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 Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise

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MessageSujet: Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise   Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise EmptyMar 28 Fév - 5:01

Spoiler:

Cassiopée frictionna ses cheveux, fixant toujours le miroir sans vraiment le regarder. Elle essayait de leur donner une forme potable et naturelle, sans utiliser sa baguette pour les remettre en place. Malheureusement, elle n’y arrivait pas. Ce qui n’était pas vraiment étonnant, puisqu’elle avait l’habitude de faire autrement. Malgré tout, elle arrivait à quelque chose de bien petit à petit. S’occuper de ses cheveux était presque une passion chez elle, ça lui permettait de penser à autre chose. Actuellement, elle ne pensait pas à « autres choses », elle pensait à son cher petit ami non-officiel qui l’énervait au plus haut point. La dernière fois qu’ils avaient parlés sérieusement de leur ‘couple’, elle n’avait pas eu le courage de lui dire qu’elle n’était pas d’accord avec le point ‘on peut coucher ailleurs c’est cool’. Pour sa défense, elle avait été lâchement déconcentrée par ses yeux et sa bouche, mais cette fois-ci, elle ne se ferait pas avoir. Qu’il aille draguer Mirka Vladmirova dans une autre dimension. La blonde lui avait donné rendez-vous dans la salle des trophées, histoire qu’ils ne partent pas dans une toute autre action que parler. Il était nécessaire qu’elle ait une discussion. Elle bougea finalement de devant le miroir, attrapa son sac à main, et pour se donner du courage, insulta Ariel. Qui lui répondit un « Couche avec luuuuui » tout aussi encourageant à la discussion qu’elle prévoyait d’avoir. La verte et argent sortit de sa salle commune et hésita à jeter un coup d’œil dans l’appartement du français. Elle s’y dirigeait, quand elle croisa Alistair, ce qui l’en dissuada. Il fronça les sourcils « Tu vas où comme ça ? » Elle haussa les épaules, évitant son regard. « Nulle part… Je vais… euh… en salle des trophées. Je dois parler à quelqu’un. » Cassiopée était incapable de mentir à Ali, qui la connaissait malgré elle plus qu’elle ne le voulait. Il la laissa passer sans rien dire. Elle le regarda en passant à côté de lui. « Il faudra qu’on parle, tous les deux. » Il hocha la tête. Elle soupira et continua sa route. Sa vie était bien trop compliquée. Sa route jusqu’à la salle fut tranquille. Elle fut heureuse de ne pas avoir croisé une connaissance, elle aurait été obligée de s’arrêter pour échanger trois mots et ça lui aurait fait perdre sa concentration. Juste au moment de passer la porte de la salle, elle regarda autour d’elle. La Serpentard croisa le regard d’une jeune fille qu’elle connaissait bien. Et qu’elle ne voulait pas connaître. Sarah Mandleton, apparemment perdue. « Tu fais quoi, là ? » La Poufsouffle tourna la tête et perdit l’équilibre, mais se rétablit sur ses pieds sans tomber. Avec un sourire victorieux et ayant l’air d’avoir vaincu la gravité, elle répondit. « Ben j’allais voir quelque chose mais j’ai oublié. » « Ma pauvre chérie, t’es pas sortie. Allez, va-t’en. » Cassiopée passa la porte avant qu’il ne lui arrive quelque chose d’horrible. Elle n’eut même pas besoin d’aller vérifier si Sarah était partie, étant donné qu’elle partirait de toute façon si la blonde lui ordonnait. Pensant que la malédiction était partie, elle sourit. Trop vite, vu que la marche qui était là depuis des millénaires et qu’elle connaissait très bien décida de déclarer la guerre à ses pieds. La Serpentard glissa et se rattrapa juste à temps à un genre d’étagère en poussant un petit cri suivit d’une malédiction qui poursuivrait Mandleton sur des générations.

« Tu t’es pas fait mal ? » La blonde sursauta. Devant elle se tenait Ambroise. Elle hocha négativement la tête en grommelant que c’était la faute de Sarah et qu’elle allait devoir se venger une nouvelle fois. Sa phrase étant totalement incompréhensible, le professeur fronça les sourcils. « Non, rien. Attends, je suis en retard ? » La blonde réalisa soudain qu’elle était arrivée après Ambroise, et commença à paniquer un peu. Elle regarda l’heure et se rassura en même temps que le français la rassurait. « Pile à l’heure. Je regardais les trophées de Quidditch, j’étais en avance. » Elle sourit, et se jeta presque sur lui. Cassiopée enroula ses bras autour du cou du jeune homme et l’embrassa goulûment. Elle s’était autorisée un baiser, autant en profiter à fond. Elle décolla sa bouche de la sienne. « Avant que tu ne te réjouisses plus, je suis pas là pour ça. » Elle lâcha Ambroise et avança dans la salle, observant vaguement les trophées posés sur des étagères. Elle n’avait aucune idée pour la plupart de ceux qu’ils voulaient dire, mais elle préférait fixer un objet. « Bon, il faut qu’on parle. » Avant qu’il n’ait pu dire un mot, elle se retourna vers lui. « Je sais, les hommes déteste cette phrase. Alors tu me laisses finir, et après t’auras le droit d’être d’accord avec moi. » Le français eut l’air vexé, et ouvrit la bouche. « Non mais je… » « Tu m’écoutes oh ? J’ai dit tu te tais. » Ambroise fit une mine renfrogné mais ne dit rien de plus. De toute façon, ça n’aurait servi à rien, puisqu’elle l’aurait coupé encore une fois. « Nous devons reparler d’un sujet qui te tiens à cœur personnellement, comment je vais formuler ça… » La blonde réfléchit un instant. Elle hésitait vraiment. Elle avait la possibilité de le dire d’un coup, et de le laisser patauger tout seul, ou d’amener le sujet et d’en discuter, vraiment, tous les deux. « Les femmes russes à notre époque. » Le français ouvrit des grands yeux. « Hein ? » La blonde eut un petit rire. « Tu t’y connais en russes ? » Son regard se fixa à nouveau sur un trophée quelconque. « Je me pose la question, parce qu’apparemment tu as besoin d’un sujet d’étude en taille réelle. Genre, Mirka. Ça te dit quelque chose ? » Ambroise ouvrit à nouveau la bouche. Elle le coupa à nouveau. Elle l’avait prévenue qu’elle le ferait, toute façon. « Si tu réponds qu’elle est biélorusse je te promets que je te tue. Si tu réponds que tu ne comprends pas ce que je sous-entends, je te tue. Si tu réponds que tu n’as rien fais, je te tue aussi. Et si tu réponds qu’on en avait déjà parlé, je te tue. Je veux qu’on en reparle. Parce que… je suis une femme, et que du coup je dis pas toute suite que je ne suis pas d’accord et après l’homme m’en veut. » Il y eut un petit silence. Forcément, présenté comme ça, ça calme. Cassiopée avait finalement choisi de le laisser patauger. Il devait être doué pour se justifier, de toute façon. Et puis c’est pas comme si elle le fixait avec une hache à la main, prête à lui trancher la tête en cas de mauvaise réponse. Ceci dit, si on comptait la hache imaginaire qui se reflétait dans les yeux, ça pouvait marcher. Son deuxième prénom n’était pas Elektra pour rien.
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MessageSujet: Re: Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise   Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise EmptyVen 2 Mar - 5:38




Cassiopée & Alistair & Ambroise



« Ce que femme veut Dieu le veut. »


« Un nouvel article sur lui, dans le sorcière hebdo. Un article sur le charme des sorciers Français, et un classement des Français les plus mignons. La position d’Ambroise ?… Numéro un bien sur, pour les sorcières Anglaises il incarnait le côté sexy de la France. Beau garçon, un peu bad boy. Grand, mince, androgyne et masculin à la fois, un accent qui fait tout le charme et les yeux d’un bleu surnaturel.
Ambroise de Sade savait très bien qu’il était beau, et il en jouait. C’était son fond de commerce… Les filles l’aimaient parce qu’il est mignon et toujours naturel dans les interview et les garçons l’appréciaient parce qu’il est un attrapeur de génie. De Sade avait sur combler tout le monde, sauf certains qui étaient encore énervé par sa fausse arrogance, et son accent. Mais tout ça faisait partie de lui. Il prenait les gens de haut, c’est comme ça. Le seul devant qui il s’écrasait, c’était Eros. Et bientôt, il s’écraserait devant Cassiopée Cayrel. Mais ça, il ne le savait pas encore.

Pour l’instant, le Français dans sa salle de bain hurlait les paroles d’un groupe de rock’n’roll moldu français qu’il écoutait à fond grâce à un vinyle trafiqué qui tournait sur le phonographe ensorcelé. Tout en coiffant de manière négligée mais étudiée ses cheveux bruns, on pouvait l’entendre cirer en se déhanchant :

« J'adore aussi le sexe et les snuff movies, je trouve que ce sont des purs moments de vie ! Je ne me reconnais plus dans les gens, je suis juste un cas désespérant !… »

Claquant la porte de sa salle de bain avec son pied, toujours de bonne humeur il choisit ses vêtements. Ambroise n’aimait pas s’habiller avec des robes de sorcier, sauf pour le Quidditch. On ne l’avait jamais habité à ça… A beauxbâtons l’uniforme masculin ne comportait pas de robe de sorcier. Ils avaient une chemise, une cravate, un pantalon, et une veste de costard portant le blason de leur maison, le tout bleu ciel aux couleurs de l’Académie. Les filles quant à elles avaient un chemiser, un ruban, une jupe et cette même veste, néanmoins plus cintrée. D’ailleurs souvent pour s’amuser Ambroise prenait la veste de l’une de ses amies et la mettait, pour paraître plus féminin, et provoquer. Comme la fois où il s’était teint les cheveux en rose en cours d’Alchimie.

Fouillant dans son armoire, le jeune homme finit par opter pour une tenue simple. Tee-shirt blanc un peu ouvert, jean noir moulant, Doc’ Martens et blouson en cuir. S’allumant une cigarette en sortant de son appartement, de Sade saluait les élèves au passage, faisant la bise à certaines filles qu’il appréciait bien, lançant quelques sourires et clins d’œil à certaines pour les faire glousser. Charmer, il adorait ça. Et personne ne le ferait changer. Il était obligé de jouer la séduction avec les gens qui lui plaisaient, sans pour autant aller jusqu’à l’adultère… Mais c’était son plaisir à lui, séduire. Marchant d’un pas rapide vers la salle des trophées, il entra dans cette dernière et remarqua qu’il était un peu en avance. Cassiopée lui avait donné rendez-vous ici. Quelle drôle d’idée ! Ce n’était pas l’endroit le plus intime de Poudlard… Ambroise aurait largement préféré la voir dans son appartement, ou dans la salle sur demande pour essayer de… Conclure. Mais la Cayrel avait insisté. Soit.

Etant donc en avance, le marquis en profita pour regarder les différents trophées en rapport avec le Quidditch. On y trouvait le nom d’illustres joueurs anglo-saxons, qui avaient joué pour leur maison durant leurs études à Poudlard. Pour un passionné de ce sport, c’était une chose intéressante de regarder ces vieilles coupes pleines de poussières pour certaines.

Alors qu’il pensait aux coupes à son nom qui étaient à Beauxbâtons et qui relataient ses exploits sportifs durant sa scolarité, il entendit la porte s’ouvrir. Se retournant, il vit Cassipée entrer. Enfin, manquer de se vautrer lamentablement plutôt, couinant avant de pester contre Sarah Mandleton. Se retenant de rire, Ambroise demanda :

« Tu t’es pas fait mal ? »

Il ne comprit pas bien la réponse de la verte et argent. Tout ce qu’il comprit c’était « malédiction, vengeance, Sarah. » Fronçant les sourcils, la blonde reformula :

« Non, rien. Attends, je suis en retard ?
Pile à l’heure. Je regardais les trophées de Quidditch, j’étais en avance. »

C’est alors que sa petite amie se jeta presque sur lui pour l’embrasser comme il se doit. Le professeur de vol en profitait, caressant la nuque et les reins de la blonde en lui rendant son baiser. Finissant par se décoller, elle se recula et dit :

« Avant que tu ne te réjouisses plus, je suis pas là pour ça. »

L’ambiance retomba comme un soufflé qu’on sort trop tôt du four. Serrant les dents, et faisant mine de s’en soucier autant que de sa première chemise, il écouta la serpentard qui fixait un des trophée.

« Bon, il faut qu’on parle. Je sais, les hommes détestent cette phrase. Alors tu me laisses finir, et après t’auras le droit d’être d’accord avec moi.
Non mais je…
Tu m’écoutes oh ? J’ai dit tu te tais. »

Grognant légèrement, de Sade énervé sorti une nouvelle cigarette qu’il fuma pour se calmer. Il détestait qu’on lui parle sur ce ton. Si Cassiopée n’avait pas été une femme, il y a longtemps qu’elle aurait reçu son poing dans la figure. Fumant nerveusement, passant une main dans ses cheveux, l’attrapeur cherchait à savoir ce que voulait Cassiopée. De quoi elle voulait lui parler ? Il eut rapidement un début de réponse à ses interrogations :

« Nous devons reparler d’un sujet qui te tiens à cœur personnellement, comment je vais formuler ça… »

Quand une femme vous dit « on doit parler » ce n’est jamais bon. Encore plus quand elle commence à réfléchir à comment annoncer la couleur. Tirant de nouveau sur sa cigarette, appuyé contre un mur et regardant la blonde avec ses yeux azur il continuait de s’interroger. La dernière fois qu’une nana lui avait dit ça, c’était parce qu’il se préoccupait plus de son balai que d’elle. Normal, puisque à cette époque le marquis était en pleine préparation pour disputer la coupe du monde. Mais maintenant qu’il n’était plus pro, qu’il était simplement prof son emploi du temps était beaucoup moins chargé et il pouvait consacrer du temps à la jeune femme. Alors qu’est-ce qui lui tenait à cœur à part le Quidditch ?… La Bretagne ? Pourquoi est-ce qu’elle lui parlerait de son île sur un ton aussi grave ? Non, c’était forcément autre chose. Mais quoi ?

« Les femmes russes à notre époque. »

Ecarquillant les yeux surpris, Ambroise Léandre de Sade ne put que lâcher, en français dans le texte :

« Hein ?! »

La verte et argent ria. Elle parlait de quoi là ? Pourquoi est-ce qu’elle lui parlait de Russes ? Oui, il était déjà sorti avec une Russe, mais c’était il y a longtemps. Il y avait prescription, puisqu’à cette époque, il avait plus ou moins l’âge de Cassiopée.

« Tu t’y connais en russes ? »

Quelle drôle de question ! Ambroise était tellement surpris, encore sous le choc en essayant de comprendre où Cassiopée voulait en venir qu’il ne répondit pas. Et puis non de toute manière, la Russe tout ce qu’il connaissait c’était l’équipe de Quidditch du pays, les chapka, la vodka et la fameuse place rouge de Moscou, Krasnaïa plochad. Il conaissait égalment quelques insultes dans cette langues tel que : « (Ca me fait chier) Меня это заебало », « (Connard ) Сволочь, Собака, Козел », « (Va te faire foutre) Иди на хуй », « (Putain) Бля ». Mais sinon, la Russie il n’y avait pas été souvent et avait toujours eu très froid.

« Je me pose la question, parce qu’apparemment tu as besoin d’un sujet d’étude en taille réelle. Genre, Mirka. Ça te dit quelque chose?
Elle…
Si tu réponds qu’elle est biélorusse je te promets que je te tue. Si tu réponds que tu ne comprends pas ce que je sous-entends, je te tue. Si tu réponds que tu n’as rien fais, je te tue aussi. Et si tu réponds qu’on en avait déjà parlé, je te tue. Je veux qu’on en reparle. Parce que… je suis une femme, et que du coup je dis pas toute suite que je ne suis pas d’accord et après l’homme m’en veut. »

Bon, c’était ce qu’il voulait dire : Qu’elle était biélorusse, et qu’il n’avait rien fait d’autre que de lui parlé. Le français se tu donc en fumant et écouta la Cayrel lui dire qu’elle voulait reparlé de leur « couple ». Du fait que chacun ferait ce qu’il veut…
Il y eut un silence. Ambroise cherchait un moyen de se justifié. Si Cassiopée était une fille normale, il l’aurait plaquée au mur, lui aurait dit des mots d’amour en murmurant tout contre ses lèvres avant de l’embrasser tendrement et d’aller se réconcilier avec dans un lit. Mais Mademoiselle Cayrel n’était pas une fille comme une autre, et son deuxième prénom Elektra, Léandre venait de le comprendre. Il lui allait bien… Elektra, et Léandre l’homme lion. Cocktail explosif. Pour l’instant le Breton était partagé. S’énerver après elle pour lui faire comprendre qu’il était plus fort, ou bien lui faire croire qu’elle avait le dessus. Connaissant un minimum l’oiseau à présent, il s’approcha et lui tendit une cigarette. Ça la calmerait déjà un peu. Se retournant ensuite, commençant à faire les cent pas, il prit enfin la parole :

« Maintenant c’est toi qui va m’écouter. Jetant sa cigarette qu’il fit disparaitre d’un coup de Baguette, le Français planta ses yeux dans ceux de la jeune femme, tout aussi bleus que les siens. Oui, elle est biélorusse et pas Russe et oui j’ai rien fait d’autre que lui parler. T’es jalouse ? Y’a pas de quoi pourtant. Okay, Mirka est mignonne, mais je préfère les blondes. Okay, elle a un accent Slave sexy, mais elle est fade comparée à toi, moi j’aime les filles qui ont du caractère. Comme ça on s’ennuie pas. »

Marquant une courte pause, il continua de réfléchir à comment régler le problème. Il avait le choix : lui expliquer qu’il était un don juan et qu’il aimait séduire sans pour autant tromper, lui dire « c’est finit » ou bien essayer de faire un effort. Mais bien vite, il élimina la possibilité de la lâcher. Pourquoi ? Parce qu’il la voulait elle, plus que n’importe quelle autre fille.

« Tu sais, moi j’aime beaucoup la littérature moldue. Je vais te prêter Le Don Juan de Molière, tu comprendras mieux comme ça, que je ne te trompe pas vraiment. Don Juan aime séduire, c’est tout, l’acte charnel ensuite c’est en option. La séduction c’est un art, une passion. Et même si la pièce finit mal, l’essentiel est là : Séduire c’est un passe temps pour moi. C’est comme un sport, tu vois ? Y’a rien de méchant. »

Cayrel n’avait pas l’aire convaincue par l’idée de lire un livre moldu… Soupirant alors, Ambroise s’approcha doucement, enlaça la blonde et se mit à caresser ses cheveux en la regardant :

« Tu le sais que je suis pas le prince charmant parfait. Que je peux être un sale con. Mais je me suis engagé avec toi, et je tiendrai parole. Voilà ce que je te promets : Tu seras la seule, et même si dès fois je fais un sourire à une autre fille ou à un type ce sera rien de plus qu’un sourire. Oui, j’ai mauvaise réputation. Oui il y aura toujours des mauvaises langues pour dire que je finirai par te tromper toi aussi. Mais je te promets que j’ai changé. J’ai déjà trop payé pour avoir trompé quelqu’un. »

Cette mauvaise langue en l'occurrence c'était Éros. Ambroise savait bien qu'il finirait par le démonter au près de Cassiopée, qu'il lui raconterai comment il avait chialer quand il s'était fait giflé. Comment il gémissait de manière si féminine dans leur intimité, et tout un tas d'autre choses qui casseraient le mythe du beau mâle. Ambroise prenait donc une tête d'avance, en la prévenant.

« On est d'accord? Tu me laisse sourire, mais ce sera rien de plus. Est-ce que ça te va? »

Souriant doucement le professeur de vol prit délicatement le menton de la jeune femme avant de commencer à doucement l'embrasser. Pour la calmer, pour conclure leur nouveau contrat, et lui montrer que malgré tout ce qu'on pouvait penser, il tenait à elle...»

fiche par century sex.




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Alistair M. Fitzbern

Ali BabaYou are the cause of the funeral of my heart...
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MessageSujet: Re: Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise   Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise EmptySam 10 Mar - 12:04

    Devons-nous dire que la vie est une blague ? Je ne pense pas, mais tous ce qui me semble bon à dire c'est que la jalousie est un vilain défaut et Alistair en est le vilain petit canard. Lui qui adore jouer avec les sentiments des autres n'apprécie guère qu'on joue avec les siens. Il a toujours été un un coureur de jupon et le sera surement toujours et ça lui joue des tours. Comment faire croire après ça que tu peux être quelqu'un de bien auquel tu peux faire confiance ? Tu ne peux pas et ce n'est pas plus mal. Alistair n'est pas fait pour être fidèle, du moins c'est ce qu'il croit, et le ce pourquoi il a décider que Billie ne le méritait pas. Voilà pourquoi on peut dire que ça vie est une blague, un fiasco total même ! Comment faire pour réussir ? Ne pas duper les personnes de son entourage, ne pas coucher avec tous ce qui bouge et pas non plus sortir avec n'importe qui. Comme Roxanne, la pauvre, enfin elle y gagne, d'ailleurs l'aime-t-elle vraiment ou est-ce juste pour la renommé qu'il peut lui apporter ? A moins que qu'elle veuille narguer sa famille de résistant, traitre à leur sang en sortant avec ce fils de bonne famille au sang-pur et aux intentions strictement maléfiques. Telle est la question...
    Sur ces pensées infectes du monde et de la vie, enfin de lui, il ne décida pas de changer, cela lui demanderait certainement trop de travail et le travail ça ne l'a jamais trop réussi. Pourquoi pas essayer de ne plus effrayer les premières années ? C'est peine perdue. Lui devenir gentil ? Impossible ! Vous l'imaginez avec des petites fleurs dans la voix ? Qu'elle blague, il ne connait même pas les bonnes manières alors la gentillesse n'en parlons pas. Il ne serait même pas capable de rester fidèle, alors c'est un cas définitivement perdue. Cela, tout le monde le sait, mais pourtant il arrive à être hissé vers le haut et il est plutôt envié des autres gars et désirés par ces dames. Subjugué par ses remises en questions plus qu'inutile, il en haussa les épaules, un sourire charmeur s'empara de son visage et il continua sa route.
    Tout sourire, il arborait les couloirs, en essayant e faire des ravages, mais seuls les Serpentards digne de ce nom avait le droit à ce petit clin d’œil qu'il sait si bien faire et sans oublier ce sourire en coin qui en a fait fondre plus d'une. Il croisa une blondinette qui elle aussi, tout sourire, avançait d'une démarche hésitante. Alistair s'arrêta brusquement et revint sur ces pas puis fronça les sourcils quand il reconnut Cassiopée, la jolie blondinette au caractère bien trempé. "Tu vas où comme ça ?" Elle essayait en vint d'éviter son regard et se contenta de hausser les épaules. "Nulle part... je vais... euh... en salle des trophées. Je dois parler à quelqu'un." Se croyait-elle sortit du pétrin ? Je ne pense pas. Alistair connaissait par cœur Cassie, il l'a fréquentait depuis déjà bien longtemps et savait repérer un mensonge de la vérité. Elle ne lui avait pas tout dit et il comptait bien mener sa petite enquête et il découvrirait pourquoi il y d'hésitation dans ses paroles. Cassie commençait à s'échapper, Max le regardait filer, il découvrirait tout, il est fort pour ça ou plutôt fort l'intimidation... La blondinette se tourna vers lui et dit : "Il faudra qu'on parle tout les deux." Alistair acquiesça d'un hochement de tête.
    Un fous qu'elle disparue derrière un immense mur de pierre, il regarda autour de lui et repéra une petite brune qui venait de trébucher, il alla à se rencontre et lui tendit la main pour l'aider à se relever. "Sarah, quel plaisir. J'aurais un petit service à te demander. Tu vas suivre Cassiopée et voir qui est la personne dans la salle des trophées avec qui elle parle. Et si elle te repère..." après un moment de silence il continua " Tu trouveras bien une excuse. Aller et que ça saute !" Il la regarda partir et resta là les mains dans les poches. Puis, une jolie petite blonde passa près de lui. Il ne put s'empêcher d'aller l'accoster "Hey, jolie jeune demoiselle, vous embellissez ma journée.". Max surveillait du coin de l'oeil le retour de la petite poufsouffle,qui était à ses ordres mais, elle semblait pas revenir. Il souhaita une bonne journée à la blonde et s'avança un peu vers la salle des trophées et vit Billie, le soleil de sa vie. "Billie ! Comment ça va ? Alors avec Andy..." il se tue et regarda le regard qu'elle lui lança et dit " Oui je sais, on a pas besoin de faire la conversation mais je voulais juste être poli..." Elle le regarda bizarrement et continua son chemin. Il bafouilla "Oui, merci, à toi aussi bonne journée."
    Le regard toujours rivé sur le couloir, d'où la petite Sarah devrait arriver, espérait qu'elle ne c'était pas fait embaucher par quelqu'un d'autre. Il lui fallait cette information. Cinq minutes plus tard, la brunette revient et s'arrêta au niveau du Serpentard aux grands aires et d'un regard abattu elle dit : "Désoler, je n'ai rien vu..." Il soupira "Faut vraiment tout faire soi-même, c'est désespérant." Il ne l'a remercia pas et se dirigea vers la salle des trophées. Il rencontra toute sorte de personne, de pauvres premières qui dès qu'ils le virent, firent demi-tour, jusqu'aux filles qui le touchaient du regarda. Une fois devant la porte, il remit correctement sa chemise dans son pantalon et réajusta sa cravate. Alistair se passa la main dans les cheveux et soupira. Il posa sa main sur la poignée qu'il abaissa, puis il entra dans la salle...
    Ce fut le drame. Il ne bougeait plus, tellement surpris et décontenancé, dégoûté qui plus est, de ce qu'il venait de voir. Ça lui donnait tout bonnement envie de vomir. Ce qu'il ne ferait pas pour ne pas altérer sa réputation à laquelle il tenait beaucoup. Cassiopée, sa Cassiopée, celle qui avait toujours été en quelques sorte sa petite sœur, était en ce moment même dans les bras de ce prétentieux de professeur de vol. Max s'empressa de traverser la pièce et eut comme seul réflexe de pousser M. de Sade pour le décoller de la bouche de Cassie. Il se retient de lui en mettre une et se tourna vers la jeune blondinette et dit : "Mais, qu'est-ce que tu fais ? Non, mais sérieusement avec un prof ? Je te savais aventurière mais pas à ce point là. Tu t'imagines, il a bien dix ans de plus que toi." Il s'arrêta et se tourna vers le professeur histoire de voir si celui-ci réagit et compte lui sauter dessus pour l'avoir brusquement poussé. Et après quelques secondes de silence, ou tout passait au ralentit et le temps était lourd, Alistair décida de reprendre la parole tout en se tournant vers Cassie : "Tu me fais juste pitié. T'as trouvé que ça... Et vous..." Il se retourna vers les professeur "Vous n'avez pas honte ? Avec l'une de vos élèves qui a à peine seize ans. Mais c'est tout bonnement répugnant, comment pouvez-vous vous jouer de l'innocence d'une jeune fille perdue en quête de soit. C'est vous qui me faîtes le plus pitié. Vous n'avez pas trouvé une femme de votre âge, votre ouverture d'esprit n'a pas joué en votre faveur ?! C'est donc pour ça que vous vous rabattez sur de jeunettes et belles filles. C'est dégoûtant ." Max s'arrêta là, il savait d'ailleurs qu'il aurait droit de s'en prendre une, d'une certaine façon il l'avait bien cherché mais, il faut voir la vérité en face, bien que sa jalousie parlait il avait tout de même raison. M. de Sade était beaucoup plus vieux que Mlle Cayrel. Ils joueraient sans doute la carte du petit couple heureux et du "quand on est amoureux, l'âge ne compte pas.", mais vous vous imaginez quand il sera dans sa crise de la quarantaine, elle n'en n'aura que trente...


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MessageSujet: Re: Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise   Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise EmptyDim 18 Mar - 1:10

La jeune blondinette avait été bien téméraire en abordant Ambroise de cette manière. Elle aurait pu lui dire autrement, qu’elle voulait qu’il arrête de tourner autour de n’importe quel canon qu’il croisait. Maintenant, elle attendait sa réponse en tapotant le sol du pied. Elle avait l’air impatiente et sûre d’elle, de l’extérieur, mais intérieurement c’était une émotion qui se rapprochait plus du chaos. Elle ne savait absolument pas comment le jeune homme allait réagir, ce qu’il allait lui répondre et surtout l’issue de la conversation. Il ne le prendrait pas forcément bien, probablement. Surtout que c’était entièrement la faute de Cassiopée s’ils avaient cette discussion. Malgré tout, elle restait en apparence à toute épreuve. Prête à recevoir n’importe quoi. Le français tira pendant plusieurs secondes sur sa cigarette, puis la jeta en la faisant disparaître d’un coup de baguette. « Maintenant c’est toi qui va m’écouter. » Il fit quelques pas et planta ses yeux bleus droit dans ceux de la Serpentard, qui ne bougea pas d’un poil. Elle maintenait son regard, se disant que ce n’était absolument pas le moment de flancher. « Oui, elle est biélorusse et pas Russe et oui j’ai rien fait d’autre que lui parler. T’es jalouse ? Y’a pas de quoi pourtant. Okay, Mirka est mignonne, mais je préfère les blondes. Okay, elle a un accent Slave sexy, mais elle est fade comparée à toi, moi j’aime les filles qui ont du caractère. Comme ça on s’ennuie pas. » Cassiopée se mordit l’intérieur de la bouche pour ne pas sourire. Forcément, ça lui faisait plaisir, qu’on lui dise qu’elle était préférable à la populaire Serdaigle. Evidemment. Ceci dit, il ne devait pas la connaître tant que ça : la biélorusse avait du caractère. Beaucoup. Mais apparemment, le français n’avait pas eu le temps de l’expérimenter. Tant mieux pour la blonde. Après une courte pause probablement faite pour laisser le temps à Cassiopée de comprendre et retenir les paroles de l’attrapeur, il reprit. Elle ne voulait pas répondre maintenant. Pas encore. Surtout qu’il n’avait absolument pas fini.

« Tu sais, moi j’aime beaucoup la littérature moldue. Je vais te prêter Le Don Juan de Molière, tu comprendras mieux comme ça, que je ne te trompe pas vraiment. Don Juan aime séduire, c’est tout, l’acte charnel ensuite c’est en option. La séduction c’est un art, une passion. Et même si la pièce finit mal, l’essentiel est là : Séduire c’est un passe-temps pour moi. C’est comme un sport, tu vois ? Y’a rien de méchant. » La blonde haussa un sourcil. Un livre moldu, sérieusement ? C’était ça sa justification ? Don Juan ? Elle eut envie de lui répondre qu’il n’allait pas s’en sortir comme ça, mais il remarqua juste avant qu’elle parle qu’il fallait qu’il trouve autre chose. Non pas que Cassiopée doutait de ses paroles et du personnage de la dite pièce de Molière, mais il y avait quelques limites à une justification. « Tu le sais que je suis pas le prince charmant parfait. Que je peux être un sale con. Mais je me suis engagé avec toi, et je tiendrai parole. » Accompagnant ses paroles, il s’approcha par surprise de la sixième année et l’enlaça avant qu’elle ne pense à bouger pour l’éviter. Et puis il lui caressait les cheveux. Alors elle n’allait pas refuser. Ambroise prenait Cassiopée par les sentiments. « Voilà ce que je te promets : Tu seras la seule, et même si dès fois je fais un sourire à une autre fille ou à un type ce sera rien de plus qu’un sourire. Oui, j’ai mauvaise réputation. Oui il y aura toujours des mauvaises langues pour dire que je finirai par te tromper toi aussi. Mais je te promets que j’ai changé. J’ai déjà trop payé pour avoir trompé quelqu’un. » Cassiopée hocha lentement la tête. Eros, le nouveau surveillant de Poudlard. Elle avait eu l’agréable loisir d’être en colle avec lui, et connaissait l’histoire globalement… et ne voulait pas de détails. La blonde eut envie de lui dire qu’il n’avait pas encore fini de payer, mais elle se retint. Dans cette guerre elle était du côté du français, alors il était inutile de l’enfoncer un peu plus dans sa galère. La Cayrel ne savait pas exactement quoi répondre. Si c’était un sourire, ça allait. De toute façon, elle faisait la même chose, alors autant être d’accord. Elle allait commencer à parler d’Ethan, avec qui elle était plus ou moins. Disons qu’il la charmait très bien et qu’elle avait du mal à se soustraire à son charme, même si toutes les rumeurs qui circulaient étaient un réel frein à leur hypothétique couple. Autant prévenir le français maintenant, que si il la voyait embrasser quelqu’un d’autre c’était parce qu’Ethan Ward avait réussi son coup et l’avait pris par surprise. Ne sachant pas encore si elle répondrait aux probables baisers du Serpentard, elle hésita sur la manière de présenter la chose. « Ambroise… je… » « On est d'accord? Tu me laisse sourire, mais ce sera rien de plus. Est-ce que ça te va ? » Le français l’avait coupé, probablement dans le doute qu’elle dise autre chose de stupide. Cassiopée hocha la tête doucement, et un sourire se forma sur ses lèvres. Elle aperçut en écho celui du français, qui attrapa son menton pour l’embrasser. Elle eut juste le temps de murmurer un « Merci » avant que les lèvres d’Ambroise touchent les siennes.

Leur baiser ne se prolongea pas longtemps. Un évènement regrettable communément appelé ‘Alistair Max Fitzbern’ déboula dans la pièce et attrapa une épaule du professeur et une épaule de la blonde et les sépara violemment. Cassiopée cligna des paupières quelques instants, essayant de comprendre ce qui se passait à l’instant, et elle se rendit compte de l’identité de la personne qui venait jouer les trouble-fête quand il parla. « Mais, qu'est-ce que tu fais ? Non, mais sérieusement avec un prof ? Je te savais aventurière mais pas à ce point-là. Tu t'imagines, il a bien dix ans de plus que toi. » Cassiopée fit le poisson quelques secondes, ouvrant la bouche et la fermant successivement, essayant de savoir si elle devait frapper celui qu’elle considérait comme son grand frère, se taire et s’excuser, le jeter par la fenêtre, l’embrasser alors qu’elle n’avait aucune raison de faire ça, ou simplement l’engueuler jusqu’à ce qu’il s’en aille. Une fois de plus, elle ne fut pas assez rapide. Le français commençait à son tour à réagir mais n’eut le temps de rien dire. « Tu me fais juste pitié. T'as trouvé que ça... Et vous... » La Serpentard recula d’un cran, choquée et blessée en même temps des paroles du jeune homme. « Vous n'avez pas honte ? Avec l'une de vos élèves qui a à peine seize ans. Mais c'est tout bonnement répugnant, comment pouvez-vous vous jouer de l'innocence d'une jeune fille perdue en quête de soi. C'est vous qui me faîtes le plus pitié. Vous n'avez pas trouvé une femme de votre âge, votre ouverture d'esprit n'a pas joué en votre faveur ?! C'est donc pour ça que vous vous rabattez sur de jeunettes et belles filles. C'est dégoûtant. » Il y eut un silence pesant. Alistair ne disait plus rien, attendant le retour de la foudre. Ambroise ouvrit la bouche pour parler, mais Cassiopée lança un « Tchtt » qui lui fit refermer cette dite bouche. Elle fit trois pas vers Alistair, le fixa un instant. Il avait les bras croisés et regardait dans les yeux la blonde qui, sans hésiter, lança son bras et fit claquer la paume de sa main contre la joue de Max. Il ne s’y attendait pas et elle avait tapé fort, aussi il recula d’un coup, posant sa main sur sa joue. « Alistair. Fitzbern. Ça ne va pas se passer comme ça. Trois choses. La première, je ne te permets pas de juger de mon état d’âme, je ne suis pas une jeune fille perdue en quête de soi ni une des donzelles avec qui tu passes une nuit et que tu jettes ensuite allègrement. Ne me confonds pas avec ces débiles. Deuxièmement. Si je te fais pitié, sois bien sûr que c’est la même chose dans l’autre sens. C’est un sentiment tout à fait partagé. Et troisièmement, je fais ce que je veux. Quand je veux. Ou je veux. Et avec qui. Je. Veux. Compris ? »

Nouveau silence. La jeune fille fixait Alistair. Alistair avait l’air en colère. Cassiopée sentait le regard d’Ambroise dans son dos. Les deux garçons commencèrent une phrase en même temps, mais la blonde les coupa. Elle décida qu’elle n’avait pas encore fini de parler. « C’est la jalousie qui parle, hein ? C’est ça ? Tu te sens con parce que tu n’as aucun contrôle sur mes fréquentations ? Je dois subir l’autre blondasse de Roxanne tous les jours à cause de toi, et tu te permets de t’incruster, d’insulter Ambroise, de faire ta pucelle effarouchée et tu veux en plus avoir raison ? Tu t’es pris pour qui, exactement ? » Elektra jouait avec le feu. Ils avaient enfin un moment pour régler leur compte, tous les deux. Cassiopée ne regrettait pas d’être sortie avec Alistair, ils avaient passés de très bon moments et étaient restés très proches toutes ces années. La sixième année donnait toujours son avis sur les conquêtes de son ami, et aimait penser qu’elle serait toujours un peu derrière lui pour vérifier. Forcément, dans l’autre sens, c’était moins drôle. Le pauvre de Sade ne devait pas en mener large. Il n’avait pas suivi toutes les histoires entre Alistair et Cassiopée, ne connaissait pas bien le mec que sa copine venait de gifler violemment et était probablement très en colère. La blonde coupa la parole à Alistair une fois de plus, et se tourna vers le français. « Je t’en prie, il est à toi. »
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MessageSujet: Re: Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise   Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise EmptyVen 23 Mar - 18:04




Cassiopée & Alistair & Ambroise



« Ce que femme veut Dieu le veut. »


« Après avoir mit les choses au clair avec la blonde et avoir scellé leur accord par un baiser, Ambroise qui voulait profiter de ce moment au calme avec la verte et argent fut interrompu. Par qui? Alistair. Un élève de classe préparatoire à Serpentard, un petit con qui se prenait pour un Don Juan. Un amateur, comparé à de Sade qui restait visiblement numéro un dans le cœur des sorcières au château..

« Mais, qu'est-ce que tu fais ? Non, mais sérieusement avec un prof ? Je te savais aventurière mais pas à ce point là. Tu t'imagines, il a bien dix ans de plus que toi. »

t alors, qu'est-ce que ça pouvait lui faire à l'autre là? C'est pas l'âge qui compte, et Ambroise savait très bien qu'il faisait plus jeune que son âge, et Cayrel, plus vieille. Ainsi physiquement entre eux on ne remarquait pas vraiment de différence d'âge.

« Tu me fais juste pitié. T'as trouvé que ça... Et vous... Vous n'avez pas honte ? Avec l'une de vos élèves qui a à peine seize ans. Mais c'est tout bonnement répugnant, comment pouvez-vous vous jouer de l'innocence d'une jeune fille perdue en quête de soi. C'est vous qui me faîtes le plus pitié. Vous n'avez pas trouvé une femme de votre âge, votre ouverture d'esprit n'a pas joué en votre faveur ?! C'est donc pour ça que vous vous rabattez sur de jeunettes et belles filles. C'est dégoûtant. »

Il y eu ensuite un silence pesant. Ambroise allait commencer à lui dire qu'il n'était qu'un pauvre petit imbécile qui ne sait pas s'y prendre avec les femmes, mais sa dulcinée le pria de se taire. Bien, il attendrai. Ainsi, il se mit à réfléchir à comment le mettre hors d'état de nuire. Il avait manqué de respect à Cassiopée, et on ne manque pas de respect à la petite amie d'Ambroise Léandre de Sade!

« Alistair. Fitzbern. Ça ne va pas se passer comme ça. Trois choses. La première, je ne te permets pas de juger de mon état d’âme, je ne suis pas une jeune fille perdue en quête de soi ni une des donzelles avec qui tu passes une nuit et que tu jettes ensuite allègrement. Ne me confonds pas avec ces débiles. Deuxièmement. Si je te fais pitié, sois bien sûr que c’est la même chose dans l’autre sens. C’est un sentiment tout à fait partagé. Et troisièmement, je fais ce que je veux. Quand je veux. Ou je veux. Et avec qui. Je. Veux. Compris ? »

Bien, la jolie blonde qu'Ambroise fréquentait ne se laissait pas marcher sur les pieds, elle cognait même. Mais cette petit gifle qu'elle lui avait mis n'était rien comparé à ce qu'il allait se prendre par le marquis de Sade.

« Maintenant je...
C’est la jalousie qui parle, hein ? C’est ça ? Tu te sens con parce que tu n’as aucun contrôle sur mes fréquentations ? Je dois subir l’autre blondasse de Roxanne tous les jours à cause de toi, et tu te permets de t’incruster, d’insulter Ambroise, de faire ta pucelle effarouchée et tu veux en plus avoir raison ? Tu t’es pris pour qui, exactement ? »

Bon, sa majesté Cassiopée n'avait pas finit de parler. Le professeur de vol avait appris depuis longtemps qu'il ne fallait pas la couper, tant qu'elle n'avait pas finit car elle vous ignorerai et se mettrai en colère. Caractérielle?... Non, à peine! C'est alors qu'enfin la blonde se tourna vers son petit ami du moment pour lui dire:

« Je t’en prie, il est à toi. »

Enfin. S'approchant de Fitzbern sans prévenir Ambroise lui envoya directement un coup de poing, un crochet du gauche. En tant que gaucher, c'était un réflexe chez lui... De Sade avait beau être attrapeur, il n'en demeurait pas moins un athlète de haut niveau, qui avait musclé son corps durant de longues années et qui possédait quand même une certaine force physique. Certes il était moins fort qu'un batteur professionnel, mais s'il fallait se battre et user des poings il n'était pas largué. Après avoir sonné le jeune homme qui tomba au sol, il se mit à lui hurler dessus en Breton, par pur réflexe:

« TORRIN REVR SERR DA VEG SAC'H KAOC'H!»
Spoiler:

Une fois à cheval sur son rival, le Français s'acharna un moment sur lui frappant toujours brutalement avec ses poings à différents endroits -mais surtout au visage-, hurlant cette fois-ci en Anglais pour qu'il comprenne:

« T'as pas à manquer de respect à ma nana comme ça! T'as compris? J'vais te montrer moi ce que je leur fait aux petits c*ns dans ton genre, qui osent s'en prendre à Cassiopée Cayrel!»

Léandre, signifie homme lion. Et quand on met un lion en colère... Autant dire qu'on est dans de sales draps! Le professeur de vol se prenait lui aussi des coups, l'autre savait se battre également. Mais globalement dans la lutte, de Sade arrivait à garder le dessus de part son âge, sa force et sa plus grande expérience de la bagarre. De plus, il était devenu fou, incontrôlable à cause de la rage en lui. Quand on apprend à se battre dans les pub, à tout juste treize ou quatorze ans face à des mecs de vingt ans, des coups on s'en prend pas mal. Mais on apprend également très vite à les rendre!

Et c'est seulement quand Elektra se mit à le frapper avec son talon en criant pour qu'il lâche Alistair qu'il daigna s'éloigner, poussant Cassiopée derrière lui pour la protéger, crachant au passage du sang par terre. Bilan des courses? La lèvre lèvre et la joue ouverte, plus des bleus et un bel œil au beurre noir pour Ambroise! Il l'avait pas louper le sale môme! Mais remarque, il était dans un piteux état aussi à cause du Marquis qui s'était acharné. Certes, il s'en voulait un peu de l'avoir cogné comme ça, directement sans chercher à comprendre. Mais ça lui passerai sans doute l'envie de recommencer d'ici un bon moment.

« Maintenant, tu nous fiche la paix à Cassiopée et moi. Sinon la prochaine fois je te tue. T'as rien à dire quant à ses fréquentations, et t'as rien à me dire non plus. Puis tu vas devoir apprendre à la fermer, parce que si j’entends que tu as dit quoi que ce soit à quelqu'un, je te promet que t'auras plus jamais l'occasion de l'ouvrir. J'ai été clair?! »»


fiche par century sex.




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Alistair M. Fitzbern

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MessageSujet: Re: Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise   Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise EmptyMar 10 Avr - 9:35

    Alistair avait ouvert sa bouche et en avait surement trop dit, bien plus qu'il n'en pensait, il était peut-être un connard mais n'avait jamais douté sur Cassie, elle sait très bien ce qu'elle fait et elle l'a toujours sue, c'est un sacré caractère cette fille, c'est ce que Alistair appréciait chez elle. Pourtant il a toujours voulut la faire passer à la trappe ou bien lui montrer que c'était une gamine, un peu trop protecteur, et protecteur à son sens, c'est à dire pas très futé. Il n'a jamais vraiment su exprimer ses sentiments, ce qui lui valut de la part de la blondinette une belle gifle qui claqua bien comme il faut sur sa joue. Il savait ce que ça voulait dire, le début de son cauchemar. N'était-elle peut-être pas l'ange comme il avait pu penser mais bien le démon, il c'était laissé prendre au jeu de Cassiopée et avait sérieusement commencé à ressentir des choses et voilà qu'elle le remet à sa place et lui rappel qu'il est un moins que rien :« Alistair. Fitzbern. Ça ne va pas se passer comme ça. Trois choses. La première, je ne te permets pas de juger de mon état d’âme, je ne suis pas une jeune fille perdue en quête de soi ni une des donzelles avec qui tu passes une nuit et que tu jettes ensuite allègrement. Ne me confonds pas avec ces débiles. Deuxièmement. Si je te fais pitié, sois bien sûr que c’est la même chose dans l’autre sens. C’est un sentiment tout à fait partagé. Et troisièmement, je fais ce que je veux. Quand je veux. Ou je veux. Et avec qui. Je. Veux. Compris ? »
    Des picotements se faisaient ressentir au niveau de sa joue, elle avait du rougir par le choc que la Verte venait de lui infliger. Il se mordit la lèvre inférieur et regrettait ou non au contraire il était content d'avoir dit ce qu'il avait dit, cela ne changerait peut-être rien mais au moins il serait fixé, enfaite, tous ce qu'il voulait c'est qu'elle choisisse. Il se ferait surement jeter mais il aurait essayé et il ne pouvait pas voir se prof en photo, alors voilà ce qu'il proposera à Cassiopée, quitte à devoir l'oublier la blonde, il préfère plutôt que d'être en défi permanent avec ce professeur de vol et devoir finir à l'infirmerie. Ou peut-être tient-il a sa vie et qu'il est plus simple de laisser s'envoler sa colombe avec ce corbeau et puis, elle est intelligente, si ça ne va pas Alistair serait toujours là pour elle, malgré tout ce qu'il pourrait dire, Cassiopée il l'a dans la peau et ne pourrait pas l'oublier comme ça.
    Il reprit ses esprits et allait confronté la vie. Alors que M. de Sade commençait à parler, la blondinette le coupa en disant : « C’est la jalousie qui parle, hein ? C’est ça ? Tu te sens con parce que tu n’as aucun contrôle sur mes fréquentations ? Je dois subir l’autre blondasse de Roxanne tous les jours à cause de toi, et tu te permets de t’incruster, d’insulter Ambroise, de faire ta pucelle effarouchée et tu veux en plus avoir raison ? Tu t’es pris pour qui, exactement ? ». Alistair était littéralement sur les fesses, il n'avait qu'une envie lui sauter dessus et l'embrasser, mais juste une légère larme coula le long de sa joue. Il avait toujours pensé qu'à lui et avait ainsi obligé Cassiopée à supporter Roxanne, oui il en avait toujours demandé aux autres, il attendait juste de la compréhension de la part des autres et maintenant il comprenait ce que ça faisait d'obliger quelqu'un à faire quelque chose qu'il ne voulait pas. Malgré ça Roxanne était là et le resterait, Alistair a toujours eu du mal à comprendre ce que son cœur veut, et ne sais pas ce à quoi il doit se plier, l'un de ses nombreux défauts. Il regarda Cassiopée de son regard de martyr et subissait toutes les paroles que la demoiselle venait de débiter.
    « Je t’en prie, il est à toi. » on été les paroles qui on eu un effet de poignard enfoncé en plein dans le cœur. Alistair comprenait ce qu'il se passerait et essayait tant bien que mal à s'exprimer. "La vie est injuste et je suis un pauvre connard. Oui, je veux toujours tout contrôler parce que quand sa m'échappe c'est un carnage... Roxanne ne m'aime pas mais elle a su me contrôler, elle a trouvé comment la vie s'offrait à moi et je suis désoler de préférer la facilité à la complication. Cassie tu as toujours été un vrai mystère et c'est pour ça que je persistait à essayer à avoir le contrôle, parce que tu m'attires...". Puis, de Sade s'approcha et lui mit une gauche en pleine tête ce qui provoqua un saignement de nez, le professeur n'y avait pas été de main morte. Il lui en mit une autre qui fit renverser le jeune Serpentard, celui-ci se prit la tête quelques secondes et décida qu'il se défendrait, il avait un honneur à défendre et qu'il n'avait pas de leçon à apprendre de ce professeur qui ne savait que faire du gringue. Alistair retroussa ses manches pendant que la Breton cria quelques choses qu'il ne comprit pas du tout, mais ça il s'en fichait ? Si il cherchait la bagarre il l'aurait, quitte à finir gravement blessé à l'infirmerie et à se faire recoudre je ne sais quoi. Le professeur se mit à califourchon sur le Vert et commença à lui envoyer quelques méchants coups dans la tête. Alistair ne pouvait rien fait, juste moitié assommé sur le sol, il écouta les paroles du professeur de Sade : « T'as pas à manquer de respect à ma nana comme ça! T'as compris? J'vais te montrer moi ce que je leur fait aux petits c*ns dans ton genre, qui osent s'en prendre à Cassiopée Cayrel!». Alistair s'attendait au pire et donc commença avant de ne pouvoir rien faire, il envoya une droite au prof et le poussa par-terre pour retourner la situation. Alors qu'il lui envoyer une droite le prof s'énerva et en devenait incontrôlable. Alistair se retrouvait en dessous sous la foule de coup qu'il lui envoya. Il voyait sa vie défiler, son nez était sûrement cassé, parce qu'il lui faisait terriblement mal. Le vert et argent était cloué au sol, le souffle coupé, son sang coulait par-terre. Puis, son calvaire cessa quand quelques coups lointain résonnèrent méchamment dans sa tête et que le poids du professeur s'enleva de dessus lui. Il souffla et plaça ses mains sur son visage cassé de tous les côtés. Il se mit assis et se plia de douleur. Bien qu'il avait fait des dégâts au professeur, celui-ci s'en sortait dix fois mieux que le Serpentard, qui lui se retrouvait avec le nez cassé, la mâchoire sûrement déplacé ou un truc dans ce genre et la bouche en sang, les côtes lui faisaient mal aussi.
    Alistair était sonné et le bruit qu'il entendait était étouffé, sa tête tournait et il se demandait bien ce qui avait bien pu lui arriver. De Sade l'avait mit à terre, il avait gagné, parce que si Cassiopée avait décidé de choisir le gagnant Alistair était définitivement un looser doublé d'un minable. Alors que le professeur de Vol c'était relevé et c'était placé devant la blondinette pour la protéger, bien qu'Alistair n'était pas en état de faire quoi que ce soit. Toujours à terre il écouta les paroles du Français : « Maintenant, tu nous fiche la paix à Cassiopée et moi. Sinon la prochaine fois je te tue. T'as rien à dire quant à ses fréquentations, et t'as rien à me dire non plus. Puis tu vas devoir apprendre à la fermer, parce que si j’entends que tu as dit quoi que ce soit à quelqu'un, je te promet que t'auras plus jamais l'occasion de l'ouvrir. J'ai été clair?! ».
    A la suite de ses paroles Alistair n'avait qu'une envie lui sauter dessus et le frapper mais, il ne pourvait pas se permettre et il venait de recevoir une bonne leçon. Il se contenta de se relever et de cracher aux pieds du prof et dit tant bien que mal : « Vous me connaissez mal, professeur, bien que vous venez de me massacrer, je dois l'avouer, je ne me terrais pas, je ne suis pas un soumis quand aux fréquentations de Cassie, j'en ai rien à faire. Venez me taper et c'est vous qui vous ridiculiserez. ». Il en avait sûrement trop dit mais il ne voulait pas perdre son droit d'expression et ne se laisserait pas dominé juste parce que l'autre est plus âgé et expérimenté. « J'aurais cru de votre par plus de diplomatie mais on dirait que ce n'est pas dans vos cordes... », il en disait vraiment trop, comme si il avait envie une deuxième fois de se faire massacrer. "Sur ce, je crois que je vais vous laisser, j'ai bien compris la leçon et sache, Cassie, que bien que j'ai été un enfoiré et que je n'ai pas de cœur, je dois l'avouer, tu m'as blessé... ». Il posa sa main sur le mur pour ne pas tomber parce qu'il avait trop parler et sa tête tournait, il croyait même qu'elle allait exploser. Il posa sa tête sur le mur et cracha du sang sur la sol et...



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MessageSujet: Re: Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise   Quelqu'un m'a dit ♦ ft Alistair & Ambroise EmptyMar 8 Mai - 6:53

Spoiler:

Alistair était par terre avant que Cassiopée n’ait pu dire quoi que ce soit. Elle avait dit ce qu’elle avait à dire et se doutait que son petit ami aurait aussi une envie folle de toucher deux mots au téméraire Serpentard en face de lui, mais il était beaucoup plus violent qu’elle n’avait pu l’imaginer. Le coup de poing qu’il venait de lui asséner montrait aussi qu’il savait se battre, et la blonde commençait à se dire qu’elle tenait quand même à son meilleur ami et qu’il n’était pas forcément utile de le frapper à mort en lui criant dessus en breton. Mais il était trop tard, et elle aurait évidemment du y penser plus tôt. « T'as pas à manquer de respect à ma nana comme ça ! T'as compris ? J'vais te montrer moi ce que je leur fait aux petits c*ns dans ton genre, qui osent s'en prendre à Cassiopée Cayrel ! » « Ambroise, Ambroise, stop ! » La dite nana regrettait de l’avoir laissé aux mains du français. L’intention était bonne de la part d’Ambroise et elle prenait ça comme un compliment, mais Alistair avait probablement compris la leçon. Surement. S’il n’avait pas compris c’est qu’il était définitivement stupide. L’étudiant se battait tout de même, faisant de son mieux pour se défendre. Elektra comprit que son amoureux continuerait tant qu’elle n’agissait pas, alors elle s’y mit aussi. Elle commença à le frapper le plus gentille ment possible et voyant que ça marchait pas le tapa avec son talon le plus fort qu’elle put dans l’épaule. Le résultat fut immédiat, Ambroise recula en tirant Cassiopée avec lui. Il avait souffert dans la bataille et la blonde en était désolée. Elle regardait l’étendue des dégâts avec anxiété. « Maintenant, tu nous fiche la paix à Cassiopée et moi. Sinon la prochaine fois je te tue. T'as rien à dire quant à ses fréquentations, et t'as rien à me dire non plus. Puis tu vas devoir apprendre à la fermer, parce que si j’entends que tu as dit quoi que ce soit à quelqu'un, je te promets que t'auras plus jamais l'occasion de l'ouvrir. J'ai été clair ?! » Cassiopée soupira. « ça suffit, il a compris. » Alistair était toujours par terre. La blonde avait bien entendu ce qu’il lui avait dit avant de se faire casser le nez par l’ex joueur de Quidditch, et ce qu’il l’avait le plus marqué, c’était la larme qu’il avait eu. Elle ne l’avait jamais vu pleurer et voilà que le jour était arrivé. Et elle en était la cause. Elle s’était toujours dit qu’elle tuerait le premier qui ferait souffrir le pauvre Alistair, mais elle ne pouvait décemment pas se suicider, bien qu’elle s’en voudrait longtemps.

« Vous me connaissez mal, professeur, bien que vous venez de me massacrer, je dois l'avouer, je ne me tairais pas, je ne suis pas un soumis quant aux fréquentations de Cassie, j'en ai rien à faire. Venez me taper et c'est vous qui vous ridiculiserez. » Ambroise fit un mouvement pour avancer jusqu’au garçon mais Cassiopée le retint d’un geste du bras. Il en avait assez fait, et quelque part, Alistair avait raison. Un professeur n’avait pas à se jeter sur un élève et à lui casser le nez comme ça. Même si le dit élève l’avait cherché, ce n’était pas une solution. « J'aurais cru de votre part plus de diplomatie mais on dirait que ce n'est pas dans vos cordes... » La verte leva les yeux au ciel. « Tais-toi, Alistair, tu t’enfonces. » Il jouait à quoi, exactement ? La provocation ne lui attirerait que des ennuis. « Sur ce, je crois que je vais vous laisser, j'ai bien compris la leçon et sache, Cassie, que bien que j'ai été un enfoiré et que je n'ai pas de cœur, je dois l'avouer, tu m'as blessé... » Il s’était relevé mais n’arriverait pas à s’en aller comme ça, et il ne fallait pas qu’il s’en aille comme ça. La blonde se précipita vers son ami et l’aida à se rasseoir contre le mur. Il était évident qu’il voulait quitter la pièce, mais il n’allait en aucun cas le faire sous la surveillance de la sixième année. Il ne partirait pas comme ça. « Ali, Ali, reste là. Attends, je vais essayer d’arranger ça. » Sa voix tremblait. Elle contemplait le visage en sang devant elle et commença à enlever le sang. Plusieurs sorts plus tard et son nez était remis en place. Il aurait encore quelques égratignures pour une ou deux semaines mais le pire était passé. Cassiopée se tourna vers Ambroise et le fixa. Il était lui aussi bien amoché et semblait attendre qu’elle lui réarrange le visage, mais elle n’en fit rien. Ça le vexerait probablement, mais elle avait plus important à faire. Une larme coula sur son visage, qu’elle ne réussit pas à retenir. Attrapant le bras d’Alistair, elle le fixa droit dans les yeux. « Je ne voulais pas te blesser autant, mais j’aimerais que tu comprennes que ce que tu m’as dit tout à l’heure ne m’as pas fait plaisir. Comment j’étais censé réagir ? Si Roxanne a réussi à te contrôler, ce que je n’approuve pas, je suis bien avec Ambroise. Et je ne le quitterais pas sous prétexte que TU trouves ça mal. Sinon, je te propose de quitter Roxanne. » Il y eut un petit silence dans la salle, et la blonde reprit. Sa voix avait récupéré de l’assurance. « Tu ne le feras pas, hein ? Moi non plus. Je suis tellement désolée. » Elle entoura le torse d’Alistair de ses bras et lui fit un câlin qu’elle espérait assez sincère et plein d’émotions qui montrerait qu’elle voulait qu’ils se réconcilient. Elle tenait énormément à Alistair et il était inutile qu’elle le perde pour quelque chose d’aussi stupide. Ambroise parla, mais elle ne l’entendit pas et se retourna vers le français. Il semblait énervé. Elle se leva donc, attrapa sa baguette et fit les mêmes sorts que pour Alistair. Il pouvait bien avoir des marques sur le visage, lui, personne ne lui dirait rien. « Quant à toi Ambroise, j’espère que tu as bien entendu. Je vais pas choisir entre vous deux, ne me propose pas ce choix s’il t’a traversé l’esprit. Et je veux aussi que vous vous réconciliiez. Vous battre pour ça c’est stupide. J’apprécie un peu, mais je trouve ça stupide. » Cassiopée retourna voir l’état d’Alistair, qui tentait de se lever. Elle l’aida mais le retint pour qu’il ne parte pas. S’approchant de son oreille, elle lui chuchota une phrase. « On a passé des moments supers ensembles, et je les oublierais pas. » Elle traina son ami vers son petit ami et les rapprocha. « Réconciliez-vous ou je vous quitte tous les deux. »
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