Sujet: retrouvailles ♦ Alistair (terminé) Dim 20 Nov - 0:40
Perséphone & Alistair ♕ retrouvailles
C'était l'heure de la pause. Perséphone prit un café et se dirigea vers une table libre. Elle avait prit avec elle un parchemin, une plume et de l'encre. Après s'être installée, elle commença à écrire :
« Cher Alistair,
Cela fait un petit moment que l'on ne s'est pas vu et j'ai très envie de passer un après-midi avec toi. Je te donne rendez-vous le prochain samedi. Je suis de garde la nuit et j'ai donc mon après-midi de libre. Je t'attendrait au trois balais, au environ de seize heure. Au plaisir de te revoir, je te fais de gros bisous.
Perséphone D'Argenté. »
Elle reposa sa plume et plia le bout de papier. Elle l'enverrait dès qu'elle sortirait de l'hôpital. En attendant, elle avait encore beaucoup de travail. Elle finit d'une traite son café et posa le gobelet. Elle traversa la salle de repos et mit la lettre dans sa poche.
trois jours plus tard.
Comme la jeune femme brune l'avait prédit, elle était de garde cette nuit là. La mangemort était installé à une table regardant les dossiers de patient qu'elle avait soigné. Sa tête reposait sur son bras. Elle était prête à s'endormir. Elle n'avait pas eu beaucoup de travail cette nuit. Ça avait été calme, très calme. Elle se réveilla en sursaut quand l'horloge sonna sept heure. Elle s'était endormie, pas longtemps, à peine une demie heure, mais quand même. Elle se redressa et rassembla ses dossiers. Après s'être étiré, elle se leva et marcha en direction des vestiaires. Elle savait que Zéphyr la remplaçait après. Il restait quinze minutes avant qu'il arrive et elle décida de se changer. Elle n'avait pas envie d'être seule avec lui dans les vestiaires, pas pour le moment en tout cas et surtout pas avec ce qui c'était passé la nuit où ils étaient de garde tous les deux. En reposant à ce moment, elle eut l'impression de ressentir la pression de ses lèvres sur les siennes. C'était doux et chaud. Elle avait aimé cette sensation, mais cela l'avait répugné aussi. Elle n'arrivait plus à faire le tri dans ses sentiments, elle ne savait plus où elle en était. Zéphyr était surement pareil, la seule fois où il lui avait parlé était pour lui donner des instructions sur un patient. Il n'avait même pas osé la regarder dans les yeux. Peut-être regrettait-il ce baiser ? Une petite part de Perséphone espérait que non.
La jeune mangemort était dans le vestiaire. Elle était assise sur l'un des bancs déboutonnant sa blouse blanche. Elle était dans ses pensées quand, tout à coup, quelqu'un rentra. Elle se dépêcha d'enfiler son haut. Quand elle releva la tête, elle aperçut Zéphyr. Qui d'autre ? Ce dernier avait un sourire. « Il ne faut pas être gêner D'Argenté, ce n'est pas la dernière fois que je te verrais comme ça. Et puis sache que tu n'ai pas la seule femme que j'ai vu en soutient gorge et tu ne seras surement pas la dernière. » Perséphone leva les yeux au ciel. Elle claqua d'un coup sec son casier et se tourna vers le médicomage. « J'espère que tu as bien profiter du spectacle, Jefferson. Car vu les filles que tu te tapes,... » Elle laissa sa phrase en suspense, tout en lui montrant son plus beau sourire, et sortit. Et oui, le jeux du chat et de la souris reprenait. Ça faisait du bien un peu de piment ! Elle marcha d'un pas rapide. Elle passa devant l’accueil et y déposa ses dossiers. Elle salua la secrétaire, tout en lui faisant un signe de la main. Quand les portes s’ouvrirent sur le monde encore endormi, un vent frais provoqua des frissons chez la jeune femme. Elle resserra sa veste et marcha en direction de son appartement. Elle contemplait en même temps le lever du soleil. C'était magnifique.
Perséphone poussa la porte de son appartement. Elle s'allongea sur son canapé. Elle était tellement fatigué qu'elle s'endormit sans prendre le temps de se déshabiller. Et elle partit dans un profond sommeil, pleins de rêves. Elle se réveilla quelques heures plus tard. Le soleil était déjà haut dans le ciel. Il était exactement midi et demi. Son ventre fit un bruit énorme, lui demandant de la nourriture. Elle se dirigea donc vers sa cuisine. Elle resta un moment planté devant son frigo ouvert. Que prendre. Cette part de quiche à demi entamée ou bien le jambon ? Ce dernier n'ayant pas une apparence attirante, elle se décida pour la quiche. Il ne valait mieux pas qu'elle s'intoxique avec un morceau de viande. Après avoir manger à ne plus pouvoir avaler un seul morceau, elle alla prendre sa douche. Elle passa un bon moment en dessous, savourant la chaleur de l'eau chaude coulant sur sa peau. Elle enfila, ensuite, un jean et une tunique rose. Elle s'habilla simplement. Elle rajouta à sa tenue des talons et une veste en cuir marron. Elle se maquilla légèrement, cacha les petites imperfections. La jeune femme brune empoigna son sac et dans ce grand fourre-tout chercha ses clefs. Après quoi, elle sortit de son appartement et partit en direction de Pré-au-lard. Elle allait enfin retrouver son Alistair adoré.
Ses pieds foulèrent le sol des trois balais quelques minutes plus tard. Elle était arrivé avec une bonne demi-heure d'avance. Elle s'installa à l'une des tables libres. Elle appela une serveur et commanda une bièreaubeurre. Elle espérait croiser Delilah, son amie. Elle travaillait ici et ça faisait un petit moment qu'elle ne l'avais pas vu. En faite, la jeune Perséphone avait recroisé la belle jeune femme une seule fois depuis qu'elle l'avait surpris avec son frère au lit. Elle avait beaucoup quelques soupçons, rien de bien fonder, mais le mangemort se posait des question sur la serveuse des trois balais. Perséphone commença à siroter son breuvage, tout en repensant à ses années à Poudlard. Ca avait été des années géniales, tout de même. Elle avait rencontré des personnes extraordinaire, notamment le bel Alistair. Il faut dire que leur amitié à commencer de façon des plus étranges. Tous les deux ayant envie d'agrandir leur tableau de chasse et étant physiquement attiré, ils s'étaient retrouvé au lit. Perséphone, comme à son habitude, n'était pas resté longtemps après leurs ébats. Durant les journées qui suivirent, elle le croisa souvent dans les couloirs et à la fin d'un cours, elle fut aborder par le jeune serpentard. Il avait envie de la connaître et Perséphone en avait très envie elle aussi. C'était comme ça qu'ils étaient devenue les meilleurs amis. Alistair était le seul, avec son frère et sa soeur, à la connaitre par coeur. Le seul à sa voir qu'au fond, derrière cette carapace de petite fille princesse et méchante, se cachait une jeune femme sensible. C'était pour cela qu'en plus de le considérer comme un meilleur ami, Alistair était pour Perséphone comme un deuxième frère un protecteur. La porte du bar s'ouvrit. Perséphone se tourna et pu apercevoir avec grand plaisir que c'était son ami. Elle se leva et l’accueillit avec un grand sourire. Elle l'embrassa. « Oh Alistair, ça me fait tellement plaisir de te voir ! » Elle s'était rassit et regarda le jeune homme. « S'il vous plait ! La même chose pour nous deux. » dit-elle au serveur. Elle se retourna vers son ami et ajouta. « Alors, dis moi. Comment se passe ton début d'année préparatoire ? Ça te plait ? » Le serveur arriva et posa deux bièreaubeurres devant les jeunes gens.
Hors jeu:
J'ai fait comme si on avait déjà changer d'année, vu que c'est la semaine prochaine. Désolé, c'est pas super et j'ai un peu raconter ma vie x) J'espère que ça te plait et que ça va t'inspirer. Et puis, je te trouve trop craquant sur le gif. ♥ et je vérifie les fautes plus tard :S
Dernière édition par Perséphone N. D'argenté le Jeu 17 Mai - 21:19, édité 1 fois
Alistair M. Fitzbern
Ali Baba ♣ You are the cause of the funeral of my heart...
personal informations
► date d'inscription : 12/06/2011 ► parchemins : 780
Alistair c'était levé tôt ce matin, il avait passé une soirée mouvementée, il avait grand besoin de se changer les idées. Ce pourquoi il alla se passer de l'eau froide sur le visage, ce qui de plus le réveilla. Il prit quelque instant à se fixer dans le miroir, ce qui se projetait en face de lui était un jeune homme charmant, sur de lui, il en fût fier d'ailleurs. Il souriait, il avait envie de dire « C'est à moi que tu parles ? », mais n'en fit rien, on était pas dans la Haine enfin. Non, il se contenta juste de s'ébouriffer les cheveux et d'y jeter un sort pour qu'ils restent comme ça. Il prit la serviette à côté et se la passa sur la tête et il repartit dans la chambre. Son lit, à son grand bonheur était vide, la fille qui s'y trouvait il y a à peine cinq minutes a dû s'enfuir. Alistair, lui, sauta sur le lit et s'allongea puis ferma les yeux. Ses colocataires se levaient et se dirigeaient vers la salle de bain, Max avait à lui encore quelques instants pour dormir. De toute façon il n'avait plus cas enfiler un pantalon, une chemise, un veston et une cravate verte et argent et le tour était joué. Dix minutes plus tard, une voix assourdissait Alistair : « Eh, Fitzbern ? Putain Fitzbern, réveilles-toi ! On doit y aller ! ». Alistair attrapa son oreiller et lui balança et resta couché. « Eh, Fitzbern, grouilles-toi, sérieux ! », ça c'était Finn, sans aucun doute, lui il respectait les lois et faisait de son mieux pour être un bon élève, ce qui avait fait douté Alistair de sa loyauté pour les Serpentards. N'empêche, Max respectait Finn, malgré tout, ce qui répugnait le plus Alistair, c'était le fait qu'il soit du côté des impartiales, de non opinions, mais il passait outre ça, et oui il fallait bien avoir des alliers. Bref, Alistair se leva deux minutes après et fit valser son short et son tee-shirt dans la pièce et enfila son pantalon noir ainsi que sa chemise, il mit sa cravate et enfila ses chaussures, prit son sac à bandoulière et sortit de la chambre en trombe. Tout en suivant ses amis, il réajustait sa cravate et mit son veston. Il s'arrêta dans la salle commune et attacha ses chaussures. C'est partit pour une journée de folie... Il se pavana en jetant quelques regards dragueurs accompagnés par des sourires vers les jeunes et jolies filles qui passaient à côté de lui. Il alla dans la Grande Salle et il s'assit en face de Roxanne. Il prit le plat à pan-cakes et s'en servit trois qui déposa dans son assiette, et il l'agrémenta de petit morceau de bacon ainsi que du sirop d'érable. Il mangea l'un des pan-cakes et se leva de table « Bonne journée, Weasley et pas de bêtise ! » il lui fit un clin d'œil et il prit son sac et la veste qui se trouvait dedans et se dirigeait vers la porte de sortit quand son hiboux arriva et se posa sur son épaule, un rouleau à la patte. Alistair lui retira et reconnu l'écriture fine qu'avait Perséphone. C'était une invitation, il devait la retrouver cette après-midi au Tois-Balais, il s'en réjouissait déjà. Son hiboux s'envola et Max continua sa marche vers la sortie de la salle et fourra la lettre dans sa poche.Il avait trouvé comment agrémentée sa journée de rire et de joie. Ça faisait si longtemps qu'il n'avait pas Percy, la fille la plus adorable qu'il puisse y avoir, celle dont il aurait aimé se prétendre frère. Oh il avait hâte ! C'est comme ça qu'il partit en cours le sourire au lèvre, et pour une fois il passa dans le couloir sans faire de dégâts . C'était amusant de vois les petits de premières années qui tiraient une tête des plus affreuses quand le Serpentard passait. La journée lui paraissait magnifique, il en avait même envie le refus de Billie, cette honte qu'il gardait en soit et qui lui avait remodelé le cœur pour le rendre plus impardonnable et secret qu'il ne l'était déjà. Perséphone, elle savait le faire rire et l'écouter surtout. Il en sautillait presque dans les couloirs... L'heure qu'il attendait depuis le matin arrivait enfin, seize heure arrivait à pas de géant et le cour d'astronomie aussi. Il se permettrait une petite « folie » et de sécher les cours pour la voir elle, ce rayon de lumière ambulant, cette beauté incarné. Il sortit en douce du château et puis même si on l'avait vu, son statut lui permettait de faire ce qu'il veut. Il se rendait à Prés-au-Lard où se trouvait le bar des Trois-Sorciers, où Percy devait l'attendre. Il poussa la porte du bar et entra, Perséphone était déjà là et elle l' acceuilla à bras ouvert et le serra contre elle. Alistair fourra sa tête dans ses cheveux et déposa un baiser sur sa joue. « Oh Alistair, ça me fait tellement plaisir de te voir ! », puis elle se rassit et commanda deux bièreaubeurres au serveur et elle demanda à Alistair si son année de préparatoire ce passait bien. « Bin écoute, c'est plus comme avant sans toi, heureusement il y a toujours de jolie fille à volonté et tu sera bien la première à savoir que Victoire Weasley ça devient plus ou moins sérieux. Enfin, comme tu peux le voir j'ai pas changé et l'école m'ennuit toujours autant... Mais toi tu est resplendissante. Dit moi tous ! » il mit ses coudes sur la table et fit un grand sourire. Il prit la bièreaubeurre qu'avait commandé Percy peu de temps avait.
Spoiler:
HJ : Désoler du temps que j'ai mis à répondre et de la qualité du rp, je me rattraperais promis, ma Raiponce !
Perséphone s'était installée sur l'une des banquettes libres du bar des Trois Balais. Elle était près d'une des fenêtres. D'ici, elle pouvait voir le paysage qui commençait à devenir blanc. Le mois de Novembre était bien arrivé et la neige n'allait pas tarder. Pour l'instant, ce n'était qu'une fine pellicule blanche de gelé. Dès qu'elle fut bien réchauffée par la chaleur du bar, Perséphone enleva son écharpe et son bonnet, laissant ses cheveux noirs légèrement bouclés tombés sur ses épaules. Puis elle attendit patiemment. Elle espérait qu'Alistair avait bien reçu son message et qu'il aurait la possibilité de venir. La jeune femme avait très envie de le voir, de savoir comment ça se passait à Poudlard. Elle n'avait pas eu de ses nouvelles depuis quelques mois, depuis qu'elle était rentrée à Sainte Mangouste. Elle avait tellement de travail qu'elle n'avait plus beaucoup le temps de sortir, et puis Zéphyr lui donnait tellement de travail que c'était à se demander si voulait la tuer à la tâche. Elle soupira, elle avait enfin un après midi de libre et la brune avait décidé de le passer avec Alistair, son Alistair, son meilleur ami, son presque "frère", l'une des personnes les plus importantes pour elle. Elle était encore plongée dans ses pensées quand la porte s'ouvrit d'un coup. Seize heure trente pétante ! Il n'était par en retard, il avait donc bien reçut son message ! Elle se retourna et croisa le regard de son ami. La jeune infirmière se leva rapidement et sauta au cou du beau Serpentard. Ce dernier enfouit sa tête dans la longue chevelure de la belle et lui déposa un baiser sur sa joue, ce qui fit fleurir un beau sourire sur les lèvres de la jeune D'Argenté. Elle resserra son étreinte autour de cou du jeune homme. Ça faisait du bien de retrouver ses bras et son joli visage. Elle se retira, son sourire toujours au bout des lèvres. Elle n'avait jamais eu un aussi beau sourire aussi loin que remonte ses souvenirs. Ah son Alistair, la source du conflit qu'il pouvait y avoir entre Cassiopée et elle. Malgré tous les deux jeunes femmes étaient amies, mais des tensions existaient entre elles, concernant surtout Alistair et Ariel. Elles étaient toutes les deux proches de ses personnes et étaient quelques fois jalouses que l'autre passait avec l'un des deux. Dans tous les cas, Perséphone n'avait pas du tout l'attention de laisser tomber Alistair, son Serpentard préféré. Elle s’empara de sa main et la garda dans la sienne quand elle s'assit. « Ben écoute, c'est plus comme avant sans toi, heureusement il y a toujours de jolies filles à volonté et tu seras bien la première à savoir que Roxanne Weasley ça devient plus ou moins sérieux. Enfin, comme tu peux le voir j'ai pas changé et l'école m'ennuit toujours autant... » La jeune brune sirotait sa bièreaubeurre tout en écoutant Alistair. Ahah, Roxane ! La fameuse Roxane Weasley. Perséphone ne la connaissait pas personnellement mais Alistair lui avait tellement parlé d'elle que c'était comme si elle la connaissait pas coeur. « Ah Roxane ! C'est bien ça alors ! Raconte moi tout, elle a donc enfin succombé au charme irrésistible de beau Serpentard Fitzbern ?! » lui dit-elle avec un petit clin d'oeil. Elle mit ses mains sous son menton, tout en l'écoutant. « Et alors ton tableau de chasse s'est-il beaucoup agrandit avec ses si jolies filles ? » continua-t-elle en rigolant. « Pourtant en classe préparatoire, vous parlez plus de magie noire, non ? Ça doit être passionnant quand même. » tout en parlant, elle observait son ami boire sa bièreaubeurre. « Mais toi tu es resplendissante. Dit moi tous ! »« Merci pour ton compliment ! Tu vas me faire rougir. Eh bien moi, je travaille, travaille et travaille encore et toujours. Notre chez de service nous tue à la tâche, mais je ne vais pas me plaindre, j'adore ce boulot. C'était mon rêve et j'y suis. » Elle fit un grand sourire. Alistair était la seule personne à la faire sourire autant, avec Arthémis et Olympe ses amours de frère et soeur. « Oh et puis, je t'ai pas dis. Tu devineras jamais qui es mon super chef d'équipe ! » Elle laissa sa phrase en suspense, le laissant réfléchir. « C'est Zéphyr ! Super n'est ce pas ? » dit-elle en levant les pouces en l'air. « Qui aurait pu croire qu'on allait se revoir. Je l'avais déjà supporté sept ans et le revoilà ! » Voila, elle avait mis le sujet Zéphyr sur le tapis. Alistair devait le connaître presque par coeur maintenant aussi grâce à Perséphone mais pas pour la même manière. La jeune brune "détestait" son chef de service, cet ancien Gryffondor. Détester était un bien grand mot, mais ils jouaient au jeu du chat et de la sourie, du " je t'aime moi non plus ". Quand les deux jeunes gens étaient encore à Poudlard, ils faisaient l'animation. Tout le monde au château aimait les voir se lancer des défis, s'envoyer bouler même. Mais récemment, la jeune femme commençait à ressentir quelque chose d'étrange pour Zéphyr. De l'amour, de l'attirance. Oui, peut être. Surement. L'ancienne Serdaigle attendit la réaction de son ami en apprenant cet annonce. Il devait se douter que leur petit jeu du chat et de la sourie avait reprit et que ça n'allait être que plus intense qu'au château. A l'hôpital, ils n'avaient presque aucune limite pour se faire des crasses, pas comme à Poudlard où le surveillant les avait toujours à l'oeil. Perséphone était sur qu'ils manquaient à la concierge, les deux personnes sur lequel elle aimait le plus crier, se défouler et qu'elle adorait coller pour un petit pas de travers. La brunette pris sa bièreaubeurre et, en l'entourant de ses main, réchauffa ses doigts glacés. Elle but une petite gorgée. Elle fit une petite pause et regarda son ami. Il n'avait vraiment pas changé. Toujours le même : beau, grand, sûr de lui, charmeur,...
Ali ♥:
Désolé, j'ai pas avancé beaucoup. Je voulais finir avant de partir si jamais t'as le temps de répondre. Sinon j'essayerais de continuer. J'espère que ça te plait quand même (a)
Dernière édition par Perséphone N. D'argenté le Lun 20 Fév - 1:23, édité 1 fois
Alistair M. Fitzbern
Ali Baba ♣ You are the cause of the funeral of my heart...
personal informations
► date d'inscription : 12/06/2011 ► parchemins : 780
Après les embrassades de retrouvailles, les deux jeunes gens s’essayèrent et commandèrent de la bièreaubeurre. Ça faisait longtemps qu'ils ne c'étaient pas vues, Alistair tout particulièrement heureux de revoir sa princesse, sa petite soeur, qui n'est visiblement plus si petite que ça. Elle affronté la vie d'adulte en ce moment alors que lui, ce la coulait douce, il en était parfois jaloux, même si il n'oubliait pas pourquoi il était resté, elle, elle le hantait, même en étant avec Roxanne Weasley, il n'arrivait pas à l'oublier. Il avait toujours espéré pouvoir être l'idéal de sa mère, le jeune homme obéissant et polis, mais c'était dur, il avait toujours réprimandé à sa mère d'avoir fait abstraction de lui, de lui offrir ce qu'une mère donne à son fils. Mais il avait tout fait de travers, il couchait avec tout ce qui bouge, il ne travail pas, ne veut pas finir comme "main droite" de Voldemort et est tombé fous amoureux de sa demie-soeur qui semble bien trop occupé avec un autre coureur de jupon. Il avait littéralement tout gâché ! Roxanne était une partie qui devrait le remettre dans le droit chemin et Perséphone l'influençait beaucoup pour être le fils idéal.
Il écoutait avec beaucoup d'attention Percy, sa voix l’apaisait, elle avait toujours pleins de choses à lui dire, lui adorait la regarder parler, c'était une pipelette et elle savait lui redonner de la pêche. Il l'a dévorait des yeux et souriait, le verre à la main, prêt à s'en armé pour l'amener à sa bouche. « Ah Roxane ! C'est bien ça alors ! Raconte moi tout, elle a donc enfin succombé au charme irrésistible de beau Serpentard Fitzbern ?! » Il rigolait, et lui répondit que lui avez su se prendre à son charme, il avait envie de changement et améliorer sa réputation avec une Weasley, une sang-pur. Elle lui lança un clin d’œil et continua en lui demandant si il avait agrandi son tableau de chasse. "Il faut bien, je me vois mal resté sur la même fille. Attend, tu m'imagine me trimballer, mains dans la main et une fille, non c'est trop fleur rose. Je devrais peut-être le dire à Roxanne..." rigole. Elle enchaina sur les cours qu'il devait suivre, que ça devait être bien d'étudier, mais lui en était pas totalement convaincue. Enfaite, il ne suivait pas vraiment les cours et n'écoutait, il préférait faire des clin d'oeil par-ci, par-là. "Oh, j'imagine oui. J'ai jamais vraiment écouté ces cours, je les trouve inutile, je connais déjà leurs effets et puis, j'arrive pas à travailler, tu me manque, ton sourire me manque."
Alistair, lui fit un compliment et bu une gorgée de bière, puis reposa sa chope et prit la main de Percy et souria. « Merci pour ton compliment ! Tu vas me faire rougir. Eh bien moi, je travaille, travaille et travaille encore et toujours. Notre chef de service nous tue à la tâche, mais je ne vais pas me plaindre, j'adore ce boulot. C'était mon rêve et j'y suis. » Il rigola, ça ne l'étonnait pas que Percy passe ses journées à travailler, c'est une dure à cuir qui sait e qu'elle veut et ce qu'elle veut c'est être une infirmière digne de ce nom et elle y arrivera, ça c'est sûr. Il finit sa chope et appela un serveur et commanda une autre bièreaubeurre, c'était sa hantise. Silence, Alistair ne voulait pas gâcher ce moment de silence, il aimait la regarder argumenter sur de quelconques sujets, ses expressions quand elle s'exprime sont assez drôle. « Oh et puis, je t'ai pas dis. Tu devineras jamais qui es mon super chef d'équipe ! » Perséphone, n'en dit pas plus, elle savait qu'il ne devinerait pas, mais voulait le faire attendre. Il ne voulait pas se ridiculiser donc n'en dit rien mais sourit pour lui montrer qu'il ne savait pas. « C'est Zéphyr ! Super n'est ce pas ? Qui aurait pu croire qu'on allait se revoir. Je l'avais déjà supporté sept ans et le revoilà !» Il se mit à rigoler. "Zéphyr ? Non, tu rigoles. Pas lui, c'est un crétin..." il souria et se souvient de toutes les longues conversations qu'ils ont eu sur Zéphyr et tous ce qu'elle en dit. Il ne fallait pas se voiler la fasse, elle l'appréciait grandement, même plus que ça. Il en était sûr, elle était amoureuse de lui, la façon de s'exprimer la trahissait. "Au moins tu n'es pas dépaysé." il rigola. "Désoler, j'ai pas pu m'en empêcher. Mais aller avoue, il t'intimide hein..." dit-il de sa voix perverse et tout en rigolant. Il bougea son bras brusquement et se renversa la chope sur son tee-shirt. "Et mince, c'est pas possible !". Il se leva brusquement et regarda les résultats de sa joie. "Désoler, je me dépêche !".
Il se dirigea vers les toilettes où il poussa la porte et alla vers les lavabos. Il regarda son maillot dans le miroir, c'était un désastre, et à ce que l'on dit la bière sa tâche. Il sortit sa baguette de la poche arrière et jeta un sort qu'il avait apprit par l'une de ses conquête, bien sûr qu'il n'avait pas appris ça en cours, ça aurait été une blague. Non, mais sérieusement vous voyez Alistair tout ouï à un cours pour apprendre la formule du détachage de tee-shirt, non mais vous le prenez pour qui ?! Bref, après avoir jeté son sort, il regarda son maillot et sourit en disant : "Ça marche vraiment son truc.". Il lâcha son tee-shirt et profita d'être dans les toilettes pour se passer un peu d'eau sur son visage et de se recoiffe. Il se regarda une dernière fois dans le miroir et alla rejoindre Percy, qui l'avait attendu bien sagement et n'avait pas bougé de sa chaise. Il se rassit et la regarda. "Alors, tu m'as toujours pas dit, toi et Zéphyr..." après un temps de silence avec juste son rire pour combler ce blanc, et enchaîna : "Bon ok j'arrête. Alors, t'as eu quoi comme cas bizarre, j'espère que t'en as eu des tordus."
Invité
Invité
personal informations
Sujet: Re: retrouvailles ♦ Alistair (terminé) Mar 6 Mar - 6:42
Perséphone & Alistair ♕mon bel ami
Roxane avait donc succomber au charme du beau Serpentard. D'après les paroles d'Alistair, il semblait lui aussi attacher à la Weasley. Le petite rousse de Serpentard. Oui, elle était de sang-pur mais ses parents étaient des traîtres à leur sang. La jeune Roxane semblait cependant différente de sa famille. Elle était arrivée à Serpentard et elle avait intégré le clan des obscurs, c'était surement pour ça qu'Alistair était sous le charme car elle était différente. Perséphone savait que ça ferait du bien à son meilleur ami de "se poser", d'avoir une personne qui serait en permanence là avec lui. Elle était là, elle, avant, mais maintenant qu'elle était partie, elle craignait qu'il n'est plus beaucoup d'épaules réconfortantes, qu'il n'y ai personne pour le mettre dans le droit chemin. Le droit chemin était un bien grand mot, mais Perséphone savait qu'Alistair aurait voulu être le fils parfait et elle faisait tout son possible pour l'en convaincre. Perséphone, elle-même, voulait que son bel ami soit l'homme idéal, même si pour elle, l'ancienne princesse de Serdaigle, elle le trouvait déjà parfait comme il était. Peut-être un peu trop coureur de jupon, mais elle même l'était dans son genre. Elle ne pouvait donc pas lui reprocher ceci. Il fallait bien s'amuser. On avait qu'une seule vie, et ça Alistair l'avait bien compris ! « Elle te plait beaucoup cette Roxane, n'est-ce pas ? » dit-elle à son ami avec un sourire qui voulait tout dire. « Oui, c'est sure. On voit mal le grand Fitzbern être en couple et heureux. » Perséphone secoua la tête. Décidément, il ne changerait jamais. « Pourtant, je suis sure que tu apprécierais plus que tu ne le penses. » dit-elle avec un petit clin d'oeil. « Mais c'est sure qu'on en peut pas empêcher toutes ses jeunes filles de tomber sous le charme fou d'un Serpentard de huitième année. » dit-elle en rigolant. Son rire remplit la salle, où il n'y avait aucun bruit. Perséphone but une gorgée de sa bièreaubeurre. Une porte s'ouvrit et un courant d'air froid pénétra dans le bar. Un frisson secoua la jeune femme et elle resserra son gilet sur elle. Elle était prête à crier sur l'homme qui venait de rentrer mais qui n'avait pas fermer la porte. Malheureusement, et heureusement pour lui, celle-ci venait juste de se refermer toute seule dans un claquement fort. « Oh, j'imagine oui. J'ai jamais vraiment écouté ces cours, je les trouve inutile, je connais déjà leurs effets et puis, j'arrive pas à travailler, tu me manque, ton sourire me manque.» répondit-il quand la jeune infirmière posa plus de question sur les cours que la classe préparatoire suivait. A travers ses paroles, elle se rendit compte que le jeune Serpentard ne travaillait pas plus, même si ses matières auraient dût, en toute logique, l'intéresser plus. Quand l'ancienne Serdaigle était à Poudlard, elle essayait de faire travailler Alistair. Sans succès apparent, malgré les effort de la D'Argenté, qui était une petite intello dans son genre. Elle voulait toujours être la meilleure, en tout. Perséphone se rendit alors compte qu'elle essayait bien de le rendre parfait. Il avait déjà la beauté et le charme, mais au fond d'elle, elle voulait qu'il est aussi une intelligence incroyable, pas qu'il ne soit pas déjà intelligent. C'était ça, elle voulait avoir le meilleur ami parfait, que tout le monde l’envie de l'avoir rien que pour elle quand elle n'allait pas bien. Si ce n'était pas déjà le cas. « Ah la la, mon Ali ! Tu m'exaspère ! » dit-elle en rigolant bruyamment. Elle lui fit une petite grimace, tirant la langue pour montrer son mécontentement, mais heureuse d'une certaine façon de voir qu'il n'avait pas changer ses habitudes concernant les études. « Ce qui ne t'empêche pas d'être trop mignon ! » ajouta-t-elle avec un grand sourire. « Tu me manques beaucoup aussi, tu sais. Énormément même. Ça m'a fait bizarre au début de ne plus t'entendre rire en permanence et de ne pas entendre ta voix. A croire que tu m'es vraiment indispensable ! Oui, je crois bien que c'est le cas. » Perséphone finit ses paroles avec un petit sourire timide. C'était surement la première fois que Perséphone lui montrait à quel point elle tenait à lui. Si il savait à quel point il était important pour la jeune femme !
Alistair avait pris sa main. Ils étaient à l'opposé l'un de l'autre, les bras tendus et les mains enlacés. Ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas sentie ses doigts dans sa main. Elle se mit donc à jouer avec sa main tout en répondant à son compliment. La jeune femme commença à lui parler de son travail. Elle allait commencer à se plaindre, elle le sentait. Elle le voyait comme le nez en plein milieu de la figure. Et Zéphyr n'allait pas passer à la trappe, ça aussi elle le savait. Malgré tout ce qu'elle pouvait dire, il fallait avouer qu'elle adorait son travail. C'était son rêve et elle y était parvenue. Elle le souvient du coup de fils qu'elle avait passer à ses parents quand elle avait appris qu'elle avait été embauché à Sainte Mangouste. Elle était tellement fière de le leur apprendre. La jeune femme était plus particulièrement contente quand son père lui avait dit qu'il était fière d'elle. Son père. Elle voulait être la meilleure à ses yeux, ça oui ! Perséphone voulait être sa princesse qu'il serait fière de présenter comme une bonne mangemorte et une infirmière qualifiée. Elle y était parvenue déjà, malgré son jeune âge. Elle avait déjà commencé son ascension. La jeune femme sentait le regard d'Alistair poser sur elle. Elle ne put s'empêcher de lui faire un petit sourire en coin. Il fallait qu'elle lui demande son secret pour la faire sourire autant, ça en devenait gênant pour le personne qu'était Perséphone, mystérieuse et qui ne voulait pas laisser transparaître ses sentiments. Elle attendit quelque instant quand elle lui demanda de deviner qui était son chef de service. Il fallait bien laisser de suspense, mais Alistair fit un sourire pour seule réponse. Il n'avait donc aucune idée ? Elle lui répondit donc : « C'est Zéphyr ! Super n'est ce pas ? Qui aurait pu croire qu'on allait se revoir. Je l'avais déjà supporté sept ans et le revoilà ! » Sa réponse ne tarda pas. Il ne pouvait que réagir devant cette nouvelle, mais elle ne s'attendait pas à ce qu'il rigole. « Zéphyr ? Non, tu rigoles. Pas lui, c'est un crétin...» « J'ai l'air de rigoler, Ali ? J'aurais bien voulu te faire une blague, mais malheureusement c'est la stricte vérité. » A son air pensif, il devait se remémorer les longues discussions qu'ils avaient eu au sujet du beau Zéphyr. Il était peut être beau mais Perséphone ne le supportais pas. Enfin, ça c'est ce qu'elle se disait car sous cette couche de haine se cachait une pointe d'amour, d'attirance. Perséphone ne se l’avouerait jamais, enfin pas pour le moment. « Au moins tu n'es pas dépaysé. » « Tu peux pas savoir à quel point ! » lui dit-elle sur un ton exaspérant. « Désoler, je n'ai pas pu m'en empêcher. Mais aller avoue, il t'intimide hein... » Perséphone releva la tête vers son ami, retroussant un peu les sourcils. Avant qu'elle ne puisse riposter, le jeune homme renversa sa bièreaubeurre en bougeant son bras. Il venait de séparer l'étreinte qu'ils avaient avec leur main. « Et mince, c'est pas possible ! » Il se leva et inspecta les dégâts. La boisson s'était propagé sur son tee-shirt. « Désoler, je me dépêche ! » Il se retourna et commença à marcher en direction des toilettes. « Ça t'apprendra à dire des bêtises, Monsieur Fitzbern ! Et puis, Zéphyr ne m'intimide pas ! » lui cria-t-elle avant qu'il ne passe la porte. Elle savait très bien qu'il l'avait entendu.
Perséphone attendait patiemment à table. Elle venait de commander une deuxième bièreaubeurre pour elle et une troisième pour Ali qui venait de renverser la sienne. Elle méditait les paroles que venait de lui dire Alistair. Donc, pour lui, Zéphyr l'intimiderait ? Était-ce vrai ? Elle n'en était plus très sure, depuis quelques temps elle ne savait plus quoi penser. Surtout depuis le baiser, plutôt intense, qu'ils avaient échanger la dernière fois qu'ils étaient de garde ensemble. Devait-elle le dire à son meilleur ami ? Elle avait envie de se confier à lui sur ce point mais n'avait aucune envie qu'il la chambre, elle n'avait pas besoin de ça. Perdue dans ses pensées, elle jouait avec son verre, le faisant tourner entre ses mains. Elle releva la tête seulement quand elle entendit le voix de son ami qui s'était installé à la même place qu'il y a cinq minutes. « Alors, tu m'as toujours pas dit, toi et Zéphyr.. » Il n'y avait rien à dire, à part le baiser. Elle allait lui en parler mais Alistair venait de reparler, pensant surement que sa phrase l'avait déstabiliser et il avait raison. Elle lui dirait plus tard. « Bon ok j'arrête. Alors, t'as eu quoi comme cas bizarre, j'espère que t'en as eu des tordus. » Ah ! Il remettait son travail dans la conversation. Des cas tordus ? « Eh bien, pas vraiment. Enfin par pour l'instant. J'ai eu pas mal de joueur de quidditch. Il y en avait un qui avait sa jambe vraiment retourné. Pas beau à voir je te dis ! » Elle réfléchit à un autre patient bizarre mais aucun ne lui vint à l'esprit. « Ah, si j'en ai eu un qui avait perdu la tête. Il s'est mit tout nu devant moi, sans aucune raison. Heureusement qu'il était bien foutu. » lui dit-elle avec un sourire pervers. « Non, sinon rien de trop bizarre, mais tu sais ce n'est que le début ! » continua-t-elle. «J'ai espoir d'en voir des plus tordus. » lui dit-elle avec un petit clin d'oeil. Ils ne parlaient plus depuis un petit moment, Perséphone décida de se confier. « Alistair, on peut parler sérieusement ? » lui demanda-t-elle en lui lançant un regard sérieux. Après avoir eu son approbation, elle continua : « C'est au sujet de Zéphyr. Oui, encore lui. Je sais tu dois en avoir marre. » elle s'arrêta un moment, elle ne savait pas comment amener le sujet. « Bon voilà, un soir quand on était de garde, on s'est engueulé comme toujours, mais le plus étrange est arrivé après : on... on s'est embrassé. » dit-elle avec une grimace. Elle attendit la réaction d'Alistair. Elle même ne savait plus quoi faire, qu'allait-il advenir de lui ?
♥:
Fini ! Désoler pour le retard, j'espère qu'il te convient (a) ♥
Alistair M. Fitzbern
Ali Baba ♣ You are the cause of the funeral of my heart...
personal informations
► date d'inscription : 12/06/2011 ► parchemins : 780
Voyant que c'était un sujet qu'elle ne souhaitait pas vraiment aborder, Alistair essaya de faire la causette sur son travail et essayer de retrouver sa fierté après s'être renverser minablement de la bièreaubeurre sur son tee-shirt et son jean. Après s’être rassit en face de Perséphone qui l'avait attendue tout en commandant d'autre boissons. Il avait entendue ce qu'elle avait dit avant qu'il se cache dans les toilettes et réparer ses bêtises. Avant de s'asseoir sur la chaise de bois du bar, il déposa un bisous sur la front de la brunette aux traits fins et lui chuchota à l'oreille : « Alors, tu m'as toujours pas dit, toi et Zéphyr.. » avec un grand sourire. Puis alla s'installer confortablement. Puis Alistair lui prit la main et dit en rigolant : « Bon ok j'arrête. Alors, t'as eu quoi comme cas bizarre, j'espère que t'en as eu des tordus. » . Il lâcha sa petite main douce pour prendre sa chope à la main et la rapprocher de sa bouche et en boire deux ou trois gorgées avant de reposer le verre et se passer la main dans les cheveux en attendant la réaction de la jeune infirmière. « Eh bien, pas vraiment. Enfin par pour l'instant. J'ai eu pas mal de joueur de quidditch. Il y en avait un qui avait sa jambe vraiment retourné. Pas beau à voir je te dis ! ». Il souriait, oh ça oui le quidditch pouvait vraiment être dangereux, ça il le savait, il parlait en connaissance de cause, enfin il a surtout envoyer pas mal de monde à l'hôpital, ah les Serpentards n'étaient pas très, comment dire... doux. Enfin bon, c'était la coutume qui le voulait et il ne s'en mordait pas les doigts, bien aux contraires. Alors que la jeune femme prenait un air de recherche tout en plaçant son doigt sur son menton et en regardant au plafond, elle enchaîna en disant :« Ah, si j'en ai eu un qui avait perdu la tête. Il s'est mit tout nu devant moi, sans aucune raison. Heureusement qu'il était bien foutu. » Alistair en rigola, c'est tordu mais qui pouvait résister au charme fragile de la petite infirmière... Le sourire pervers de Percy en disait long et avait le don de faire sourire Alistair. « Non, sinon rien de trop bizarre, mais tu sais ce n'est que le début ! J'ai espoir d'en voir des plus tordus. » poursuivit-elle en lui faisant un clin d’œil. Le Serpentard ne disait plus rien, il était partie dans la contemplation de son amie, et essayait de remarqué tous ce qui avait changé en elle physiquement et intérieurement. Elle avait embellit, ses cheveux bruns étaient comme une cascade le long de son dos, et sous cette multitude de cheveux se trouvait ce petit visage qui restait enfantin avec ses traits fins et ses yeux qui devançait le soleil par leurs beautés. Le silence devenait pesant, les deux jeunes gens se contentait juste de se regarder en souriant mais, ce sourire que porte si bien Perséphone commença à s'enlever et Alistair se demandait bien se qu'il se passait. La jeune femme baissa les yeux et commença et dit : « Alistair, on peut parler sérieusement ? », elle disait ça sérieusement et Alistair en fut effrayé, il s'installa correctement sur sa chaise et prit un regard inquiet et fait un petit "oui" de la tête et la jeune infirmière continua : « C'est au sujet de Zéphyr. Oui, encore lui. Je sais tu dois en avoir marre. ». Perséphone marqua une courte pause et Alistair se détendit, ce n'était juste que le sujet de Zéphyr, rien de à priori grave, il souriait voyant son amie chercher ses mots. Puis elle reprit : « Bon voilà, un soir quand on était de garde, on s'est engueulé comme toujours, mais le plus étrange est arrivé après : on... on s'est embrassé. ». Elle grimaça et Alistair se mit à rigoler s'arrêta parce que ce n'était digne d'un ami de rigoler aux problèmes des autres. Il posa sa mains sur celle de Percy et lui fit son plus beau sourire. "Ah enfin, depuis le temps qu'on l'attendait celle-là ! Non, mais tu me ferais moitié pitié là, Percy te prends pas la tête, tu tiens à lui, qu'est-ce que t'attend pour foncer !". Il interpella une serveuse en lui faisant les yeux doux et lui commanda deux whisky pur feux pour fêter ça. Il voyait l'expression peu approbatrice de la jeune infirmière. "Tu n'y échapperas pas ! Pour me faire plaisir, et surtout à Zéphyr !" il sourit et attendit que la serveuse revienne avec deux gros verres bien remplis, il fit à celle-ci un clin d’œil. Il passa le verre à Perséphone et trinqua en la regardant dans les yeux. "A ta futur histoire d'amour ! Hepepep on se regarde dans les yeux quand on trinque sinon ça portera malheur." il sourit et bu cul-sec avant de reposer le verre sur la table et d'inspirer un bon coup. "Ah il ne faut jamais sous-estimer un bon vieux verre de whisky. Rien de telle pour te remettre les idées en place, n'est-ce pas ?" Il était prêt à recommander un verre quand Alistair vit les effets de l'alcool apparaître et qu'il ne serait pas bon de se saouler plus que ça, déjà que son allène devait sentir horriblement l'alcool et si il se faisait prendre par un surveillant il était mal, enfin quelques pièces devrait suffire à relever sa punition, et oui ils sont corrompus comme pleins de choses en se bas monde. Ne surtout pas sous-estimer sa classe sociale et surtout son argent. Alistair pourrait se permettre de boire encore, la puissance de sa famille était assez grande pour excuser ses faits et gestes, par contre l'honneur c'est tout autre chose. Le Serpentard se leva avec grâce et se dirigea vers une table adjacente parce qu'il connaissait l'une des filles et qu'elle n’arrêtait pas de lui envoyer un sourire pervers, alors il décida d'aller prendre les choses en mains, à sa façon, par très conventionnel et encore moins digne d'un gentlemen. Il savait être un connard en puissance et adorait en jouer, briser un cœur ne lui faisait ni chaud, ni froid, bien au contraire. "Salut, Stella, c'est ça ? Enfin qui que tu sois tu déranges ma sérénité et je te demanderais de bien vouloir m'effacer de ta mémoire bien que je n'en doute pas que les moments passés ensemble ont du être une jubilation pour nos deux personnes. Sur ce, j'espère que tu comprendras et bonne journée, cela dit j'adore ta robe." Il jeta un coup d’œil au décolleté qui s'offrait à lui tout en se mordant la lèvre et jeta un dernier sourire avant de retourner s'asseoir. Il s'excusa au prêt de la jeune infirmière et cette fois, c'était parfait, la fille se leva de sa chaise et passa tout près d'Alistair et s'arrêta à son niveau et lui mit son décolleté devant les yeux. "C'est dommage pour toi, mon chéri, tu rates quelques choses." cette fois elle se tourna vers Perséphone et dit : "Ne sorts pas avec lui, il te tromperas, conseille d'amie.". Elle jeta un dernier coup d’œil au vert et argent et lui fit un clin d’œil et partit glousser avec son amie. Alistair fit les grands yeux, "T'as vu ce décolleté, argh subli..." il fit son sourire de fausse gêne et conclut sa phrase par un petit haussement d'épaule. Puis il leva la main pour appeler une serveuse...
Invité
Invité
personal informations
Sujet: Re: retrouvailles ♦ Alistair (terminé) Jeu 17 Mai - 20:32
Perséphone & Alistair ♕mon bel ami
Alistair venait de la quitter. Il avait renversé de la bierreaubeurre sur ses habits. Il s'était donc réfugié dans les toilettes pour réparer les dégâts. Perséphone l'avait suivit des yeux et elle remarque qu'elle n'était pas la seule. Une jeune femme à la table d'à coté le mangeait du regard. Elle était habillé d'une robe rose, assez moulante et très décolleté. Le genre de fille que Perséphone ne pouvait pas supporter. Elle connaissait ce genre de filles qui essayent d'attirer l'attention des garçons avec leur décolleté plongeant et elle trouvait ça pitoyable, malgré que la plupart des garçons tombaient dans le piège. Perséphone ne doutait pas qu'Alistair serait attiré par cette paire de seins si elle lui faisait de l'oeil. En attendant, le jeune homme se dirigeait vers elle. Avant de s'asseoir, il vint lui déposer un bisous sur le front. Au passage il lui chuchota qu'elle ne lui avait pas encore dit ce qu'il se passait entre Zéphyr et elle. La brunette soupira et le va les yeux au ciel. Voyant que ce sujet ne lui plaisait pas, Alistair lui posa plutôt des questions sur son travail. La mangemorte lui répondit avec grand plaisir. Perséphone aimait les réactions d'Alistair par rapport à son travail : il souriait, rigolait. Puis elle finit l'inventaire des cas bizarre qui avait défilé à Sainte Mangouste. Le Serpentard la regardait, sans rien dire. Elle était un peu gêné, mais elle en fit de même. Il n'avait pas tellement changé. Il avait surement pris encore quelques centimètres et de la musculature, ce qui l'avait rendu encore plus beau qu'il ne l'était déjà. Il devait encore faire des ravages à Poudlard, surtout qu'il était en huitième année. Il était devenu encore plus inaccessible aux yeux de certaines filles, le rendant plus attirant. Perséphone lui souriait. Le silence commençait à devenir pesant. Puis la jeune femme baissa les yeux. Enfin de compte, elle avait décidé de parler de Zéphyr avec Alistair, mais elle n'avait pas envie qu'il est de réaction puéril. Elle engagea donc la conversation le plus sérieusement du monde. Elle le vit s'installer confortablement sur sa chaise, malgré son air effrayé. Il hocha la tête, lui intimant de continuer. Ce qu'elle fit. Elle lui confia ce qui c'était passé la nuit où les deux jeunes gens étaient de garde. Le moment où ils s'étaient embrassés. Un moment magique quelque soit le contexte de ce baiser. Il est vrai qu'ils se détestaient depuis le tout début de leur scolarité, mais Perséphone ne pouvait pas le nier, elle était irrévocablement attiré par cet arrogant Gryffondor. Même plus, des sentiments commençaient à faire surface, mais elle n'arrivait pas à se l'avouer. La réaction d'Alistair la choque quelque peu. Le jeune homme se mit à rire, ce qui lui valut un regard noir de la princesse D'Argenté. Il s'arrêta net, comprenant que ce n'était pas digne d'un ami de réagir de cette façon. Il lui prit les mains et Perséphone leva les yeux vers son meilleur ami. Il arborait un magnifique sourire, montrant sa dentition parfaite. « Ah enfin, depuis le temps qu'on l'attendait celle-là ! Non, mais tu me ferais moitié pitié là, Percy te prends pas la tête, tu tiens à lui, qu'est-ce que t'attend pour foncer ! » dit-il tout en interpellant une serveuse. Elle devait bien avouer qu'il avait raison, mais c'était plus fort qu'elle. Elle n'arrivait pas à se l'avouer alors arriverait-elle à l'avouer à Alistair, son meilleur ami, ou bien à Zéphyr, le concerné dans l'histoire. Il avait décidé de commander deux whisky-pur feu pour fêter cette révélation. La jeune femme lui lança un regard de mécontentement. Pendant que la serveuse les servait, Nymphéa enfouit sa tête dans ses mains tout en la secouant de droite à gauche. « Tu n'y échapperas pas ! Pour me faire plaisir, et surtout à Zéphyr ! » Ce qui provoqua une grimace chez la jeune femme. Jamais de sa vie, elle n'aurait pensé qu'elle fêterait une telle chose. C'était impossible. Elle observa le petit manège qui se passait entre la serveuse et Alistair. Ce qui fit un peu sourire Perséphone. Il ne se contenait jamais ! Puis le Serpentard lui tendit un verre et il trinqua en la regardant dans les yeux. « A ta futur histoire d'amour ! Hepepep on se regarde dans les yeux quand on trinque sinon ça portera malheur. » Sans attendre, Perséphone descendit son verre de whisky. Puis elle regarda son ami. « Si tu pourrais éviter de le crier sur tout les toits s'il te plait... J'ai pas forcément envie que tout le monde dans le bar soit au courant. » chuchota-t-elle. Sans prendre en compte ses dires, Alistair continua à parler, comme si c'était la plus merveilleuse des nouvelles. « Ah il ne faut jamais sous-estimer un bon vieux verre de whisky. Rien de telle pour te remettre les idées en place, n'est-ce pas ? » Perséphone opina.
Elle observa son ami se lever. Elle s'aperçut qu'il était quelque peu bancale sur ses jambes, malgré ses efforts à vouloir rester bien gracieux sur ses deux pieds. Les effets de l’alcool. La princesse sourit, quelque peu amusée par la situation. Il se dirigait vers le jeune femme qui l'avait suivit du regard quand il était partit au toilette. La jeune femme avait aussi remarqué qu'elle lançait à son ami des regards aguicheurs qui n'étaient pas passé inaperçu du coté d'Alistair non plus. Elle observa la petit scène de sa place et elle entendit le bel homme s'adresser la jeune femme : « Salut, Stella, c'est ça ? Enfin qui que tu sois tu déranges ma sérénité et je te demanderais de bien vouloir m'effacer de ta mémoire bien que je n'en doute pas que les moments passés ensemble ont du être une jubilation pour nos deux personnes. Sur ce, j'espère que tu comprendras et bonne journée, cela dit j'adore ta robe. » Perséphone étouffa un rire. Il avait le don de lui remonter le morale en très peu de temps. Elle remarque, que malgré ses dires, Alistair avait quand même du mal à détacher son regard du spectacle que lui offrait le décolleté de cette charmante jeune femme. Il revint s'avoir, s'excusant au près de la brunette. « T'excuser pour quoi ? Je t'avoue que j'ai bien aimer voir sa tête quand elle a su que rien n'arriverait. » lui dit-elle avec un clin d'oeil. Avant qu'il n'est pu rajouter un mot, la jeune femme affublé de son horrible robe rose s'avança vers eux. Elle s'arrêta au près d'Alistair, lui mettant sous le nez encore un fois son décolleté. « C'est dommage pour toi, mon chéri, tu rates quelques choses. » Perséphone toussa, s'empêchant de rire. Si elle savait toutes les filles beaucoup plus jolies qui étaient passées dans le lit du Serpentard ! Elle attira l'attention de la jeune femme de cette manière. « Ne sorts pas avec lui, il te tromperas, conseille d'amie. » Perséphone lui lança un regard de pitié et décida de jouer un peu avec elle. Elle se leva et se posa à son tour près du jeune homme. Elle pencha son visage près de la bouche du jeune homme et dit, tout en regardant la jeune femme : « Mmmm, tu vois je suis surement la fille avec qui il restera toujours fidèle. » dit-elle malicieusement. Puis, pour ponctuer ces paroles, elle l'embrassa sur le coin de la bouche. Ce n'était pas la première fois qu'ils s'embrassaient et surement pas la dernière fois. Ils aimaient bien faire ça pour faire enrager des jeunes personnes, comme cette pauvre fille. « Tu vois Alistair, c'est un peu l'homme de ma vie. On est juste dans une relation libre. » dit-elle sensuellement. Puis elle regarda partir la jeune femme avec un sourire de satisfaction. Elle se rassit en face du bellâtre. « Désolé, c'était trop tentant. » Quand à lui Alistair ne se remettait pas de la vue que lui avait offert la fille rose. « T'as vu ce décolleté, argh subli... » Perséphone se leva légèrement et tapa l'épaule de son ami. « Arrêtes un peu. Elle était horrible cette fille. Je me demande comment tu as pu coucher avec elle. Je dois te dire que je me suis quand même bien amusé à la faire rager. Sa tête était tordante ! » Soudain un BIIP l'interrompit. C'était l'hôpital. Surement une urgence. Elle se leva et enfila son manteau et son bonnet. « Il y a une urgence. Il faut que j'y aille. On se revoit plus tard.» dit-elle en l'embrassant sur le haut du crâne. « J'ai été heureuse de te revoir. » lui dit-elle. Puis elle partit, se dirigeant vers son travail. Elle aimait beaucoup être infirmière, mais, à son grand malheur, elle avait peu de temps libre. Elle avançait d'un pas décider, prête à voir Zéphyr.
FIN
Spoiler:
Petit bonus de fin : TROP SEX" :64:
Contenu sponsorisé
personal informations
Sujet: Re: retrouvailles ♦ Alistair (terminé)
retrouvailles ♦ Alistair (terminé)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Accueil 
Dim 20 Nov - 0:40
