. « Ma première c'était avec Violette » Les oreilles de Blake se bouchèrent dès qu'elle entendit le nom de l'autre meilleure amie de Pete. Elle eu l'impression que son pire cauchemar venait de devenir réel. Elle avait était suffisamment naïve, stupide même pour ne pas penser à Violette. Depuis un moment déjà elle avait cessé de la voir comme une rivale, comme une ennemie. Et boum ! Son excès de confiance lui revenait ce jour-là en pleine tête. Elle arrêta complètement de bouger, son doigt sur la peau de Pete s'immobilisa et son cœur rata un battement. Elle ne comprenait qu'à peine ce qu'il lui racontait ensuite, ne ressortant de son discours que la trame principale. En gros il osait lui raconter comment ça c'était passé. Elle n'avait pas demandé tant d'informations. Elle avait déjà du mal à réaliser, à croire que c'était vrai et voilà que lui le lui prouvait en lui expliquant le pourquoi du comment. Mais non, non c'était pas possible! Il termina de parler, et elle resta ainsi, respirant à peine, sous le choc de la nouvelle. Son cerveau tentait d'assimiler, de reconnecter les deux bouts.

Et puis d'un coup, elle se releva une main posée sur le lit une main posée sur lui. Elle lui jeta un regard curieux, les sourcils froncés. « T'es sérieux là? » Pouvant lire la réponse à sa question sur son visage avant même qu'il ne prenne la parole, elle se releva complètement en position à nouveau assise. Elle lui tournait le dos et essayait de retrouver ses esprits. « Et c'est comme ça que tu me le dis? » Elle n'en revenait pas de son culot. Il lui apprenait qu'il avait couché avec son autre meilleure amie, comme ça comme si de rien était. Oui c'était elle qui avait posé la question et qui avait voulu savoir, mais tout de même c'était pas des manières ! Il aurait dû savoir que ça allait la toucher. Elle aurait pu entendre, n'importe quel nom, mais juste pas le sien. Parce qu'elle avait trop de fois soupçonné Violette et que ça c'était comme lui annoncer qu'il était amoureux d'elle. C'était lui dire qu'elle n'avait pas été paranoïaque, mais qu'elle avait eut raison. Ca faisait des années déjà qu'elle s'imaginait des choses qui finalement ne se passaient pas que dans sa tête. Et puis qu'est-ce que ça disait de lui? Il se tapait sa meilleure amie et c'était normal? Alors elle, elle aurait du perdre sa virginité avec Albus? Ca n'aurait surprit personne? Et surtout elle ne croyait pas un seul instant que ça ne s'était passé qu'une fois. Elle le regarda par-dessus son épaule. « Je suppose que ça devrait même pas me surprendre. Pourtant quand j'entendais que vous partagiez beaucoup, j'osais espérer que ce n'était pas à ce point. C'était quand? Attends, non, je ne veux même pas savoir. » Sa voix était sèche, son ton amère. Décidément elle le prenait très mal. Et elle ne savait pas ce qui l'énervait le plus, le fait que Violette ai été la première de Pete ou le fait qu'il le lui annonce ainsi. C'était limite s'il lui donnait pas les détails en plus. Quel goujat ! Elle n'aurait pas crut ça de lui. Elle ne s'était pas rendue compte qu'elle lui avait posé une question à laquelle il avait en réalité déjà plus ou moins répondu. Non, elle ne l'avait pas écouté, elle n'avait pas pu. Elle regarda quelques instants ses jambes pendre dans le vide. Elle n'arrivait toujours pas à décolérer. Elle trouvait la situation inadmissible. « J'arrive pas à croire que j'ai pu être si stupide. Je croyais tout ce que tu me disais, je pensais qu'effectivement j'étais un cas particulier. Ha. Je suis vraiment bête. Je pensais que tu étais sérieux que tu ne jouerais pas avec ça parce qu'on était amis et que notre amitié comptait un minimum pour toi. Que tu voudrais pas la gâcher pour ça. Et bien si et tu l'as déjà fait. Peut-être que c'était pas grave avec Violette parce qu'elle est comme toi, mais avec moi ça ne marche pas. Soit c'est pour de vrai, soit tu laisses tomber. » Elle s'était retournée, vers lui, mais n'osait pas le regarder en face. Quelque chose c'était brisé. Elle lui en voulait et elle ne savait pas comment lui pardonner. Elle se sentait trahie dans le sens où s'il avait été capable de risquer son amitié avec Violette pour – à ses dires parce qu'après tout ça avait pu être bien pire que ça – une relation charnelle, qu'est-ce qui pouvait lui assurer qu'avec elle il était plus sérieux qu'avec les autres filles. Elle en revenait exactement au même point de départ. C'était comme si il ne l'avait jamais réconforté. Et c'était même pire, parce que maintenant elle se sentait encore plus idiote et mal qu'avant. Elle regrettait presque d'être venue. Elle se releva et épousseta sa robe. Dire qu'elle s'était dépêchée, qu'elle était sortie en vitesse les cheveux encore mouillés, tressés à la va vite parce qu'elle ne voulait surtout pas qu'il se réveille sans elle. À ce moment-là elle doutait fortement qu'il eût fait la même chose si les situations avaient été inversées. C'était incroyable comment quelques mots, d'apparence anodine pouvaient tout changer. Quelques minutes plus tôt tout allait bien et là c'était fichu. Ils avaient réussit à faire un pas en avant assez conséquent, puisqu'elle avait prit avec sérénité l'annonce du nombre de conquête de Pete, mais cette avancée c'était suivie d'un grand pas en arrière. Blake était trop énervée pour pouvoir rester. Ce constat la surprit d'abord. Était-elle suffisamment touchée pour réellement laisser son petit-ami seul à l'infirmerie? Dans son esprit la réponse était claire : oui. Elle se trouvait odieuse, méprisable même, mais c'était ainsi. Et puis une autre question se posait ensuite, chose qui l'horrifia tout à fait : voulait-elle encore de lui comme petit-ami? Elle se sentait très mal et coupable que ça lui passe vraiment par la tête, mais le pire était que la réponse n'était en fait pas si évidente que ça. C'est finalement ça qui la poussa à le regarder cette fois dans les yeux. Elle savait qu'elle allait regretter ce qu'elle allait dire et ce dès qu'elle aurait franchit la porte. Elle savait qu'elle était méchante, peut-être même injuste. Mais toute une partie d'elle lui criait que c'était ce qu'il fallait faire et que de toute façon elle ne pouvait supporter de rester une seconde de plus. « Bon, je...je suis fatiguée en fait. Et j'ai vérifié que tu allais bien, alors...euh..je devrais y aller...» Elle hésita un instant, mais finalement ne se dégonfla pas. « On se verra en cours. » finit-elle d'un ton catégorique. Elle avait très bien choisit ses mots. Non elle ne reviendrait pas le voir le temps qu'il serait là, non elle ne viendrait pas le chercher à sa sortie, non elle n'irait pas le voir dans la salle commune. Elle le verrait en cours, ça voulait tout dire. Elle s'éloigna donc de son lit et marcha sans se retourner vers la porte qu'elle franchit et referma ensuite derrière elle. À peine fut elle hors de la vue de Pete qu'elle s'effondra en sanglots.
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MessageSujet: Re: you know you can lean on me ◊ Pete (terminé)   you know you can lean on me ◊ Pete (terminé) EmptyLun 2 Juil - 12:21

Lewell
« ne nous laissons pas bercer par de douces illusions. »


« T'es sérieux là? » Bien sûr que oui pourquoi posait-elle la question ? Pete ne voyait pas de raisons pour justifier une telle interrogation. Il avait été sincère et il ne comprenait pas où était le problème. Il était même un peu vexé de la réaction de Blake, non mais c'est vrai il avait comme le sentiment qu'elle gâchait le souvenir de sa première fois et elle avait beaucoup d'importance à ses yeux. Franchement il ne trouvait pas cela très respectueux et sympathique envers lui de la part de sa petite amie. Surtout que bon sa première fois avait en plus avec son autre meilleure amie et il ne trouvait pas Blake très respectueuse envers Violette également. Bref ça ne lui plaisait pas du tout. « Et c'est comme ça que tu me le dis ? » Mais où était le problème ? Pete ne comprenait toujours pas, si au moins elle lui disait clairement il pourrait se défendre mais là que voulez-vous qu'il réponde ? Rien et pendant ce temps Blake continuait de s'énerver sous ses yeux impuissants. Elle était comme ça de toute manière, elle avait son petit caractère qu'il avait bien du mal à maîtriser. Elle était sanguine la Cauldwell mais il y a des fois où il aimerait bien qu'elle soit plus calme, ça lui ferait vraiment du bien. Après c'est vrai qu'il s'ennuierait peut-être un peu mais ses nerfs seraient moins mis à rude épreuve. « Je suppose que ça devrait même pas me surprendre. Pourtant quand j'entendais que vous partagiez beaucoup, j'osais espérer que ce n'était pas à ce point. C'était quand ? Attends, non, je ne veux même pas savoir. » Pete était sur le cul. Donc s'il comprenait bien elle lui reprochait le choix de sa première fois. Ce qui la dérangeait c'était que ça soit Violette, la personne avec laquelle il avait perdu sa virginité. Elle aurait limite préférée qu'il aille voir les femmes de petite vertu. Mais s'entendait-elle ? Pete ne voyait pas le problème, au contraire c'était mieux parce qu'au moins il avait été en confiance. En plus ça n'avait en aucun cas perturbé sa relation avec Violette. Ils en avaient pas mal parlé et ils étaient d'accord tous les deux pour dire qu'ils n'étaient pas amoureux l'un de l'autre, ils avaient voulu le croire une nuit mais ce n'était pas la réalité. Il n'y avait aucune ambiguïté entre eux, comment Blake pouvait-elle croire le contraire ? Il trouvait sa jalousie vraiment excessive pour le coup, c'était loin d'être mignon, ça non ! « J'arrive pas à croire que j'ai pu être si stupide. Je croyais tout ce que tu me disais, je pensais qu'effectivement j'étais un cas particulier. Ha. Je suis vraiment bête. Je pensais que tu étais sérieux que tu ne jouerais pas avec ça parce qu'on était amis et que notre amitié comptait un minimum pour toi. Que tu voudrais pas la gâcher pour ça. Et bien si et tu l'as déjà fait. Peut-être que c'était pas grave avec Violette parce qu'elle est comme toi, mais avec moi ça ne marche pas. Soit c'est pour de vrai, soit tu laisses tomber. » Mais elle perdait la tête ? Sa relation avec Violette et celle avec Blake était totalement différente. Comment pouvait-elle dire de telles choses ? Pete pouvait encore le supporter au début mais ce qu'elle disait à présent le blesser et l'agacer profondément. Se rendait-elle compte que ce n'était pas un jeu pour lui ? Qu'ils prenaient énormément de risques pour elle ? Et voilà qu'elle le remerciait en lui piquant une crise des plus ridicules. Sincèrement elle dépassait les limites là et il ne savait pas si elle se rendait compte des conséquences que cela entraînait. Il n'avait pas envie de se disputer avec elle mais il ne lui donnait pas de choix. Il s'apprêtait à lui répondre qu'elle délirait mais voilà qu'elle s'était déjà levée et commençait à se préparer à partir. Il savait que son devoir était de la faire rester à tout prix mais tout d'un coup il fut retenu par une force invisible. Blessé dans son ego, découvrant une partie d'elle qui ne lui plaisait plus, une partie de lui ne voulait pas qu'elle reste une seule seconde de plus à ses côtés. Cette partie voulait rester seule et la boudait jusqu'à ce qu'elle s'excuse, se rendant compte des imbécillités qu'elle avait sorties. Il était vraiment blessé du portrait qu'elle avait dessiné de lui et indirectement de Violette. Elle s'attaquait à des choses sacrées pour lui et c'était vraiment une pente glissante. Oui c'était peut-être mieux pour eux deux qu'elle parte pour ne pas qu'ils disent des choses qu'ils regrettent enfin du moins pour Pete parce que Blake avait tout de même bien balancé ses quatre vérités à Pete. « Bon, je...je suis fatiguée en fait. Et j'ai vérifié que tu allais bien, alors...euh..je devrais y aller...» Elle continuait dans son comportement totalement puéril s'en était un peu affligeant. Pete sentait déjà cet air blasé sur son visage qui ne plairait pas du tout à Blake, à tous les coups mais tant pis, elle l'avait cherché. « On se verra en cours. » Cette phrase marqua un tournant aux yeux de Pete. Ca marquait la fin d'une époque. Cette fin d'époque où on trouvait les défauts de l'autre mignons et adorables et qu'on commençait à trouver cette histoire un peu moins idyllique mais là elle faisait vraiment fort. Elle ne voulait pas venir le voir avant qu'il ne revienne ? Qu'à cela ne tienne, il ne lui parlerait plus du tout. Il n'irait voir que Violette puisque de toute façon à l'entendre ils entretenaient une liaison. Pete Levingston était profondément agacé et blessé, il n'avait en aucun cas l'envie de garder son sang froid et de prendre du recul, non elle l'avait touché au fer rouge et il était hors du question que ça soit lui qui s'excuse, il n'avait rien fait de mal. La seule chose qu'il avait fait avait été de répondre à sa question sincèrement. Si la vérité lui déplaisait alors peut-être qu'ils n'étaient pas fait pour être ensemble. Après tout c'était peut-être bien qu'ils aient eu cette conversation avant qu'il ne soit trop tard, avant qu'il perde tout pour elle et au final pour rien. Il avait bien naïf de penser que Blake pouvait tout entendre et qu'elle le comprendrait mieux que personne. L'amour rend aveugle mais pas pour longtemps.


THE END
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